Pierrecourt (Seine-Maritime)

Pierrecourt est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Pierrecourt.

Pierrecourt

Église Saint-Pierre.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Jean-Paul Morel
2020-2026
Code postal 76340
Code commune 76500
Démographie
Gentilé Pierrecourtais, Pierrecourtaises
Population
municipale
477 hab. (2018 )
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 50″ nord, 1° 39′ 36″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 216 m
Superficie 9,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blangy-sur-Bresle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Pierrecourt
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Pierrecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Pierrecourt
Géolocalisation sur la carte : France
Pierrecourt

    Géographie

    Localisation

    À une trentaine de kilomètres au sud-ouest d'Abbeville, le village est proche de l'autoroute A28 et de la route départementale 928.

    Par la route, Amiens est à une soixantaine de kilomètres à l'est, en passant par Airaines.

    La commune est limitée au nord-ouest par la Haute Forêt d'Eu, qui s'y étend sur 250 ha[1].

    Hydrographie

    La Fontaine Saint-Pierre, affluent de la Bresle, prend sa source dans la commune[1].

    Hameaux et écarts

    La commune est constituée du village et de 10 hameaux[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 740 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oisemont_sapc », sur la commune d'Oisemont, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 786,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 26 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Pierrecourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,2 %), forêts (28,9 %), prairies (28,1 %), zones urbanisées (3,8 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes de Petracurt, de Petricuria et de Petrocuria au XIIe siècle et en 1215[22]; de Petricuria fin du XIIe siècle; de Pierrecort en 1198; « In territorio ville mee que dicitur Petricuria » en 1232; « In decima tocius parrochie de Petricuria » en 1237; Parrochianorum Petricurie en 1238; Petricurt en 1225[23]; Ecclesia de Petri Curia vers 1240; de Pierrecourt en 1319; Petricuria en 1337; Terre de Pierrecourt en 1376[24]; A Pierrecourt en 1415[25]; Pierrecourt en 1431 (Longnon); En la paroisse et fief de Pierrecourt en 1503 et en 1538[26]; Petricuria au XVIe siècle; Saint Pierre de Pierrecourt en 1716[27]; Garderie de Pierrecourt en 1768; Pierrecourt en 1715 (Frémont); Pierrecour en 1757 (Cassini); Pierrecourt en 1953[28].

    Histoire

    Pierrecourt faisait partie du comté d'Eu.

    Un château fort datant vraisemblablement du XIe siècle avec motte féodale et pont levis se trouvait dans le village. Sa tour d'angle hexagonale sud en brique du XVIIe siècle, qui en était le dernier vestige, a été détruite à la fin du XXe siècle[29].

    La partie gauche à dextre du blason de Pierrecourt évoque trois familles féodales apparentées qui en ont été seigneurs : la maison capétienne de Dreux (cf. Châteauneuf ; avec notamment Louis Perceval , † après 1493, et son frère Gauvain, † 1508, représentés par l'hermine de leurs cousins de Dreux-Bretagne) ; les de Mouy ou de Moÿ (De gueules fretté d'or : Charlotte de Dreux, † vers 1551, petite-fille de Gauvain, ayant épousé le vice-amiral de France Charles de Mouy de La Mailleraye, † 1562) ; les Le Conte de Nonant (d'azur au chevron d'or accompagné de trois besants du même : Françoise d'Anquetil de St-Vaast, arrière-petite-fille de Charles de Mouy et Charlotte de Dreux, ayant épousé Félix Leconte de Nonant)[30].

    En 1592, le , lors du Combat d'Aumale, Henri IV (en fait son lieutenant Biron, le roi étant occupé au siège de Rouen) perd 200 arquebusiers à cheval sur l'un des vignobles situé face à la mairie[1].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Blangy-sur-Bresle[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton d'Eu.

    Intercommununalité

    La commune était membre de la petite communauté de communes de Blangy-sur-Bresle, créée en 2001.

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrivant, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, cette intercommunalité est amenée à fusionner avec canton d'Aumale.

    C'est ainsi qu'est créée le la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle[32], dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1923 1944[Note 7] André Genty[34] PAPF Agriculteur-éleveur
    Conseiller d'arrondissement de Neufchâtel-en-Bray (1928 → ?)
    Député de Seine-Inférieure (1936 → 1942)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1990[35] juillet 2020 Gilbert Sellier   Cultivateur
    Membre du bureau de la CC de Blangy-sur-Bresle (2014 → 2016)
    juillet 2020[36],[37] En cours
    (au 10 août 2020)
    Jean-Paul Morel    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2018, la commune comptait 477 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    541520631679813758896806823
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    837829844816808751729709698
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    685710678654639565565530575
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    570504480460422455456484471
    2018 - - - - - - - -
    477--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est située en zone B pour les vacances scolaires, dans l'académie de Rouen[41]

    L'école publique de Pierrecourt comptait deux classes pour 28 élèves à la rentrée 2017.

