Lalouvesc

Lalouvesc est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes. Haut lieu spirituel, Lalouvesc est un des lieux de pèlerinage les plus importants de l'Ardèche.

Lalouvesc

Vue générale du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Ay
Maire
Mandat
Jacques Burriez
2020-2026
Code postal 07520
Code commune 07128
Démographie
Gentilé Louvetounes et Louvetous
Population
municipale
382 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 07′ 15″ nord, 4° 32′ 08″ est
Altitude Min. 716 m
Max. 1 256 m
Superficie 10,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Vivarais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Lalouvesc
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Lalouvesc
Géolocalisation sur la carte : France
Lalouvesc
Géolocalisation sur la carte : France
Lalouvesc
Liens
Site web https://www.lalouvesc.fr/

    La commune est jumelée avec Foncouverte, dans le département de l'Aude, le village de naissance de saint Jean François Régis, décédé à Lalouvesc et saint emblématique du village.

    Étymologie

    Dans l'Antiquité, le col semble avoir abrité un poste de garde sur la voie romaine reliant Vienne à Saint-Agrève. Le nom de Lalouvesc proviendrait alors vraisemblablement du nom de cette garnison romaine qui avait comme nom « Alauda » (l'Alouette), mot gaulois, en occitan L'Alaveta (orthographié en écriture patoisante L'Aloveto). Une autre hypothèse évoque un relais de chasse aux loups des comtes d'Annonay, actuellement la Maison Claire, située au point de rencontre de deux vallons au pied du Suc de Mirabel.

    Le nom de la commune est parfois orthographié « La Louvesc » sur les panneaux indicateurs. Il se prononce « Lalouvé » (en alphabet phonétique international : [laluve]).

    Géographie

    À 1 080 mètres d’altitude, le village est positionné géographiquement dans un quadrilatère entre Saint-Étienne, Lyon, Valence et Le Puy-en-Velay. Point phare de l’Ardèche Verte, Lalouvesc est située sur les contreforts du Massif central, non loin des vallées du Haut-Vivarais, il faisait partie du canton de Satillieu jusqu'en 2014 et est voisin des communes de Pailharès et de Saint-Julien-Vocance. La plus grande ville à proximité de Lalouvesc est Annonay située au nord-est de la commune à 17 kilomètres.

    Vue aérienne - situation géographique du village.

    Le village se trouve au pied de trois sommets : au sud-est le mont Besset, au sud-ouest le suc de Mirabel, et au nord le mont Chaix.
    Lalouvesc comprend, outre son chef-lieu, de nombreux hameaux :

    • Dans la direction de Rochepaule : Grange Neuve, la Vialette, les Grands et le Fournel ;
    • Dans la direction de Saint-Pierre-sur-Doux : le Crouzet ;
    • Dans la direction de Saint-Félicien, autour du mont Besset : les Sagnes, Bobignieux et le Besset.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Lalouvesc est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,7 %), prairies (22,8 %), zones urbanisées (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[9].

    En 2018, la commune comptait 382 habitants[Note 2], en diminution de 5,91 % par rapport à 2013 (Ardèche : +1,94 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    429407480525690748819784842
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0281 0751 2411 1041 1621 0151 0981 1121 148
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 098949922744765871794759687
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    608559470487514494491489404
    2017 2018 - - - - - - -
    386382-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[11].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    On se rend mieux compte de l'évolution du nombre d'habitants en reportant les chiffres précédents sur graphique :

    Graphique représentant l'évolution de la population du village depuis la Révolution
    La rue principale

    Les recensements officiels donnent un peu plus de 400 habitants vers 1800. La population a augmenté jusqu'à 1 242 habitants en 1866, mais a baissé progressivement ensuite. Elle s'est maintenue autour de 500 habitants dans les années 1970 à 2000, puis a baissé pour atteindre aujourd'hui 434 habitants. En été, le nombre de résidents augmente jusqu'à atteindre les 1 200 habitants. En raison de sa situation et de son climat, Lalouvesc est en effet devenue aussi un centre de villégiature (résidences secondaires, séjours touristiques, visites à la journée). De nombreuses animations culturelles sont alors organisées : expositions du Carrefour des Arts, concerts, soirées, conférences… Des rassemblements s'y organisent volontiers. L'environnement invite à la randonnée, à la cueillette des fruits des bois ou au repos.

    Le reste de l'année, le village retrouve du calme, la vie collective y reste présente grâce à une quinzaine d'associations. La maison de retraite accueille aussi 50 pensionnaires. Les commerces principaux y restent ouverts. Autour du village, l'activité agricole peine un peu à se maintenir. La forêt, par contre, est bien exploitée.

