Burlats

Burlats est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Burlats

Pavillon d'Adélaide.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux
Maire
Mandat
Serge Sérieys
2020-2026
Code postal 81100
Code commune 81042
Démographie
Gentilé Burlacquois, Burlacquoises
Population
municipale
2 092 hab. (2018 )
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 38′ 15″ nord, 2° 19′ 06″ est
Altitude 195 m
Min. 176 m
Max. 682 m
Superficie 32,62 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Castres
(banlieue)
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Castres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Burlats
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Burlats
Géolocalisation sur la carte : France
Burlats
Géolocalisation sur la carte : France
Burlats
Liens
Site web burlats.com

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine de Castres située dans de son unité urbaine sur le Lignon, au nord-est de la ville de Castres.

    Elle fait partie de la Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux.

    Carte.

    Communes limitrophes

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par plusieurs lignes régulières du réseau régional liO : la ligne 763 la relie à Castres et à Lacaune ; la ligne 764 la relie à Castres et à Montredon-Labessonnié ; la ligne 766 la relie à Castres et à Lacaune.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 006 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1980 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records BURLATS (81) - alt : 222m, lat : 43°38'12"N, lon : 02°16'30"E
    Records établis sur la période du 01-08-1980 au 31-12-2016
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,8 2,2 4 6,2 10,1 13,1 15,2 15,1 12,1 9,8 5,4 2,6 8,2
    Température moyenne (°C) 6 7 9,6 12 16 19,4 22,1 22 18,7 15,1 9,6 6,6 13,7
    Température maximale moyenne (°C) 10,1 11,7 15,2 17,9 21,9 25,6 29 28,9 25,4 20,3 13,9 10,6 19,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −19,8
    09.01.1985
    −12,9
    12.02.12
    −9,4
    01.03.05
    −3,4
    04.04.1996
    0,5
    06.05.1985
    3
    01.06.06
    6,5
    05.07.1984
    5,1
    30.08.1986
    3,1
    26.09.02
    −2,7
    25.10.03
    −9,4
    23.11.1988
    −10,1
    26.12.10
    −19,8
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    21,2
    29.01.02
    25,1
    28.02.1997
    29,3
    24.03.01
    32
    30.04.05
    35,4
    17.05.06
    39,4
    21.06.03
    41,7
    25.07.06
    43
    05.08.03
    38,3
    03.09.05
    33
    02.10.11
    27,8
    07.11.15
    23,5
    15.12.1989
    43
    2003
    Ensoleillement (h) 66,4 87,3 140,5 176,2 207 216,6 221,3 224,6 179,2 121,1 70,6 56,6 1 767,3
    Précipitations (mm) 79 67,5 67,3 103 95,6 72,7 45,5 66,9 70,7 83,9 83,5 82,9 918,5
    Source : « Fiche 81042001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/06/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Burlats est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Castres, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[10] et 56 755 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), prairies (4,3 %), zones urbanisées (3,9 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Héraldique

    Son blasonnement est : De gueules au lion d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1861 1887 Jean-Louis Combes   Manufacturier
    Conseiller général du canton de Roquecourbe (1863 → 1870 puis 1871 → 1887)
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1971 mars 1977 Gilbert Thermonir    
    mars 1977 juin 1995 Gaston Bousquet    
    juin 1995 janvier 2012[16]
    (démission)
    Jean-Marie Fabre[17] DVG Pilote de chasse retraité
    Conseiller général du canton de Roquecourbe (1998 → 2015)
    Président de la CC Sidobre Val d'Agout (2001 → 2016)
    14 janvier 2012 En cours Serge Sérieys[18] DVD Ancien fonctionnaire de police
    Conseiller départemental du canton de Castres-2 (2018 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20]. En 2018, la commune comptait 2 092 habitants[Note 4], en augmentation de 4,7 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1921 1029951 4231 4981 5421 6341 7401 765
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7031 7001 7941 8321 9021 8891 9401 8521 695
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6091 5891 5761 3031 2621 1071 0611 0471 151
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 1631 1411 1761 3131 6701 8291 8441 9022 124
    2018 - - - - - - - -
    2 092--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Église Saint-Pierre de Burlats

    Lieux et monuments

    Pavillon d'Adélaïde du prieuré de Burlats

    Cette maison romane du XIIe siècle, probablement jamais habitée par la vicomtesse d'Albi, est remarquable par ces cinq grandes fenêtres au second étage qui éclairent une pièce unique. Ses faces sud et nord mesurent respectivement 15,30 m et 15 m pour une largeur de 8,40 m.

    À l'origine, le bâtiment a trois niveaux : le premier est entièrement aveugle, le deuxième a de petites ouvertures devant servir à la défense de la maison et le troisième, probablement celui de l'habitat, est aveugle des côtés est et nord d'où soufflent les vents les plus froids mais comporte quatre baies au sud et une à l'ouest[23].

    Maison d'Adam

    C'est une maison du XIIe siècle, remarquable pour sa façade sur l'Agout. Peut-être est-elle une ancienne dépendance du prieuré. Son nom vient d'un chapiteau d'une fenêtre. Malgré son classement en 1927, cette fenêtre est vendue et démontée en 1935[24].

