Sainte-Céronne-lès-Mortagne

Sainte-Céronne-lès-Mortagne est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 245 habitants[Note 1]. Elle est l'une des 126 communes du parc naturel régional du Perche.

Sainte-Céronne-lès-Mortagne

Le bourg vu de Saint-Hilaire-le-Châtel.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mortagne au Perche
Maire
Mandat
Dominique Ragot
2020-2026
Code postal 61380
Code commune 61373
Démographie
Gentilé Céronnais
Population
municipale
245 hab. (2018 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 04″ nord, 0° 31′ 58″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 297 m
Superficie 12,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mortagne-au-Perche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mortagne-au-Perche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Sainte-Céronne-lès-Mortagne
Géolocalisation sur la carte : Orne
Sainte-Céronne-lès-Mortagne
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Sainte-Céronne-lès-Mortagne
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Sainte-Céronne-lès-Mortagne
Liens
Site web www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr

    Géographie

    La commune est au nord-ouest du Perche. Son bourg est à km à l'est de Bazoches-sur-Hoëne, à km au nord de Mortagne-au-Perche, à 12 km à l'ouest de Tourouvre et à 12 km au sud de Moulins-la-Marche[1].

    Le territoire communal orienté vers le sud-ouest est modelé par le passage de cours d’eau. Le bassin versant est celui de l’Hoëne, rivière qui borde la commune par le sud. Elle a deux affluents d’importance, le ruisseau de Bois Guillaume en bordure ouest, lui-même alimenté par le ruisseau de Saint-Mard et le ruisseau de Romigny sur le côté est.

    Le bourg est situé de part et d’autre de la vallée de l’Hoëne, à environ 190 m d'altitude. La vallée est étroite et les pentes sont de forte intensité. Le point culminant est en limite nord-est avec 297 m près du Petit Buat. La moitié sud correspond sensiblement à une butte dont le point culminant est près du Plessis Poix. Le point le plus bas (168 m) correspond à la sortie du ruisseau de Saint-Mard du territoire, au sud-ouest.

    Outre un bois d'importance au centre de la commune, le territoire s'organise autour d'une mosaïque de labours, prairies et bosquets, sans organisation évidente. Près de la moitié de la surface agricole utile est constituée de prairies permanentes. Des vergers, généralement anciens, sont associés au bâti. Les habitats aquatiques sont représentés par les cours d'eau précédemment cités ainsi que par quelques rares petits points d'eau[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Céronne-lès-Mortagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[5],[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mortagne-au-Perche, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,1 %), terres arables (45,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), forêts (3,8 %), zones urbanisées (0,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Saint-Ceronne en 1801[12].

    La paroisse doit son nom à sainte Céronne venue de Corneilhan en Narbonnaise évangéliser le Perche[13].
    La préposition lès, « près de », marque la proximité de Mortagne-au-Perche.

    Pendant la période révolutionnaire, la commune porte le nom de Monteacune en 1793[12] (nom antique de la cité gauloise, antérieure à la domination romaine dans le pays)[14].

    Le gentilé est Céronnais[15].

    Histoire

    Sainte-Céronne a été créée sur l'ancienne ville romaine de Monteacune[14]. Monteacune aurait été une ville importante, bordée de plusieurs voies romaines et qui se serait étendue du hameau de Poix, sur la commune de Sainte-Céronne, au bourg de Saint-Hilaire[14].

    La cité de Monteacune aurait été détruite sous le règne de l'empereur Dioclétien, par des pirates saxons[16].

    Vers 450, sainte Céronne aurait fondé un monastère à l'emplacement de l'ancienne agglomération gallo-romaine et fait construire une chapelle sur le plateau de Romigny, là où s'élève l'église paroissiale et, non loin, un ermitage dont un hameau porte encore le nom, Saint-Marcel. Elle y mourut et sa tombe devint un lieu de pèlerinage. Une église fut construite vers le XIIe siècle[17].

    Toutefois, aucune source historique ne permet de savoir en quel siècle elle vécut, ni de connaître aucun détail de sa vie. En effet, les textes hagiographiques consacrés à Céronne n'apporteraient rien à l'histoire antique locale car ils sont trop proches d'autres modèles hagiographiques régionaux. Cependant, les résultats des études archéologiques corroboreraient l'existence d'un habitat gallo-romain sur le Mont-Cacune[18].

    Par ailleurs, les fouilles archéologiques entreprises sur le mont Romigny depuis la fin des années 1950, là où le sarcophage recelant le corps de la sainte aurait été redécouvert au IXe siècle, ont confirmé qu'elle recelait une nécropole mérovingienne, dont l'existence était connue localement depuis le Moyen Âge[19].

