Lamonzie-Saint-Martin
Lamonzie-Saint-Martin est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Martin.
Lamonzie-Saint-Martin | |||||
![]() La mairie de Lamonzie-Saint-Martin. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Bergeracoise | ||||
Maire Mandat |
Thierry Auroy-Peytou 2020-2026 |
||||
Code postal | 24680 | ||||
Code commune | 24225 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lamonziens, Lamonziennes[1] | ||||
Population municipale |
2 565 hab. (2018 ![]() |
||||
Densité | 124 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 50′ 32″ nord, 0° 22′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 59 m |
||||
Superficie | 20,64 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Bergerac (banlieue) | ||||
Aire d'attraction | Bergerac (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de la Force | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | lamonzie-saint-martin.fr | ||||
Géographie
Généralités

Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, en Bergeracois, et incluse dans l'unité urbaine de Bergerac[2], la commune de Lamonzie-Saint-Martin s'étend sur 20,64 km2. Elle est bordée au nord et au nord-ouest par la Dordogne, et à l'ouest par son affluent, la Gardonnette.
L'altitude minimale, 12 mètres, se trouve à l'extrême ouest, au niveau de sa confluence avec la Gardonnette, là où la Dordogne quitte la commune et sert de limite entre celles de Gardonne et Saint-Pierre-d'Eyraud. L'altitude maximale avec 59 mètres est localisée au sud-est, près du lieu-dit la Cassaigne, en limite de Pomport. Au niveau géologique, le sol est composé d'alluvions de l'Holocène en partie nord de la commune, en vallée de la Dordogne, et du Pléistocène supérieur dans le sud, sur les coteaux[3].
Au lieu-dit le Rieu-de-Laysse, le bourg de Lamonzie-Saint-Martin est traversé par la route départementale (RD) 936 (l'axe Bordeaux-Bergerac) et desservi par le train en gare de Lamonzie-Saint-Martin, sur la ligne Libourne-Bergerac. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'ouest de Bergerac et treize kilomètres à l'est de Sainte-Foy-la-Grande.
Le territoire communal est également desservi par la RD 16.


Communes limitrophes

Lamonzie-Saint-Martin est limitrophe de sept autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[10] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 8 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Lamonzie-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[20] et 64 145 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,3 %), cultures permanentes (22 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisées (8,2 %), prairies (5,9 %), eaux continentales[Note 6] (3,2 %), forêts (1,4 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2006 pour le Bergeracois, donc pour les zones basses du territoire de Lamonzie-Saint-Martin incluant les parties aval du ruisseau en limite de Saint-Laurent-des-Vignes, sur ses 500 derniers mètres, ainsi que celles de quatre autres cours d'eau : vers le Pont de la Basque (400 derniers mètres), en aval de la gare de Lamonzie-Saint-Martin (800 derniers mètres), en aval du château de Saint-Martin (500 derniers mètres), et la Gardonnette en aval de la route départementale 936 (400 derniers mètres)[26],[27].
De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac — composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde — dont la validation a fait l'objet en d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[28],[29].
Toponymie
.JPG.webp)
En occitan, la commune porte le nom de La Móngia e Sent Martin[30].
Histoire
En 866, Wlgrin de Taillefer, comte d'Angoulême et de Périgord, a fait construire des forts dans la province, et, en particulier, le long de la Dordogne pour résister aux raids normands. Il subsiste une motte féodale dans le parc du château de Saint-Martin. Une autre a donné son nom à « La Mouthe », près du Monteil[31]. Des bourgs vont se construire à l'abri de ces forts.
Le comte Boson le Vieux a fondé au Xe siècle le prieuré Saint-Sylvain à l'ouest de Bergerac, sur la rive gauche de la Dordogne, et l'a donné à des religieuses. Il est incendié au XIe siècle par le seigneur de Gardonne à la suite d'une contestation sur les limites des biens du prieuré. Il est reconstruit par les petits-fils de Boson le Vieux, Hélie II de Périgord et son frère Boson. L'église est consacrée en 1047. Le prieuré est donné en 1067 aux bénédictines de l'abbaye royale de Saintes par Boson III et son fils Aldebert II (tous les deux morts en 1072) d'après l'abbé Audierne.
