Licques

Licques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Elle est réputée pour la volaille de Licques, et possède un patrimoine naturel (coteaux calcaires, bocage de la boutonnière du Boulonnais, forêts) et historique (abbaye) remarquable.

Licques

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Opale
Maire
Mandat
Brigitte Havart
2020-2026
Code postal 62850
Code commune 62506
Démographie
Gentilé Licquois
Population
municipale
1 631 hab. (2018 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 47′ 09″ nord, 1° 56′ 15″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 176 m
Superficie 18,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calais-2
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Licques
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Licques
Géolocalisation sur la carte : France
Licques
Géolocalisation sur la carte : France
Licques
Liens
Site web licques.fr

    Géographie

    Panneau d'entrée de la commune.

    Localisation

    Licques est un bourg niché au pied de la boutonnière du Boulonnais, au centre d'un triangle entre Boulogne-sur-Mer, Calais et Saint-Omer, dans la partie nord du cœur rural du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale. Le territoire de la commune s'étend sur les collines qui l'entourent, comprenant le hameau d'Écottes, d'où l'on aperçoit par temps clair les côtes de l'Angleterre.

    Le bois de Licques occupe la partie nord du territoire communal. De nombreux oiseaux sont inventoriés sur ce secteur riche en patrimoine naturel, et pour partie classé dans Natura 2000 (communal de Vigneau) : merle noir, pouillot véloce et pouillot fitis, troglodyte mignon, pinson des arbres, faisan, fauvette à tête noire, fauvette des jardins, rouge-gorge, busard des roseaux, hirondelle rustique, linotte huppée, vanneau huppé, tourterelle des bois[1], une partie des bois est composée de l'association entre des hêtres et des jacinthes des bois (association d'essences classée). Des orchidées poussent également, telle que l'orchidée pourpre.

    Topographie et géologie

    Une partie du territoire est marquée par des coteaux calcaires. Le calcaire est parfois affleurant (anciennes carrières), ou on le retrouve dans les sols calcaires, très clairs.

    Hydrographie

    La Hem prend sa source sur le territoire communal.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Licques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,8 %), forêts (33 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), prairies (8 %), zones urbanisées (3,8 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Liscae (1066), Liska (1072), Lisces (1084), Liskes (1119), Liskae (v. 1119), Liches (XIIe siècle), Lischae (1141), Liskia (1144), Lisches (1145), Leisceae (1159), Lischa (1185), Liskezs (1222), Licques (1312), Lisques (1357), Liisques (1427), Lisquez (1435)[9].

    Viendrait de l'anthroponyme germanique Liscus.

    Liske en flamand[10].

    Histoire

    Licques était située sur la voie romaine reliant Boulogne-sur-Mer à Cassel, via Le Wast, Alembon, Licques, Clerques, Tournehem-sur-la Hem, Watten[11].

    Licques était à l'origine une baronnie du puissant comté de Guînes existant dès le Xe siècle. De même, le seigneur de Courtebourne, faisant actuellement partie de la commune de Licques comptait également parmi les grands vassaux du comté. Plus tard, au XVIIIe siècle, le seigneur de Courtebourne portait le titre de marquis[12].

    L'histoire de Licques fut marquée par l'histoire des seigneurs de Licques, puissante maison qui possédait un château dont seules subsistent les ruines du donjon. En 1586 ils achetèrent le château l'Arbousset, à Espaly dans le Velay, qui fut entièrement rasé par les huguenots en 1591[13]. La branche directe de cette famille s'arrête au XVIIIe siècle.

    En 1127, Baudouin de Licques est un des barons du comte de Guînes Manassès Ier de Guînes, présent lorsque Manassès établit une charte en faveur de l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer[14]. Le dit Baudouin est encore témoin en 1136, avec ses frères Robert et Arnould, d'une charte établie par Eustache de Bavelinhem (Balinghem) en faveur de l'abbaye Saint-Médard d'Andres[15]. En 1145-1150, Eustache de Licques est témoin, avec d'autres seigneurs, d'une charte d'Arnould Ier de Guînes, en faveur de nouveau de l'abbaye de Saint-Bertin et d'une autre en faveur de l'abbaye de Clairmarais[16]. Vers 1170, Eustache est témoin de la ratification faite par Baudouin II de Guînes, fils d'Arnould Ier, en présence de tous les barons du comté, du don fait par Clément d'Autingehem, (Autingues), pair des seigneurs d'Ardres, à l'abbaye Saint-Médard d'Andres, d'un tiers de la dîme de Suaueque (Zouafques), tenue en fief d'Arnould d'Ardres [17].

    En 1273, Enguerrand de Licques est un des treize barons du comté de Guînes[18]. À la même date, la seigneurie de Courtebourne, a priori, implantée sur la commune de Licques est une des douze pairies du comté[18].

    Messire Philippe de Ricourt (ou de Recourt?) , chevalier, baron de Licques, est gouverneur du château de La Motte-aux-Bois[19] en 1587.

    Le 31 juillet 1630, la terre et seigneurie de Wissekercke (Wissekerke?), située dans le comté de Flandre, est érigée en baronnie avec haute justice (justice seigneuriale) en faveur de Philippe de Licques, seigneur de Wissekercke, qui a servi pendant plus de quarante ans comme capitaine d'infanterie de chevaux, lances, colonel d'infanterie wallonne, capitaine du château de Rupelmonde et d'une compagnie libre de 300 têtes, a été grand bailli du pays de Waes, comme a fait son père Philippe, baron de Licques pendant 46 ans[20].

