Sabarat
Sabarat est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Sabarat | |||||
L'Arize à Sabarat. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Arize Lèze | ||||
Maire Mandat |
Laurent Milhorat 2020-2026 |
||||
Code postal | 09350 | ||||
Code commune | 09253 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sabaratois | ||||
Population municipale |
378 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 06′ 02″ nord, 1° 23′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 265 m Max. 510 m |
||||
Superficie | 9,50 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arize-Lèze | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Ses habitants sont appelés les Sabaratois.
Géographie
Localisation
La commune de Sabarat se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 23 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 24 km de Saint-Girons[3], sous-préfecture, et à 20 km de Lézat-sur-Lèze[4], bureau centralisateur du canton d'Arize-Lèze dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pamiers[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Les Bordes-sur-Arize (1,6 km), Le Mas-d'Azil (3,1 km), Castéras (3,4 km), Gabre (3,6 km), Lanoux (3,7 km), Pailhès (4,4 km), Campagne-sur-Arize (5,2 km), Carla-Bayle (5,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Sabarat fait partie du Pédaguès, ou Podaguès, ancienne appellation remplacée au XXIe siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois[6], constitué des des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège[7].
Sabarat est limitrophe de six autres communes.
Relief, hydrographie et hameaux
Le bourg se développe de part et d'autre de l'Arize, au niveau d’un méandre de cette rivière venant de traverser le massif calcaire du Plantaurel.
Sur la rive gauche de l'Arize se trouve le noyau ancien du village ; un noyau plus récent, sur la rive droite, s'est formé autour du carrefour de la D 119 avec la D 628.
La superficie de la commune est de 950 hectares ; son altitude varie de 265 à 510 mètres[9].
Climat
|
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15],[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Mas-d'Azil », sur la commune du Mas-d'Azil, mise en service en 1971[17]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[18],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 913,3 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 24 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].
Urbanisme
Typologie
Sabarat est une commune rurale[Note 4],[24]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,2 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), forêts (21,4 %), terres arables (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Transports en commun : Navette Mûnoz, du Mas d’Azil à Montesquieu-Volvestre rejoignant les lignes régulières de transport interurbain réseau Arc-en-ciel de Montesquieu-Volvestre à Toulouse.
Histoire
Existence d'un dolmen au Peyré. Découvertes en ce lieu de haches polies, de ciseaux, de couteaux polis, de meules, de percuteurs, de burins, de grattoirs. Découverte de « la cachette du Peyré » contenant boucles, rouelles, tubes en spirale et des objets en bronze indéterminés.
Le , les habitants incendièrent le village et, à l'approche du maréchal du Thémines, se réfugièrent au Mas-d’Azil. L'église fut détruite (on signale qu'en 1623 se trouvait encore un cloître, en l'emplacement de l’église actuelle). L'église fut reconstruite et la date de 1688 gravée sur le portail marque certainement l'achèvement de la remise en état des lieux.
L’église fut dès lors dédiée à sainte Anne, elle était auparavant dédiée à sainte Marie.
Une ligne de chemin de fer à voie métrique de Toulouse à Sabarat dite le Tacot de la Lèze, exploitée par les Chemins de fer du Sud-Ouest, a fonctionné de 1911 à 1938. Elle y était en interconnexion avec la ligne de Carbonne au Mas-d'Azil dite le Tacot du Volvestre qui a desservi la commune également de 1911 à 1938.
Héraldique
Blason | D'or, à sept sabres de gueules posés en pal et rangés en orle. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[30],[31].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes Arize Lèze et du canton des Portes d'Ariège (avant le redécoupage départemental de 2014, Les Bordes-sur-Arize faisait partie de l'ex-canton du Mas-d'Azil) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de l'Arize.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2018, la commune comptait 378 habitants[Note 5], en augmentation de 13,51 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[36] | 1975[36] | 1982[36] | 1990[36] | 1999[36] | 2006[37] | 2009[38] | 2013[39] |
Rang de la commune dans le département | 337 | 318 | 279 | 260 | 249 | 238 | 244 | 228 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Économie
Commerces : Vente de carrelages.
