Mouvement cécilien

Le mouvement cécilien de réforme ecclésiastique est un mouvement de renouveau de la musique sacrée catholique, tenu au XIXe siècle. Il fut surtout centré en Autriche et en Allemagne, mais reçut une impulsion importante à Ratisbonne. Toutefois le mouvement connut une durée limitée tandis que son influence ne se trouvait que dans les pays germanophones, faute de sa diffusion internationale.

Ne doit pas être confondu avec Académie nationale Sainte-Cécile.

Optique du mouvement cécilien

Il s'agissait d'un mouvement en faveur de la liturgie catholique, qui avait pour but de rétablir une tradition ancienne, contre la tendance du XIXe siècle avec la musique sacrée théâtrale. Il refusait donc les chants liturgiques de Wolfgang Amadeus Mozart, de Joseph Haydn, de Ludwig van Beethoven, avec l'orchestre, quoiqu'ils fussent des compositeurs catholiques. Le mouvement retrouva, dans cette optique, la musique de Giovanni Pierluigi da Palestrina († 1594), dont la composition se caractérisait par le chant polyphonique et a cappella. Sa musique était considérée comme idéale en faveur de la célébration catholique[as 1]. Dans le contexte liturgique, cela signifiait que le rite tridentin d'après le concile de Trente était tout à fait le modèle de ce mouvement[as 2].

Devenue association en 1868, le but de cette organisation était précisé plus tard par Franz Xaver Witt dans la revue Musica sacra[pl 1] :

  1. usage de chant dans la liturgie ;
  2. application de la technique contrapuntique de Palestrina en faveur de nouvelles compositions de chorale ;
  3. essai des instruments à vent pour l'accompagnement ;
  4. pratique des hymnes en langue vulgaire.

Finalement, le quatrième objectif, assez problématique, n'eut pas lieu dans le mouvement cécilien[pl 1], mais sans doute y avait-il des exceptions dans quelques pays[es 1],[1]. Le troisième provoqua un désaccord avec quelques compositeurs catholiques qui n'écrivaient que les pièces a cappella, tels Fortunato Santini, Pietro Alfieri. Or, l'idée de Witt était tout à fait traditionnelle : rétablissement de ces instruments, certainement utilisés dans la musique ancienne[pl 1].

Historique

Origine

L'origine de ce mouvement en Allemagne se trouve, paradoxalement, auprès des protestants, qui appréciaient les œuvres de Giovanni Pierluigi da Palestrina. Il s'agissait de Johann Friedrich Reichardt († 1814), d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann († 1822), d'Anton Friedrich Justus Thibaut († 1840) et de Christian Karl Josias von Bunsen († 1860). Ils faisaient donc exécuter ses pièces dans les salles de concert, étant donné que le latin était interdit dans leurs temples[pl 1].

À la différence de ces protestants, mais bien inspirés, les religieux catholiques voulaient pratiquer, dans leur propre liturgie, ces polyphonies retrouvées, surtout celles de Palestrina[pl 1]. D'abord, en 1816, Caspar Ett († 1847) fit chanter le Miserere de Gregorio Allegri à sa ville Munich. Puis non seulement il composa ses œuvres sous influence des pièces de la Renaissance mais aussi commença à restaurer le chant grégorien[pl 1].

Dans les pays germanophones, le mouvement trouva donc, dans la première moitié du XIXe siècle, ses centres en Autriche et en Bavière, pays qui restaient toujours catholiques. Ensuite, la ville de Ratisbonne devint, au milieu du siècle, son centre principal, car Carl Proske y possédait un grand nombre de manuscrits de la polyphonie, qu'il avait cherchés et acquis en Italie[pl 1]. Ainsi, le prêtre allemand avait effectué, le 22 avril 1835 à Rome, sa transcription de l'Officium Defunctorum de Tomás Luis de Victoria, dans les archives de San Giacomo degli Spagnoli. L'œuvre sera publiée en 1874, dans la seconde série de Musica divina, par Haberl[2]. Cette bibliothèque du père Proske était l'institut fondamental du mouvement[as 3]. De surcroît, il faut souligner le rôle important de ceux qui pratiquaient ce répertoire pour évoluer le mouvement. Ils étaient les Petits Chanteurs (Regensburger Domspatzen) de la cathédrale Saint-Pierre de Ratisbonne, dont l'école avait l'intention de former les enfants dans cet objectif[as 4].

