Laval Agglomération

Laval Agglomération, communément appelée Laval Agglo, est une communauté d'agglomération française, située dans le département de la Mayenne et la région Pays de la Loire. Elle est centrée sur la ville de Laval.

Laval Agglomération
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Forme Communauté d'agglomération
Siège Laval
Communes 34
Président Florian Bercault (Divers gauche)
Budget 76 238 780  (2017)
Date de création
Code SIREN 200083392
Démographie
Population 113 854 hab. (2018)
Densité 166 hab./km2
Géographie
Superficie 686,10 km2
Localisation

Localisation de la communauté d'agglomération dans le département de la Mayenne.
Liens
Site web agglo-laval.fr
Fiche Banatic Données en ligne
Fiche INSEE Dossier complet en ligne

    Cette structure intercommunale regroupe plus de 110 000 habitants et trente quatre communes aux profils divers, certaines étant intégrées à l'unité urbaine de Laval, les autres étant restées plutôt rurales. Son président est traditionnellement le maire de Laval.

    Au , la nouvelle communauté d'agglomération fusionne avec la communauté de communes du Pays de Loiron[1], cette dernière était déjà associée au travers du schéma de cohérence territoriale « Pays de Laval et de Loiron ».

    Histoire

    Logo de Laval Agglomération avant mars 2016.

    Laval Agglomération, plus communément appelée Laval Agglo, est le successeur du district urbain de Laval créé en 1963. Ce district était alors composé de neuf communes : Bonchamp-lès-Laval, Changé, Entrammes, Forcé, Laval, L'Huisserie, Louverné, Montigné-le-Brillant et Saint-Berthevin[2]. Son premier président était Francis Le Basser. Robert Buron lui succède en 1971, et ce dernier laisse sa place à André Pinçon en 1973.

    En 1964, neuf autres communes rejoignent le district : Nuillé-sur-Vicoin, Argentré, Châlons-du-Maine, La Chapelle-Anthenaise, Louvigné, Parné-sur-Roc, Saint-Germain-le-Fouilloux, Saint-Jean-sur-Mayenne et Soulgé-le-Bruant. Ahuillé y adhère en 1966. En 1978, la commune de Soulgé-le-Bruant fusionne avec Nuillé-sur-Ouette et devient ainsi Soulgé-sur-Ouette. Auparavant, Nuillé ne faisait pas partie du district, et cette fusion permet donc un agrandissement territorial pour ce dernier[2].

    Au départ, les compétences du district portent principalement sur la construction et la gestion d'équipements publics tels que les rocades, le golf et les établissements d'enseignement supérieur. Il accompagne aussi des projets communaux et finance les Transports urbains lavallois, qui deviennent toutefois indépendants en 1987. Le district se renforce au cours des années 1980 et 1990, lorsque des syndicats sont créés pour harmoniser l'aménagement territorial[2].

    Le district urbain de Laval disparaît le , lorsque la communauté de communes du Pays de Laval est créée en remplacement. La nouvelle communauté est alors composée de dix-neuf communes, puis de vingt avec l'adhésion de Montflours en 1994. François d'Aubert en est élu président en 1995, il conserve ce mandat pendant treize ans. La communauté de communes du Pays de Laval devient la communauté d'agglomération de Laval en 2001. Le nom « Laval Agglomération » est finalement adopté l'année suivante[2].

    En 2008, Guillaume Garot devient à son tour président de Laval Agglomération. Nommé ministre délégué à l'Agroalimentaire en juin 2012, il quitte ses fonctions de maire de Laval et de président de Laval Agglomération, mandats où est élu Jean-Christophe Boyer, respectivement les 9 et .

    Le François Zocchetto, nouveau maire de Laval, est élu à la tête de Laval Agglo. Sous son mandat les trois principales villes de l'agglomération (Laval, Changé et Saint-Berthevin) sont dirigées par des maires UDI[3].

    Le , le Préfet de la Mayenne prononce la fusion de la communauté d'agglomération de Laval et de la communauté de communes du Pays de Loiron au [4]. Le nouvel établissement prendra le nom de Laval Agglomération[1].

    Le 7 juillet 2020, Florian Bercault, nouveau maire divers gauche de Laval est élu président de Laval agglomération.

    Territoire communautaire

    Géographie

    Située à l'ouest du département de la Mayenne, l'intercommunalité Laval Agglomération regroupe 34 communes et présente une superficie de 686,1 km2[5].

    Carte de l'intercommunalité Laval Agglomération au .

    Composition

    Carte des densités de population (millésimée 2016) des communes de l'intercommunalité Laval Agglomération. Composition en communes au [6].

    Laval Agglomération regroupe trente-quatre communes sur une superficie totale de 686,07 km2. La structure regroupe Laval et six communes du canton de Bonchamp-lès-Laval, les neuf du canton de L'Huisserie, les quatorze communes du canton de Loiron et les quatre du canton de Saint-Berthevin.

