Proyart

Proyart est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Proyart

Le monument aux morts de Proyart.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Jean-Claude Louvet
2020-2026
Code postal 80340
Code commune 80644
Démographie
Population
municipale
703 hab. (2018 )
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 16″ nord, 2° 42′ 29″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 93 m
Superficie 9,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Proyart
Géolocalisation sur la carte : Somme
Proyart
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Proyart
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Proyart

    Géographie

    Localisation

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    Communes limitrophes

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol et le sous-sol de la commune sont de formation secondaire, tertiaire et quaternaire. Les trois quarts du territoire sont formés de la terre franche typique du Santerre, le limon des plateaux. Le sous-sol est crayeux et marneux Dans la vallée de la Somme, le sol est tourbeux. Le sol est plutôt perméable par ailleurs[1].

    Relief, paysage, végétation

    La vallée de la Somme est d'une altitude de 30 m et le point culminant est de 82 m d'altitude. Le sol est pratiquement plat si l'on excepte la vallée sèche dite  vallée frévale qui contourne le village[1].

    Les étendues d'eau du marais qu'on appelle entailles produisaient à la fin du XIXe siècle de la tourbe pour le chauffage des habitations. La nappe phréatique qui alimentait les puits en 1899 se trouvait à une profondeur moyenne de 40 m[1].

    Hydrographie

    Le fleuve côtier la Somme constitue la limite nord du territoire communal.

    La nappe phréatique se trouvait à la fin du XIXe siècle à environ 40 m au-dessous du niveau du sol[1].

    Climat

    Le climat est tempéré océanique (la Manche est à environ 100 km).

    Hameaux et écarts

    Il existe un hameau situé à l'écart du chef-lieu, le hameau de La Rapperie, au carrefour de la route Amiens-Saint-Quentin et de la route Moreuil-Albert.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    L'essentiel de l'habitat est groupé au chef-lieu totalement reconstruit pendant l'Entre-deux-guerres.

    Transports et déplacements

    En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les mardis sauf les jours fériés (ligne no 43, Harbonnières - Rosières-en-Santerre, ligne no 47 et ligne no 59)[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Proyart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,4 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (5,1 %), eaux continentales[Note 3] (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    On trouve plusieurs formes pour désigner Proyart dans les textes anciens : Proiast, Projast (1123), Proïast (1126), Prohar (1209), Prœat (1215) dans une charte de Philippe Auguste. L'origine du nom viendrait du latin Proastium (bien de campagne près d'une ville) ou Preagium (préage, redevance à payer sur des prés)[10].

    Histoire

    Des armes de pierre, des poteries et des monnaies anciennes ont été trouvées sur le territoire, ainsi que des tombeaux romains[1].

    Moyen Age

    La première mention du nom Proyart apparaît dans une charte du cartulaire du prieuré de Lihons-en-Santerre. En 1124, Enguerrand, évêque d'Amiens confirme au prieuré de Lihons la possession de la paroisse de Proyart que lui avait concédé Milon de Péronne. Les marais de Proyart auraient été donnés par la reine Bathilde à l'abbaye de Corbie qui furent laissés en usufruit aux habitants contre redevance[11].

    Vers 1311, un poste de templiers est relevé au lieu-dit les Trois Arbres[1].

    Epoque moderne

    En 1636, Les troupes espagnoles commandées par Jean de Wert ravagèrent le village et brûlèrent l'église Saint-Vaast qui dut alors être recouverte de chaume[1].

    En 1713, le maréchal d'Harcourt vendit sa propriété. Le village comportait alors également le domaine de Valory, le Bois du Sart et le couvent des religieux de Sainte-Hélène[1].

    Epoque contemporaine

    Lors de la guerre franco-allemande de 1870, sept jeunes gens de la commune perdirent la vie lors de combats[1].

    À la fin du XIXe siècle, un moulin à vent à huile[12], une importante fabrique de sucre[13], une briqueterie et une panneterie (fabrique de tuiles) constituaient l'industrie locale avec cinq carrières qui produisaient la craie destinée aux fours à chaux[1].

    Première Guerre mondiale

    Avion allemand capturé en 1918, ramené à Proyart.

    L'une des premières batailles de la Première Guerre mondiale a lieu à Proyart le , où 20 000 soldats français s'opposent à 80 000 Allemands, permettant de ralentir l'offensive allemande sur Paris. Cette bataille, où 3 000 soldats meurent, met en évidence l'inadaptation du service français de santé dans son organisation précédant la guerre, qui se révèle incapable de soigner les blessés et nécessite l'aide spontanée de nombreux civils. À la suite de cette bataille, l'armée allemande et l'armée française se déplacent en même temps vers l'est du Bassin parisien où a lieu la bataille de la Marne[14],[15].

    La commune se trouve dans la zone des combats de la bataille de la Somme, en 1916[16],[17].

    En 1918, Proyart est de nouveau victime des combats : les Allemands ont lancé le l'offensive du Printemps et occupent de nouveau l'ensemble du plateau du Santerre. Ils enterrent leurs morts dans un cimetière, au nord du village. Proyart est finalement libérée le . Après le conflit, le cimetière allemand, aménagé, devient le cimetière militaire allemand de Proyart[18].

    La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [19]. Elle a également été décorée de la Croix de guerre 1939-1945 le [20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Chaulnes[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Ham.