Parmi ses enseignants, Johann Baptist Singenberger[3], originaire de la Suisse, fut envoyé aux États-Unis, à la suite d'une demande de l'archevêque de Milwaukee Johann Martin Henni. En collaboration avec lui, Singenberger fonda à parir de 1871 au Wisconsin une école de musique, ensuite la Société américaine de Sainte-Cécile, enfin créa la revue The Caecilia[as 5]. Il avait pour but de promouvoir un mouvement international et universel[as 6].

Évolution du mouvement

Déjà dans la première moitié du XIXe siècle, le mouvement cécilien devint une force importante, de sorte que la liturgie catholique soit correctement réformée. À partir des années 1840 jusqu'à 1903, il contribua à améliorer la pratique de la musique sacrée catholique et à préparer la réforme liturgique de Pie X[as 7].

Cependant, il fallait attendre l'année 1868 afin que le mouvement soit bien organisé. Cette année-là, l'Association de Sainte-Cécile (Allgemeine Caecilien Verband) fut fondée à Bamberg, par Franz Xaver Witt[4],[pl 1]. Elle était dédiée à sainte Cécile qui est la patronne des organistes, mais plus généralement celle des musiciens[5], avec laquelle l'idée de mouvement pour la musique liturgique était symboliquement exprimée[pl 1]. Witt inaugura la publication des œuvres de la Renaissance. En 1868, il fit sortir la revue Musica sacra par l'association[pl 1],[6], précédée par le journal Fliegende Blätter für Katholischen Kirchen-Musik (1866) [lire en ligne][7].

Dorénavant mais de plus en plus, le mouvement obtint des soutiens officiels. L'année suivante, en 1869, il fut plébiscité par les évêques allemands lors du premier concile œcuménique du Vatican[4]. Puis en 1871, un autre soutien fut octroyé par le Saint-Siège. Il s'agissait d'un privilège de 30 ans pour l'édition de Ratisbonne. Certes, cette dernière, éditée par Franz Xaver Haberl, était un livre de chant monodique, et non polyphonique. Mais avec ce soutien, le livre était en usage au Vatican, à la chapelle Sixtine. À cette époque-là l'origine de cette édition était, par erreur, attribuée à Palestrina, ce qui favorisait le privilège par l'autorité.

D'ailleurs, d'après un document juridique daté du 27 février 1937, qui concernait les accords du Latran, l'association italienne de Sainte-Cécile avait, avec exactitude, fondée le 16 décembre 1870, dont le président avait été nommé par le pape Pie IX . Il n'est pas certain qu'il s'agît d'une fondation liée à l'association de Bamberg ou d'une confirmation de l'association actuelle à Rome depuis 1585.

Mouvement cécilien et grands compositeurs

Le mouvement connaissait toutefois des adversaires parmi les compositeurs célèbres, qui continuaient à composer leurs œuvres religieuses d'après le goût de l'époque. On comptait notamment Giuseppe Verdi, Gioachino Rossini[pl 1],[as 8].

Cependant, il y avait une hésitation, sous influence du mouvement, dans les pièces de Franz Liszt[as 8]. À vrai dire, Liszt était l'un de rares grands compositeurs qui participaient au mouvement cécilien. Or, la plupart de ses pièces étaient quasiment abandonnées, car elles étaient accusées comme profanes par les catholiques ainsi que, par les protestants, comme catholiques et même franc-maçonnerie. Quoi qu'il en soit, Liszt appréciait Franz Witt si profondément qu'en 1873, en faveur de la fondation de l'Académie de musique de Budapest, Witt fut proposé pour le candidat du premier président, par Liszt lui-même qui ne voulait pas accepter ce poste[6].

Un autre compositeur qui s'intéressait était Anton Bruckner[8]. Notamment, sa Messe en mi mineur se caractérise tant de l'usage du contrepoint de Palestrina que des instruments à vent. Si Bruckner n'adhéra jamais à l'association de Sainte-Cécile, il est évident qu'il étudiait en profondeur les œuvres de Palestrina et les recommandations du mouvement cécilien. D'autres œuvres qui concernent sont les Os justi, WAB 30 et Pange lingua, WAB 33[pl 1]. La première pièce était dédiée à Ignaz Traumihler, maître de chapelle de l'abbaye de Saint-Florian où Bruckner était organiste. Ce musicien participait au mouvement cécilien.

La participation de Bruckner peut être, selon un autre point de vue, interprétée dans le contexte différent : Bruckner était capable, exceptionnellement, de combiner la musique de l'époque avec le modèle cécilien. Pour d'autres compositeurs, il s'agissait d'un conflit, à savoir tâche difficile à réaliser[es 2]. Anthony Ruff, théologien bénédictin, aussi considère que les critères céciliens étaient tellement théologiques que la composition était réalisable, à condition que la formation musicale de qualité soit disponible au sein de grands diocèses[es 3].