    Enfin, parmi ces trente-quatre communes :

    Liste des communes de l’intercommunalité
    Nom Code
    Insee
    Gentilé Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Laval
    (siège)
    53130 Lavallois 34,22 49 573 (2018) 1 449
    Ahuillé 53001 Ahuilléens 29,87 1 819 (2018) 61
    Argentré 53007 Argentréens 36,77 2 820 (2018) 77
    Beaulieu-sur-Oudon 53026 Belloudoniens 19,73 523 (2018) 27
    Bonchamp-lès-Laval 53034 Bonchampois 27,51 6 087 (2018) 221
    Le Bourgneuf-la-Forêt 53039 Bourgneuviens 28,6 1 757 (2018) 61
    Bourgon 53040 Bourgonnais 20,97 633 (2018) 30
    La Brûlatte 53045 Brûlattais 15,24 689 (2018) 45
    Châlons-du-Maine 53049 Châlonnais 9,66 708 (2018) 73
    Changé 53054 Changéens 34,68 6 128 (2018) 177
    La Chapelle-Anthenaise 53056 Anthenais 19,89 998 (2018) 50
    Entrammes 53094 Entrammais 26,16 2 268 (2018) 87
    Forcé 53099 Forcéens 4,94 1 095 (2018) 222
    Le Genest-Saint-Isle 53103 Genestois 18,59 2 135 (2018) 115
    La Gravelle 53108 Gravelais 6,23 559 (2018) 90
    L'Huisserie 53119 Huisseriens 14,72 4 275 (2018) 290
    Launay-Villiers 53129 Launay-Villersois 9,05 384 (2018) 42
    Loiron-Ruillé 53137 39,86 2 715 (2018) 68
    Louverné 53140 Louvernéns 20,58 4 386 (2018) 213
    Louvigné 53141 Louvignéens 12,56 1 148 (2018) 91
    Montflours 53156 Montflourais 7,93 251 (2018) 32
    Montigné-le-Brillant 53157 Montignéens 18,05 1 300 (2018) 72
    Montjean 53158 Montjeannais 19,75 1 039 (2018) 53
    Nuillé-sur-Vicoin 53168 Nuilléens 23,59 1 200 (2018) 51
    Olivet 53169 Olivétains 9,97 415 (2018) 42
    Parné-sur-Roc 53175 Parnéens 23,74 1 360 (2018) 57
    Port-Brillet 53182 Brillet-Pontins 8,1 1 798 (2018) 222
    Saint-Berthevin 53201 Berthevinois 32,11 7 348 (2018) 229
    Saint-Cyr-le-Gravelais 53209 Saint-Cyriens 19,82 551 (2018) 28
    Saint-Germain-le-Fouilloux 53224 Germinois 15,48 1 173 (2018) 76
    Saint-Jean-sur-Mayenne 53229 Saint-Jeannais 17,81 1 652 (2018) 93
    Saint-Ouën-des-Toits 53243 Saint-Ouennais 21,26 1 767 (2018) 83
    Saint-Pierre-la-Cour 53247 Pierrot Courtois 15,69 2 214 (2018) 141
    Soulgé-sur-Ouette 53262 Soulgéens 22,94 1 086 (2018) 47

    Démographie

    Depuis sa création en 1963, le district de Laval, remplacé par Laval Agglomération en 2002, a connu une forte hausse démographique. Le nombre d'habitants est ainsi passé de 61 347 habitants en 1968 à 95 608 en 2010. Cette hausse concerne surtout les communes périphériques, la ville de Laval n'ayant gagné qu'environ 10 000 habitants pendant l'intervalle. Par ailleurs, la population de la ville s'est stabilisée autour des 50 000 habitants depuis les années 1970[8].

    Les communes de la première couronne ont une croissance démographique relativement faible, mais elles figurent parmi les communes mayennaises les plus peuplées. Ainsi, Saint-Berthevin, avec 7 277 habitants en 2010, est la quatrième du département, et Bonchamp-lès-Laval, avec 5 843 habitants, la sixième. Enfin, L'Huisserie se caractérise encore par une forte expansion démographique, avec une hausse de près de 14 % entre 1999 et 2010 pour atteindre 4 088 habitants[8].

    Les communes de deuxième couronne les plus éloignées de Laval ont encore un faible nombre d'habitants, comme Montflours (234 habitants en 2009). Néanmoins, elles connaissent généralement des taux de progression très élevés, comme La Chapelle-Anthenaise, avec une croissance de 42 % entre 1999 et 2010, ou Châlons-du-Maine et Saint-Germain-le-Fouilloux, avec respectivement 52 et 53 % pour le même intervalle. Enfin, Louvigné, qui ne comptait que 1 057 habitants en 2010, a tout de même vu sa population augmenter de 58,5 % en onze ans. Cette croissance s'explique surtout par les prix peu élevés des terrains, et s'exprime par la construction d'infrastructures et de nombreux lotissements[8].

