Escaro
Escaro (en catalan Escaró i Aituà ou seulement Escaró) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Escaro (homonymie).
Escaro | |||||
Vue sur Escaro depuis la route de Sahorre. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Prades | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Conflent-Canigó | ||||
Maire Mandat |
Daniel Aspe 2020-2026 |
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Code postal | 66360 | ||||
Code commune | 66068 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Escaronats | ||||
Population municipale |
107 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 32′ 19″ nord, 2° 18′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 588 m Max. 2 082 m |
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Superficie | 15,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Prades (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton des Pyrénées catalanes | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Escaronats et les Escaronates.
Géographie
Localisation
La commune d'Escaro se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 51 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 12 km de Prades[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Nyer (3,3 km), Souanyas (3,3 km), Serdinya (3,4 km), Sahorre (3,9 km), Jujols (4,0 km), Olette (4,2 km), Fuilla (4,7 km), Canaveilles (5,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Escaro fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].
Géologie et relief
L'altitude la commune varie entre 582 et 2 082 mètres[7].L'altitude du village d'Escaro lui-même est de 900 mètres à l'emplacement de l'ancienne mairie aujourd'hui disparue en raison de sa destruction par l'activité minière.
La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[8].
Hydrographie
Plusieurs cours d'eau traversent la commune :
- La Ribera de Vallmarsana, affluent de la rive droite de la Têt, traverse la commune du sud-ouest vers le nord ;
- La Ribera d'Aytuà traverse la partie orientale de la commune du sud vers le nord et conflue au niveau du moulin dans la Ribera de Vallmarsana ;
- Le Còrrec de Sant Culgat, affluent de la rive droite de la Têt, délimite une partie de la frontière occidentale de la commune du sud vers le nord.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Olette », sur la commune d'Olette, mise en service en 1983[14]et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 571,7 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 51 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[21],[22]. Dans ce cadre, la commune fait partie [23]. Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[24],[25].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « pins de Salzmann du Conflent »[27], d'une superficie de 998 ha, abrite en effet le plus beau peuplement de Pin de Salzmann de tout le département des Pyrénées-Orientales et possède des arbres remarquables[28].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[29] : la « forêt de Pin de Salzmann du Conflent » (1 232 ha), couvrant 4 communes du département[30] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[29] :
Urbanisme
Typologie
Escaro est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Prades, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[36],[37].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[38].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Escaró[39]. Les premières mentions du nom sont villa Ascaro (879) et Ascarone (968)[40].
Histoire
Liées à l'exploitation du minerai de fer, trois concessions minières sont accordées au XIXe siècle sur la commune d'Escaro : la concession dite d'Escaro-Nord, celle d'Aytua et celle d'Escaro-Sud.
Concession d'Escaro-Nord
La concession de la mine de fer dite d’Escaro-Nord est instituée par décret du 8 juillet 1813. Elle résulte d’une adjudication faite par l’État en faveur de trois propriétaires, négociants et maîtres de forges : Michel Aldebert à Montlouis, Jean-Jacques Escanyé, à Vinça et César Escanyé à Nyer. L’extension de son périmètre à une superficie de 175 hectares est consentie par décret du 23 juin 1880, alors que la société Frèrejean, Roux et Cie en est concessionnaire.
Le 12 juin 1918 a lieu la mutation de propriété en faveur de la société minière Franco-Africaine puis le 12 avril 1935, la concession est vendue à la Compagnie des mines, fonderies et forges d'Alais[41]. Enfin, une mutation de propriété intervient en faveur de la société Denain-Anzin, autorisée par décret du 19 décembre 1942. La déclaration d’abandon de la mine d'Escaro-Nord est faite le 30 janvier 1963[42].
Concession d'Aytua
La concession d'Aytua tient son nom de l'ancienne commune d'Aytua, supprimée le et rattachée à celle d'Escaro[43]. Ancien fief noble de l'Abbaye de Saint-Michel de Cuxa au XIVe siècle, Aytua est vendu en 1595 avec principalement ses "mines de fer et d'autres métaux tam potentibus quam occultes". Ce territoire devient alors propriété de la famille d'Huyteza, qui le conserve durablement[44]. Le 31 décembre 1834, une ordonnance royale de Louis-Philippe accorde la concession de la mine de fer d'Aytua à Jean Roca, issu de la même famille. Celle-ci s'étend sur 545 hectares et épouse alors les mêmes limites que celles de l'ancienne commune d'Aytua, réunie depuis à la commune d'Escaro[45]. Le 16 janvier 1844, une extension de la concession est accordée à Eugène Roca, procureur puis président du tribunal de Céret, enfin juge d'instruction à Perpignan.
Sous le Second Empire, la concession dont la superficie est désormais passée à 675 hectares[44], revient ensuite à James Jaume et Auguste Lazerme, promoteurs des hauts fourneaux de Fuilla, autorisés en 1861. À l'instar d'Escaro-Nord et par le jeu d'alliances familiales, la mine de fer d'Aytua revient après 1870 à la société Frèrejean, Roux et Cie, maîtres de forges à Annecy[46], puis à d'autres sociétés. Après la Première Guerre mondiale, elle appartient à la Société minière d'Aytua, filiale de la société des Hauts Fourneaux de Givors puis en 1930, aux Ets Prenat, dont les usines de Givors absorbent toute la production[47].
