Liste des disques de chant grégorien enregistrés par Gramophone en 1904

La première proposition de l'enregistrement du chant grégorien remonte en 1891. Il s'agissait d'un article dans la Musica sacra, revue du chant liturgique et de la musique religieuse, publiée à Toulouse. Selon l'auteur, il valait mieux que les moines de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes enregistrent leur interprétation du chant restauré[mb 1].

En 1904 à Rome, la Société Gramophone de Londres effectua une série d'enregistrements de ce chant, pour un certain nombre de disques (78 tours). Cette exécution était étroitement liée à l'officialisation de ce chant auprès de l'Église romaine dans sa liturgie, à la suite de l'élection de nouveau pape Pie X en 1903. Quelle que soit la qualité de l'exécution, les disques sortis en 1904 sont de précieux témoignages des exécutants grégoriens, lors de l'autorisation du chant grégorien.

Histoire

La réforme auprès de l'Église romaine se commença au milieu du XIXe siècle, avec la restauration authentique du chant grégorien. Toujours soutenu, mais le mouvement s'avançait très lentement en luttant contre les opposants importants, tel le pape Léon XIII, jusqu'à ce qu'en 1901 expire 30 ans de privilège octroyé à l'Édition de Ratisbonne, dite néo-médicéenne[1].

Les enregistrements étaient intimement liés à la reforme liturgique de saint Pie X.

Une fois le nouveau pape Pie X élu en 1903, la situation fut considérablement bouleversée. En novembre, avec son motu proprio Inter pastoralis officii sollicitudes, ce saint pape inaugura en effet une immense centralisation de la liturgie de l'Église, jamais vue dans l'histoire à l'exception de l'Admonitio generalis (789) de Charlemagne[2].

Le mois d' se distinguait surtout plusieurs événements en faveur du chant grégorien. Une semaine après Pâques, à savoir le , le pape fit chanter une grande messe en grégorien, exécutée par 1 210 religieux demeurant à Rome, en rendant hommage à saint pape Grégoire Ier († 604). Il s'agissait du 13e centenaire de la disparition de ce grand pape ainsi que, notamment, saint patron du chant grégorien[3]. Puis, le Saint-Père dénonça le la création de l'Édition Vaticane en grégorien pour l'Église universelle. À partir de ce mois-là, un certain nombre d'enregistrements du chant grégorien furent effectués en collaboration avec la Société Gramophone. Cette dernière enregistra également certains discours du congrès de chant grégorien.

La jeune entreprise britannique contribua donc aisément à progresser la reforme du Saint-Père contre la décadence liturgique depuis le XIXe siècle. Car, en bénéficiant de l'autorité de saint Grégoire le Grand, l'usage de l'Édition Vaticane était désormais obligatoire dans toutes les paroisses, quel que soit le privilège auparavant obtenu, quelle que soit l'édition en usage[4].

D'ailleurs, selon l'Inter pastoralis officii sollicitudes (1903), plusieurs motets polyphoniques furent pareillement enregistrés[1], mais également dans la collection Canto Gregoriano[5] : Palestrina (054758 et 054759)[6], Andrea Gabrieli [7].

Certes, de nombreux dossiers dataient leurs enregistrements du [7]. Il est vrai que l'équipe de la société Gramophone concentrait singulièrement sur ce projet[1]. Mais, il vaut mieux considérer qu'il s'agit des disques tardivement enregistrés, si l'on consulte une notice de la Bibliothèque nationale de France. En outre, la messe du Saint-Siège était évidemment chantée par quelques chantres, et non 1 210 chanteurs. Quoi qu'il en soit, d'après cette source, les disques complétés furent octroyés au pape en [3].

Cet enregistrement fut intensivement étudié dans les années 1970, par Dr Mary Berry[mb 1], musicologue grégorienne, fondatrice de la Schola Gregoriana of Cambridge (1975) et collaboratrice avec l'abbaye de Pontigny.