    Évolution démographique
    1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2018
    73 04485 97992 71598 079102 679110 267112 424113 854
    Les données proposées sont établies à périmètre géographique identique, dans la géographie en vigueur au 01/01/2021.
    (Source : [9])

    Administration

    Instances

    La communauté d'agglomération possède les instances administratives suivantes :

    • Un président, chargé de l'exécutif de la communauté d'agglomération. Il est élu par les conseillers communautaires et préside à la fois le conseil, le bureau communautaire et les commissions[10].
    • Un conseil communautaire, l'une des deux instances délibérantes, composé de 75 membres élus aux élections municipales et communautaires de 2020. Le nombre de conseillers par commune est réparti ainsi[11] :
    Nombre de déléguésCommunes
    33Laval
    4Saint-Berthevin
    3Bonchamp-lès-Laval, Changé
    2L’Huisserie, Louverné
    1Les autres communes

    Le Conseil communautaire élu en 2008 comptait 91 membres puis 76 en 2019 après la fusion. Les conseillers se réunissent au moins une fois par trimestre en séance publique et décident des grandes orientations de la communauté[10].

    • Un bureau communautaire, la seconde instance délibérante, qui compte 23 membres, dont le président de Laval Agglomération qui le préside, et 15 vice-présidents élus par le conseil. Le bureau se réunit une fois par mois, il examine les propositions des commissions et il peut discuter et décider des projets[10].
    • Neuf commissions permanentes, possédant un avis consultatif sur les dossiers relevant de leur compétence[12] :
      • Emploi et développement économique,
      • Environnement,
      • Ressources,
      • Aménagement,
      • Prospective,
      • Innovation,
      • Loisirs,
      • Administration générale,
      • Habitat.
    • Un conseil de développement de 50 membres désignés tous les trois ans par Laval Agglomération, dont 30 représentants d'associations ou de syndicats, et 20 personnalités choisies pour leur expertise locale. Ces membres se réunissent au moins deux fois par an en assemblée plénière et émettent des avis et des propositions sur le développement de l'agglomération. Le conseil est surtout spécialisé dans les questions d'emploi, de soutien à l'économie sociale et solidaire, de cohésion territoriale et d'agriculture[13].

    Budget

    Le budget de Laval Agglomération s'élève à 72 millions d'euros en 2012, dont 51 millions pour les dépenses de fonctionnement et environ 20 millions pour l'investissement. Le budget provient de(s)[14] :

    • Taxes et impôts, à hauteur de 43 % ;
    • Dotations, participations et subventions, à hauteur de 29 % ;
    • Emprunt, à hauteur de 16 %.

    En 2017, le budget de Laval Agglomération s'élève à environ 76 millions d'euros, dont environ 54 millions pour les dépenses de fonctionnement et environ 21 millions pour l'investissement[15].

    Compétences et champs d'action

    Laval Agglomération assure dix domaines de compétences[16] :

    • Développement économique, avec le projet de parc de développement économique « Laval Mayenne », conjointement avec le conseil général.
    • Enseignement supérieur : participation au financement de constructions nouvelles.
    • Innovation, avec l'agence « Laval Développement », le projet de « Cité de la réalité virtuelle » et l'installation du très haut débit.
    • Grands équipements communautaires.
    • Tourisme, sport, loisirs, culture : Laval Agglomération gère le centre de loisirs de la Blancherie, le centre d'initiation à la nature du Bois de l'Huisserie, le stade d'athlétisme de Laval et une partie du stade Francis-Le-Basser. Elle est aussi propriétaire du Bois de l'Huisserie, du golf de Changé et des bâtiments du Centre régional d'éducation formation de Laval. Enfin, la communauté s'occupe des campings de l'agglomération ainsi que des chemins de randonnée et du tourisme fluvial.
    • L'habitat, avec le programme local de l'habitat (PLH), des aides aux nouveaux propriétaires et pour l'amélioration des logements.
    • Cohésion sociale, avec le plan local pour l'insertion et l'emploi, le contrat urbain de cohésion sociale et trois aires d'accueil pour les gens du voyage.
    • Transports urbains : Laval Agglomération organise les Transports urbains lavallois et les Vélitul, aménage des pistes cyclables et fait partie du syndicat mixte qui gère l'aéroport de Laval - Entrammes.
    • Gestion des déchets : organisation de la collecte, du tri sélectif et des déchetteries.
    • Développement durable : Laval Agglomération possède un Agenda 21, elle est notamment compétente dans la lutte contre le bruit et gère les espaces verts d'intérêt communautaire.

