Montigné-le-Brillant

Montigné-le-Brillant est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 1 300 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir Montigné (homonymie).

Montigné-le-Brillant

L'église Saint-Georges.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Laval
Intercommunalité Laval Agglomération
Maire
Mandat
Gérard Travers
2020-2026
Code postal 53970
Code commune 53157
Démographie
Gentilé Montignéens
Population
municipale
1 300 hab. (2018 )
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 28″ nord, 0° 48′ 55″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 117 m
Superficie 18,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Huisserie
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Montigné-le-Brillant
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Montigné-le-Brillant
Géolocalisation sur la carte : France
Montigné-le-Brillant
Géolocalisation sur la carte : France
Montigné-le-Brillant
Liens
Site web www.montignelebrillant.mairie53.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    Montigné-le-Brillant se trouve en Mayenne, à environ 10 km de Laval et à km de L'Huisserie. Situé dans le Massif armoricain, le bourg est relativement accidenté, sur la colline (Mont-Igné) au-dessus des vallées du Vicoin et de la Paillardière, dont la confluence correspond au point le plus bas de la commune. L’altitude varie d’une vingtaine de mètres entre la partie la plus haute du bourg (nord et nord-ouest, avec notamment le château du Verger et l’église) et la partie la plus basse (sud et sud-est). La topographie du centre bourg a été fortement modifiée lors de la construction du lotissement dans les années 1970. L’abaissement du sol de trois mètres au pied de l’église nécessite la construction d'un long mur en béton.

    Communes limitrophes

    Géologie

    La commune repose sur le bassin houiller de Laval daté du Culm, du Viséen supérieur et du Namurien (daté entre -346 et -315 millions d'années)[4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 726 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laval-Entrammes », sur la commune d'Entrammes, mise en service en 1988[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 740 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le département d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et à 67 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[15], à 12,1 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Montigné-le-Brillant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,6 %), terres arables (31,8 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), zones urbanisées (2,6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le toponyme est attesté sous la forme Montiniacus en 838[25]. Il pourrait être issu de l'anthroponyme latin Montinius[25]. En 1896, Montigné devient Montigné-le-Brillant[26].

    Le gentilé est Montignéen.

    Histoire

    La naissance du village débute par l’établissement d’une première chapelle qui deviendra par la suite l’église Saint-Georges.

    À la fin du XIe siècle, Montigné est une châtellenie dépendant de Laval. La construction successive du Verger, à l’origine un véritable château fort, puis du presbytère (aujourd’hui la mairie) ancre définitivement le futur centre du village.

    Le 11 janvier 1871 le ballon monté Kepler s'envole de la gare d'Orléans à Paris alors assiégé par les Prussiens et termine sa course à Montigné après avoir parcouru 283 kilomètres[27].

    Le développement d’habitats privés de part et d’autre de ces édifices dessine progressivement une rue, aujourd’hui rue des Écoles. Derrière la partie est de l’église est établi un grand parc, propriété du clergé.

    Celui-ci se développera jusqu’au début du XXe siècle, date à laquelle les immenses châtaigniers de trente mètres sont remplacés par un verger. Le reste de l’église est entouré du cimetière. Le long de la rue des Écoles s’établit quelque temps auparavant le manoir des religieuses. Une rue est tracée en partie haute du verger, qui mène jusqu’aux habitations à l’est, emplacement de la future gare qui sera construite à la fin du XIXe siècle. À cette époque (1859), le gisement de charbon commence à être exploité[4]. La commune est alors desservie par le chemin de fer. Durant cette période, on creuse jusqu’à 218 mètres de profondeur. En 1923, la société abandonne la mine de charbon[4]. Le développement démographique et économique de la commune sont ralentis. On comptait jusqu’alors une usine de colle une carrière, et sept moulins.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
     ?  ? Georges-Prudent Bruley   Magistrat
     ? 1992 André Landais    
    1992 mars 2001 Jean-François Doreau    
    mars 2001 mai 2020 Michel Peigner[28] Sans étiquette Directeur de l’Adasea
    mai 2020[29] En cours Gérard Travers SE Directeur d’école retraité

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[29].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2018, la commune comptait 1 300 habitants[Note 7], en augmentation de 3,01 % par rapport à 2013 (Mayenne : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9029259581 000908898936891900
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    894937925914956871907903838
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    849890867766698693703681632
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    6015596168251 0381 0881 2341 2721 262
    2018 - - - - - - - -
    1 300--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Équipement et habitat

    En bordure du ruisseau de la Paillardière, au sud du centre ancien, on constate un regroupement des équipements scolaires et périscolaires avec l’école maternelle publique, l’école privée et la garderie. On trouve également dans cette zone la salle des fêtes et la mairie. Cette concentration des équipements administratifs, scolaires et socioculturels dans cette partie du bourg contribue à l’existence d’un pôle fonctionnel au sud-ouest de la zone urbanisée. Sa localisation dans le centre ancien ne favorise cependant pas son appropriation par les habitants. Toutefois, les terrains de sports et la salle associative ont été implantés au cœur du bourg, le long de la route départementale 283, ce qui crée un 2e espace d’échanges sur la zone urbaine, moins isolé et beaucoup plus perceptible que le premier.