    En 1424, Jean II, duc d'Alençon et comte du Perche, livra sa première bataille rangée contre les Anglais entre Mortagne et Mamers, les vainquit, poursuivit les fuyards qu'il rattrapa à Sainte-Céronne où il en fit « un grand carnage »[20].

    Selon Louis-Joseph Frêt, curé de Champs, en 1590, des habitants de Bazoches, de Saint-Hilaire et de Sainte-Céronne, fidèles à la foi catholique, s'insurgèrent contre la garnison protestante qui occupait Mortagne. Ils se barricadèrent au hameau de Ronnel, situé entre les deux églises de Saint-Hilaire et de Sainte-Céronne. Les soldats vainqueurs mirent le feu au village, les paysans effrayés s'enfuirent. Deux cents furent tués, blessés grièvement ou fait prisonniers. L'armée protestante pilla les maisons soupçonnées d'avoir soutenu les insurgés. Le village ne commença à renaître de ses cendres qu'au retour de la paix, après l'intronisation de Henri IV[21].

    Héraldique

    Les armes de la commune de Sainte-Céronne-lès-Mortagne se blasonnent ainsi :
    Parti de sable à une crosse contournée d'or, et d’or à la divise de gueules accompagnée en chef d’une fougère de sinople et en pointe d’une corneille de sable becquée et membrée de gueules[22]

    La crosse abbatiale fait référence à sainte Céronne, première évangélisatrice du Perche.

    La corneille est un clin d’œil à Corneilhan.

    La feuille de Fougère est un emprunt au blason de la ville de Mortagne, soulignant la proximité de la capitale du Perche.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
      décembre 1971 Raphaël Gautier SE Agriculteur
    décembre 1971 mars 2001 André Bansard SE Menuisier
    mars 2001 février 2010[23] Jean Gautier SE Retraité
    mars 2010[24] mai 2020 Raymonde Lizot SE Retraitée
    mai 2020[25] En cours Dominique Ragot SE Retraitée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[25].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2018, la commune comptait 245 habitants[Note 4], en diminution de 6,49 % par rapport à 2013 (Orne : −2,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Sainte-Céronne-lès-Mortagne a compté jusqu'à 714 habitants en 1836.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    708645710697714695709701651
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    648647600580537509503450411
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    431431349332333339350343305
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    291273233241255281285288262
    2018 - - - - - - - -
    245--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Selon l'Insee, au , quatre Céronnais sur cinq en emploi exercent leur activité professionnelle hors de Sainte-Céronne. Sur le territoire de la commune, l'agriculture fournit près de la moitié des emplois, la construction un peu moins du quart[29].

    Enseignement

    L'école communale Saint-Hilaire - Sainte-Céronne est située sur le territoire de Saint-Hilaire-le-Châtel. Elle accueille des enfants des deux communes des classes de maternelle et de primaire. Inaugurée en 2004, en remplacement de trois écoles vétustes existant auparavant, elle répond à la démarche haute qualité environnementale (HQE)[30].

    Lieux et monuments

    Église Sainte-Céronne

    L'église de Sainte-Céronne (XIIe siècle), est classée Monument historique[31]. Un ensemble maître-autel-tabernacle-retable des XVIIe et XVIIIe siècles est classé à titre d'objet[32].

    Elle fut bâtie sur le Mont-Romigny, à l’emplacement même de l’oratoire, où fut inhumée sainte Céronne. Ayant été conçue pour servir de châsse au tombeau de la sainte, elle n’est pas « orientée », ce qui lui valut l’épithète irrévérencieuse de « Sainte-Céronne la mal tournée ». Elle fut le premier monastère de moniales du Perche. Le diocèse a choisi de nommer la paroisse tout entière « Sainte-Céronne-au-Perche ».

    Elle est d’une structure très simple, construite sur le plan d'une basilique romaine : une nef unique terminée en abside ronde, éclairée de fenêtres. La muraille, où l’on retrouve au midi l’appareil de fougères, est surmontée d’une corniche à tore simple, épaulée de contreforts plus puissants qui ont été rajoutés au côté Nord pour assurer la solidité de l’église gravement compromise par le glissement des terres entraînées peu à peu dans le ravin profond creusé à quelques mètres de la muraille. La haute tour, étayée de contreforts romans sans ressauts, se termine par un toit en bâtière, percé de fenêtres-lucarnes ajoutées à la Renaissance. Le portail extérieur construit en grison et celui qui donne immédiatement entrée à l’église, sont décorés d’archivoltes originales avec rudentures, billettes et tous les motifs d’ornementation du XIIe siècle[33].