Disques de la messe grégorienne par la schola papale (1904)

Chapelle Sixtine à laquelle Antonio Rella était le professeur du chant grégorien de plusieurs scholæ[h 1].
Saint Grégoire le Grand, docteur de l'Église (Registrum Gregorii de Trèves, vers 983).

L'enregistrement se distinguait surtout de celui de la schola papale, chanté par des membres du chœur de la chapelle Sixtine.

Ceux qui concernent furent sortis, avec un label particulier, collection Canto Gregoriano, en soulignant « XIII Centenario di S. Gregorio Magno. » L'abbaye Saint-Pierre de Solesmes avait soigneusement préparé une version spéciale de notation, en faveur de cet enregistrement[1]. En effet, non seulement il s'agissait d'un grand événement historique mais aussi la Société Gramophone avait proposé un enregistrement scientifique destiné aux études de spécialistes[1].

Certain chants étaient proprement choisis dans le répertoire de la fête de saint Grégoire le Grand, Pape et Docteur de l'Église, célébrée normalement le [8] : introït Sacerdotes Dei, antienne de l'offertoire Veritas mea et celle de la communion Fidelis servus et prudens. De même, les deux alléluia sont des versions réservées au docteur de l'Église (Amavit eum Dominus et Justus germinabit).

Au regard de la séquence Alma cohors una, il s'agit d'un texte médiéval consacré à saint Grégoire, et version restituée par un pasteur anglican H. M. Bannister[h 2] :

« Chœur illustre, fais retentir à l'unisson les titres de louange, dont Grégoire est paré, resplendissant comme la lune, le soleil et les astres[9]. »


- Antonio Rella et chœur de la chapelle Sixtine[10],[11]

  • 054762 : Introït pour prêtres « Sacerdotes Dei »
  • 054751 : Kyrie VIII[10]
  • 054752 : Gloria VIII
  • 054763 : Alléluia accompagné du verset « Amavit eum Dominus » ainsi qu'Alléluia avec « Justus germinabit » en faveur du docteur de l'Église
  • 054761 : Sequence « Alma cohors »
  • 054753 : Credo III, première partie
  • 054754 : Credo III, deuxième partie
  • 054786 : Offertoire « Veritas mea » et Communion « Fidelis servus » (antiennes)
  • 054760 : Sanctus IX et Agnus Dei IX

Aux États-Unis, d'autres références étaient attribuées par la Société Victor Record. L'enregistrement était intitulé The Gregorian High Mass[12] :

  • 71001 : Kyrie
  • 71002 : Gloria
  • 71003 : Alléluia
  • 71004 : Credo, première partie[13]
  • 71005 : Credo, deuxième partie[13]
  • 71006 : Sanctus et Agnus Dei
  • 71007 : Séquence

- Références en italique : voir aussi § Écouter en ligne

Enregistrements par d'autres scholæ (1904)

Quelques pièces furent pareillement enregistrées avec d'autres exécutants. Il est probable que cinq disques avaient été réservés à chaque schola. Les chants sélectionnés par Dom Janssens étaient ceux du Vatican. À savoir, tous les chants se consacraient à saint Grégoire le Grand. Au regard de l'introït Sacerdotes Dei, il existe trois versions, à savoir du Vatican, de Saint-Anselme et du Séminaire français :

- Dom Joseph Pothier et chœur bénédictin de Saint-Anselme

  1. 054768 : Introït de l'Assomption « Gaudeamus omnes in Domino »
  2. 054787 : Alléluia et antienne de l'Assomption « Assumpta est Maria » ainsi que celle de la communion « Optimam partem »

- Dom Henri-Laurent Janssens et chœur bénédictin de Saint-Anselme (identique au répertoire de la chapelle Sixtine, en rendant hommage à saint Grégoire)

  1. 054764 : Introït pour les prêtres « Sacerdotes Dei »
  2. 054765 : Alléluia avec « Amavit eum Dominus » et Alléluia « Justus germinabit », en faveur du docteur de l'Église
  3. 054767 : Antienne de l'offertoire « Veritas mea » ainsi que celle de la communion « Fidelis servus »

