Llauro

Llauro [joʁo] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Llauro

Vue générale de Llauro.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Céret[1]
Intercommunalité Communauté de communes des Aspres
Maire
Mandat
Alain Bézian
2020-2026
Code postal 66300
Code commune 66099
Démographie
Population
municipale
317 hab. (2018 )
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 33′ 02″ nord, 2° 44′ 40″ est
Altitude Min. 174 m
Max. 511 m
Superficie 8,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Les Aspres
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Llauro
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Llauro
Géolocalisation sur la carte : France
Llauro
Géolocalisation sur la carte : France
Llauro
Liens
Site web http://www.llauro.fr

    Ses habitants sont appelés les Llauronencs.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Llauro se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[2].

    Elle se situe à 21 km à vol d'oiseau de Perpignan[3], préfecture du département, à km de Céret[4], sous-préfecture, et à km de Thuir[5], bureau centralisateur du canton des Aspres dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Céret[2].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[6] : Tordères (1,3 km), Vivès (2,9 km), Montauriol (3,3 km), Oms (3,9 km), Fourques (4,6 km), Calmeilles (5,7 km), Saint-Jean-Pla-de-Corts (5,8 km), Caixas (6,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Llauro fait partie de la région des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minusule territoire roussillonnais tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[7].

    Communes limitrophes de Llauro[8]
    Montauriol Tordères
    Oms Passa
    Vivès
    Situation de la commune.

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[9].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 820 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,1 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[10].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vivès », sur la commune de Vivès, mise en service en 1998[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,5 °C et la hauteur de précipitations de 656 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 21 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[19], à 15,7 °C pour 1981-2010[20], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[22] : le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Llauro est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[24],[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,7 %), zones agricoles hétérogènes (25,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,6 %), cultures permanentes (4,1 %), zones urbanisées (3,6 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Routes

    La commune est traversée par la route départementale D615.

    Transports

    Un ramassage scolaire est effectué en matinée et en soirée en bus. Le service de bus est effectué par le Conseil départemental des Pyrénées-Orientales et dispose d'un service à la demande.[réf. nécessaire]

    Le village dispose d'un aérodrome privé situé à flanc de colline. L'atterrissage et le décollage y sont particulièrement difficiles. La piste est orientée en 06-24, mesure 300 mètres de long et accuse une pente moyenne d'environ 18%[30].

    Toponymie

    Formes du nom

    Le nom de Llauro apparaît pour la première fois dans un précepte de Louis le Pieux en 814, sous la forme de Villa Laurosone. On trouve également au IXe siècle Lauresonum, Laurosum et Villa Laurosono (899). On rencontre ensuite Pug Lauro en 976, puis aux XIe et XIIe siècles les formes Laurosone, Laurone, Laurisoni (1010), Laursione (1011), Lersione (1017), Loch de Lauro en 1354 et Llauro au XVIIe siècle[31],[32].

    En catalan, le nom de la commune est Llauró[33].

    Étymologie

    Plusieurs hypothèses essayent d'expliquer le nom de Llauro. La plus probable lui fait trouver son origine dans le nom du possesseur du domaine, Lauritius (nom lui-même issu de Laurus, le laurier), auquel on a adjoint le suffixe -onem, couramment utilisé dans la région pour former des noms de domaines à partir de noms de personnes (tel à Escaro ou Taztzo). Lauritius-onem aurait évolué vers Laurisone puis Laurosone, avec à un moment une chute du s sans doute due à la confusion avec le terme répandu laurosu, désignant un lieu abondant en laurier. Le passage de Lauro à Llauro, quant à lui se fait après le XIVe siècle suivant les règles habituelles d'évolution de la phonétique du catalan depuis cette époque[32].

    Une autre hypothèse rattache le nom de Llauro directement à laurus, mot latin pour le laurier. Suivi des suffixes -one ou osu, il aurait pu désigner un lieu où abondaient les lauriers. Cependant, on aurait alors dû rencontrer les formes Laurone ou Laurose, et non pas Laurosone[32].

    Enfin, une étymologie populaire rattache le nom à la forme verbale llauró, qui désigne en catalan l'action de labourer[31].

    Histoire

    La présence humaine est attestée depuis au moins deux mille ans avant notre ère, notamment grâce au dolmens de la Cabana del Moro et à celui de Galuert.

    Il existe un réseau de mine (pla del mener) mise au jour en 1928 et dans lesquels et aux alentours desquels ont été mis à jour de nombreux artefacts d'origine romaine (178 tessons amphores) et ibériques (kalathos). La zone était occupée par un habitat associé à une mine romaine du haut empire, le tout associé à un réseau de voies romaines vers Saint Jean Pla de Corts et Elne.[34].