    Le parc de logement de la commune connaît une forte augmentation depuis 25 ans : +76 %. Cette forte hausse est principalement issue de la construction neuve. 32 % des logements ont moins de 20 ans et 39 % plus de 50 ans, d’où un parc plutôt récent. Le bâti récent s’est construit individuellement au milieu des parcelles. Les maisons s’élèvent généralement sur un rez-de-chaussée surmonté de combles.

    Économie

    L’offre de commerces et de services est plutôt limitée (boulangerie, coiffeur, médecin, bar-restaurant, magasin agricole, garage), à cause de la proximité de Laval. L’activité artisanale est peu développée : menuisier-ébéniste, plomberie-chauffagiste, entreprise de travaux publics et agricoles, une entreprise de maintenance et de composites, une entreprise de conception en mécanique industrielle, un transporteur et une entreprise de conception en mécanique industrielle. Les commerces et les services sont répartis dans la partie sud-ouest de la zone urbaine, de part et d’autre de la RD 283 dans les secteurs d’habitat traditionnel. En extrémité de la zone d’extension urbaine (le lotissement Les Vallées 2) située au nord du bourg le long de la route départementale, on note la présence d’une zone d’activités de 1,5 ha. Cette zone est reliée au lotissement résidentiel.

    Lieux et monuments

    La commune de Montigné-le-Brillant dispose d’un patrimoine architectural, avec divers bâtiments d'époques différentes :

    • L’église Saint-Georges :
    L’église Saint-Georges date du Moyen Âge. C’est un bâtiment rectangulaire à cinq travées, avec une petite chapelle au nord. En 1503, on ajoute une chapelle au sud. C’est en 1857 que l’église prend son aspect actuel, les deux chapelles sont agrandies pour constituer un transept régulier. Le clocher-porche et sa flèche en ardoise sont élevés contre la façade ouest. Le vaste espace autour de l’église était antérieurement occupé par le cimetière, déplacé au début du XXe siècle.
    Les deux tours circulaires à toit en poivrière et un pavillon carré, vestiges du château du Verger construit vers 1500, situé à proximité de l’église. La juxtaposition du château du Verger, de l’église, de la mairie, de l’ancienne poste aujourd’hui maison paroissiale et de l’école (début XXe siècle) fait de cet espace un cœur de bourg éclectique et disparate.
    L’ancien presbytère, aujourd’hui la mairie. Le bâtiment principal, construit en 1736, est situé au fond d’une cour, fermée d’un côté par un bâtiment du Verger et de l’autre par une ancienne grange transformée en salle communale. Les circulations intérieures s’organisent autour d’un large escalier circulaire d’origine en chêne massif.
    • Les châteaux de l’Ardrier, Vauraimbault et la Villatte, édifiés respectivement au XVIIIe, XIXe et XXe siècles (1901 pour la Villatte).
    • Les moulins, bien que hors d’usage, sont toujours habités.
    • Des mines, il ne reste presque rien, sinon le haut des arches des tunnels menant aux souterrains, aujourd’hui noyés dans une eau rouge vif.

    Activité et manifestations

    Sports

    L'Association Sports et Loisirs de Montigné-le-Brillant fait évoluer une équipe de football en division de district[33].

    Manifestations

    Le vide-greniers a lieu tous les ans, le premier dimanche de mai[réf. nécessaire].

    La troupe théâtrale du bourg rassemble pour six dates (quatre fin automne et deux en février) tous les ans un grand nombre d'auditeurs[réf. nécessaire].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 694
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Laval-Entrammes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Montigné-le-Brillant et Entrammes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Laval-Entrammes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Montigné-le-Brillant et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Ballon no 59 : « Le Kepler »
    28. Réélection 2014 : « Montigné-le-Brillant (53970) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. « Municipales à Montigné-le-Brillant. Gérard Travers débute son premier mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. « Site officiel de la Ligue du Maine – ASL Montigné-le-Brillant » (consulté le ).

    Lien externe

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