Laurence Rossignol
Laurence Rossignol, née le à La Garenne-Colombes, est une femme politique française.
Pour les articles homonymes, voir Rossignol (homonymie).
Laurence Rossignol | |
Laurence Rossignol en 2012. | |
Fonctions | |
---|---|
Vice-présidente du Sénat | |
En fonction depuis le (11 mois et 14 jours) |
|
Président | Gérard Larcher |
Prédécesseur | David Assouline |
Sénatrice française | |
En fonction depuis le (4 ans, 3 mois et 2 jours) |
|
Réélection | 24 septembre 2017 |
Circonscription | Oise |
Groupe politique | SOC |
Prédécesseur | Jean-Pierre Bosino |
– (2 ans, 7 mois et 8 jours) |
|
Élection | 25 septembre 2011 |
Circonscription | Oise |
Groupe politique | SOC |
Prédécesseur | André Vantomme |
Successeur | Jean-Pierre Bosino |
Ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes | |
– (1 an, 2 mois et 29 jours) |
|
Président | François Hollande |
Premier ministre | Manuel Valls Bernard Cazeneuve |
Gouvernement | Valls II Cazeneuve |
Prédécesseur | Pascale Boistard (Droits des femmes) Marie-Josée Roig (indirectement, Enfance) |
Successeur | Marlène Schiappa (Droits des femmes) |
Secrétaire d'État chargée de la Famille, des Personnes âgées, de l'Autonomie et de l'Enfance | |
– (1 an, 10 mois et 2 jours) |
|
Président | François Hollande |
Premier ministre | Manuel Valls |
Gouvernement | Valls I et II |
Prédécesseur | Dominique Bertinotti |
Successeur | Pascale Boistard |
Vice-présidente du Conseil régional de Picardie | |
– (10 ans, 1 mois et 6 jours) |
|
Élection | 15 mars 1998 |
Président | Claude Gewerc |
Successeur | Sylvie Houssin |
Conseillère régionale de Picardie | |
– (17 ans, 8 mois et 22 jours) |
|
Élection | 15 mars 1998 |
Réélection | 28 mars 2004 21 mars 2010 |
Biographie | |
Nom de naissance | Laurence Michelle Rossignol |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | La Garenne-Colombes (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | LCR (jusqu'en 1981) PS (depuis 1981) |
Diplômée de | Université de Bourgogne Université Panthéon-Sorbonne |
Profession | Journaliste juridique |
Membre du Parti socialiste, dont elle a été secrétaire nationale chargée de l'environnement et porte-parole, elle a été sénatrice de l'Oise et vice-présidente du conseil régional de Picardie. Elle est aussi connue pour son engagement féministe.
En 2014, elle est nommée au gouvernement Valls secrétaire d'État chargée de la Famille et des Personnes âgées puis, en 2016, ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes. Elle redevient ensuite sénatrice.
Biographie
Engagement lycéen et estudiantin
Laurence Rossignol s'engage tôt en politique, puisqu’en 1973, alors qu’elle est encore collégienne, elle participe au mouvement contre la loi Debré sur le service militaire[1]. Par la suite, elle participe à d’autres mobilisations comme le mouvement contre la réforme Saunier-Seité en 1976. Les contacts qu’elle prend lors de ces activités militantes la conduisent alors à adhérer à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) dont elle intégrera le Comité central.[citation nécessaire]
En 1976, elle obtient son bac et poursuit ses études à l'université de Dijon. Elle y passe sa licence de droit avant de s'inscrire à l’université Paris I Sorbonne où elle obtient un DEA de droit. Elle adhère au Mouvement d'action syndicale (MAS). En 1980, l’ensemble de la gauche syndicale non communiste décide de s’unir dans une organisation commune, l’UNEF-ID. Le MAS participe donc au mouvement. Mais la direction de ce syndicat n’ayant pu s’entendre avec la direction de l’UNEF-US, elle forme une tendance d’opposition appelée « Tendance luttes étudiantes action syndicale ». Laurence Rossignol participe alors à l’animation de celle-ci.[citation nécessaire]
À l’automne 1981, Laurence Rossignol, quitte la LCR pour le Parti socialiste. À l’UNEF-ID, aux côtés de Julien Dray, cela se traduit par leur passage à la Tendance Plus où les nouveaux venus sont intégrés parmi le cercle des dirigeants.
Elle est titulaire d'un DEA de droit (université Panthéon-Sorbonne) et chargée de TD en droit de la sécurité sociale à cette même université (1982-1983)[2].
