Roquecourbe
Roquecourbe est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.
Roquecourbe | |||||
Mairie de Roquecourbe. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn | ||||
Arrondissement | Castres | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux | ||||
Maire Mandat |
Michel Petit 2020-2026 |
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Code postal | 81210 | ||||
Code commune | 81227 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Roquecourbains, Roquecourbaines | ||||
Population municipale |
2 202 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 132 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 39′ 55″ nord, 2° 17′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 202 m Max. 409 m |
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Superficie | 16,7 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Castres (banlieue) |
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Aire d'attraction | Castres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Castres-2 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.roquecourbe.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Roquecourbains et les Roquecourbaines.
Géographie
Localisation
Commune de l'aire urbaine de Castres située dans son unité urbaine, à 8,5 kilomètres au nord-est de la ville de Castres[1] sur les bords de l'Agout dans le Sidobre, Roquecourbe est un village faisant partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Communes limitrophes
Roquecourbe est limitrophe de six autres communes.
Voies de communication et transports
La desserte de la commune est assurée par des lignes régulières du réseau régional liO : les lignes 763 et 766 les relient à la gare de Castres et à Lacaune ; la ligne 764 la relie à gare de Castres et à Montredon-Labessonnié[3].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[4].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Burlats », sur la commune de Burlats, mise en service en 1980[9]et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 918,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 32 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[13] à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Roquecourbe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Castres, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[18] et 56 755 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,1 %), forêts (25 %), prairies (7,5 %), terres arables (6,7 %), zones urbanisées (5,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Rupecurva en 1271[24].
Roquecourbe, doit son nom à un rocher (rupe) dominant un méandre (curva) de l'Agout.
Histoire
Les fouilles Sainte-Juliane
Ces lieux sont fréquentés depuis plus de 7 000 ans.
Juliane est formée de deux syllabes :
- YULL : d'origine nordique, signifiant renaissance de la lumière[réf. nécessaire] ;
- ANE : mère de tous les Dieux Celtes et grand-mère de Jésus[réf. nécessaire].
Ce site historique exceptionnel est l'origine de la ville de Roquecourbe.
Les Celtes tiraient les sources de leur savoir des Pays du Nord. Cette montagne sacrée, à la fois lieu de culte et lieu funéraire, fut occupée successivement par les Celtes (Ve au IIe siècle av. J.-C.), les Visigoths (vers le Ve siècle apr. J.-C.) et les cathares ou Albigeois (XIIIe siècle).
C'est sur ce plateau perché à 315 m d'altitude, formé par la roche dont la sinuosité a donné le nom à la ville (Roquecourbe), à l'endroit appelé de nos jours Sainte-Juliane, que s'élevèrent les premières maisons de Roquecourbe. Une église paroissiale fut bâtie sur ce monticule élevé et dédié à sainte Juliane qui semble être Julienne de Nicomédie, vierge et martyre du IIIe siècle dont on célèbre la fête le . Sainte-Juliane a été détruite à l'époque de la croisade contre les Albigeois vers 1210 sous le règne des Montfort installés à Roquecourbe, dans le but d'exterminer ce nid d'hérétiques, les cathares. Cette église a été reconstruite puisqu'en 1231 elle appartenait à l'évêque d'Albi et lors des premières années de la Réforme, elle a servi de temple aux protestants, avant que ceux-ci ne possèdent un autre lieu de culte.
En 1950, un sarcophage est découvert lors du labourage du champ, les fouilles commencent en 1953 et finissent en 1976.
Le site est accessible, le chemin pour y arriver est balisé en jaune, vous pourrez admirer les cuves, gradins, sarcophages, les vestiges de l'église...
Le village
La présence de la rivière (l'Agout) fut primordiale pour l'implantation du village.
