Lihons

Lihons[alpha 1],[alpha 2] est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Lihons

La mairie-école, au fronton décoré d'une croix de guerre.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes Terre de Picardie
Maire
Mandat
Robert Billore
2020-2026
Code postal 80320
Code commune 80481
Démographie
Gentilé Lihonsois
Population
municipale
448 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 30″ nord, 2° 46′ 01″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 112 m
Superficie 12,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Lihons
Géolocalisation sur la carte : Somme
Lihons
Géolocalisation sur la carte : France
Lihons
Géolocalisation sur la carte : France
Lihons
Liens
Site web http://www.mairie-lihons.fr/

    Géographie

    Géographie physique

    Lihons est située sur un des points les plus élevés du Santerre (84 à 110 m)[1], à 40 km à l'est d'Amiens. La commune s'étend sur 1 242 hectares principalement occupée de terres labourables et de quelques bois[2].

    Nature du sol et du sous-sol

    La formation du sol de la commune date de l'ère tertiaire. Il est composé d'une couche d'argile de quelques mètres d'épaisseur qui repose sur un banc de sable épais d'une dizaine de mètres. En dessous, se trouve la craie[3].

    Relief, paysage, végétation

    La commune de Lihons se situe sur le plateau du Santerre dont elle abrite le point culminant, au lieu-dit : la Sole du Télégraphe (112 m d'altitude). Plusieurs dépressions ou vals se répartissent sur le territoire communal[3].

    Hydrographie

    La nappe phréatique est située à neuf mètres sous le niveau du sol. Aucun cours d'eau ne traverse la commune[3]. Toutefois, autrefois existaient deux sources dont l'eau s'écoulait en ruisseau :

    • la source du grand manoir alimentait entre autres un moulin ;
    • la fontaine de Saint-Médard, formait d'abord l'étang du prieuré puis traversait la prairie[1].
    Climat

    Le climat de Lihons est tempéré océanique avec vents dominants de sud et d'ouest.

    Géographie humaine

    Voies de communication

    La commune est desservie par l'ex-route nationale 337 (actuelle RD 337) reliant Nesle à Bayonvillers et qui la raccorde à l'ex-route nationale 29.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune de Lihons a un habitat groupé autour de la place avec quelques fermes isolées[3].

    Communes limitrophes

    Transports en commun routiers

    La localité est desservie par les lignes de bus no 47 et no 59 du réseau de cars inter-urbain Trans'80, Péronne-Amiens et Rosières-Amiens, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Lihons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,9 %), zones urbanisées (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), mines, décharges et chantiers (3,5 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    On rencontre plusieurs formes pour désigner Lihons dans les textes anciens : Lihumin Santeriensis, Lihums (1215)[3]... Le nom du village viendrait de la défaite qu'auraient subie les Huns en un lieu proche de Lihons.

    Histoire

    Une tradition issue des chroniques de Saint-Denis fait remonter à l'an 450 l'origine de Lihons liée à une bataille contre les Huns. Une chapelle aurait été édifiée pour commémorer l'événement, et ensuite un prieuré[3].

    L'histoire de Lihons a été très fortement marquée depuis le Moyen Âge par la présence du prieuré Saints-Pierre-et-Paul de l'ordre bénédictin[12].

    Le seigneur de Lihons était le prieur, qui disposait de tous les droits de vicomté, comme ceux de mesure, de forage, de voirie et de chasse. Il fallait la permission des moines pour jouer aux « trémarels », ancien jeu de hasard où l'on se servait de dés[1]. Les habitants obtiennent une charte communale en 1123 inspirée de celle obtenue à Amiens, mais l’administration communale reste étroitement contrôlée par le prieur[3],[13].

    À Lihons, un autre fief seigneurial dépendant du prieuré, se trouve au Grand Manoir[14]. Il se compose d'un château fort d'une superficie d'environ 300 journaux en bâtiments, fossés, cours, jardins, prés, bois, étangs, et 50 journaux de terres en culture avec une chapelle[1]. La seigneurie du Grand Manoir passe ultérieurement par mariage à la famille de Soyécourt.