Un bourg s'est formé à côté du prieuré de moniales (religieuses). Il s'est appelé « La Mongia » au XIe siècle, devenu au fil des années « La Mongie », puis « La Monzie »[32]. Pour assurer la protection de ses terres près du prieuré, un château est construit sur le tertre de Montcuq, au nord, sur la paroisse de Pomport, par les comtes de Périgord au XIIe siècle, probablement par Hélie V Talleyrand. Le château a appartenu aux d'Albret en 1334 et au XVIe siècle[33],[34],[35], aux d'Aydie dans les années 1560. Il a été plusieurs fois assiégé. En 1628, Richelieu a ordonné son démantèlement. Il est occupé par les croquants. Sa destruction a été achevée par un incendie. La châtellenie de Montcuq est vendue en 1775 par les héritiers du duc de Biron. Les ruines du château ne sont pas mentionnées. En 1900, il subsistait encore quelques pans de murs mais qui ont disparu depuis[36].
Dès son origine, la châtellenie de Montcuq regroupait douze paroisses : Pomport, Rouffignac, Saint-Mayme, Saint-Laurent-des-Vignes, Saint-Sernin-de-Gabanelle, Saint-Sylvain (Lamonzie), Le Monteil, Saint-Martin, Rouillas, Colombier, Monbazillac et Saint-Christophe[37],[38]. La châtellenie a disparu au moment de la Révolution.
Historiquement, la commune est composée de quatre hameaux importants : le Monteil, la Bourgatie, Saint-Martin et le Rieu-de-Laysse, appelé plus communément Lamonzie. Une des particularités de cette commune est qu'elle est le fruit de la fusion de trois paroisses devenues des communes (Lamonzie, Le Monteil, et Saint Martin de Gardonne). Dans un premier temps, la commune de Lamonzie fusionna avec Le Monteil en 1794, puis avec celle de Saint-Martin-de-Gardonne pour devenir ainsi en 1795 la commune de Lamonzie-Saint-Martin.
Au début du XXIe siècle, la commune possède toujours ses trois églises, Notre-Dame-de-l'Assomption (qui a remplacé Saint-Sylvain) à Lamonzie, Saint-Roch au Monteil, et Saint-Martin[39].
Au XXe siècle, les vestiges d'une villa gallo-romaine furent mis au jour : thermes, aqueduc ainsi qu'une partie de sarcophage. La commune a fait l'acquisition de ces terrains en 2008 et de nouvelles fouilles devraient ainsi être organisées sous la responsabilité de la Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC).
Politique et administration
Intercommunalité
Fin 2001, Lamonzie-Saint-Martin intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[40],[41].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Lamonzie-Saint-Martin relève[47] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages

Le Molay-Littry (Calvados) (France) depuis 1998[48].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].
En 2018, la commune comptait 2 565 habitants[Note 7], en augmentation de 4,82 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Lamonzie-Saint-Martin ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 081 personnes, soit 43,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (143) a fortement augmenté par rapport à 2010 (102) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,2 %.
L'emploi sur la commune
Au , la commune offre 484 emplois pour une population de 2 464 habitants[54]. Le secteur des services prédomine avec 27,3 % des emplois mais l'industrie est également très présente avec 25,6 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | ||
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'emplois | 84 | 124 | 54 | 132 | 89 | |
Pourcentage | 17,3 % | 25,6 % | 11,2 % | 27,3 % | 18,5 % | |
Source des données[54]. |
Établissements
Au , la commune compte 178 établissements[55], dont 87 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-quatre dans la construction, dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans l'industrie, et douze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[56].
Entreprises
Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Bio inox » (fabrication de réservoirs, citernes et conteneurs métalliques) implantée à Lamonzie-Saint-Martin se classe en 33e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 8 149 k€[57].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Monboucher du XVIIe siècle.
- Château de Saint-Martin, XVe et XVIIIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques[58].
Le château de Saint-Martin.
Patrimoine religieux
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Lamonzie[39], ancienne église Saint-Sylvain[59].
- Église Saint-Martin (de Saint-Martin de Gardonne) citée dans un pouillé en 1648[39], en cours de rénovation en 2014[60].
- Église Saint-Roch du Monteil, reconstruite à la place d'une église Saint-Front[39].
- Temple protestant devenu propriété privée, le long de la route départementale 936[61]. Édifié en 1820, il a servi jusqu'en 2000 lors de baptêmes ou de mariages de « la communauté protestante du Bergeracois »[62].
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. L'ancien temple protestant.