Concurrence avec l'abbaye de Solesmes

Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, le mouvement connut un rival inattendu. En France, l'ascension de la restauration du chant grégorien était en train de devenir un phénomène, après le congrès pour la restauration du plain-chant et de la musique de l'Église, tenu à Paris en 1860. En ce qui concerne la pratique et la publication de la polyphonie, il n'existait aucune concurrence. Problème, c'était issu de l'édition de Ratisbonne en plain-chant à la main de Franz Xaver Haberl[9], qui devint successeur de Carl Proske à Ratisbonne. En réalité, ce prêtre-musicien qui n'avait pas assez de qualité avait traité l'Édition médicéenne, publiée par le Vatican entre 1614 et 1615, avec un grand nombre de modifications inexplicables [es 4]. Le manque de qualité de cette édition, dite néo-médicéenne, ruinera le fruit du mouvement cécilien au début du XXe siècle, en dépit de nombreuses publications de polyphonie par Haberl, qui étaient appréciées. (Il est vrai que ce dernier effectua la rédaction des œuvres complètes de Palestrina tomes X - XXXIII dont l'édition était chez Breitkopf & Härtel[es 5].) À vrai dire, l'idée d Haberl était loin d'être critique. Dans le cas de l'œuvre incomplète, il n'hésita pas à faire composer ce qui manquait, par exemple pour la publication de Victimæ paschali laudes de Palestrina (Breitkopf, tome XXXII). De sorte que soit pratiquée cette pièce à 8 voix en double-chœur, son collaborateur Haller composa une certaine partie du deuxième chœur, ce qui était assez fréquent au XIXe siècle[10].

Certes, l'association était toujours défendue par le nouveau pape Léon XIII, élu en 1878. Pourtant, toutes les deux éditions, celle de Ratisbonne en notes égales et celle de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes avec le rythme verbal (une rythme libre sans battement)[es 4], déclaraient, en dépit de leur différence importante, qu'il s'agissait du chant authentique composé par saint Grégoire le Grand († 604). Cela provoquait beaucoup de confusion. Si l'édition de Solesmes fut sélectionnée lors du congrès européen d'Arezzo en 1882 malgré la présentation d'Haberl, le pape Léon XIII exprima son soutien pour l'édition de Ratisbonne le 3 mai 1884, avec son contre-bref Quamquam nos.

Or, dès 1890, Dom André Mocquereau de Solesmes commença, avec son immense méthode scientifique, à convaincre le Saint-Siège. La publication de la Paléographie musicale en 1892 indiquait qu'avec d'énormes irrégularités, la rédaction de Haberl était complétement différente des manuscrits authentiques [11],[es 4]. Coup dur pour l'édition de Ratisbonne, Léon XIII ordonna d'examiner le privilège de l'édition. Finalement, en 1901, celui-ci ne fut pas renouvelé, malgré son expiration.

Réforme liturgique du pape Pie X

Le cardinal Giuseppe Sarto, spécialiste de la musique sacrée depuis sa jeunesse, savait bien que la musique liturgique catholique devait être réformée[lm 1]. D'où, en 1893, Léon XIII lui demanda de proposer un nouveau règlement de musique de l'Église[lm 2]. Il soutenait l'abbaye de Solesmes en y envoyant en 1894 le jeune Lorenzo Perosi qui connaissait déjà le mouvement cécilien auprès d'Haberl. Puis dans la même année, Perosi fut nommé maître de la Cappella Marciana sous le patriarche de Venise Sarto[lm 1]. Aussitôt élu pape en 1903, saint Pie X lança sa reforme liturgique, avec le motu proprio Inter pastoralis officii sollicitudes, dénoncé à la fête de sainte Cécile[lm 1].

En admettant que les articles du motu proprio se composassent de la réflexion du concile de Trente et des idées du mouvement cécilien[es 1], la réforme de Pie X fut effectuée par la commission de l'Édition Vaticane de laquelle le président était Dom Joseph Pothier, originaire de Solesmes. Quoique le motu proprio donnât le rôle secondaire à la polyphonie, l'Édition Vaticane en grégorien se caractérisait de son usage obligatoire dans toutes les églises catholiques. Désormais, le mouvement cécilien n'avait pas d'influence au Saint-Siège, ni au sein des églises catholiques dans le monde entier. En résumé, le mouvement cécilien, qui n'était jamais international, fut remplacé par la réforme de saint Pie X[as 6].