    En 1308, un incendie détruit une grande partie du village.

    En 1415, un certain Mauroy de Saint-Léger vient piller le village et le prieuré. En 1417, Jean de Luxembourg, envoyé du duc de Bourgogne séjourne à Lihons avec ses troupes jusqu'au 10 décembre. En 1430, c'est le duc Philippe le Bon lui-même qui est présent à Lihons[3].

    En 1436 et 1437, Lihons doit subir les exactions des Écorcheurs Antoine de Chabannes, Robert Floquet et de leurs hommes qui pillent le village.

    En 1440, c'est le chef anglais Talbot, à la tête de 2 000 soldats, qui investit le bourg. Les habitants réfugiés dans l'église refusent de se rendre, celle-ci est incendiée, trois cents habitants auraient alors péri.

    En 1468, le roi d'Angleterre Henri VI établit son camp à Lihons.

    En 1472 Charles le Téméraire s'installe à Lihons avant d'entreprendre le siège et le sac de Nesle.

    En 1523, les Anglo-hollandais prennent Lihons. En 1552, ce sont les Espagnols du comte de Rœux qui brûlent le village[3].

    En 1771, un incendie consume 109 maisons du village.

    À la fin de l'épopée napoléonienne, lors de la campagne de France (1814) et des Cent-Jours (1815) les Cosaques occupent Lihons. La mémoire collective en a gardé un souvenir horrifié à la fin du XIXe siècle[3].

    Un poste de télégraphe Chappe était établi dans la commune. Il a été démoli en 1850[1].

    Première Guerre mondiale

    Dès le , la commune est occupée par l'armée allemande qui l'évacue à la suite de la bataille de la Marne. De violents combats opposent les armées française et allemande le pour la maîtrise du bourg, point culminant de la région et donc position stratégique. Le bourg est alors en grande partie détruit[15]. De nouveaux combats s'engagent en 1915 pour sa maîtrise. En 1916, Lihons se trouve dans la zone des combats de la bataille de la Somme [16]. En 1917, les Allemands se replient sur la ligne Hindenburg et l'armée française est remplacée par l'armée britannique. À nouveau reprise par les Allemands le , le , durant la bataille de Picardie (08-1918), la commune est libérée par l'armée australienne, l’Australian Army[17]. À l'issue de la guerre, le village est entièrement détruit[18].

    Soldats australiens à Lihons en 1918.

    La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [19], et le village est reconstruit dans l'entre-deux-guerres

    La commune a également été décorée de la Croix de guerre 1939-1945 le [20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chaulnes[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

    Intercommunalité

    La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[22].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[23],[24],[25]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [26], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [27].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29].
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    décembre 1919 novembre 1922 Napoléon Beaufils    
    novembre 1922 juillet 1925 Antonin Poiret    
    juillet 1925 janvier 1939 Victor Bonte    
    avril 1939 octobre 1943 Ernest Tissier    
    octobre 1943 février 1944 Paul Vanneufville   Faisant fonction de maire
    octobre 1944 mars 1945 Alfred Letellier    
    mai 1945 novembre 1946 Paul Lepère    
    novembre 1946 mars 1983 Marcel Froissard    
    mars 1983 juin 1995 Albert Vanneufville    
    juin 1995 En cours
    (au 8 octobre 2020)
    Robert Billoré NC Réélu pour le mandat 2020-2026[30],[31]

    Population et société

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Lihonsois[29].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2018, la commune comptait 448 habitants[Note 2], en augmentation de 14,29 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3541 1101 1621 2051 2481 2641 2121 2641 269
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2071 2181 2221 2411 2301 1189901 040909
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    824741653380404454466366389
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    435384366321366377386389437
    2018 - - - - - - - -
    448--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2007, les enfants de la commune étaient scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) regroupant Lihons et Proyart, soit 133 élèves au total[35].