- Dom André Mocquereau et chœur des élèves du Séminaire français de Rome

  1. 054769 : Introït de Pâques « Resurrexi et adhuc tecum sum »
  2. 054770 : Introït pour les prêtres « Sacerdotes Dei »
  3. 054789 : Répons graduel pour Pâques « Hæc dies »
  4. 054771 : Alléluia pour le patronage de saint Joseph « Fac nos innocuam »
  5. 054790 : Alléluia pour la messe solennelle de Pâques « Pascha nostrum »

- Baron Rudolf Kanzler et chœur des moines augustins à Rome

  1. 054784 : Introït pour l'Ascension « Viri Galilæi »
  2. 054766 : Répons pour Noël « Hodie nobis »
  3. 054783 : Séquence de Pentecôte « Veni Sancte Spiritus »
  4. 054782 : Hymne pour Noël « Puer natus in Bethlehem »
  5. 054785 : Trait « Absolve Domine » et antienne « In paradisum » lors de l'office des défunts

Disques des discours et le reste (1904)

Le baron Rudolf Kanzler soulignait, lors de sa communication remerciant à Gramophone, un rôle important de l'enregistrement du chant grégorien, en citant la contribution de Charlemagne en faveur de ce chant. Selon le baron, si Charles le Grand avait pu profiter de l'enregistrement, un grand nombre d'écoles grégoriennes auraient été établies dans le monde entier[1].

  • 054772 : Communication du Congrès international grégorien remerciant à la Société Gramophone, en italien
- Baron Rudolf Kanzler
  • 054773 : Cours du chant grégorien en italien, avec exécution en solo de l'antienne d'aspersion au temps pascal « Vidi aquam » (au lieu de l'« Asperges me »)
- Antonio Rella
  • 054774 : Discours d'ouverture du Congrès de chant grégorien, en italien
- Père Angelo de Santi
  • 054775 : Cours Le caractère fondamental du chant liturgique I, en italien
- Dom Joseph Pothier
  • 054776 : Cours du chant grégorien, en italien
- Dom André Mocquereau
  • 054791 : Cours Le caractère fondamental du chant liturgique II, en italien
- Dom Joseph Pothier

Exécutants

Chefs de chœur

Dom Joseph Pothier, président de la commission pontificale de l'Édition Vaticane de 1904 à 1914.

Cinq membres de la commission pontificale de l'Édition Vaticane dirigèrent des scholæ pour l'enregistrement. Il est étrange que n'ait exécuté qu'un motet d'Andrea Gabrieli un autre membre Lorenzo Perosi[7], directeur perpétuel de Sixtine, qui avait étudié le chant grégorien à l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes en 1894, soutenu par le cardinal Sarto, c'est-à-dire futur Pie X. Sept membres sur dix, dont Perosi et le Père de Santi, participèrent finalement au projet.

Musicologue, chef de chœur, professeur du chant grégorien, notamment celui des chœurs du Vatican[h 4] ; il dirigea surtout 1 210 religieux de Rome, le , lors d'une grande messe en grégorien en faveur du centenaire de saint Grégoire Ier († 604)[3].
Ancien violoncelliste[h 5], depuis 1889 maître de chœur de ce monastère, fondateur de la schola grégorienne du Séminaire français de Rome en 1890[h 6]
Bénédictin belge, recteur du Collège Saint-Anselme à Rome

Membre de la commission en tant qu'orateur

  • Angelo de Santi (dit le Père de Santi), Rome[h 3]
Musicologue autrichien et jésuite, dès 1910 premier directeur de l'École supérieure de chant grégorien et de musique sacrée dont il était le cofondateur, futur Institut pontifical de musique sacrée