Parcours professionnel
Laurence Rossignol travaille comme journaliste juridique à La Vie ouvrière, le journal de la CGT, avant d'intégrer les cabinets socialistes. En 1983, elle est chargée par Pierre Joxe président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale de suivre les questions législatives à caractère social.
En 1988, elle occupe successivement les postes de chargée de mission et de cheffe de cabinet auprès de Laurent Fabius, président de l’Assemblée nationale. Puis elle intègre, en 1991, le cabinet de Frédérique Bredin ministre de la Jeunesse et des sports comme conseillère technique chargée des Relations avec le Parlement.
En 1993, elle devient chargée d’étude à la Mutuelle nationale des étudiants de France (MNEF), devenue La Mutuelle des étudiants[3] (LMDE), dont elle percevra une rémunération de 1100 euros pendant dix-huit ans pour 2 jours de travail partiel par semaines. Sans parler ouvertement d’emploi bidon, Que choisir, s’interroge : « Si Mme Rossignol a vraiment été au service de la santé des étudiants »[4]. À ce titre, elle est impliquée dans l'affaire de la MNEF[4],[5],[6],[7],[8].
Entre 1999 et 2004, elle siège au Conseil économique et social[9].
Parcours politique
Laurence Rossignol est candidate pour une première fois dans la cinquième circonscription de l'Oise en 1997. Elle échoue de peu face au député sortant Lucien Degauchy. Elle se représente à nouveau en 2002 et en 2007 mais échoue à nouveau. Elle ne se représente pas en 2012, étant devenue l'année précédente sénatrice de l'Oise.
Sénatrice de l’Oise
Candidate aux élections sénatoriales du , en deuxième position sur la liste d'union de la gauche menée par Yves Rome, elle est élue sénatrice de l'Oise à l'occasion de ce scrutin. Elle est désignée en novembre 2011 présidente du groupe de travail « négociations internationales – Climat Environnement » créé par la commission de l’économie, du développement durable et de l’aménagement du territoire du Sénat.
À l'automne 2012, elle présente au Sénat le rapport sur le projet de loi sur la participation des citoyens aux décisions sur l'environnement puis le rapport sur le projet de loi sur le marché carbone européen.
Membre du Groupe Socialiste et apparentés, Laurence Rossignol est vice-présidente de la commission du développement durable, des infrastructures, de l'équipement et de l'aménagement du territoire. Elle est également membre de la commission sénatoriale pour le contrôle de l'application des lois et de la délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances. Lors des débats qui ont lieu sur l'IVG en 2014, elle fait adopter un amendement élargissant le délit d'entrave. Concernant la prostitution, elle a défendu la position abolitionniste[10].
En 2017, elle est candidate à la présidence du groupe socialiste au Sénat, face à Martial Bourquin et à Didier Guillaume, président sortant. Ce dernier est finalement réélu avec deux voix d'avance[11].
Autres fonctions
- Rapporteuse de la Commission spéciale sur la lutte contre le système prostitutionnel[12]
- Membre de la Commission d'enquête sur le rôle des banques et acteurs financiers dans l'évasion des ressources financières en ses conséquences fiscales et sur les équilibres économiques ainsi que sur l'efficacité du dispositif législatif, juridique et administratif destiné à la combattre
- Membre de la Commission nationale du débat public
- Vice-présidente de Globe International. Globe International est une coalition de parlements nationaux qui favorise la mise en œuvre de politiques nationales pour la lutte et l’adaptation au changement climatique, en vue de faciliter la coopération internationale en la matière. Élue vice-présidente chargée de la politique au Sommet de Globe du 27- à Washington, Laurence Rossignol participe avec les députés, Jean-Paul Chanteguet, et Sophie Errante, aux travaux de l’organisation afin de faire le lien entre la politique française et la coopération internationale sur le climat[réf. nécessaire].
Au gouvernement
Le , elle est nommée secrétaire d'État, chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l'Autonomie, auprès de Marisol Touraine dans le gouvernement Valls I[13]. Elle succède à Dominique Bertinotti (famille) et Michèle Delaunay (personnes âgées). Par un décret du , elle est à nouveau nommée secrétaire d'État, avec une attribution supplémentaire, cette fois-ci chargée de la Famille, de l'Enfance, des Personnes âgées et de l'Autonomie[14].
Elle porte la réforme de l'autonomie, plusieurs fois reportée depuis son annonce, début 2013[15].
En 2015, elle soutient et défend au nom du gouvernement les controversés « tests osseux » sur les mineurs étrangers pour déterminer leur âge et, selon le résultat, pour savoir s'ils doivent être pris en charge par l'Aide sociale à l'enfance ou au contraire en être exclus voire quitter le territoire français[16]. Cette mesure suscite alors de vives critiques à gauche[17].