Toutefois en qualité de compositeur au Vatican, Lorenzo Perosi conservait en personne le style du mouvement cécilien[12]. Perosi poursuivit l'association italienne de Sainte-Cécile[lm 1] de laquelle l'origine remonte en 1585[13]. Celle-ci demeure quasiment indépendante de celle de Ratisbonne[as 8].

Revue Cécilienne

Après ce bouleversement qui débuta en 1903, le mouvement restait dans les pays germanophones. Ainsi, la ville de Fribourg en Suisse, qui est située sur la frontière de deux langues, devint un nouveau centre, car l'évêque Placide Colliard souhaitait restaurer et redynamiser le mouvement, jusqu'à son décès en 1920[pb 1] Dans cette optique, le prêtre Joseph Bovet était chargé de le revitaliser et, en novembre 1916, créa la Revue Cécilienne[pb 2]. Or, à cause de la Première Guerre mondiale, la publication de revue connut son interruption en 1918, après la publication du tome XI en septembre. L'augmentation de prix de papiers obligea la cessation. Puis, la Semaine catholique succéda à cette revue[pb 3]. Le mouvement spirituel et musical organisé par l'abbé Bovet (« Mais il y a lieu d'affirmer que les chanteurs forment avant tout des sociétés de chant liturgique, et non pas des clubs dont les pièces de théâtre préparent la promenade annuelle[pb 4]. ») connut un bon succès. Les adhérents de l'association de Sainte-Cécile augmentèrent de 1 791 effectifs en 1912 jusqu'à 3 920 en 1946. Afin de continuer ce mouvement dynamique, Pierre Kaelin succéda à Bovet, celui qui était surnommé abbé chantant[pb 5].

Le même phénomène était constaté en Alsace. Avec ses collaborateurs, Marie-Joseph Erb organisa en 1882, d'abord sous influence de l'École Niedermeyer de Paris, une association indépendante à Strasbourg et créa une revue bilangue Cæcilia. En 1897, cette association comptant quelques chorales catholiques adhéra à l'association de Sainte-Cécile de Ratisbonne. Elle comptait 18 chorales en 1900, 124 en 1904 et 460 en 1914[14]. Dans les régions germanophones et périphériques, le mouvement cécilien n'éteignit pas.

Postérité

Lors de la fondation de l'université catholique d'Amérique à Washington en 1887, le prêtre allemand Joseph Graf, ancien enseignant de Ratisbonne pour le mouvement, fut nommé directeur de la musique[15] ainsi que chef de chœur[as 5]. Or, devant la communauté catholique irlandaise, qui était dominante aux États-Unis, le mouvement issu de l'Allemagne et de l'Autriche n'avait pas assez d'influence[as 6]. Par exemple, le premier cardinal-archevêque de New York John McCloskey († 1885) exprimait sa sympathie pour le mouvement. Or, il ne fit rien auprès de sa cathédrale Saint-Patrick de New York[12]. Alors que la musique de la Renaissance provoqua peu de problème, à cette cathédrale, les Céciliens étaient considérés comme gros problème[12]. C'était donc principalement parmi les immigrants germanophones que celui-ci trouvait les pratiquants, à l'exception de Baltimore où les églises catholiques continuaient à exécuter ces polyphonies[as 6]. Il s'agissait de l'héritage de Joseph Graf[as 8].

Idée principale du mouvement cécilien, usage de la polyphonie de l'époque de Palestrina dans la célébration était respecté jusqu'au concile Vatican II, qui fit adopter la langue vulgaire. Avec le chant grégorien, la polyphonie était protégée par tous les successeurs de Pie X. Notamment, Pie XI fit recommander les œuvres de Palestrina par sa constitution apostolique Divini cultus article V (1928) tandis que Pie XII dénonça l'encyclique Musicæ sacræ disciplina (1955) dont l'article III gardait le même objectif.

D'ailleurs, le pape Pie X avait fait fonder l'École supérieure de musique sacrée, le 3 janvier 1911, à laquelle étaient enseignés le chant grégorien et la polyphonie. Proposée par Angelo de Santi, Jésuite autrichien et musicologue[16], cette école était chargée de former ceux qui sont capables d'exécuter correctement la musique liturgique dans la célébration. Devenue Institut pontifical de musique sacrée, une des universitaires pontificales, l'enseignement du chant grégorien et de la polyphonie est toujours assuré.

Actualité

Comme lors de la fondation, le mouvement se limite parmi les fidèles germanophones. Il se trouve en Allemagne, en Autriche et en Suisse. En 2018, l'association célébra son 150e anniversaire. À Ratisbonne, Allegemeine Cäcilien-Verband für Deutschland continue ses activités tandis que la revue Musica sacra, créée par Witt, est encore publiée[17]. Il semble que la fusion avec celle de Rome n'ait pas tenue[as 8].