    Ancienne collégiale Saint-Pierre

    Les ruines de l'ancienne église collégiale, les façades et toitures de la maison dite maison d'Adélaïde avec ses fenêtres romanes et façade sur la rivière de la maison dite maison d'Adam ont été classées au titre des monuments historiques en 1981[25].

    Les parties non classées subsistant des bâtiments conventuels ont été inscrites au titre des monuments historiques en 1981[25].

    L'abbaye de Castres a fondé un prieuré à Burlats, mentionné une première fois en 973 date à laquelle elle reçoit un legs de Garsinde, comtesse de Toulouse et d'Albigeois. Puis dans une bulle de Calixte II. Quand l'abbatiale de Castres devient cathédrale, en 1317, les moines se constituent en chapitre et demandent leur sécularisation. L'église Saint-Pierre devient collégiale le 22 février 1318. L'église est détruite pendant les guerres de religion. Le chapitre de Burlats est autorisé par l'évêque et le parlement de Toulouse à s'installer à Lautrec. On essaie de restaurer une chapelle de l'église pendant le règne de Louis XIII, en 1613, mais elle est une nouvelle fois mise à sac par les troupes protestantes du duc de Rohan, en 1622. Un incendie se produit en 1625. La paix revenue, l'évêque demande aux chanoines de réintégrer leur collégiale, mais ils s'y refusent devant l'état de l'église. Une enquête de 1642 confirme l'état de ruine de l'église. Le collatéral nord est alors restauré. Le chapitre revient à Burlats en 1656 mais obtient du roi le droit de se réinstaller à Lautrec en 1659 où il reste jusqu'à sa dissolution en 1790. La commune rachète les parties ruinées de l'église en 1835 et présente un projet de restauration en 1837. L'église est utilisée jusqu'en 1844. Elle est classée Monument historique en 1845. La commune envisage alors de reconstruire l'église mais les crédits manquant, elle n'est que consolidée à partir de 1897[25],[26].

    Tour de la Vistoure

    La tour de la Vistoure est une des quatre portes de ville de l'enceinte, datant du XIVe siècle[27].

    Châteaux

    Le château de Burlats date du XVIIe siècle mais conserve une tour du XIVe siècle.

    Le château du Carla date du XIXe siècle.

    Rocher à cupules monumental « Le grain de Campsoleil »

    Le rocher à cupules « Le grain de Campsoleil » a été trouvé près du village de Lafontasse. Il a d'abord été transporté sur un parking pour servir de borne de protection devant l'entrée d'une entreprise jusqu'à ce que Jean Bonnet, président de l'Association archéologique des mégalithes Brassac-Sidobre (AAMBS) l'y découvre en décembre 2009. En juin 2011, il est décidé de la sauvegarder et de le mettre en valeur dans l'ancienne nef de la collégiale Saint-Pierre de Burlats, près de la mairie, avec l'accord du maire, Jean-Marie Fabre, de la municipalité, de l'architecte des bâtiments de France et la participation de M. Alain Rodrigue, président du Comité départemental d'archéologie du Tarn (CDAT).

    Ce rocher est une boule de granit dans lequel ont été gravées 25 cupules circulaires de 1,5 cm à 4,5 cm de diamètre pour une profondeur d'environ 1,5 cm. Leurs formes semblent montrer qu'elles ont été gravées avec un outil métallique, donc pas avant l'Âge des Métaux. Elles ont été gravées tout autour du rocher. Leur fonction ne peut être précisée : repères géographiques ou signes symboliques.

    Le poids de ce rocher est d'environ 3 tonnes.

    Hauteur : 1,57 m
    Diamètre : 1,18 m
    Circonférence : 3,65 m[28],[29].

    Personnalités liées à la commune

    Vie pratique

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jean Cabanot, Burlats, pp. 191–207, dans Congrès archéologique de France. 140e session. Albigeois. 1982, Société Française d'Archéologie, Paris, 1985
    • Marcel Durliat, Haut-Languedoc roman, pp. 263–270, Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" n°49), La Pierre-Qui-Vire, 1978

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Castres », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. « Burlats. "Je quitte mon poste de maire car je n'aime pas tricher" », La Dépêche, (lire en ligne).
    17. Site de l'Association des maires du Tarn (consulté le 15 juillet 2010)
    18. « Serge Serieys : "La continuité" », La Dépêche, (lire en ligne).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. Ville de Burlats : Pavillon d'Adélaïdewww.burlats.net
    24. Ville de Burlats : Maison d'Adamwww.burlats.net
    25. Notice no PA00095491, base Mérimée, ministère français de la Culture : Prieuré (ancien)
    26. Ville de Burlats : collégiale Saint-Pierrewww.burlats.net
    27. Notice no PA00095492, base Mérimée, ministère français de la Culture : Tour de la Vistoure
    28. Voir panneau d'information à côté du rocher.
    29. Michel Payrastre, Henri Prat, Christian Servelle, « Le grain de Campsoleil », boule granitique à cupules (Burlats, Tarn), dans Archéologie tarnaise, no 15, Comité départemental d'archéologie du Tarn, (ISBN 978-2-918190-13-4).
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