Héraldique
![]() |
Blason | Tiercé en pal : au 1er d'azur à trois étoiles d'or rangées en pal, au 2e d'argent à la crosse d'abbesse d'azur chargée d'un besant d'argent lui-même chargé d'un losange d'azur surchargé d'un clocher d'argent, le besant bordé d'azur, au 3e de gueules à trois tours d'argent, ouvertes et ajourées du champ, rangées en pal[63]. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- François Jouannet, « Note sur des tombeaux découverts l'été dernier à La Mongie-Saint-Martin, arrondissement de Bergerac, canton de Sigoulès, et sur les forges antiques de la Dordogne », dans Bulletin monumental, 1834, tome 1, p. 135-142 (lire en ligne)
- Marthe Marsac, « La châtellenie et les seigneurs de Montcuq », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1970, tome 97, 1re livraison, p. 52-68, 2e livraison, p. 119-126, 3e livraison, p. 186-199, 1971, tome 98, 2e livraison, p. 89-98, 3e livraison, p. 211-221, 4e livraison, p. 305-316, 1972, 1re livraison, p. 71-79
- Marthe Marsac, « Le prieuré des bénédictines de Saintes à Saint-Silvain en Périgord », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1976, tome 103, 3e livraison, p. 180-199, 4e livraison, p. 268-284
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- http://www.habitants.fr/habitants_lamonzie-saint-martin_24225.html
- Insee, Unité urbaine 2010 de Bergerac, consulté le 15 avril 2016.
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Lamonzie-Saint-Martin et Saint-Laurent-des-Vignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lamonzie-Saint-Martin et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- PPR inondation - 24DDT20050012 - Bergeracois, DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
- [PDF] Lamonzie-Saint-Martin - Bergeracois - Plan de prévention du risque inondation (p. 3), DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
- [PDF] Arrêté no 2014337-0002 portant approbation des cartes des surfaces inondables et des cartes des risques d'inondation pour les territoires à risque important d'inondation du bassin Adour-Garonne, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
- Plan de zonage du TRI de Bergerac, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 6 mars 2014.
- Marthe Marsac, « La châtellenie et les seigneurs de Montcuq », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1970, tome 97, 2e livraison, p. 119 (lire en ligne)
- Marthe Marsac, « Le prieuré des bénédictines de Saintes à Saint-Silvain en Périgord », dans Bulletin de la Société Historique e Archéologique du Périgord, 1976, tome 103, 3e livraison, p. 180-199 (lire en ligne)
- Marthe Marsac, « La châtellenie et les seigneurs de Montcuq », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1970, tome 97, 3e livraison, p. 191-199 (lire en ligne)
- Marthe Marsac, « La châtellenie et les seigneurs de Montcuq », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1970, tome 97, 4e livraison, p. 279-289 (lire en ligne)
- Marthe Marsac, « La châtellenie et les seigneurs de Montcuq », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1971, tome 98, 2e livraison, p. 89-98 (lire en ligne)
- Marthe Marsac, 1970, 2e livraison, p. 120-122.
- Marthe Marsac, « La châtellenie et les seigneurs de Montcuq », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1970, tome 97, 1re livraison, p. 52 (lire en ligne)
- Marthe Marsac, 1970, 2e livraison, p. 124.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 195-196, 293.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.
- « Le maire de Lamonzie-Saint-Martin est décédé », Sud Ouest, (lire en ligne).
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 25.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 20 août 2014.
- « Thierry Auroy-Peytou réélu », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
- « Résultats municipales 2020 à Lamonzie-Saint-Martin », sur Le Monde.fr (consulté le ).
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Jumelage, sur le site de Lamonzie-Saint-Martin, consulté le 31octobre 2019.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Lamonzie-Saint-Martin (24225) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.
- Dossier complet - Commune de Lamonzie-Saint-Martin (24225) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Lamonzie-Saint-Martin (24225) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 novembre 2018.
- « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
- « Château de Saint-Martin », notice no PA00082603, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 avril 2013.
- Commune de Lamonzie-Saint-Martin : église de St-Sylvain
- Sylvain Cottin, « Leur chapelle est sauvée », Sud Ouest édition Dordogne, 5 mai 2014, p. 3.
- Robin Droulez, « « Loft » protestant cherche acquéreur », Sud Ouest édition Périgueux, 8 avril 2016, p. 24g.
- Lola Benne, « Le temple protestant reconverti en brocante », Sud Ouest édition Périgueux, 25 juillet 2018, p. 20h.
- 24 225 - LAMONZIE SAINT MARTIN, L'Armorial des villes et des villages de France, consulté le 31 octobre 2020.
- Portail de la Dordogne
- Portail des communes de France