Argentré (Mayenne)

Argentré est une commune française située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée au dernier recensement de 2018 de 2 820 habitants[Note 1] appelés les Argentréens.

Pour les articles homonymes, voir Argentré.

Argentré

La mairie d'Argentré depuis 2007 (ancien presbytère).

Héraldique
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Laval
Intercommunalité Laval Agglomération
Maire
Mandat
Christian Lefort
2020-2026
Code postal 53210
Code commune 53007
Démographie
Gentilé Argentréens
Population
municipale
2 820 hab. (2018 )
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 05′ 03″ nord, 0° 38′ 29″ ouest
Altitude Min. 55 m
Max. 128 m
Superficie 36,77 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Argentré
(ville isolée)
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonchamp-lès-Laval
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Argentré
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Argentré
Géolocalisation sur la carte : France
Argentré
Géolocalisation sur la carte : France
Argentré
Liens
Site web argentre.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    La commune est située sur une colline dominant la Jouanne.

    Rive de la Jouanne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 800 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1971 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records ARGENTRE (53) - alt : 107m, lat : 48°05'36"N, lon : 00°39'06"W
    Records établis sur la période du 01-06-1971 au 31-12-2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,4 3,2 4,7 8,3 10,9 12,7 12,4 10 7,9 4,2 2,1 6,7
    Température moyenne (°C) 4,8 5,2 7,8 10 13,7 16,8 18,7 18,7 15,8 12,3 7,7 5,1 11,4
    Température maximale moyenne (°C) 7,9 9 12,4 15,3 19,1 22,6 24,8 24,9 21,6 16,7 11,3 8,2 16,2
    Record de froid (°C)
    date du record
    −16
    08.01.1985
    −14,5
    10.02.1991
    −11,3
    01.03.05
    −4,5
    12.04.1986
    −2
    05.05.1979
    1,2
    01.06.06
    4,5
    12.07.00
    3
    29.08.1989
    1,5
    19.09.07
    −4,5
    30.10.1997
    −8
    23.11.1993
    −10,6
    29.12.05
    −16
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    16,1
    13.01.1993
    20
    27.02.19
    23,5
    20.03.05
    27,4
    15.04.15
    31,5
    27.05.05
    37,5
    26.06.1976
    38,7
    23.07.19
    39,5
    10.08.03
    35
    14.09.20
    28
    03.10.11
    21,5
    07.11.15
    16,9
    16.12.1989
    39,5
    2003
    Précipitations (mm) 79,2 57,8 57,1 56,1 66 50,8 56,4 45 68 82,5 73,6 82,3 774,8
    Source : « Fiche 53007001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Argentré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Argentré, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 814 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,3 %), prairies (34,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), zones urbanisées (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Argentrato au IXe siècle[18]. Argentré remonte au type toponymique gaulois Argento-raton « fortification d'argent » latinisé en Argentoratum dans les textes (cf. Strasbourg ancien Argentoratum également)[18]. L'évolution phonétique est régulière ARGENTR-ATU a abouti à Argentr-é (cf. QUADRATU > carré, SACRATU > sacré, etc.). En revanche, beaucoup de nom de lieux de la région présentent une terminaison qui correspond à la variante régionale de la forme prise par le suffixe -(I)ACU, d'origine gauloise (-acon).

    Histoire

    L'un des fours à chaux de la commune au lieu-dit Montroux.

    En 1884, ont été découverts dans une carrière un trésor du IVe ou Ve siècle, une tombe riche d'un romain, avec une sépulture en bois ferré, contenant deux bagues en or, trois bracelets en argents décorés, une chaînette en or fin en fil tressé, un vase de verre aux parois épaisses, une chevalière en or, un gobelet, verre fin en forme de tulipe, un gobelet en céramique et deux vases de poterie grise. Ils sont conservés au Musée archéologique départemental de Jublains.

    Les fours à chaux du Rocher sont construits en 1843, éteints depuis 1980, deux fours sont détruits en 1987. Il existait antérieurement, au lieu-dit Montroux, un premier four à chaux dont les vestiges sont en assez bon état de conservation. L'autorisation avait été donnée en 1828 à Alexandre Patier de faire construire un four à chaux, alimenté au charbon de terre, au lieu appelé la Vallée de Montroux [19].