    LLauró est connue sous le nom de Laurosone et est mentionnée en 814 comme limite de Ceret dans un document de Louis le Pieu. Du IXe au XIe siècle, le nom de la ville prend diverses formes : Laurensono (899), Laurisoni (1010), villa Lersione (1017), Lorso (1084), Laurosono/Laursono (1139)... Durant le Moyen Âge, diverses autorités ecclésiastiques ont des possessions dans le village (Sant Salvador de Besalú, l'Évèque d'Elne...) mais à partir d'une bulle papale d'Alexandre III qui confirme la donation de l'église Saint Martin au monastère Santa María del Camp réalisée par l’évêque d'Elne (Udalgar de Castellnou), Llauró est de plus en plus lié à monastère proche.

    A la fin du XIIe siècle, une famille Llauró fait son apparition. En 1197, Pere de Llaurono est l'un des signataires entre les Seigneurs de Cortsaví, Les Termes, et l'abbé d'Arles. En 1272, Llauró est toujours une seigneurie particulière. Béatrice de Llauró et sa fille Blanche, femme de Bertrand d'Ille, se déclarent vassaux du vicomte Guillem IV de Castellnou, et signale le château et la force de Llauró. A la fin du XIIIe siècle, la seigneurie de Llauro passe aux mains de Berenguer Bernat de Ceret, qui dans son testament met en vente Llauro. L'endroit est acheté par ses habitants, en 1273 l'infant Jaume de Mallorca - futur roi Jaume II de Mallorca - est nommé seigneur du lieu. Dès lors et jusqu'à la fin de l'ancien régime Llauró resta une ville royale.

    L’église est mentionnée pour la première fois en 1011, dans l’acte de consécration de l’église de Saint-Michel de Montauriol. En 1163, elle devient possession de Sainte Maria del Camp.

    La culture du chêne-liège se développe à Llauro dès le début du XIXe siècle et la commune bénéficie alors d'une importante industrie du bouchon de liège. Cette activité continue jusque dans la deuxième moitié du XXe siècle, puis finit par disparaître[35].

    Llauro fusionne avec Passa et Tordères par arrêté préfectoral du pour former la commune de Passa-Llauro-Tordères. Ces trois communes ont été rétablies en 1989[36].

    Politique et administration

    Canton

    En 1790, la commune de Llauro est intégrée dans le canton de Thuir, dont elle fait toujours partie lors de sa brève fusion dans la commune de Passa-Llauro-Tordères et dont elle fait encore partie après avoir retrouvé son indépendance en 1989[36],[37]. À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Aspres.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[38]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1793 Vincent Paraire    
    1793 1795 Baudire Llinas    
    1795 1830 Martin Bosch    
    1830 1831 Pierre Llinas    
    1831 1831 François Cazeilles    
    1831 1832 François Bosch    
    1832 1834 Martin Parayre    
    1834 1840 François Bosch    
    1840 1842 Martin Parayre    
    1842 1843 François Cazeilles    
    1843 1843 Joseph Domenjo    
    1843 1844 Abdon Baxès    
    1844 1848 Pierre Parayre    
    1848 1850 Martin Llinas    
    1850 1853 Abdon Baxès    
    1853 1865 Martin Parayre    
    1865 1874 Abdon Baxès    
    1874 1876 Martin Parayre    
    1876 1894 François Baxès    
    1894 1896 Joseph Roig    
    1896 1900 Martin Parayre    
    1900 1904 François Baxès    
    1904 1908 Joseph Roig    
    1908 1939 Joseph Estève    
    1939 1945 Martin Planes    
    1945 1983 Martin Bizern    
    1983 mars 2001 Alberte Montalvo Apparenté PCF  
    mars 2001 En cours Roger Tourné[39],[40]    

    Population et société

    Démographie ancienne

    La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

    Évolution de la population
    1355 1359 1365 1378 1470 1515 1553 1643 1720
    6 f11 f6 f5 f8 f8 f5 f17 f18 f
    1730 1767 1774 1789 - - - - -
    32 f245 H32 f54 f-----
    (Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

    Démographie contemporaine

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2018, la commune comptait 317 habitants[Note 7], en augmentation de 0,96 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    261238270262298300319311325
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    336335373363330351399350333
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    328335287275279283228208181
    1962 1968 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018
    191205255270316322316317317
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pour 1975 et 1982 :

    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
    Rang de la commune dans le département 139 125 128 123 124 128
    Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête patronale : 11 novembre[48].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 22 991 [49].

    Entreprises et commerces

    Llauro compte un camping, un restaurant et divers gîtes.[réf. nécessaire]

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux touristiques

    Héraldique

    Blasonnement :
    d'or à cinq vergettes de gueules.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
    2. « Métadonnées de la commune de Llauro », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Llauro et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Llauro et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Llauro et Thuir », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Llauro », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 179-180.
    8. « Plan séisme » (consulté le ).
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Vivès - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Llauro et Vivès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Vivès - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Llauro et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    22. « ZNIEFF le « massif des Aspres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur insee.fr (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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    31. Lluís Basseda, Toponymie historique de Catalunya Nord, t. 1, Prades, Revista Terra Nostra, , 796 p..
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    33. Etienne Roudier, « Le secteur minier du Pla del Mener à Llauro et son environnement », Archéo66, (lire en ligne)
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    35. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
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    48. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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