Fin du XIIe siècle, Roger II de Trencavel, époux d'Adelaïde de Burlats possède la seigneurie de Roquecourbe. À sa mort (assassiné lors de la prise de Carcassonne par Simon de Montfort), la Seigneurie est récupéré par la famille Montfort en la personne de GUY, son frère. Surnommé le bourreau des Albigeois, il demanda la destruction du lieu de Culte de Sainte Julianne en 1210. À sa mort, son fils Philippe Ier fera construire le château, les deux rives étant reliées les habitants s'installèrent sur la rive droite de l'Agout.
En 1433, Jacques II d'Armagnac, né au château de Jacques II d'Armagnac, est plus connu sous le nom du Duc de Nemours. Il sera condamné à mort et décapité sous les ordres de Louis XI pour conspiration. En 1476, Boffile le Juge, le grand chambellan du Roi, occupe le château, il y demeurera jusqu'à sa mort en 1502. Durant les guerres de religion, le château est en partie détruit et en 1621 une partie des ruines serviront à la construction du quartier de la Rue des Barris. Au XVe siècle, Roquecourbe était ceinturé de remparts, on y pénétrait par 3 portes précédées de pont-levis. Ces 3 portes, étaient fermées à clef à la nuit, par les Consuls du village.
Fin du XIIe siècle, Roger II de Trencavel, époux d'Adélaide de Burlats, possède la seigneurie de Roquecourbe. Il est assassiné lors de la prise de Carcassonne par Simon de Montfort.
Le village va peu à peu prospérer notamment grâce au développement, à partir du XIXe siècle de l’industrie textile. Les années 1990 et 2000 voient le déclin inéluctable de cette industrie qui était jusqu’alors l’activité essentielle de la cité.
Héraldique
Blason | D'azur au rocher recourbé d'argent mouvant de la pointe, surmonté de trois fleurs de lys d'or mal ordonnées. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Élection présidentielle de 2002
Au premier tour, les résultats sont les suivants : Jacques Chirac avec 19,80 %, Jean-Marie Le Pen avec 19,33 %, Lionel Jospin avec 14,32 %, Jean Saint-Josse avec 7,82 %, Arlette Laguiller avec 7,51 %, avec Olivier Besancenot avec 5,32 %, François Bayrou avec 4,07 % et Jean-Pierre Chevènement avec 4,07 %. Les autres candidats à l'élection n'ont pas dépassé les 4 %. Le taux de participation est de 80,96 %.
Au second tour, Jacques Chirac a 78,84 % des voix et Jean-Marie Le Pen a 21,16 %. Le taux de participation est de 87,08 %.
Élection présidentielle de 2007
Au premier tour, Nicolas Sarkozy est en tête avec 24,09 %, suivi de François Bayrou avec 23,96 % (seulement deux voix les séparent). Ségolène Royal a 23,06 %, suivi de Jean-Marie Le Pen avec 14,22 %. Au niveau des "petits" candidats, Olivier Besancenot a 4,61 %, Philippe de Villiers a 2,63 %. Les autres candidats ne dépassent pas la barre des 2 % (c'est-à-dire un peu moins de 30 votes). Le taux de participation dépasse les 90 %, exactement, il est à 90,08 %
Au second tour, Nicolas Sarkozy a 50,92 % des voix et Ségolène Royal a 49,08 %. Le taux de participation est de 88,73 %.
Élection présidentielle de 2012
Au premier tour, François Hollande est arrivé en tête avec 27,11 %, suivi de Marine Le Pen avec 24,10 %, Nicolas Sarkozy avec 22,80 %, de Jean-Luc Mélenchon avec 10,65 % et de François Bayrou avec 10,25 %. Les autres candidats ne dépassent pas les 2 %. 3 % sont des votes blancs ou nuls. La participation au premier tour est de 88,96 %.
Au second tour, François Hollande a 52,80 % des voix et Nicolas Sarkozy a 47,20 %. Les votes blancs et nuls s'élèvent à 8,98 %. Le taux de participation est de 88,51 %.
Au fil des élections présidentielles, la tendance des électeurs de Roquecourbe correspond à la tendance nationale, au premier comme au second tour, à quelques exceptions près.
Primaire de la droite
Roquecourbe a un bureau de vote lors de la primaire de la droite, à l'automne 2016.