    L'abbaye de Licques, fondée au XIIe siècle, fut aux mains des prémontrés jusqu'à la Révolution.

    Licques est historiquement la capitale de la volaille au nord de Paris, ce produit faisant la renommée du bourg depuis plusieurs siècles.

    Politique et administration

    Licques dans son canton et son arrondissement.
    Liste des maires successifs[21]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1959 1971 Henri Collette UNR Député (1958-1973)
    1971 1984 Christiane Collette UNR  
    1984 1995 Henri Collette RPR Sénateur (1981-1992)
    1999 2008 Jacques Lefebvre UMP Décédé en fonction
    2006[22] 2008 Brigitte Havart DVD  
    mars 2008 2014[23] Aliette Polaert    
    2014[24],[25] En cours Brigitte Havart
    Réélue pour le mandat 2020-2026[26]
    DVD  

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 1 631 habitants[Note 3], en augmentation de 2,13 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3101 2921 3611 5181 5811 6301 5761 7051 697
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5841 4621 4641 4201 4701 4671 3861 4281 427
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4141 4521 3851 3111 2331 2441 2741 2331 194
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 2961 3071 3891 3871 3511 4401 5101 5201 529
    2013 2018 - - - - - - -
    1 5971 631-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,9 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 23,9 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 17,2 %) ;
    • 51,1 % de femmes (0 à 14 ans = 21,8 %, 15 à 29 ans = 14,7 %, 30 à 44 ans = 21,2 %, 45 à 59 ans = 18,4 %, plus de 60 ans = 23,9 %).
    Pyramide des âges à Licques en 2007 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,3 
    6,0 
    75 à 89 ans
    11,3 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,3 
    20,9 
    45 à 59 ans
    18,4 
    23,9 
    30 à 44 ans
    21,2 
    16,0 
    15 à 29 ans
    14,7 
    21,9 
    0 à 14 ans
    21,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Économie

    L'agriculture est un secteur important pour la commune. La volaille de Licques, label rouge, est une viande réputée (poulets, dindes). Plusieurs volaillers sont implantés sur la commune, mais également des vergers. Des exploitants de vaches sont également présents.

    Le cœur de bourg a su préserver un commerce local (supérette, banque, pharmacie) et une brasserie[33].

    Un gîte, avec une chambre accessible aux personnes à mobilité réduite, et une chambre d'hôte sont implantés sur la commune. Ce gîte, nommé le Point du jour, a été réalisé en autoconstruction[34]. Un estaminet randonnée[33] et un camping de 72 emplacements complètent l'offre touristique.

    Sports

    La commune est équipée de terrains de sports.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments historiques

    L'église abbatiale.

    L'ancienne abbaye de Prémontrés est un monument classé.

    L'église est actuellement église paroissiale (cad. E 271). Elle est classée par l'arrêté du , au niveau des façades et toitures du bâtiment d'entrée avec ses deux pavillons, ainsi que du sol correspondant aux bâtiments conventuels détruits, notamment de l'ancien cloitre (cad. E 263, 262, 267 à 270, 272, 279) : inscription par arrêté du [35].

    Héraldique

    Blason
    Bandé d'argent et d'azur ; à la bordure engrêlée de gueules.
    Détails
    Inspiré des armes de la famille de Licques qui portait : « bandé d'argent (ou d'or) et d'azur ; à la bordure engrêlée de gueules ».
    Adopté par la municipalité.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. relevé effectué par la Ligue de protection des oiseaux le 8 mai 2010
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 223.
    10. roepstem.net - vlaanderen
    11. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1858, p. 81-83, lire en ligne
    12. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 981-82, lire en ligne.
    13. Site internet a.ferragne.free.fr __"Le cadre de vie et châteaux des seigneurs de Ferranhe à Espaly-Saint-Marcel".
    14. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 28, lire en ligne
    15. Du Chesne, option citée, p. 31.
    16. Du Chesne, option citée, p. 60.
    17. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 68, lire en ligne.
    18. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 981, lire en ligne.
    19. Louis de Backer, Château de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 35, lire en ligne
    20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 242, lire en ligne.
    21. « Les maires de Licques », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    22. M. D-L (CLP), « Licques : Brigitte Havart sera candidateaux élections municipales de mars 2014 », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) :
      « Maire intérimaire durant deux ans et demi à la suite du décès de Jacques Lefebvre (UMP), Brigitte Havart n’avait pu être reconduite dans cette fonction, Aliette Polaert l’ayant emportée avec la liste « Agir et innover » à la surprise générale »
      .
    23. M. D.-L. (CLP), « Licques : la maire, Aliette Polaert, règle ses comptes avant de partir : Aliette Polaert a profité de la cérémonie des vœux, samedi, pour annoncer qu’elle ne briguerait pas de nouveau mandat en mars. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Licques : Brigitte Havart, un premier mandat en tant que maire : Arrivée en tête au terme du premier tour avec quelque 54 % des voix, la liste de Brigitte Havart est passée de l’opposition à la majorité. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, .
    26. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21597855
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « Évolution et structure de la population à Licques en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    32. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    33. Restauration dans les 3 Pays
    34. Guide de l'écoconstruction en Caps et Marais d'Opale, syndicat mixte du Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, 2010
    35. Bases de données Ministère de la culture
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