Latronquière

Latronquière est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Sénaillac-Latronquière ou Sabadel-Latronquière.

Latronquière

L'église paroissiale.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Figeac
Intercommunalité Communauté de communes Grand-Figeac
Maire
Mandat
Éliane Lavergne
2020-2026
Code postal 46210
Code commune 46160
Démographie
Population
municipale
432 hab. (2018 )
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 02″ nord, 2° 04′ 44″ est
Altitude Min. 549 m
Max. 694 m
Superficie 10,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lacapelle-Marival
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Latronquière
Géolocalisation sur la carte : Lot
Latronquière
Géolocalisation sur la carte : France
Latronquière
Géolocalisation sur la carte : France
Latronquière

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans le Ségala lotois (Massif central) sur l'ancienne route nationale 653 entre Lacapelle-Marival et Sousceyrac

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Latronquière
    Sénaillac-Latronquière Labastide-du-Haut-Mont
    Gorses Lauresses

    Hydrographie

    • Le ruisseau de Puech Lasvieilles y prend sa source[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 338 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1976 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records LATRONQUIERE (46) - alt : 651m, lat : 44°47'54"N, lon : 02°04'00"E
    Records établis sur la période du 01-09-1976 au 04-07-2021
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) −0,6 −0,5 1,3 3,5 7,1 10,1 12,1 12 8,9 6,7 2,6 0,2 5,3
    Température moyenne (°C) 3 3,6 6,3 8,7 12,6 16 18,5 18,3 14,8 11,3 6,4 3,8 10,3
    Température maximale moyenne (°C) 6,5 7,8 11,2 13,9 18,1 21,9 24,8 24,6 20,7 15,8 10,2 7,4 15,3
    Record de froid (°C)
    date du record
    −22,5
    16.01.1985
    −15,5
    10.02.1986
    −13,5
    02.03.05
    −7
    12.04.1978
    −2,1
    05.05.19
    0
    06.06.1989
    3
    06.07.1984
    1
    30.08.1986
    −1,5
    21.09.1977
    −7,5
    25.10.03
    −11,5
    22.11.1998
    −14
    24.12.01
    −22,5
    1985
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    17,5
    29.01.02
    23,2
    26.02.19
    24
    25.03.1981
    28
    30.04.1994
    30
    11.05.12
    38,2
    26.06.19
    37,6
    24.07.19
    39,5
    12.08.03
    33
    03.09.05
    26,9
    02.10.11
    23,8
    02.11.1981
    19,5
    29.12.1983
    39,5
    2003
    Ensoleillement (h) 142,9 168,1 220,9 227 263,9 312,4 339,7 298 241,5 168,6 148,8 136,5 2 668,2
    Précipitations (mm) 115,4 103,5 103,8 129,4 128,6 101 72,8 87,9 114,7 125,7 127,2 132,5 1 342,5
    Source : « Fiche 46160001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

    La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[9],[10].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « falaises lotoises (rapaces) », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 6,6 ha[11].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[12] : les « zones humides du ruisseau de Combard et du ruisseau de Poutiac » (63 ha), couvrant 2 communes du département[13] et les « zones humides du ruisseau de Goutepeyrouse et de l'amont du ruisseau du Bousquet » (180 ha), couvrant 3 communes du département[14] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[12] :

    • le « bassin de la Bave » (8 075 ha), couvrant 22 communes dont une dans le Cantal et 21 dans le Lot[15] ;
    • le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » (12 535 ha), couvrant 28 communes dont six dans le Cantal et 22 dans le Lot[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Latronquière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,8 %), forêts (42,6 %), zones urbanisées (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Latronquière est basé sur le mot latin populaire trunca (de truncus) et du suffixe -aria. Ce qui indique le défrichement d'une zone boisée[23].

    La Tronquière était l'intitulé ancien du lieu jusqu'au XIXe siècle (la Tronquiera en quercynois), la dénomination Latronquière s'est progressivement imposée depuis la Révolution française.

    Histoire

    Antiquité

    Située sur la voie romaine de Cahors à Gergovie et Clermont, La Tronquière était située sur l'itinéraire entre le Quercy et l'Auvergne. On y a longtemps prélevé un droit de péage sur le bétail montant en Auvergne.

    Du Moyen Âge

    La baronnie de La Tronquière s'étendait sur un territoire assez vaste dont elle percevait les revenus, exerçait la justice et détenait les divers droits féodaux, comprenant les paroisses de La Tronquière, Gorses, Bouxal, puis Druhles. Elle empiétait sur celles de Sénaillac, Lauresses, Saint-Cirgues, et possédait des rentes sur d'autres points du Quercy, de l'Auvergne et du Rouergue.

    Les Hospitaliers

    La Tronquière a été du XIIIe siècle à la Révolution une commanderie hospitalière fortifiée de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, dépendant du grand prieuré de Saint-Gilles dans la langue de Provence. La plus ancienne référence à cet établissement est la donation d'un mas, datée de 1255, à l'Ordre qui la confia en charge au commandeur de La Tronquière. La fondation de la commanderie pourrait toutefois remonter au XIe ou XIIe siècle, à la suite de la donation d'un seigneur du lieu, baron de La Tronquière[24].