Lors de l'élection régionale de 2015 en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, elle figure en deuxième place de la liste socialiste de l'Oise[18].
Le , elle devient ministre de la Famille, de l'Enfance et des Droits des femmes (titre rectifié le en « ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes »[19]) dans le gouvernement Valls II.
Elle compare, le sur RMC, les femmes musulmanes choisissant de porter le voile aux « nègres américains qui étaient pour l’esclavage » et déclare les « affronter sur le plan des idées »[20] et déclare « qu'il y a des femmes qui veulent l’imposer à tout le monde parce qu’elles en font une règle publique. ». Saisi par le CRAN, le Conseil supérieur de l'audiovisuel considère que l'intervieweur, Jean-Jacques Bourdin, n'a pas « maîtrisé » l'antenne, et demande aux responsables de RMC « d’éviter à l’avenir qu’une telle situation ne se reproduise »[21]. L'universitaire Laurent Bouvet estime que la comparaison relève de « la problématique classique de ce que l'on appelle la servitude volontaire », et bien qu'il juge l'usage du terme nègre « maladroit », il dénonce un « contexte d'hystérisation du moindre propos politique non conforme à une sorte de vocabulaire obligatoire et validé par on ne sait quelle académie de la bonne pensée et de la bonne conscience[22]. »
En , elle déclare voir dans le port du burkini un « projet politique archaïque », tout en critiquant le discours de l'extrême droite sur la question[23].
En , elle propose de créer un « délit d'entrave numérique à l'IVG » afin d'interdire les sites internet des opposants à l'avortement[24],[25]. L'amendement est écarté par le Sénat[26]. Elle est finalement adoptée sous forme de loi en décembre 2016[27].
Le , elle présente un nouveau plan de lutte contre toutes les violences faites aux femmes (350 places de plus d'hébergement et formation des professionnels médicaux et juridiques rencontrant les femmes battues), doté d’un budget en augmentation (125 millions d'euros au total)[28].
Elle soutient Manuel Valls pour la primaire citoyenne de 2017[29].
Le , elle lance l'Agence de recouvrement des impayés de pension alimentaires (Aripa), afin de faciliter les saisies sur salaires ou sur les comptes bancaires des mauvais payeurs. Cette agence permet également, dans le cas où l'un des conjoints était victime de violences de la part de l'autre, de faire écran pour que le versement soit fait sans que sa nouvelle adresse soit communiquée[30].
Engagements
Au Parti socialiste
En 1981, à leur arrivée au Parti socialiste, Julien Dray, Laurence Rossignol et les autres anciens de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) s'organisent dans une tendance nommée « Questions socialistes », qui, par la suite, grâce à leurs rapprochements avec Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, devient la Nouvelle École socialiste puis la Gauche socialiste.
Le développement de la Gauche socialiste dont Laurence Rossignol est l'une des dirigeantes et porte-parole la conduit à entrer, en 1993, au conseil national (« parlement » du PS) et au secrétariat national où elle est chargée de la problématique de la ville. À partir de cette date, elle est régulièrement investie de responsabilités au secrétariat national : en 1994 ce sont les problèmes de [toxicomanie], en 2004 le transport, en 2006 et jusqu’à 2008, les droits des femmes. Elle est depuis 2008, secrétaire nationale du Parti socialiste chargée de l'Environnement.
En 2002, lors de l'éclatement de la Gauche socialiste, Laurence Rossignol intègre la motion majoritaire (dite motion A)]. Mais elle s’éloigne de Julien Dray à l'occasion du référendum sur la constitution européenne en soutenant le camp du non et rejoint le courant de Laurent Fabius qu'elle soutient lors des primaires du PS de 2006.
Secrétaire nationale du Parti socialiste chargée des droits des femmes et de la parité, elle défend avec succès le fait que le PS se définisse comme féministe dans sa Déclaration de Principes adoptée début 2008.
Après la défaite de Ségolène Royal à l'élection présidentielle de 2007, elle lance avec Adeline Hazan, et Pervenche Berès un appel en faveur de la candidature de Martine Aubry intitulé « Une autre femme est possible ». Au congrès de Reims, elle soutient la motion conduite par Martine Aubry et devient en secrétaire nationale à l'environnement.
À cette fonction elle défend l'idée que la social-écologie est un thème re-fondateur pour un Parti socialiste moderne. Après la catastrophe nucléaire de Fukushima elle est très active pour engager le Parti socialiste sur la voie de la sortie du nucléaire. Lors des Primaires socialistes d' elle est chargée des questions d'environnement auprès de Martine Aubry dont elle soutient la candidature.