    Chapelle Saint-Marcel

    Au milieu du Ve siècle, Céronne, vint de Corneilhan en Narbonnaise, se fixer sur les ruines du vaste domaine gallo-romain, pour y fonder autour de modestes oratoires, au pied du mont Cacune, une communauté et une chapelle dédiée à saint Marcel, pour lequel elle avait une dévotion spéciale. L'actuelle chapelle bâtie dans le hameau de Saint-Marcel a été reconstruite au XIXe siècle sur l'emplacement de l'ancienne chapelle. Ses murs sont en moellons équarris, sa charpente à double pente. Pour sa construction, on a utilisé du calcaire, de la brique, du bois, de l’enduit à chaux et de l’ardoise[34].

    La chapelle dédiée à saint Marcel.

    Presbytère

    Le presbytère XVIIe siècle, construit en 1635 servit au XVIIIe siècle de résidence d'été aux évêques de Sées. En 2008, il devient la mairie de la commune. Ses murs sont en moellons équarris, sa charpente à croupe. Le calcaire, la brique, le bois, l’enduit à chaux et la tuile plate ont servi à sa construction. On peut observer le dessin des briques en façade ainsi qu’un cadran solaire[35].

    L'ancien presbytère devenu l'actuelle mairie.

    Plessis-Poix

    Le « pigeonnier » avec en arrière-plan le manoir.

    Au lieu-dit le Plessis-Poix situé au sommet de la colline qui domine la commune de Sainte-Céronne, existait un domaine assez important (au vu du volume du pigeonnier et à la consultation du cadastre de 1804 mentionnant de nombreux bâtiments détruits depuis) dont le dernier propriétaire connu est la chartreuse du Valdieu. De ce domaine démantelé à la Révolution, par la vente des biens nationaux, il ne subsiste aujourd’hui que quelques éléments : la chapelle, la maison d’habitation, la motte féodale et la tour dîmière[36].

    Auprès de la motte féodale où les chevaliers de Poix avaient installé au XIe siècle un petit château relevant de la baronnie de Soligny fut élevé à la place et sans doute au XVIe ou XVIIe siècle, mais remanié depuis, un petit manoir, le Plessis de Poix que l’on peut toujours admirer. Une maison d’habitation a été construite en 1693 par la chartreuse du Valdieu pour y loger le chapelain. Celui-ci dépendait matériellement de la chartreuse mais était nommé par les abbés de Saint-Évrout.
    • Les ruines de la chapelle Saint-Jean de Poix.
    La chapelle Saint-Jean de Poix dont on ne connaît ni l’origine, ni l’histoire était en très mauvais état en 1750 car l’évêque de Séez l’a désaffectée à cette date. Il ne subsiste que les murs extérieurs (indiquant le volume du bâtiment) tels qu’en témoignent l’épaisseur des murs et les vestiges d’une fenêtre que l’on voit encore dans un grenier de la maison actuelle.
    • La tour dîmière.
    Le premier étage de cette fuie servait de grenier à dîme alors que sa toiture conique, ourlée d'une corniche moulurée en pierre blanche abritait un pigeonnier comportant environ quatre cents boulins accrochés à des pitons en bois. Les deux lucarnes tournées vers le soleil, s'ouvraient face aux cultures céréalières voisines et permettaient l'envol facile des pigeons[38].

    Fontaine de l'Orion

    En souvenir de l’infirmité qui frappa la sainte aveugle au déclin de sa vie, nombre de personnes affligées du côté de la vue vont encore fréquemment se laver les yeux à l’eau de la fontaine et réclamer guérison ou soulagement par les mérites de la sainte. À sa restauration, en 1982, une statue de sainte Céronne, inspirée de celle de l’église, fut déposée et bénite le par le curé de Corneilhan[39].

    La fontaine de l'Orion.

    Fontaine de la Bonne Sainte Céronne

    Creusée dans le terrain calcaire, la fontaine de la Bonne Sainte Céronne se trouve située sur le flanc d’un ravin assez profond, vis-à-vis du hameau de Saint-Marcel et au-dessous de l’emplacement de l’ancienne cité de Mont-Cacune. Depuis des siècles, les pèlerins viennent quelquefois de fort loin à la fontaine de Mont-Cacune réputée guérir les états fiévreux, maladie qui paraît avoir causé la mort de sainte Céronne[40].

    La fontaine de la Bonne Sainte Céronne.

    Lavoir communal

    Le lavoir communal de Sainte-Céronne-lès-Mortagne daterait du XIXe ou XXe siècle. Il a été restauré en 1997. Sa structure est simple : socle en béton, ossature en bois et toiture en tuile de pays[41].

    Le lavoir communal.

    Activité et manifestations

    Depuis plus d'un siècle, la fête communale a lieu tous les ans le troisième dimanche du mois de juillet.