    La commanderie était établie dans un château féodal doté de trois tours massives et de fortes murailles, comprenant notamment une église, une prison, des greniers et granges pour abriter les récoltes. Le château de La Tronquière était pendant les croisades un lieu de recrutement pour l'ordre militaire qu'était l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Par la suite dès le XVIIe siècle le commandeur en titre de La Tronquière n'y résidait plus et était inconnu des habitants. Les intérêts de la communauté étaient gérés sur place par des intendants du commandeur que venaient régulièrement inspecter des commissaires envoyés par le prieur.

    Les guerres de religion

    Pendant les guerres de religion (1570-1590), très disputées en Quercy, une grande partie des habitants de La Tronquière, devenus protestants s'étaient emparés du château et avaient abattu l'église paroissiale. La chapelle des commandeurs servit d'église paroissiale après le départ des Réformés (1571). Le château peu habité ayant perdu au XVIIe siècle sa fonction défensive subit un long processus de délabrement. Au XVIIIe siècle la forteresse était déjà démantelée, les remparts abattus, les fossés à demi-comblés. La tour carrée rasée après la Révolution achevait la disparition du château dont seul aujourd'hui le terre-plein reste identifiable.

    Seconde Guerre mondiale

    Le , à partir de 6 h 40 du matin, Latronquière est envahie et cernée par 2 000 soldats de la 2e division SS Das Reich. La poste et la gendarmerie sont occupées et une trentaine de soldats entourent la maison du maire M. Longuevernhe, qui est malmené. Tous les habitants sont bientôt rassemblés sur la place de l'église. Deux hommes en civil de la Gestapo veulent savoir où sont le poste de commandement du maquis et ses dépôts d'armes. Les hommes sont séparés des femmes, tous sont ensuite parqués dans un pré entouré de soldats qui tirent des coups de feu. Plusieurs hommes sont emmenés dans une grange et frappés. Le maire est mis à genoux, les mains attachées et il est menacé d'un revolver sur la tempe. Seuls les hommes valides sont maintenus sur place[25].

    À 11 h 40, le pillage des maisons commence et conduit à la découverte d'un stock de poudre noire que M. Menchi utilise dans le cadre de l'activité de son entreprise de travaux publics. Sa maison est alors complètement brûlée. Les 40 hommes du village sont entassés sur deux camions en direction de Cahors, puis Montauban, parmi eux se trouvent le maire, les notables et gendarmes. Après des beuveries et des pillages, les soldats SS repartent le à 6 h du matin. Un cultivateur : Jean Aubert est tué dans un pré. La commune comptait déjà 18 prisonniers de guerre avant ces événements[25].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1793 Jacques Bouscardel    
    1793 1794 Jean Bardet    
    1794 1796 Jacques Bro    
    1796 1797 Jean Pierre Lagrange    
    1797 1798 François Paulhac    
    1798 1799 Pierre Pompidou    
    1799 1813 Joseph Moncourrie    
    1813 1824 Jean Pierre Mage    
    1825 1832 Guillaume Bouscardel    
    1832 1843 G. Cavaille    
    31 janvier 1843 1865 Justin Emeric Depeyrot    
    1865 1870 Charles Antoine Bouscardel    
    1870 1871 Justin Emeric Depeyrot    
    1871 1878 Charles Antoine Bouscardel    
    1878 1901 Jean Pierre Roussille    
    1901 1916 Gustave Mage    
    1919 1939 Gustave Castanie    
    1939 1952 Léopold Longueverhe    
    1952 1965 Arsène Clavies    
    1 mars 1965 1 mars 1995 Antoine Chibret    
    mars 2001 2008 Claude Galtié PS Conseiller général
    mars 2008 2014 Serge Lesobre Divers gauche  
    2014 En cours Éliane Lavergne    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 432 habitants[Note 5], en diminution de 7,69 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    440450521410434448450499524
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    476496525566563567562562550
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    534544535510541511517510510
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    545597636617555538542543543
    2013 2018 - - - - - - -
    468432-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au début du XXe siècle, Latronquière comptait 550 habitants[31].

    Culture locale et patrimoine

    L'église de Latronquière.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la croix de Malte d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Latronquière
    Parti d'argent et de gueules, à la croix pattée alésée de l'un en l'autre.
    Alias du blason de Latronquière
    D'argent à la croix de Malte de sinople surmontée d'une couronne murale de trois tours du même.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • La Commanderie-Baronnerie de La Tronquière, Ordre de Malte, par Ferdinand de Laroussilhe, Girma, Cahors, 1894, réédité en 1998 par l'Office de Tourisme de Latronquière.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Puech Lasvieilles (P2030560) » (consulté en ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    8. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    9. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    10. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Latronquière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF les « zones humides du ruisseau de Combard et du ruisseau de Poutiac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF les « zones humides du ruisseau de Goutepeyrouse et de l'amont du ruisseau du Bousquet » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF le « bassin de la Bave » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF le « Ségala lotois : bassin versant du Célé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 114.
    24. Ferdinand de Laroussilhe, La Commanderie-baronnie de La Tronquière, Cahors, Girma, , 137 p..
    25. Gilbert Lacan, Figeac en Quercy : sous la terreur allemande, Paris, Union Amicale des Enfants de l'Arrondissement de Figeac, , 99 p., p. 30-34.
    26. « Les maires de Latronquière », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Le Lot chapitre Centres d'excursion p.248 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
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