    Le chemin de fer

    Argentré était desservi par la ligne de chemin de fer départemental reliant Laval à Saint-Jean-sur-Erve. Cette ligne fut ouverte à l'exploitation le . À partir du 8 novembre 1934, le service fut transféré sur route. En 1935, seuls vingt-quatre trains spéciaux circulèrent sur la ligne qui fut définitivement fermée le 1er mai 1935. En 1902, la gare d'Argentré avait accueilli 16 118 voyageurs, ce qui en faisait la 2e gare la plus fréquentée de la ligne après Laval-Ville. La halte du Rocher, située dans la commune, avait accueilli 7 745 voyageurs cette même année[20].

    Héraldique

    Blason
    Parti d'or à trois forces de sable, et de gueules à la croix dentelée d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1817 Ambroise Verger    
    1817 1825 Denis Turmeau    
    1825 1832 M. Berset d'Hauterive    
    1832 1836 Mathurin Rousseau    
    1836 1840 Paul Nourry    
    1840 1850 Jean Baptiste Sébastien Gabriel Berset d'Hauterives    
    1855 1864 M. Gaultier de la Villaudray    
    1865 1871 Louis Augustin Paumard    
    1871 1906 Henri Le Tourneurs du Val   Avocat, propriétaire
    1906 1908 Auguste Fouquet   Propriétaire
    1908 1925 Henri Le Tourneurs du Val   Propriétaire
    1925 1959 François Brisard URD puis DVD Entrepreneur, conseiller général (1919 → 1940 puis 1945 → 1959)
    1959 1983 René Brisard   Entrepreneur
    1983 2001 Michel Descottes   Notaire
    mars 2001[21] En cours Christian Lefort[22] SE Directeur de société

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2018, la commune comptait 2 820 habitants[Note 6], en augmentation de 3,79 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6001 4861 4801 4901 5911 7021 7021 7331 777
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7821 7451 6761 5641 5761 4581 4271 4681 414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4561 4011 3301 2031 2011 1551 0781 1581 155
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 0871 0431 2461 8442 1602 3252 4872 6812 766
    2018 - - - - - - - -
    2 820--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'église paroissiale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, dédiée à saint Cyr et à sa mère sainte Julitte, martyrs chrétiens du IVe siècle. Comme l’atteste une inscription, en 1460, la voûte, la nef et la charpente furent restaurées et les deux arcades latérales du chœur ainsi que les bas-côtés furent alors construits. En 1867, un appendice est ajouté à la sacristie. La façade romane a été démolie en 1901, remplacée par la façade actuelle ; la tour du clocher est alors refaite et les bas-côtés sont surélevés[27]. Elle est classée partiellement monument historique depuis l'arrêté du [28]. De l'époque romane, l'église a conservé le chœur (qui contient des fresques du XIIIe siècle), le transept et la tour située au sud de l’église. L'horloge du clocher a été installée vers 1875 par la société Lussault de Tiffauges en Vendée[29] et ce mécanisme, qu'il fallait remonter chaque jour, et désormais remplacé, est exposé dans le hall de la mairie.
    • Le château d'Hauterive.
    • La base de loisirs de l'étang des Alleux.

    Culture

    En 2014, Jean Echenoz place sa nouvelle Caprice de la reine – homonyme au recueil de sept intitulé Caprice de la reine – au centre d'une colline au lieu-dit le Pirli à Argentré de laquelle il effectue une description cinématographique à 360 degrés du paysage de la Mayenne qui l'entoure[30],[31].

    En 2014 également, Aurélien Bellanger publie son second roman, L'Aménagement du territoire, et place l'intrigue dans une commune imaginaire, Argel, largement inspirée de la commune d'Argentré[32].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 1, , p. 151
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 d'Argentré », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, DENLF, p. 26b.
    19. Archives départementales de la Mayenne, 5M 107.
    20. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
    21. « Christian Lefort a été réélu maire par 18 voix samedi », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    22. Réélection 2020 : « Argentré. Un 4e mandat de maire pour Christian Lefort », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. http://www.laval53000.fr/dans-le-departement/argentr%C3%A9/
    28. « Église paroissiale Saint-Cyr et Sainte-Julitte », notice no IA53001778, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=53007_2
    30. Caprice de la reine sur le site des éditions de Minuit.
    31. Caprice de la reine de Jean Echenoz par Patrick Grainville dans Le Figaro du 27 mars 2014.
    32. Aurélien Bellanger, L'Aménagement du territoire : roman, Paris, Gallimard, , 478 p. (ISBN 978-2-07-014607-9), première partie: I. Argel.
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