    Personnalités liées à la commune

    • Sainte Céronne fonda une communauté religieuse à Sainte-Céronne.
    • Benoît Labre se rendit en pèlerinage à Sainte-Céronne en 1769 après s'être vu refusé l'entrée de la Grande-Trappe de Soligny en raison de son trop jeune âge. Une statue du saint est présente dans l'église de Sainte-Céronne[42].
    • Nicolas Denisot, dit le Comte d'Alsinois, poète français de la Pléiade dont la famille posséda le manoir du Plessis-Poix.

    Jumelage

    Sainte-Céronne-lès-Mortagne est jumelée avec Corneilhan (Hérault) depuis 1898[43].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. « Monographie environnementale - Sainte-Céronne-lès-Mortagne », sur le site officiel de la commune (consulté le ).
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mortagne-au-Perche », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. « Sainte Céronne », sur nominis.cef.fr, Nominis (consulté le ).
    14. Louis Joseph Fret, Antiquités et chroniques percheronnes, ou Recherches sur l'histoire civile…, Mortagne, (lire en ligne), p. 206 et suivantes.
    15. « Ouest-france.fr - Mairie de Sainte-Céronne-lès-Mortagne » (consulté le ).
    16. Louis Joseph Frêt, Antiquités et chroniques percheronnes : ou recherches sur l'histoire civile, religieuse, monumentale, politique et littéraire de l'ancienne province du Perche, et pays limitrophes, Volume I (1838), P 84 et 210, (lire en ligne).
    17. Guérin, Paul (1830-1908), Les petits Bollandistes : vies des saints. T. XIII, Du 28 octobre au 30 novembre : d'après les Bollandistes, le père Giry, Surius, Paris, Bloud et Barral, (lire en ligne).
    18. François Dolbeau, La Vie latine de sainte Céronne, ermite en Normandie / [dans] : Analecta Bollandiana, t. 104, p. 55-78, .
    19. Jean-Davis Desforges, L'histoire d'un site, le Mont-Romigny nécropole mérovingienne du Perche ornais [dans] les Cahiers percherons no 177, Fédération des amis du Perche, .
    20. Philippe Siguret, Histoire du Perche, page 248, Ceton, Fédération des Amis du Perche, , 606 p..
    21. Louis Joseph Frêt, Antiquités et chroniques percheronnes, volume III, P115 et 116, .
    22. Blason offert le 9 juillet 1975 à la commune de Sainte-Céronne par la commune de Corneilhan : « Jumelage avec Corneilhan - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de la commune », sur www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr (consulté le ).
    23. « Ouest-france.fr - Nécrologie: Jean Gautier, maire - Sainte-Céronne-lès-Mortagne » (consulté le ).
    24. « Ouest-france.fr - Raymonde Lizot élue maire - Sainte-Céronne-lès-Mortagne » (consulté le ).
    25. « Municipales 2020 à Sainte-Céronne-lès-Mortagne. Dominique Ragot succède à Raymonde Lizot », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Insee - Commune de Sainte-Céronne-lès-Mortagne (61373) - Dossier complet », sur www.insee.fr (consulté le ).
    30. « L’école écolo » (consulté le ).
    31. « Église », notice no PA00110911, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Maître-autel, tabernacle, retable », notice no PM61000793, base Palissy, ministère français de la Culture.
    33. Fondation du patrimoine, « Eglise sainte-ceronne de sainte-ceronne-les-mortagne | », sur www.fondation-patrimoine.org (consulté le ).
    34. « Chapelle Saint-Marcel - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de la commune », sur www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr (consulté le ).
    35. « Presbytère, mairie actuelle - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de la commune », sur www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr (consulté le ).
    36. « Plessis-Poix - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de la commune », sur www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr (consulté le ).
    37. « Motte féodale », notice no PA00110912, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Rando-guide No 43 du Pays du Perche Ornais, Christian Pytel, S.I.D.T.P. édité par la commune de Sainte-Céronne-lès-Mortagne avec le concours du Conseil général de l'Orne
    39. « Fontaine de l'Orion - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de la commune », sur www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr (consulté le ).
    40. « Fontaine de la Bonne Sainte Céronne - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de la commune », sur www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr (consulté le ).
    41. « Lavoir communal - Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de la commune », sur www.sainte-ceronne-les-mortagne.fr (consulté le ).
    42. Didier Noël "Sur les pas de Saint Benoît-Joseph Labre à Sainte-Céronne-lès-Mortagne"
    43. « Association de sauvegarde du patrimoine de Sainte-Céronne-lès-Mortagne - Site officiel de l'association », sur patrimoine-sainteceronnelesmortagne.reseaudesassociations.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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