Concession d'Escaro-Sud
La concession de la mine de fer dite d’Escaro-Sud est pour sa part instituée en faveur de l’ingénieur anglais Edmund Sharpe par décret du 9 avril 1874 sur une superficie de 102 ha. La vente de la concession par les héritiers Sharpe intervient le 15 juin 1885 en faveur de la société Jacob Holtzer et Cie[48]. Un décret présidentiel du 10 octobre 1938 autorise ensuite la mutation de propriété en faveur de la Cie des Hauts Fourneaux de Chasse. Celle-ci étant absorbée par la société des mines de Pechelbrom avec effet au 31 décembre 1977, la radiation de l’ancienne société de Chasse intervient au registre du commerce le 15 mars 1979. Cependant, la société de Pechelbrom n’ayant pas déposé de demande de mutation, la mine d’Escaro-Sud retourne alors dans le domaine public[42].
Politique et administration
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[54].
En 2018, la commune comptait 107 habitants[Note 9], en diminution de 11,57 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Note : la population d'Aytua est recensée avec celle d'Escaro à partir de 1826.
selon la population municipale des années : | 1968[56] | 1975[56] | 1982[56] | 1990[56] | 1999[56] | 2006[57] | 2009[58] | 2013[59] |
Rang de la commune dans le département | 153 | 170 | 163 | 170 | 196 | 185 | 181 | 175 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Économie
À Escaro, l’exploitation minière est multiséculaire : minerai de fer, puis fluor. Aux XIXe et XXe siècles, les trois concessions de minerai de fer d'Escaro-Nord, Aytua et Escaro-Sud représentent une emprise de 952 hectares sur l'espace communal.
De fait, l'économie d'Escaro dépendait jadis de ses mines de fer puis de fluor, cette dernière production étant arrêtée en 1993[63].
Désormais, un musée de la mine a été créé, ainsi que deux structures d’hébergement : une auberge-gîte d'étape et un camping. Ils témoignent d'une ouverture au tourisme vert et culturel.
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
- Ancienne église Saint-Martin d'Escaro. Elle a été détruite en 1930. La cuve baptismale a pu être sauvée et est visible dans la nouvelle église paroissiale Saint-Martin[64].
- La nouvelle église romane Saint-Martin.
- Chapelle Sainte-Christine d'Aytua. Aytua possède une chapelle, dédiée à Sainte Christine. Bien que de tradition romane, elle semble avoir été construite à la fin du XVIe siècle[65], à la suite du don d'un dénommé Jean Parent en 1592[66]. Une campagne de restauration de l'édifice a été entamée en 2014[67].
- Église Sainte-Marie d'Escaro.
- Église Saint-Martin.
- Chapelle d'Aytua.
- Musée des mines de fer.
- Monument aux morts de la guerre 1914-18.
Personnalités liées à la commune
- Pierre Nogues (1932-2015), natif d’Escaro, dernier mineur de fond des Pyrénées-Orientales, à la mine de fer, puis de fluor, d’Escaro.[68]
Voir aussi
Bibliographie
- Ouvrage collectif, Le Patrimoine des Communes de la Méridienne Verte, Flohic Editions, Paris, (ISBN 9 782842 341015), notice "Escaro", p.1621-1626
- Abbé Giralt, « Notice historique sur les communes de Jujols et Escaro », Bulletin de la Société agricole, scientifique et littéraire des Pyrénées-Orientales, Perpignan, no 52,
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Escaro », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Escaro sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- « Mine de fluorite d'Escaro », Inventaire national du patrimoine naturel
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[26].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune d'Escaro », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escaro et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escaro et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Escaro », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Olette - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Escaro et Olette », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Olette - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Escaro et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes - le territoire. », sur https://www.parc-pyrenees-catalanes.fr (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escaro », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9102009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escaro », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « forêt de Pin de Salzmann du Conflent » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif du Canigou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée du Conflent » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Prades », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 8S88, Escaro-Nord, dossier de concession. Également mention de la société Frèrejean, Roux et Cie dans la notice de Benoit Frèrejean.
- Archives de la DRIRE, Perpignan, consultées en 1995.
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 8S103.
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 8S82 et 2001PER122, bulletin des lois, 9e série, no 125, ordonnance no 7133 du 31-12-1834, p. 40.
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 8S147, dossier de demande d'autorisation des hauts fourneaux de Fuilla. La famille Jaume est alliée à celle des Frèrejean par les épouses, nées Descallar.
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 8S104. Également Archives du Rhône en lien : http://archives.rhone.fr/accounts/mnesys_cg69/datas/medias/IR_pour_internet/34%20J.pdf
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 8S96, Escaro-Sud, dossier de concession.
- Liste des maires d'Escaro sur MairesGenWeb
- André Balent, « Galindo (Marcellin, Antoine) », dans Nouveau Dictionnaire de biographies roussillonnaises 1789-2011, vol. 1 Pouvoirs et société, t. 1 (A-L), Perpignan, Publications de l'olivier, , 699 p. (ISBN 9782908866414).
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Annuaire du Ministère de l'éducation nationale, section École de Serdinya
- Annuaire du Ministère de l'éducation nationale, section École de Sahorre
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- L'Indépendant, Les souvenirs du dernier mineur de fond des Pyrénées-Orientales, 15 mai 2013
- Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Montpellier, Les Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN 978-2-8599-8244-7).
- Fondation patrimoine Languedoc-Roussillon, Chapelle Sainte-Christine d'Escaro Aytua
- Pyrénées catalanes, Aytua
- Jean-Paul Pelras, « La chapelle Sainte-Christine lauréate du prix Pèlerin Magazine », L'Indépendant, , p. 20.
- « Les souvenirs du dernier mineur de fond des Pyrénées-Orientales », sur lindependant.fr (consulté le ).
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