    À la rentrée 2018, les écoles de Nesle-Normandeuse (trois classes :25 élèves en maternelle, 16 élèves en CP-CE1 et 15 élèves en CE1-CE2) et Pierrecourt (une classe de CM1-CM2, 19 élèves) se regroupent pour une gestion commune de leurs établissements d'enseignement primaire. Chacune des deux communes offre les services d'une cantine pour limiter les déplacements du milieu de journée[42],[43],[44].

    Manifestations culturelles et festivités

    La 21e fête de la fraise de Pierrecourt a eu lieu du 18 au [45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le village compte de nombreuses fermes des XVIIIe et XIXe siècles[46].
    • Église Saint-Pierre, des XVIe et XVIIe siècles[47]. Elle contient un tableau du Christ remettant les clefs à saint Pierre du XVIIe siècle, initialement exposé sur le retable et désormais situé sur le mur nord de l'église[48].
    • Christ en croix, croix de chemin en béton érigée en 1938 au lieu-dit l'Échauffard[49].

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Lunis (1923-2008), athlète français, médaillé d'argent aux Jeux olympiques de Londres et champion d'Europe, y est né.

    Héraldique

    Les armes de la commune de Pierrecourt se blasonnent ainsi :

    Parti: au 1er mi-parti d’hermine au chef de gueules fretté d’or, sur le tout d’azur au chevron accompagné en chef de deux besants et en pointe de quatre posés en fasce, le tout d’or, au 2e d’azur au chevron d’or accompagné de trois étoiles d’argent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Compte tenu de son vote accordant les pouvoirs constituants au maréchal Pétain du 10 juillet 1940, « considérant qu'il n'est pas établi que l'intéressé ait accompli des actes impliquant une participation à la lutte contre l'ennemi », le Jury d'honneur confirme son inéligibilité, ne lui permettant pas d'être candidat aux élections municipales de 1945 (Dictionnaire des parlementaires français de 1940 à 1958, La Documentation française
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Pierrecourt », sur http://www.cc-blangysurbresle.fr (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Oisemont_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Pierrecourt et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Oisemont_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Pierrecourt et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Blangy-sur-Bresle », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Archives de Seine-Maritime 8 H.
    23. Bib. Rouen ms 1224 f. 139 v.
    24. Archives de Seine-Maritime B Echiq. t. 2, p. 102 v.
    25. Archives de Seine-Maritime 8 H 66, 294.
    26. Archives de Chantilly — G. C. cart. 1 — Aveu du comté d'Aumale.
    27. Archives de Seine-Maritime G. 4, 740.
    28. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 772.
    29. « Château fort », notice no IA00057388, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Le Conte de Nonant : Pierrecourt ou Piercour, p. 227 », sur Annuaire de la pairie et de la noblesse de France, par André Borel d'Hauterive, 1848.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Arrêté interpréfectoral du 29 novembre 2016 portant création de la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle [PDF].
    33. « Les maires de Pierrecourt », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    34. « André Genty (1887-1969) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
    35. Blandine Thoreux, « Qu’envisagent les maires sortants du canton ? : À deux mois du premier tour des élections municipales, nous sommes allés à la rencontre des maires sortants du canton et leur avons demandé s'ils seraient de nouveau candidats », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne, consulté le ) « D’abord conseiller municipal en 1977, puis adjoint en 1983, Gilbert Sellier a été élu maire de Pierrecourt en 1990. Aujourd’hui âgé de 64 ans, il briguera un nouveau mandat lors des prochaines élections ».
    36. « Seine-Maritime : la liste d’opposition au maire intégralement élue à Pierrecourt : Coup de théâtre ce 28 juin 2020 à Pierrecourt ! La liste d’opposition d’Alain Boinet intégralement élue au second tour, l’équipe du maire sortant Gilbert Sellier n’a aucun siège », L'Éclaireur du Vimeu, « Après avoir consacré quarante-trois ans de sa vie à la commune, dont trente ans en tant que maire, Gilbert Sellier n’a pas fait l’unanimité auprès de ses concitoyens cette fois, il n’obtient que 127 voix. Aucun siège pour lui et ses colistiers ».
    37. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
    42. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, « Une rentrée avec des classes en moins », , p. 9.
    43. Xavier Togni et A. S., Le Courrier picard, édition Picardie maritime, « Des soucis malgré les difficultés », , p. 10.
    44. « Nesle-Normandeuse et Pierrecourt en regroupement », Le Réveil, édition Bresle - Oise -Somme, no 3771, , p. 37.
    45. Vincent Beny, « Pierrecourt, les 18, 19 et 20 juin. 21e fête de la fraise : Dans le cadre de la 21e fête de la fraise de Pierrecourt, différentes animations seront proposées du 18 au 20 juin », Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
    46. « Maisons et fermes », notice no IA00057386, base Palissy, ministère français de la Culture.
    47. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00057387, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Tableau : le Christ remettant les clefs à saint Pierre », notice no PM76001282, base Palissy, ministère français de la Culture.
    49. « Croix de chemin », notice no IA00057389, base Palissy, ministère français de la Culture.
    • Portail de la Seine-Maritime
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.