Voir aussi

Lien externe

Site officiel

  • Allemagne :
  • Italie :

Référence bibliographique

  • Patrick M. Liebergen, The Cecilian Mouvement In The Nineteenth Century : Summary Of The Mouvement, revue Choral Journal, tome XXI-9 (mai 1981), p. 13 - 16 (en)[lire en ligne]
  1. p.  13
  • Patrice Borcard, Joseph Bovet 1879 - 1951, Itinéraire d'un abbé chantant, Éditions La Saline, Fribourg 1993 (ISBN 2-88355-014-X) 255 p. [lire en ligne]
  1. p.  162
  2. p.  164
  3. p.  168
  4. p. 175, article dans La Semaine catholique, le 9 juillet 1936.
  5. p.  174
  • Edward Schaefer, Catholic Music Through the Ages, Hillenbrand, Chicago 2008 (ISBN 978-1-59525-020-9) (en)[lire en ligne]
  1. p.  115
  2. p.  114
  3. p.  112
  4. p.  110
  5. p. 114, note n° 27 ; publication de 1862 à 1908 dont celle d'Haberl entre vers 1880 et 1908
  • Ann L. Silverberg, Cecilian Reform in Baltimore, 1868 - 1903, dans le livre, Paul Collins (éd.), Renewal and Resistance : Catholic Church Music from the 1850s to Vatican II, Peter Lang, Bern 2010, p. 171 - 188 (ISBN 978-3-03911-381-1) (en)[lire en ligne]
  1. p.  171
  2. p. 171 et 173
  3. p. 173, note n° 3
  4. p.  173
  5. p. 173 - 174
  6. p.  175
  7. p.  172
  8. p.  174
  • Lucia Mari, Sia una la forma della preghiera e, per quanto è possibile, la norma del canto, dans le livre Giuseppe Sarto, Vecoco di Mantova, 2014 (it)
  1. p.  371
  2. p.  387

Références

  1. À noter : selon les études de Denise Launay, après la Contre-Réforme, le cantique en langue vulgaire après la messe est admis, pour contrer les Calvinistes (à savoir, sans frustrer les fidèles catholiques) ; de même, en Allemagne, la pratique des chants en allemand existait déjà avant le concile Vatican II.
  2. Owen Rees, The Requiem of Tomás Luis de Victoria (1603), 2019, p. 215 note n° 17 (en)
  3. Notice Bnf
  4. Le catholicisme en congrès (XIXe - XXe siècles), 2020, p. 138 note n° 231
  5. Michel Huglo , Études grégoriennes, tome XXXIX 2012 p. 293 - 294 ; il s'agit d'un article concernant la bénédiction d'un orgue par le pape Jean-Paul II tenue le 21 novembre 1984.
  6. Paul Merrick, Revolution and Religion in the Music of Liszt, 1987, p. 98 - 99 (en)
  7. Inspiré par le Fliegende Blätter.
  8. Jacques Viret 2001, p. 176
  9. Faussement attribuée à Palestrina, en réalité la rédaction de l'Édition médicéenne fut faite par Felice Anerio et Francesco Suriano. Il est vrai que le pape Grégoire XIII avait ordonné en 1577 à Palestrina de remanier le chant grégorien selon la Contre-Réforme. Toutefois, signalé par Fernando de las Infantas, Philippe II d'Espagne avait interféré et fait renoncer ce remaniement.
  10. James Garratt, Palestrina and the German Romantic Imagination, p. 168 - 169, 2002 (en)
  11. André Mocquereau, Paléographie musicale, tome II (1892), p. 38 - 39
  12. Salvatore Basile, Fordham University Press 2010 (en)
  13. Site officiel (it)
  14. Bernadette Lespinard, Les passions du chœur 1800 - 1950 (2018) p. 108
  15. Joseph Nuesse, The Catholic University of America : A Centeninnal History 1990, p. 59 (en)
  16. Angelo de Santi était chargé par le pape Léon XIII de défendre l'édition de Ratisbonne. Pourtant, à partir de 1890, il devint un des collaborateurs de Solesmes, surtout ami de Dom Mocquereau, en doutant la qualité d'édition de Ratisbonne. Il était de même collaborateur du cardinal Sarto, futur Pie X, qui était très occupé à Venise, en l'aidant préparer la réforme liturgique avec Dom Mocquereau.
  17. Site officiel (de)
  • Portail de la musique
  • Portail du Royaume de Bavière
  • Portail de l'Autriche
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.