Scholæ grégoriennes

Dès 1890, la schola de Sainta-Chiara assistait très fréquemment aux célébrations d'autres établissements religieux à Rome, en raison de la qualité de l'exécution en grégorien.
Cette schola grégorienne fut provisoirement créée en février 1890 auprès de ce séminaire situé à Sainta-Chiara. Lorsque Dom Mocquereau de Solesmes était arrivé à Rome en janvier afin de chercher les manuscrits, le supérieur du séminaire lui avait demandé d'effectuer une session grégorienne en faveur de ses élèves. Ce moine avait accepté cette invitation, à condition que soit formée une schola provisoire composée seulement d'une quinzaine d'étudiants pour la qualité d'exécution. Après la célébration du dimanche , la schola exécuta de nouveau la messe en grégorien le dimanche suivant, devant de nombreux religieux invités. À la suite d'une appréciation considérable, le supérieur décida de maintenir définitivement cette schola. Aussitôt, celle-ci obtint une immense réputation à Rome, grâce à laquelle fut effectivement améliorée la connaissance du chant grégorien à la ville éternelle[h 6].
En dépit du privilège octroyé en 1870 à l'Édition de Ratisbonne, l'abbaye Saint-Pierre réussit en 1883 à sortir son Liber gradualis réservé singulièrement aux communautés bénédictines en France. Aussi la pratique du chant grégorien fut-elle d'abord établie dans cet ordre qui possédait son centre spirituel et culturel à Rome, Institut Saint-Anselme. La schola de cet établissement composée de 150 bénédictins effectua pareillement la célébration du centenaire de saint Grégoire, le , sous la direction de son recteur Dom Henri-Laurent Janssens. Elle chanta la même messe exécutée au sein du Vatican, hormis la séquence de saint Grégoire. En conséquence, les trois disques de Dom Janssens se composaient de quelques pièces de cette messe[1].
  • Chœur des moines augustins, Rome
On ignore le détail de cette schola grégorienne ayant participé à l'enregistrement sous la direction du baron Rudolf Kanzler.

Voir aussi

Liens externes

Compte rendu

Listes

  • The Gramophone Company LTD., « His Master's Voice » Records of unique and historical interest, Not included in the General Record Catalogue, catalogue no 2, Londres, (auprès de la British Library) [lire en ligne]
  • 1904 Gregoran congress [lire en ligne]
  • Holdridge Records, catalogue, rubrique Gregorian Records [lire en ligne] (concernant Victor Record n° 71001, 71002, 71003, 71004, 71006 ainsi que 71007)

Antonia Rella en solo, en tant que cours grégorien

Antonia Rella et chœur de la chapelle Sixtine

Dom Joseph Pothier et chœur bénédictin de Saint-Anselme

Dom André Mocquereau et chœur des élèves du Séminaire français de Rome

Valeur de l'enregistrement

Il est évident que la série d'enregistrement s'illustrait non seulement de sa qualité mais aussi de la richesse de répertoire ainsi que d'exécutants.

Premièrement, les disques contribuèrent considérablement à interpréter ce chant officiel jusqu'au Concile Vatican II. De nombreux maîtres de chapelle ainsi que chefs de chœur profitaient de cet enregistrement en faveur de leur exécution[mb 1].

Deuxièmement, tout comme prévu par la Société Gramophone, ceux-ci restent de précieuses sources des études grégoriennes, jusqu'ici. C'est la raison pour laquelle, dans la deuxième moitié du XXe siècle, un album composé de 3 Long play fut à nouveau sorti, intégrant tout le répertoire, y compris les discours[1].

Ainsi, on peut y entendre la différence de l'interprétation entre deux restaurateurs du chant grégorien, Dom Joseph Pothier et Dom André Mocquereau[15]. Tous les deux engageaient cette fonction artistique et scientifique auprès de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes, et finalement, le deuxième succéda au premier. Toutefois, Dom Pothier était un spécialiste du texte latin alors que Dom Mocquereau était essentiellement musicien, ancien violoncelliste. L'analyse par Dom Hervé Courau peut être effectivement soutenue de ces enregistrements :