    Musique

    L'ancienne école communale a été transformée en école de musique intercommunale. À la rentrée 2018, l'école de musique de Haute-Picardie compte 113 inscrits[36],[30].

    Manifestations culturelles et festivités

    La deuxième édition du Festilihons a attiré 3 600 spectateurs sur 4 jours en 2019. L'édition suivante est prévue en 2021[30].

    Économie

    L'activité économique dominante est l'agriculture. Les services sont représentés un café restaurant nommé "chez Claude" [Quand ?].

    Selon le recensement de 1999, il y avait 60 emplois présents sur la commune, dont 26 occupés par des habitants de Lihons. Les entreprises étaient alors :

    • une entreprise de traitement de déchets ;
    • un centre d’enfouissement technique ;
    • deux entreprises d’extraction et de traitements de matériaux de routes ;
    • une menuiserie métallique ;
    • un garage automobile – carrosserie ;
    • un bar restaurant ;
    • une infirmière ;
    • une coiffeuse.

    On comptait à la même époque huit exploitations agricoles, et la commune disposait d'une surface agricole utile (SAU) de 411 ha dont 405 sont des terres labourables : l'activité agricole était essentiellement céréalière, et l'élevage de bovins était marginal[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Médard : détruite pendant la Grande Guerre[38],[39], l'église a été reconstruite pendant l'entre-deux-guerres.
    • La tombe du prince Murat : située à la lisière nord-est du village au Bois Cepey, dans un parc, cette tombe a été érigée par sa famille et offerte à la commune en 1961. Elle est surplombée d'une aigle impériale et abrite la dépouille du prince Murat. L'épitaphe suivante y est gravée :

    « À cette place, où il a été tué, repose Louis Marie Michel Joachim Napoléon Prince Murat, né à Rocquencourt, Seine-et-Oise, le , engagé volontaire, maréchal des logis au 5e régiment de cuirassiers à pied, mort pour la France le 21 août 1916, petit-neveu de Napoléon Ier, petit-fils de : Joachim Murat, engagé volontaire, Maréchal de France, Prince et Grand Amiral de l'Empire Français, Grand-duc de Berg et de Clèves, Roi de Naples, a commandé en chef la Grande Armée ; de Michel Ney, engagé volontaire, Maréchal de France, Duc d'Elchingen, Prince de la Moskova, le Brave des Braves ; et d'Alexandre Berthier, Maréchal de France, Prince de Wagram, Prince souverain de Neuchâtel et de Valengin, major général de la Grande Armée. Comme eux, il a servi sa patrie. »

    • Nécropole nationale française
    Ce cimetière militaire français rassemble les corps de 6 581 soldats de la Première Guerre mondiale tués essentiellement lors de la bataille de la Somme[40].
    • Plaque sur la mairie en hommage aux anciens de la 27e division d'infanterie française.
    • Chapelle située sur la RD 79 et nombreux calvaires. La chapelle, primitivement dédiée à Notre-dame de Miséricorde a été construite en 1840. Détruite en 1914, elle est réédifiée en 1929, comme l'église, et devient chapelle Notre-Dame-de-Lourdes. Elle est située près de la ferme de Lihu, en direction de Vermandovillers[41].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi[47] :
    mi parti de gueules à la croix d'argent cantonnée de 4 têtes de lions contournées du même et d'azur à la croix d'or cantonnée de 4 têtes de lions d'or à dextre et d'argent à senestre[48].
    Ornement extérieur : Croix de guerre 1914-1918

