Port-Brillet

Port-Brillet est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 1 798 habitants[Note 1] (les Brillet-Pontins).

Pour les articles homonymes, voir Brillet.

Port-Brillet

Le village sur les rives de l'étang de la Forge.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Laval
Intercommunalité Laval Agglomération
Maire
Mandat
Fabien Robin
2020-2026
Code postal 53410
Code commune 53182
Démographie
Gentilé Brillet-Pontins
Population
municipale
1 798 hab. (2018 )
Densité 222 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 06′ 44″ nord, 0° 58′ 18″ ouest
Altitude Min. 98 m
Max. 154 m
Superficie 8,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loiron-Ruillé
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Port-Brillet
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Port-Brillet
Géolocalisation sur la carte : France
Port-Brillet
Géolocalisation sur la carte : France
Port-Brillet
Liens
Site web www.port-brillet.mairie53.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    Port-Brillet est une commune située à environ 20 kilomètres à l'ouest du chef-lieu Laval, desservie par la route nationale 157.

    Près de la commune se situent des forêts (bois de Misedon, bois des Gravelles, bois de Clermont), et des étangs (le Moulin Neuf, l’étang de la Forge).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Transports

    La gare.

    Une gare ferroviaire est desservie par les TER assurant la liaison avec les gares de Laval, Vitré et Rennes.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 818 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 858,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 56 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Port-Brillet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,5 %), terres arables (17,4 %), prairies (17,3 %), zones urbanisées (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %), eaux continentales[Note 7] (2,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

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    La légende : un jour, Guy IV de Laval, chassait dans la forêt et faillit perdre la vie. Dans ce moment critique, il fit vœu à sainte Marie-Madeleine d'ériger une chapelle s'il échappait au danger, ce qu’il fit. C’était en l’an 1100. Aujourd’hui une réplique de cette chapelle existe sur la commune.

    L’histoire du village est liée aux forges. La présence d'un moulin dès le milieu du XIe siècle, une topologie et une géologie favorable, accrédite l'hypothèse de la présence d'une forge rudimentaire au milieu du XIe siècle. Des écrits mentionnent la présence de la forge dès 1452 (l’aveu du comté de Laval en 1452 mentionne la forge Brielle). À proximité du moulin de la Poulardière, Michel Deguerre en 1619 obtient le droit de faire bâtir et construire une grosse forge avec les bâtiments des forgerons. Ces forges sont dues à l'initiative de Nicolas Lemaçon (Le Maczon), sieur de la Poulardière, et datent de 1621.

    Par testament du , le fondateur déclare qu'il veut « que l'on bâtisse une chapelle à la commodité des forges — afin, dit-il, que mes enfants et leurs ouvriers puissent y assister à la messe ». La chapelle fut construite sans retard, car la cloche, en fonte, qui subsiste, fut coulée cette même année à la forge au nom de Nicolas Lemaçon (Le Maczon) et d'Élisabeth Moland, sa femme[21] La chapelle était placée sous l’invocation de la Notre-Dame de Liesse. Le à la suite d'une première procédure inique dite de la "table de marbre", la propriété des forges a été revendiquée par le comte de Laval qui est rentré en possession de ce domaine. Le , les forges de Port-Brillet ont été définitivement licitées devant la justice ordinaire du comté de Laval qui les a affermées pour 10 000 livres à la famille Le Maczon. L'adjudication comportait la maison de maître et sa chapelle, le logement des ouvriers, le magasin et ses matériaux, le minerai et les combustibles entreposés sur le carreau de la halle, les deux fourneaux, l'étang, la closerie de la Ruaudais et le moulin du Libaret[22]. Malgré cette expropriation la famille Le Maczon a continué a exploité ces forges jusqu'en 1667 ; année au cours de laquelle elles ont été reprises par le Sieur René Brosset de la Pommeraie à la suite du décès du dernier descendant de la famille, Marc Le Maczon.

    En 1799, deux frères, François Paillard-Ducléré et Paillard-Dubignon, font valoir ensemble les grosses forges et fourneaux de Port-Brillet. En 1817, Constant Paillard-Ducléré est élu député et réélu jusqu'à sa mort en 1839. Pendant cette période, il laisse la direction de l'établissement métallurgique à son frère cadet qui lui écrit quotidiennement. Cette correspondance est conservée aux archives de la Sarthe. Leur clientèle était principalement de la région Domfront-Tinchebray.

    Pendant la Révolution française, alors que les communes environnantes soutenaient la chouannerie, les forgerons de Port-Brillet s’étaient constitués en gardes nationaux.

    Naissance de la commune : le village autour des Forges ayant grossi, Port-Brillet est érigé en commune en 1874. Port-Brillet était une paroisse détachée de celle d'Olivet, au spirituel, en 1828, érigée en succursale par ordonnance du , en commune par décret du . Les forges qui devinrent le principal revenu du comté de Laval avaient donné naissance à la première agglomération.