Après l'élection de François Hollande à la présidence de la République, elle fonde avec plusieurs parlementaires dont Christian Paul et Pervenche Berès la « Gauche Durable », groupe d'une vingtaine de parlementaires qui prônent un nouvel modèle de développement fondé sur la transition écologique, la révolution numérique, l'égalité des territoires et de nouveaux processus démocratiques.
Elle est également porte-parole du Parti socialiste à partir du .
Le , elle intègre la direction collégiale du PS[31].
Élue de Picardie
Laurence Rossignol est implantée à Compiègne depuis 1997. Dans un territoire électoralement très favorable à la droite, Laurence Rossignol s'enracine et mène des combats électoraux difficiles. Elle se présente à trois reprises (1997, 2002 et 2007) aux élections législatives dans la cinquième circonscription de l'Oise (Compiègne-Sud), contre Lucien Degauchy député UMP et conduit la liste du Parti socialiste aux élections municipales de Compiègne en 2001 et 2008 contre Philippe Marini sénateur maire de Compiègne, à chaque fois battue au premier tour très largement. Elle est élue conseillère municipale d’opposition en 2001, poste auquel elle renonce en 2011, en application de la loi limitant le cumul des mandats.
Un an après son arrivée dans cette ville, en 1998, Laurence Rossignol est élue au conseil régional de Picardie. Et, lorsqu’en 2004 la gauche remporte les élections régionales, Laurence Rossignol est élue vice-présidente chargée de la vie associative, de la jeunesse et de l'économie sociale.
Engagements féministes et associatifs
Dans les années 1970, Laurence Rossignol s'engage dans le combat féministe. On la retrouve parmi les « pétroleuses » du MLF. Elle milite pour la cause des femmes et, notamment, pour le droit à l'Interruption volontaire de grossesse (IVG). Tout au long de sa carrière politique, elle restera marquée par ce combat. Elle participe à de nombreuses commissions consacrées au droit des femmes, notamment au secrétariat du Parti socialiste.
Elle participe aussi au débat public, comme en 2005, lorsqu’à l’occasion du congrès du Mans du PS elle dépose avec d’autres femmes un texte volontairement provocateur intitulé « La Femme, le fou et le colonisé »[32]. Dans ce texte, elle développe l’idée que les femmes, comme les descendants de colonisés, sont toujours victimes des stéréotypes véhiculés par les anciennes générations (colonisateur dans un cas, machistes dans l’autre). Elle égratigne également son propre parti.
En 1984, elle participe à la fondation de SOS Racisme.
Laurence Rossignol, dans une tribune publiée le sur le site Mediapart[33] a défendu la position de Najat Vallaud-Belkacem favorable à l'« abolition de la prostitution »[34].
En mars 2020 pendant l'épidémie de Covid-19 en France, elle interpelle à plusieurs reprises le ministre de la Santé Olivier Véran sur les conditions d'accès des femmes à l'interruption volontaire de grossesse pendant le confinement[35]. Elle soutient ensuite un manifeste publié dans le journal Le Monde à l’initiative de trois médecins (Philippe Faucher, Maud Gelly et Ghada Hatem-Gantzer) demandant l'assouplissement de la réglementation sur l'IVG pour permettre aux femmes d'avorter à domicile jusqu'à neuf semaines d'aménorrhée, par méthode médicamenteuse, et jusqu'à seize semaines d’aménorrhée par méthode instrumentale[36]. Ce manifeste signé par près de 300 médecins et soutenus par près de 3000 personnes dont de nombreuses personnalités du monde politique[37] et culturel aboutit à la mise en place de l'IVG médicamenteuse à domicile et en ville jusqu'à neuf semaines, avec la possibilité de consultations par télémédecine[38].
Notes et références
- Philippe Juhem, « SOS-Racisme, histoire d'une mobilisation “apolitique”. Contribution à une analyse des transformations des représentations politiques après 1981 », thèse de science politique sous la direction de Bernard Lacroix.
- Sylvie Chaperon et Christine Bard, Dictionnaire des féministes. France : XVIIIe-XXIe siècle, Presses Universitaires de France, (ISBN 978-2-13-078722-8, lire en ligne)
- « La vérité sur la faillite d'une mutuelle étudiante », sur Challenges (consulté le )
- « Laurence Rossignol épinglée par l’UFC-Que Choisir », courrier-picard.fr, 16 juin 2014.