    Annexes

    Bibliographie

    • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 – réédition, Chaulnes et ses environs, Paris Res Universis 1992, Rassort Lorisse, 2006 (ISBN 2 - 87 760 - 916 - 2) (Monographie)
    • Olivier Garcin, Le Santerre à l'amont de la Luce, histoire des origines à 1900, tome second : Rosières-en-Santerre et ses alentours, Mortagne-au-Perche, La Vague verte, 2016 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 081 - 5).
    • Maurice Thiéry, La Guerre en Picardie 1914-1918, Paris, Le Livre d'histoire-Lorisse, 2014, reprise de l'édition de 1920 (ISBN 978 - 2 - 7 586 - 0 778 - 6)
    • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, La Vague verte, 2007 (ISBN 978 - 2 - 913 924 - 99 - 4)
    • G2C, Commune de Lihons : rapport de présentation de la Carte communale, , 48 p. (lire en ligne [PDF]).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Rappels

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes

    1. Prononcer « li-onsse ».
    2. Parfois appelée « Lihons-en-Santerre » — probablement en référence à l'ancien prieuré de Lihons-en-Santerre détruit à la fin du XVIIIe siècle à l'issue de la Révolution française — mais cette appellation n'a aucun caractère officiel.
    3. « Petit-neveu » selon l'épitaphe, car il en est en réalité l'arrière-arrière-petit-neveu, ce qui peut être vérifié en consultant la généalogie partielle de la maison Murat.
    4. « Petit-fils » selon l'épitaphe, car il en est en réalité l'arrière-arrière-petit-fils, ce qui peut être vérifié en consultant la généalogie partielle de la maison Murat.

    Références

    1. « La Commune », Histoire, sur http://www.mairie-lihons.fr (consulté le ).
    2. Rapport de présentation de la carte communale, 2008, op. cit. en liens externes, p. 8.
    3. Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur de Lihons, M. Labitte, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens Lire la notice en ligne.
    4. « Trans80, Lihons », sur trans80.hautsdefrance.fr.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. « Vue de l'ancienne abbaye-prieuré de Lihons-en-Santerre en 1755 [vue des bâtiments en élévation] », Péronne, lithographie de J. Quentin. - J. Faroz, lith. - E. Poiré, del. - Tiré de l' « Histoire de l'arrondissement de Péronne » par l'abbé Paul de Cagny, Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
    13. « Arrêt du conseil d'état qui supprime un droit de péage qui était prétendu par le prieur de Lihons en Santerre, audit lieu de Lihons, généralité d'Amiens », Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, F-21147 (21), (consulté le ) sur Gallica.
    14. « Vieux manoir de Lihons-en-Santerre. - [Aquarelle], d'après une photographie communiquée par M. Pinsard, 1892. », sur Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    15. Agence Rol. Agence photographique, « Lihons, une rue : [photographie de presse] », Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, EI-13 (473), (consulté le ) sur Gallica.
    16. Section photographique de l'armée, « Photo : Tranchée près de Lihons », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 40, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. Panneau d'histoire locale, reproduit dans la section Lieux et monuments.
    18. Section photographique de l'armée, « Photo : Lihons - partie centrale du village », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 40, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    19. Journal officiel du 30 octobre 1920
    20. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 » [PDF], Association du Mémorial des batailles de la Marne, Dormans (51700), (consulté le ), p. 46.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    23. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    24. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    25. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    26. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    27. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    28. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    29. « Lihons et son histoire », Vivre à Lihons, sur http://www.mairie-lihons.fr (consulté le ).
    30. « Robert Billoré candidat à la mairie de Lihons », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Il est élu au conseil municipal depuis 1989, et il est maire de Lihons depuis 1995. Robert Billoré (59 ans) briguera un nouveau mandat en mars 2020, et sa décision est prise depuis longtemps. « Déjà, quand j’ai été réélu en 2014, j’avais l’intention de poursuivre en 2020, car il y a beaucoup de choses à faire ici pour continuer tout ce qui est déjà entrepris ».
    31. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Rapport de présentation de la carte communale, 2008, op. cit. en liens externes, p. 21.
    36. Cécile Wilczewski, « L'école de musique va fêter ses 20 ans : En cette année 2019, l'école de musique est en bonne santé et a de nombreux projets en préparation », Courrier picard, , p. 14-A.
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