Le Perthus
Le Perthus [lə pɛʁtys] (en catalan El Pertús) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Perthus.
Le Perthus | |||||
Vue du Perthus. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Vallespir | ||||
Maire Mandat |
Thierry Thadée 2020-2026 |
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Code postal | 66480 | ||||
Code commune | 66137 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Perthusiens, Perthusiennes | ||||
Population municipale |
561 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 131 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 27′ 54″ nord, 2° 51′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 196 m Max. 647 m |
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Superficie | 4,27 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vallespir-Albères | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Perthusiens.
Géographie
Localisation
La commune du Perthus se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[1].
Elle se situe à 26 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 10 km de Céret[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Les Cluses (3,2 km), L'Albère (3,3 km), Maureillas-las-Illas (5,2 km), Montesquieu-des-Albères (6,1 km), Le Boulou (7,2 km), Villelongue-dels-Monts (7,6 km), Saint-Jean-Pla-de-Corts (7,8 km), Laroque-des-Albères (8,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Le Perthus fait partie du Vallespir, ancienne vicomté (englobée au Moyen Âge dans la vicomté de Castelnou), rattachée à la France par le traité des Pyrénées (1659) et correspondant approximativement à la vallée du Tech, de sa source jusqu'à Céret[5].
Sur le plan physique, le village chef-lieu est à cheval sur la frontière entre la France et l'Espagne. Le ravin de la Comtesse et la route nationale 9 le divisent en deux parties : le nord et l'ouest du village sont la commune et le village français du Perthus. L’est et le sud, anciennement appelés Els Límits et dépendant de la commune de La Jonquera, province de Gérone, s'appellent à présent El Portús depuis le par décision du conseil municipal (ajuntament) de La Jonquera. La partie française de l’agglomération est plus peuplée que la partie espagnole. L'avenue de France / avinguda Catalunya fait office de frontière séparant les deux pays, la chaussée de la RN9 proprement dite étant française et la bordure du trottoir-est étant espagnole. D'aval en amont, les bornes-frontière 574, 575 et 576 matérialisent précisément la délimitation des deux pays. La borne 577, la plus massive est située en haut de la rue de la Comtesse.
Le village est construit dans le col du même nom. Bien que le village soit situé au sud du col, il est partagé entre l'Espagne et la France afin que cette dernière garde la souveraineté sur le fort de Bellegarde qui contrôlait le passage entre les deux pays. Voir les articles col du Perthus et Col de Panissars.
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].
Climat
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 4,4 | 4,5 | 6,8 | 8,6 | 12,2 | 15,9 | 18,3 | 18,4 | 15 | 12 | 7,6 | 4,8 | 10,7 |
Température moyenne (°C) | 8 | 8,5 | 11,2 | 13,2 | 17,1 | 20,9 | 23,8 | 23,9 | 19,9 | 16,1 | 11,3 | 8,3 | 15,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 11,6 | 12,6 | 15,7 | 17,8 | 22 | 26 | 29,3 | 29,3 | 24,8 | 20,1 | 14,9 | 11,8 | 19,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−5,6 08.2009 |
−6 09.2012 |
−5,2 11.2010 |
0,6 15.1999 |
3 04.2010 |
7 12.2019 |
11,3 10.1993 |
10,8 29.1997 |
6,8 28.2007 |
1,1 25.2003 |
−3,6 22.1998 |
−4,5 15.2001 |
−6 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
23,5 03.2018 |
24,8 03.2020 |
27,1 24.1994 |
30,7 08.2011 |
33,5 30.2001 |
41,6 28.2019 |
38 25.2006 |
41,5 13.2003 |
36 04.2016 |
31,1 07.2009 |
24,4 10.2015 |
22,1 30.2009 |
41,6 2019 |
Précipitations (mm) | 77,7 | 66,8 | 59,2 | 81,3 | 84 | 47,9 | 26,2 | 49 | 79,4 | 109,1 | 75,5 | 95 | 851,1 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm | 6 | 4,9 | 5 | 7,9 | 7,3 | 4,9 | 3,1 | 4,8 | 5,9 | 7,1 | 6,1 | 5,5 | 68,3 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm | 3,2 | 2,6 | 2,8 | 3,9 | 4,3 | 2,7 | 1,6 | 2,7 | 3,5 | 4,1 | 3,4 | 3,5 | 38,3 |
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm | 2,2 | 1,9 | 1,8 | 2,2 | 2,9 | 1,4 | 1 | 2 | 2,2 | 2,9 | 1,8 | 2,3 | 24,4 |
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[9] : le « fort de Bellegarde » (129 ha), couvrant 2 communes du département[10] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[9] :
Urbanisme
Typologie
Le Perthus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,6 %), forêts (38,6 %), zones urbanisées (6,8 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les premières mentions du nom sont Pertusium en 1306 et Lo Pertus en 1343. Le sens du nom se trouve dans le latin pertusum : percement ou percée[19].
Histoire
Le village du Perthus, mentionné pour la première fois au début du XIVe siècle, est au Moyen Âge une propriété des comtes de Roussillon et d'Empúries[21].
Après le traité des Pyrénées en 1659, Le Perthus devient une frontière avec le royaume d'Espagne.