    2 096 hectares de la forêt du Pertre, ainsi qu'une superficie presque équivalente de la forêt de Chevré, furent mises en vente par les "Forges de Port-Brillet" en 1856[23].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 1953 Georges Ricou SFIO Représentant de commerce en droguerie et quincaillerie
    mars 1989 mars 2008 Jacques Mortier    
    mars 2008 mars 2014 Thierry Rousseau[24]   Attaché technico-commercial
    mars 2014[25] mai 2020 Gilles Pairin SE Retraité gendarmerie
    mai 2020[26] En cours Fabien Robin SE-DVG Ingénieur territorial en disponibilité

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2018, la commune comptait 1 798 habitants[Note 8], en diminution de 2,65 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    7787479359201 1471 1721 2911 3861 424
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    1 4271 4581 4231 3801 4161 6341 7571 9901 904
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018 - -
    1 8131 8141 9031 9091 8411 8011 798--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'ancienne fonderie Chappée en 2015.
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    Longtemps l’activité économique de Port-Brillet s’est identifiée à la fonderie Chappée. Ce temps est révolu mais l’économie locale et l’urbanisation d’aujourd’hui en gardent les marques.

    Cette évolution industrielle du site des forges (devenu Pebeco) a placé la commune et ses responsables face à de nouvelles obligations : l'économie locale a dû se diversifier. Par ricochet, l'identité communale a subi la mutation. La fonderie Pebeco, placée en règlement judiciaire en , a fermé ses portes le , faute de repreneur[31].

    « L'analyse socio‑économique montre qu'en dépit d'une nette diminution du nombre d'emplois offerts par les entreprises installées sur le territoire communal, avec les incidences démographiques qui en découlent, le pôle industriel et de service brillet‑pontin conserve un poids et une influence réels grâce à des infrastructures commerciales, de services, et de communication développées et à un processus récent de diversification du tissu industriel. » (diagnostic établi en vue du PLU)

    La vie économique locale ne peut aujourd’hui se concevoir sans l’environnement intercommunal. Nombre de Brillets-Pontins trouvent un emploi dans les communes voisines et jusqu’à Laval ou Vitré. Inversement ; nombre d’entreprises trouvent leurs salariés dans ce bassin d’emploi.

    « Il convient de souligner l'impact, sur le plan de l'aménagement du territoire, de l'ensemble formé par les sites économiques «historiques» de Saint-Pierre-la-Cour, des mines d'or et d'antimoine de la Lucette située sur la commune du Genest-Saint-Isle et les pôles d'activités plus récents de La Brûlatte, du Bourgneuf-la-Forêt, de Loiron et de La Gravelle qui composent un pôle économique et urbain d'équilibre entre les zones lavalloise et vitréenne, et dont les évolutions mériteraient une réflexion élargie, à l'échelle intercommunale, comme départementale. » (diagnostic établi en vue du PLU).

    Port-Brillet est une commune attractive pour ses services : un tableau effectué par la chambre des métiers en place Port-Brillet au 2e rang des communes mayennaises se situant entre 1 500 et 2 000 habitants derrière Montsûrs.

    Parmi les 1 814 habitants de la commune (recensement de 1999), 774 personnes sont actives : 429 hommes et 345 femmes. 71 de ces actifs cherchent un emploi et 699 travaillent. Parmi ces personnes qui ont un emploi, 63 exercent une profession à leur compte ou aident leur conjoint ; les 636 autres sont salariés. Une minorité de ces actifs exerce dans la commune ; 392 personnes vont travailler en dehors.

    C’est une commune attractive pour ses emplois : elle propose plus d’emplois qu’elle n’a d’actifs. On note un glissement des activités du secondaire vers le secteur tertiaire (le secteur tertiaire passe en 1975 de 22,4 % à 50,6 % en 1990).

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Port-Brillet et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Port-Brillet et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Abbé Angot, Épigraphie de la Mayenne, p. 135, n° MCLXII.
    22. Michel Duval, Forêts seigneuriales en Bretagne au XVIIe siècle, 1978, p. 25.
    23. Journal Le Pays, n° du 12 mars 1856, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4656298w/f4.image.r=Pertre?rk=257512;0
    24. Liste des maires de la Mayenne actualisée au 16 septembre 2009, site de la préfecture de la Mayenne, consulté le 19 septembre 2009.
    25. « Gilles Pairin est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    26. « Municipales à Port-Brillet. Fabien Robin élu maire, les indemnités votées », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. L'usine nouvelle, 11 octobre 2011.
    32. « ZNIEFF 520014748 - Etang de la forge à Port Brillet », sur http://inpn.mnhn.fr.
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