    Intercommunalité

    La commune était adhérente de la communauté de communes de Haute-Picardie créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de Chaulnes et environs, et qui a pris sa dénomination de communauté de communes de Haute-Picardie en 1999.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[22].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[23],[24],[25]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [26], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [27].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Jacques Quillet    
    mars 2008[30] En cours
    (au 10 juillet 2020)
    Jean-Claude Louvet   Vice-président de la CC de Haute-Picardie (2014 → 2016)
    Vice-président de la CC Terre de Picardie (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[31]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

    En 2018, la commune comptait 703 habitants[Note 4], en augmentation de 5,4 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    604690682780837854880864889
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    857822829849873857839807818
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    762710625471524493499454464
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    501527513509514522585652697
    2018 - - - - - - - -
    703--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité économique de la commune est dominée par l'agriculture : grande culture céréalière et betteravière. Le commerce et l'artisanat de proximité complètent la vie économique de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Plaque de donation du monument aux morts.
    • Le monument aux morts, de taille exceptionnelle, en forme d'arc de triomphe avec des sculptures de Gourdon[35], a été offert en 1924 [36]avec le terrain qu'il occupe par M. et Mme Edgard François, dans la continuité de leur château. Il a également été financé par la ville de Cognac, marraine de guerre de Proyart[37],[18].
    • Le château.
    • L'église Saint-Vaast[38] : elle remplace l'église du XIVe siècle détruite en 1918, pendant la Première Guerre mondiale. L'édifice a été labellisé « Patrimoine du XXe siècle ».
    • La chapelle Notre-Dame.
    • La salle des œuvres scolaires et post-scolaires, construite en béton armé et bois dans le cadre de la Reconstruction en 1933 par Paul Rabant[39].
    • Râperie de betteraves, reconstruite après les destructions de la Première Guerre mondiale, et dont l'activité a cessé en 1978[40].
    • Le cimetière militaire allemand de Proyart, qui rassemble 4 643 corps dans des tombes individuelles matérialisées par des croix en métal. 117 corps n'ont pu être identifiés[41].
    • Le Circuit du souvenir de Proyart, chemin de mémoire consacré au combat de 1914 et à ceux de la Première Guerre mondiale[42].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Francine François-Dejuine, 1914-1924, 26 communes dans la tourmente, Inval-Boiron, la Vague verte, coll. « Souvenance », , 187 p. (ISBN 978-2-913924-99-4)
    • Francine Dejuine, 1935-1955, mémoires de 28 communes du Santerre, Inval-Boiron, Éd. la Vague verte, coll. « Souvenance », , 340 p. (ISBN 978-2-35637-035-8).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur de Proyart, M. Gaudré, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens, Lire la notice en ligne, sur le site des archives départementales.
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 978-2-877-60916-6) p. 159
    11. Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 978-2-877-60916-6) pp. 159-160
    12. Section photographique de l'armée, « Proyart (près). Moulin à vent », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 35, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    13. Section photographique de l'armée, « Proyart (près). La sucrerie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 35, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    14. « Proyart », Santerre 2014-2018 - La mémoire de la Grande Guerre dans la Somme (consulté le ).
    15. « Proyart 30-31 août 2014 », 14-18 en Somme (consulté le ).
    16. Section photographique de l'armée, « Proyart (près). Dépôt de munitions. Caissons de 75 au ravitaillement », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 35, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. Section photographique de l'armée, « Proyart (ravin de). Obusier de 370 : la culasse ouverte », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 35, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    18. « Monument aux morts de Proyart », Mémoriaux, sur http://www.somme14-18.com (consulté le ).
    19. Journal officiel du 30 octobre 1920
    20. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 » [PDF], Association du Mémorial des batailles de la Marne, Dormans (51700), (consulté le ), p. 475.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    23. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    24. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    25. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    26. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    27. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    28. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    29. « Les maires de Proyart », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    30. « Jean-Claude Louvet, maire de Proyart, se représente en faisant le pari du Canal : L’élu a présenté ses vœux à la population », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Claude Louvet l’a annoncé lors de sa cérémonie de vœux aux habitants de Proyart, dimanche 5 janvier : il est candidat à sa réélection aux Municipales 2020. En poste depuis 2008, il a établi un rapide bilan de l’année 2019 ».
    31. « Jean-Claude Louvet reste maire de Proyart comme depuis 2008 », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Gary Sheffield, La première Guerre mondiale en 100 objets : Ces objets qui ont écrit l'histoire de la grande guerre, Paris, Elcy éditions, , 256 p. (ISBN 978 2 753 20832 2), p. 14-15
    36. « Photographie : Proyart (Somme) - Arc de triomphe "Aux défenseurs de la Somme". Œuvre du sculpteur Gourdon, inauguré par le Général de Castelnau le 28 septembre 1924 », Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    37. « Monument aux morts de la Guerre de 1914-1918 et de la Guerre de 1939-1945 », notice no IA80000057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Oswald Macqueron, « Église de Proyart, canton de Chaulnes. - [Aquarelle d'après nature] », Bibliothèque municipale d'Abbeville, (consulté le ).
    39. « Salle des fêtes dite salle des Oeuvres Scolaires et Post-scolaires », notice no IA80000798, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Râperie (Râperie de Betteraves) », notice no IA00076527, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Alain Pouteau, « Nécropole allemande - Proyart », Les cimetières militaires de la Grande Guerre en Picardie, Picardie 1914-1918, (consulté le ).
    42. Halima Najibi, « La Grande Guerre 14-18 : le circuit souvenir de Proyart », France 3 Picardie, (lire en ligne, consulté le ).
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