    Présidents

    Liste des présidents
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 1994[17] juillet 1995 André Pinçon DvG Maire de Laval (1973-1994)
    député (1986-1988)
    juillet 1995[18] avril 2008 François d'Aubert DL puis UMP Maire de Laval (1995-2004 / 2005-2008)
    secrétaire d'État à la Recherche (1995-1997 / 2004-2005)
    député (1978-1995 / 1997-2004)
    avril 2008 juillet 2012 Guillaume Garot PS Maire de Laval (2008-2012)
    député de la 1re circonscription de la Mayenne (2007-2012 et depuis 2014).
    Ministre délégué à l'Agroalimentaire (2012-2014)
    juillet 2012[19] avril 2014 Jean-Christophe Boyer PS Maire de Laval (2012-2014)
    conseiller général de Laval Sud-Ouest (2008-2015)
    avril 2014[20]
    réélu le 8 janvier 2019[21]
    6 juillet 2020 François Zocchetto UDI Maire de Laval (2014-2020)
    sénateur de la Mayenne (2001-2017)
    6 juillet 2020 En cours Florian Bercault[22] PS Maire de Laval (depuis 2020)

    Transports en commun

    L'agglomération lavalloise met à disposition ses différents services de transports en commun.

    TUL

    Logo du service TUL de la ville de Laval.

    Les Transports urbains lavallois participent à la mobilité avec près de dix-sept lignes régulières dans les vingt communes de l'agglomération. Les services TUL sont disponibles tous les jours, le dimanche en service réduit. En 2010, 9,1 millions d'utilisateurs ont choisi le TUL pour se déplacer soit 25 000 voyageurs par jour environ.

    Gare de Laval

    Vélitul

    Logo du service Vélitul de la ville de Laval

    En , le service Vélitul[23] met à disposition des Lavallois des vélos en libre-service. Avec près de 100 vélos, l'agglomération lavalloise mise sur la mobilité de sa population. Les vélos sont disponibles à toutes heures dans les neuf stations situées dans la ville.

    Notes et références

    1. Préfet de La Mayenne, « arrêté modifiant l'arrêté du 27/02/2018 portant fusion de la CAL et de la CCPL » [PDF], sur mayenne.gouv.fr, (consulté le )
    2. « Le Journal de Laval Agglomération, n°1 », Laval Agglomération,
    3. http://lamayenneonadore.fr/main/2014/04/25/francois-zocchetto-elu-la-tete-de-laval-agglomeration/
    4. Préfet de la Mayenne, « Arrêté préfectoral portant fusion de la communauté d'agglomération de Laval et de la communauté de communes du Pays de Loiron » [PDF], sur agglo-laval.fr,
    5. « Chiffres-clés du territoire de l'intercommunalité. », sur le site de l'Insee (consulté le )
    6. Les densités de population sont calculées automatiquement dans un SIG en utilisant la surface géométrique de la commune, avec un niveau de précision du contour de 5 m tel qu'il ressort de l'export du découpage administratif au niveau communal (contours des communes) issu d'OpenStreetMap, et non la superficie cadastrale définie par l'Insee, qui est une donnée purement administrative. Des différences de classe peuvent ainsi éventuellement apparaître pour les communes qui se situent en limite de franchissement de seuil de classe.
    7. « Unité urbaine 2010 de Laval (53501), France métropolitaine », INSEE
    8. « Laval agglo a gagné 7 297 habitants en 11 ans - Laval », Ouest-France,
    9. « Population en historique depuis 1968 - CA Laval Agglomération (200083392). », sur Insee, (consulté le )
    10. « Fonctionnement politique de Laval Agglomération », Laval Agglomération
    11. http://www.agglo-laval.fr/lagglo-mon-territoire/fonctionnement/les-elus/les-conseillers-communautaires
    12. « Les Commissions permanentes », Laval Agglomération
    13. « Conseil de développement », Laval Agglomération
    14. « Budget primitif 2012 », Laval Agglomération
    15. « Budget - Laval Agglomération », sur http://agglo-laval.fr, (consulté le )
    16. « Chiffres clés », Laval Agglomération
    17. Ouest-France du 22 janvier 1994, « Installation du conseil de communauté de communes du pays de Laval ».
    18. Ouest-France du 10 juillet 1995, « Installation de la nouvelle communauté de communes du pays de Laval - F. d'Aubert succède à André Pinçon ».
    19. « Jean-Christophe Boyer est le nouveau président de Laval agglomération », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    20. « Laval Agglomération. François Zocchetto élu président », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    21. Laval agglomération : François Zocchetto élu sans suspense
    22. Mikaël Pichard, « Laval agglomération. Florian Bercault, nouveau président, se veut « rassembleur » », Ouest-France, (lire en ligne)
    23. Vélitul

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes


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