Principales entreprises : entreprise de maçonnerie, entreprise de transport, exploitations agricoles (dix-sept fermes sont disséminées sur les coteaux environnants), menuiseries, carrosserie.
Enseignement
Sabarat fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal avec la commune des Bordes-sur-Arize pour l'école primaire.
Culture et festivités
Principales associations : Comité des fêtes, foyer rural, observatoire, bibliothèque.
Culte
Culte : catholicisme et protestantisme.
Culture locale et patrimoine
- Église Sainte-Anne, clocher inscrit aux Monuments historiques en 1944[40].
- Temple de l'Église protestante unie de France de Sabarat.
- Église Sainte-Anne (façade).
- Chevet de l'église Sainte-Anne.
- Le clocher-mur de l'église.
- Les cloches.
- Église - Ensemble nord-est - Sabarat - Médiathèque de l'architecture et du patrimoine - Une autre église ?
- Vue intérieure de la nef, vers le chœur. Photographe Séraphin-Médéric Mieusement (1840–1905).
- Façade ouest.
- Sur la rive gauche de l’Arize, au plan semblable à celui des bastides on remarque des maisons à colombages construites en encorbellement, de vastes demeures de maîtres, un mail au bout duquel se trouve le temple, une fontaine imposante au fond de la promenade de l'Ario.
- Un solide pont en pierre enjambe l'Arize où viennent se refléter les façades anciennes qui la surplombent
- Un peu plus loin, à l'ouest du village, rive gauche se trouve un temple protestant datant certainement de la fin du XVIIIe siècle.
- Le dolmen du Peyré. Selon une tradition locale, il était habité par une sorcière nommée Matèbe. Elle allait au sabbat dans un champ tout proche, le Prat des Gats (Pré des Chats), à minuit et elle y rencontrait d'autres sorcières[41].
- L'Observatoire astronomique, dont le fondateur est le pasteur Richardot. Depuis son inauguration en , l'observatoire astronomique accueille groupes pour soirées d'observations, stagiaires, élèves allant des classes primaires à l'université, grand public.
- Coupole jaune de l'observatoire de Sabarat (Ariège) Soleil de la maquette sur 20 km.
- Pont sur l'Arize.
- L'entrée du village.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Jacques Pouech, chanoine titulaire de la cathédrale de Pamiers est né à Sabarat en 1814 et mort en 1892. Auteur de nombreux travaux sur les principaux saints du diocèse, il fut surtout connu comme géologue et paléontologue. Il a laissé une collection[42] (ossements, poteries, colliers, monnaies, pistolets du temps de Louis XIII) malheureusement quelquefois en partie perdue et de nombreux écrits non publiés. Elle a été présentée lors du colloque organisé à Pamiers pour le centenaire de la mort du chanoine les 16 et . Pour ce centenaire, la place du village a été dénommée place du Chanoine-Pouech.
Voir aussi
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune de Sabarat », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sabarat et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sabarat et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Sabarat et Lézat-sur-Lèze », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Sabarat », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Conseil général de l'Ariège, « Atlas des paysages d'Ariège-Pyrénées », sur calameo.com, (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 350-351.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Mas-d'Azil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sabarat et Le Mas-d'Azil », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Le Mas-d'Azil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sabarat et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Olivier de Marliave, « Les roches à légendes d'Ariège... sur les pas de Joseph Vézian », dans Société des amis du Musée pyrénéen, Pyrénées : organe officiel du Musée pyrénéen du Château-fort de Lourdes, de la Fédération franco-espagnole des sociétés pyrénéistes, du G.P.H.M. / Société des amis du Musée pyrénéen, (lire en ligne), p. 254
- E. D., « La collection Pouech va sortir de l'oubli », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
- Portail des communes de France
- Portail des Pyrénées
- Portail de l’Ariège