Primaire de la gauche
Les sympathisants de gauche sont allés voter à Castres. Roquecourbe ne disposait pas de bureau de vote.
Parrainage du maire de Roquecourbe
Le maire de Roquecourbe (divers droite), en 2012 comme en 2017, a parrainé à l'élection présidentielle, le candidat Nicolas Dupont-Aignan.
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26]. En 2018, la commune comptait 2 202 habitants[Note 5], en diminution de 4,51 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Économie
Les acteurs économiques du village :
- Un bar / snackbar
- Un restaurant
- Deux boulangers
- Un camion pizza
- Trois salons de coiffure
- Une épicerie
- Une boucherie
- Un taxi
- Une couturière
- Un salon d'esthéticienne
- Un bureau de tabac
- Un garage
- Un carrossier
- Une station essence
- Deux banques
- Une fleuriste
- Des maçons, des plaquistes, des électriciens, des plombiers...
Lieux et monuments
- Église Saint-François de Roquecourbe.
- Temple protestant de Roquecourbe.
Centre-ville
Il est composé de la place de la mairie et de couverts, de ruelles aux maisons à pans de bous et encorbellement. Une intéressante scène de chasse est représentée sur une poutre en bois de l'une des maisons de la place. Elle représente un cerf poursuivi par des chiens, qui serait venu se réfugier dans les fossés qui entouraient le village. La fontaine d'eau ferrugineuse est située sur les allées de Siloë, avant la montée au rocher de la « Coqueluche » qui permet une vue globale. La pêche est pratiquée sur le parcours de Couade et de nuit au cœur du village.
Sainte-Juliane
Ce site est à l'origine du village de Roquecourbe. Il comprend gradins et cuves, sarcophages et ruines d'église témoignent du passage successif des Celtes, des Cathares et des différentes religions chrétiennes. Prendre au départ de Roquecourbe la direction de Lacrouzette, puis aux dernières maisons, suivre à pied, pendant 800 mètres, le chemin sur la gauche (accès balisé).
Proche de Roquecourbe
à 7 km, Burlats et la pavillon d’Adélaïde ;
à 7,5 km, Lacrouzette et le début du massif granitique du Sidobre ;
à 9,5 km, Castres, sous-préfecture du Tarn ;
à 38 km, Albi, préfecture du Tarn, avec la cathédrale Sainte-Cécile classée à l'UNESCO.
Vie pratique
Logement
- Chambres d'hôtes dans le village
- Camping Municipal
Santé
- Médecins
- Infirmières
- Kinés
- Pharmacie
- Orthophoniste
- Maison de santé
Service public
- La mairie.
- Le Trésor public.
- La gendarmerie.
Enseignement
- Une crèche « ma bulle »
- Une maternelle publique
- Une école publique (Alice Marc-Manöel)
- Une école privée (Saint-François)
Culture
- La vie associative
- bibliothèque municipale
Activités sportives
- Les clubs sportifs (football, basketball, tennis, volleyball, judo, boxe...).
Personnalités liées à la commune
- Émile Combes, homme politique français, Président du Conseil, né le à Roquecourbe.
- Raoul Salan, général français, né le à Roquecourbe.
- Marc David Lasource, Roquecourbain d'adoption dès 1787 par ses fonctions de pasteur. Député du Tarn, il siège à l'Assemblée Nationale, secrétaire des girondins (abolition de la royauté et instauration de la République). Il est condamné à mort.
- Jean-Louis Alibert, poète occitan, il s'installe à Roquecourbe où il fut précepteur, instituteur, secrétaire de la mairie, adjoint au maire. Il saura traduire son attachement pour son village, par des poésies hautes en couleur et parfois satiriques.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Notes de type "Carte"
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Infos, distance et photos de Roquecourbe et Castres », sur www.voldoiseau.com (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station météofrance Burlats - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Roquecourbe et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Site du syndicat d’initiative
- Roquecourbe sur le site de l'Institut géographique national
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