« On oppose souvent les écoles liées aux deux noms majeurs de la restauration grégorienne, Dom Pothier et Dom Mocquereau. Elles correspondent en effet à deux directions différentes. Dom Pothier fait découler tout le rythme du seul mot latin. Dom Mocquereau en musicien qu'il est plaide pour le primat du rythme musical, en dehors des passages syllabiques (donc dans les pièces ornées). Ces deux grands moines avaient chacun son tempérament : le premier avait une âme de chercheur et une grosse capacité de travail, mais approximatif et ennemi de cadres rigides, il procédait par intuition plus que par déductions rigoureuses ; le second eut son chemins de Damas en la matière, le jour où il fit le lien entre l'art musical authentique qu'il appréciait en connaisseur expérimenté — il était violoncelliste — et les vestiges fragiles de la musque sacrée antique qu'il avait, par obédience, mission de faire revenir à la vie. La notion de pédagogie musicale surtout les différencie. ......... La force du mouvement grégorien de la première partie du XXe siècle tient pour l'essentiel à ce jumelage entre une pédagogie rigoureuse, minutieuse et précise avec la science et l'expérience du grand moine[16]. »

 Dom Hérve Courau (musicologue grégorien et abbé du monastère Notre-Dame de Triors), Quelques questions sur le Grégorien, p. 24

Références bibliographiques

  • Pierre Combe, Histoire de la restauration du chant grégorien d'après des documents inédits, Solesmes et l'Édition Vaticane, Abbaye Saint-Pierre, Solesmes 1969, 488 p.
  1. p.  217 : c'était déjà en 1901, après Pâques, que l'enseignement fut confié à Don Antonio Rella auprès d'une des scholæ de Saint-Pierre, vraisemblablement en raison de l'expiration prévue de l'Édition de Ratisbonne.
  2. p.  295
  3. p.  299
  4. p. 217
  5. p.  120
  6. p.  150 - 152
  • Mary Berry, Gregorian chant : The restauration of the chant and seventy-five years of recording, revue Early music, tome 7-2, p. 197 - 217, Université d'Oxford, 1979
  1. p.  197

Notes et références

  1. (en)http://www.arsc-audio.org/journals/v14/v14n2p72-74.pdf
  2. [PDF]http://palmus.free.fr/session_2004.pdf Dom Daniel Saulnier, Session intermonastique II, p. 70, septembre 2004
  3. « BnF Catalogue général », sur bnf.fr (consulté le ).
  4. Formellement, le décret du cardinal Tripepi, daté du 14 août 1905 (voir Édition Vaticane § Première publication, Kyriale en 1905)
  5. Cela est évident grâce à l'étiquette présentée d'une vidéo de YouTube (054758) https://www.youtube.com/watch?v=J67h-T8Rc7g
  6. Voir Rudolf Kanzler
  7. http://nypl.bibliocommons.com/item/show/17980042052907_filiale_jerusalem rubrique Full Record
  8. Graduale Triplex, p. 597, Abbaye Saint-Pierre, Solesmes 1979
  9. Pour le texte intégral et sa traduction http://www.introibo.fr/12-03-St-Gregoire-le-Grand-pape
  10. « Kyrie eleison [VIII] : 13 °Centenaire de St. Grégoire Magno : chant grégorien d'aprés la 2e édition de Solesmes / [Dom Antonio] Rella, chef de choeur », sur Gallica, (consulté le ).
  11. http://www.medieval.org/emfaq/cds/dis00001.htm
  12. (en)https://www.yumpu.com/en/document/view/3845650/chral-and-vocal-ensemble-78s-holdridge-records-selling-
  13. http://catalog.nypl.org/search/o294782717
  14. (en)http://www.arsc-audio.org/index.php
  15. http://scholasaintmaur.net/interpretation-une-reflexion-interessante-mocquereau-vs-pothier
  16. Quelques questions sur le Grégorien, d'où vient-il ? où mène-t-il ?, p. 24, Abbaye Notre-Dame de Triors et Imprimerie Saint Joseph, Lyon
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