- « Laurence Rossignol, secrétaire d'Etat à la famille et aux personnes âgées », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Les mutuelles étudiantes, dossier sensible pour le nouveau gouvernement », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Le patrimoine de Laurence Rossignol », sur Courrier picard (consulté le )
- « LMDE: le n°1 de la Sécu étudiante en péril », sur LExpansion.com, (consulté le )
- Le Point magazine, « Laurence Rossignol, une féministe à la Famille et aux Personnes âgées », sur Le Point, (consulté le )
- Agnès Leclair, « Rossignol : secrétaire d'État sous haute surveillance à la Famille », in Le Figaro, vendredi 11 avril 2014, page 5.
- Charles Sapin, « La guerre couve chez les sénateurs socialistes », Le Figaro, samedi 4 / dimanche 5 novembre 2017, page 3.
- « Commission spéciale - Lutte contre le système prostitutionnel - Sénat », sur www.senat.fr (consulté le )
- Décret du 9 avril 2014 relatif à la composition du Gouvernement, JORF no 0085 du 10 avril 2014, p. 6560.
- Décret du 17 juin 2015 relatif à la composition du Gouvernement.
- Guillaume Guichard, « La réforme de la dépendance n'est sans doute pas pour maintenant », Le Figaro, encart « Économie », lundi 26 mai 2014, page 24.
- « Immigration : les députés maintiennent les tests osseux », Le Monde, 13 mai 2015.
- « Stop aux tests d'âge osseux », L'Humanité, 7 octobre 2015.
- Mariana Grépinet, « Régionales - Sept ministres montent au feu », Paris Match, semaine du 22 au 28 octobre 2015, page 41.
- Décret du 3 mars 2016 modifiant les décrets du 11 février 2016 relatifs à la composition du Gouvernement
- Laurence Rossignol compare les femmes choisissant de porter le voile aux « nègres qui étaient pour l’esclavage », lemonde.fr, 30 mars 2016
- Laurence Rossignol et les « nègres » : le CSA demande à Jean-Jacques Bourdin de « maîtriser » son antenne, Le Monde, 22 septembre 2016.
- Laurent Bouvet, « Laurent Bouvet : ce que révèle l'affaire Laurence Rossignol », Le Figaro, 1er avril 2016
- Laura Prat de Seabra, Laurence Rossignol veut combattre le burkini «sans arrière-pensées», lefigaro.fr, 16 août 2016
- Dominique Reynie, IVG : Laurence Rossignol veut transformer l'appel à la réflexion en délit, lefigaro.fr, 26 septembre 2016
- Délit d'entrave numérique : le totalitarisme est en marche!, valeursactuelles.com, 27 septembre 2016
- IVG : le «délit d'entrave numérique» écarté par le Sénat, liberation.fr, 29 septembre 2016
- « Texte adopté n° 848 - Proposition de loi relative à l'extension du délit d'entrave à l'interruption volontaire de grossesse », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le )
- Gaëlle Dupont, « Un plan de lutte contre les violences faites aux femmes mieux doté », lemonde.fr, 23 novembre 2016.
- Mathilde Siraud, « Najat Vallaud-Belkacem rallie Manuel Valls », lefigaro.fr, 12 décembre 2016.
- Stéphane Kovacs, « Une agence contre les pensions alimentaires impayées », Le Figaro, samedi 21 / dimanche 22 janvier 2017, page 10.
- « Le Parti socialiste a désigné sa direction collégiale provisoire », lemonde.fr, 8 juillet 2017.
- Contribution présentée par Laurence Rossignol (60 CN), animatrice du Conseil des Femmes, Danièle Pourtaud (75 CN), déléguée nationale Femmes, Pervenche Bérès (92 CN). – « La femme, le fou et le colonisé. Pour une critique socialiste de la domination masculine ».
- Tribune signée entre autres par Sylviane Agacinski et Coline Serreau.
- « Prostitution, une tribune pour l'abolition » sur lefigaro.fr consulté le 6 avril 2013.
- « Covid-19 : l'allongement des délais d'accès à l'IVG refusé par le gouvernement », sur marieclaire.fr
- « Covid-19 : des médecins demandent d'étendre de deux semaines les délais légaux de l'IVG, le temps du confinement », sur lequotidiendumedecin.fr
- Marisol Touraine, Roselyne Bachelot, Najat Vallaud-Belkacem, Anne Hidalgo, Yvette Roudy, etc.
- « Coronavirus : la Haute autorité de santé autorise l’accès à l’IVG médicamenteuse à domicile jusqu’à neuf semaines », sur lemonde.fr
Annexes
Article connexe
Liens externes
- Ressources relatives à la vie publique :
- Site officiel
- Portail des femmes et du féminisme
- Portail de l’Oise
- Portail de la politique française
- Portail du syndicalisme