La commune est fondée une première fois le comme agrégation des communes des Cluses et de l'Albère sous le nom de Perthus. Devant le refus de ces deux communes d'être intégrées, ces deux communes redeviennent indépendantes dès le . Le , un morceau de territoire est amputé à la commune des Cluses, ainsi qu'à la commune de l'Albère, afin de former, définitivement cette fois, la nouvelle commune du Perthus, d'une taille réduite de 427 ha[21],[22]. Cependant, le territoire de la future commune est déjà défini dès 1848 et les élections organisées cette même année, avant même la création officielle de la commune. Le scrutin est immédiatement contesté pour divers motifs et deux des premiers élus voient leur élection invalidée en 1850 en raison de liens de parenté trop proches avec d'autres membres du conseil municipal[23].
Le Perthus est le théâtre d'un exode massif de réfugiés en 1939 lors de la guerre civile en Espagne.
Depuis les années 1950, c'est un des points de passages importants entre la France et l'Espagne mais aussi un immense centre commercial, analogue à celui situé à La Jonquera, au sud de la frontière.
Le , un important incendie se déclare sur le territoire de la commune, sur les versants sud et est de la colline du fort de Bellegarde, bloquant momentanément l'accès entre la France et l'Espagne[24].
Le , la commune intègre la Communauté de communes du Vallespir[25].
Politique et administration
Canton
Lors de sa création définitive en 1851, la commune du Perthus est incluse dans le canton de Céret, dont elle a fait partie depuis. Les deux communes dont elle est issue étaient alors incluses dans le canton de Céret pour Les Cluses et dans le canton d'Argelès pour L'Albère[22]. À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de Vallespir-Albères.
Liste des maires
Le conseil des Ministres a prononcé le mercredi la dissolution du conseil municipal[31]. La commune ne disposait plus de majorité, ce qui entraînait une situation de blocage : en 2017, la commune n’avait pas été en mesure de voter son budget.
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2018, la commune comptait 561 habitants[Note 5], en diminution de 3,77 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +2,95 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Note : Avant 1851, les habitants sont recensés avec L'Albère ou Les Cluses.
selon la population municipale des années : | 1968[36] | 1975[36] | 1982[36] | 1990[36] | 1999[36] | 2006[37] | 2009[38] | 2013[39] |
Rang de la commune dans le département | 64 | 77 | 74 | 88 | 89 | 103 | 105 | 106 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
La partie française de la commune possède une école bilingue (français-catalan) ouverte aux enfants des deux communautés, ce qui constitue une expérience pilote en matière d'éducation. Cette école se trouve en bordure de la rue du Petit Pont ou carrer del Còrrec de les Comtesses qui sépare les deux pays.
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale : 23 au [40].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 605 €[41].
Entreprises et commerces
Durant la haute saison, on estime le nombre moyen de visiteurs quotidiens dans la rue commerciale à environ 70 000. Le Perthus est donc un site original où le calme du village contraste avec l'excitation de l'avenue commerçante.
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Le Perthus possède deux sites historiques importants : le fort de Bellegarde et l'espace archéologique de Panissars ayant abrité le trophée de Pompée érigé lors de son retour d'Espagne. Des bornes matérialisent la frontière franco-espagnole dans le village dont la plus visible dans l'avenue principale (avenue de France - avinguda de Catalunya) porte le numéro 576. Une autre borne pyramidale, en béton, sépare les deux pays, en amont de la rue du Petit Pont et portant le numéro 577.
- Le Fort de Bellegarde ;
- Le Col de Panissars, où se rencontrent les vias Augusta et Domitia, et l'église Sainte-Marie de Panissars (ruines);
- L'église Saint-Louis Roi du Perthus, édifice néo-gothique construit entre 1860 et 1869 ;
- Chapelle du Fort de Bellegarde du Perthus ;
- Le cimetière militaire de Panissars datant du XVIIe siècle.
- Vestiges de l'église Sainte-Marie de Panissars
- Église Saint-Louis Roi du Perthus
- Chapelle du Fort de Bellegarde du Perthus
Personnalités liées à la commune
- Laurent Jacquot-Defrance (1874-1909) : peintre né au Perthus ;
- Joan Tocabens (1940-) : écrivain et parolier né au Perthus ;
- Jocelyne Jocya (1942-2003) : chanteuse née au Perthus.
Culture populaire
Dans leur spectacle « La brigade des feuilles », le duo d'humoristes Les Chevaliers du fiel font référence au Perthus, que les personnages interprétés considèrent comme une ville sainte pour les achats.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune du Perthus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Le Perthus et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Le Perthus et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches du Le Perthus », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 227-228.
- Carte IGN sous Géoportail.
- Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
- « Plan séisme » (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune duPerthus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « fort de Bellegarde » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF « le Vallespir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif des Albères » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Fabricio Cárdenas, 66 petites histoires du Pays Catalan, Perpignan, Ultima Necat, coll. « Les vieux papiers », , 141 p. (ISBN 978-2-36771-006-8, notice BnF no FRBNF43886275).
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Elus invalidés au Perthus en 1850, 16 août 2014
- Nouvel incendie dans les Pyrénées, Le Figaro, 22 juillet 2012.
- Martial Mehr, L'Indépendant, Le Perthus, Les Cluses et L'Albère rejoignent l'intercommunalité, 6 janvier 2014
- Liste des maires depuis 1851 sur MairesGenWeb
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, « Liste des maires élus en 2008 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 », sur http://la-clau.net.
- Antoine Gasquez, « Mairie du Perthus : le maire et le premier adjoint démissionnent », La Semaine du Roussillon, (lire en ligne, consulté le ).
- Jean-Michel Collet, « Marie-Hélène Ruart Lucquin, élue maire à l'unanimité vendredi soir », L'Indépendant, .
- François David, « Le conseil des ministres dissout le conseil municipal du Perthus », France bleu, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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