    Éléments d'histoire et patrimoine

    La réputation de Lalouvesc est liée à la personne du saint prêtre jésuite Jean-François Régis dont la tombe est devenue objet de pèlerinages. Jean-François Régis, missionnaire itinérant des campagnes, y est mort, victime du froid à la veille de l'an 1640. C'est pour accueillir les pèlerins que la religieuse Thérèse Couderc y a fondé en 1826 la congrégation des Sœurs du Cénacle. En 1877, une grande basilique a remplacé l'église du village. Aujourd'hui, la fréquentation religieuse marque le pas mais persiste toute l'année pour des retraites spirituelles ou en été pour des cérémonies religieuses particulières[12].

    Saint Francois Regis et sœur Thérèse Couderc sont les deux saints liés à Lalouvesc :

    • Saint Jean-François Régis est venu en mission à Lalouvesc le , et y est mort le 31 décembre, à l'âge de 44 ans. Ce prêtre jésuite était chargé de mission dans la région depuis 1634. Il y était très apprécié pour sa spiritualité et son dévouement aux pauvres. Son corps a été conservé à Lalouvesc qui est ensuite devenue lieu de pèlerinage. La basilique Saint-Régis qui contient ses ossements a été construite en son honneur.
    • Sainte Thérèse Couderc a fondé à Lalouvesc la congrégation des Sœurs du Cénacle. Un pèlerinage lui est aujourd'hui dédié à l'échelle mondiale. Le corps de sainte Thérèse Couderc repose aujourd'hui à Lalouvesc. Durant de nombreuses années il était placé dans la chapelle du Cénacle puis depuis le dans la basilique Saint-Régis.

    Haut lieu spirituel et religieux

    Lalouvesc est depuis membre de l'association des villes sanctuaires[13].

    • L'ancienne église Sainte-Agathe a aujourd'hui disparu (remplacée par la basilique actuelle), mais son mobilier liturgique baroque (autel et chaire) du XVIIIe siècle ont été déplacés dans l'église de Molière.
    • L'actuelle basilique Saint-Régis date du XIXe siècle. Elle abrite les reliques de saint Jean-François Régis et depuis le le corps de sainte Thérèse Couderc. Elle est au moins la 3e église successivement construite à Lalouvesc. Sa construction a duré douze ans et a été achevée en 1877. Elle est l'œuvre de l'architecte lyonnais Pierre Bossan, qui avait réalisé la basilique d'Ars en 1862, et qui a construit celle de Fourvière en 1884. Son style néo-byzantin s'inspire à la fois des églises romanes et des églises orientales. Elle se caractérise notamment par des colonnes intérieures en marbre d'une seule pièce, des vitraux évoquant la vie de saint François-Régis, une crypte. Elle abrite dans ses clochers un bourdon qui est la plus grosse cloche d'Ardèche et une petite cloche qui sonna en 1640 la mort de saint François-Régis.
    • Le musée Saint-Régis abrite un diorama de Georges Serraz qui évoque, en une vingtaine d'étapes, la vie de saint Régis.
    • La chapelle Saint-Régis demeure le lieu le plus vénérable de Lalouvesc. Elle a été construite en 1850 à l'emplacement de l'ancien presbytère où est mort le saint, le . Cet édifice a été restauré en 1999. À cette occasion la peinture de la coupole : "L'arrivée de saint Régis au ciel accueilli par Jésus et Marie" de Paul Auda est redécouverte sous des couches de suie déposée par les milliers de cierges ayant brûlés en ces lieux. Cette peinture avait été réalisée sur commande en 1898.
    • La chapelle Saint-Ignace fut construite en 1896 pour les besoins du pèlerinage. Elle se situe à proximité de la maison Saint-Régis, résidence des prêtres de la Compagnie de Jésus à Lalouvesc. Aujourd'hui elle accueille principalement des expositions organisées par le sanctuaire.
    • Le parc des Pèlerins, aménagé entre 1965 et 1979 s'ouvre par son grand escalier de lauzes. Une grande allée conduit à un amphithéâtre de gazon planté d'arbres. Le parc est le lieu d'offices religieux de plein air d'importance comme la grand-messe du et il peut accueillir plusieurs milliers de personnes. Un chemin de croix s'échelonne le long du parc. Les scènes sont gravées sur des menhirs (œuvre de Philippe Kaeppelin).
    • Le Cénacle a été fondé en 1826 par sainte Thérèse Couderc pour accueillir les pèlerins.
    • La fontaine Saint-Régis, en contrefort du mont Chaix est une source dont l'eau aurait des vertus miraculeuses. Elle est abritée dans une petite crypte, et constitue un lieu de culte pour les pèlerins. De nombreux touristes croyants ou non viennent y boire ou prier. De nombreux ex-voto sont déposés sous la statue du saint en signe de remerciement ou de prières.
    • Le calvaire du mont Chaix a été inauguré le .

    Lieux de tourisme, de loisir et de culture

    • La place du Lac est la plus grande place du village, elle tient son nom du fait de la présence d'un ancien lac sur son emplacement actuel. C'est également le lieu du marché de Lalouvesc qui se tient tous les jeudis durant la période estivale.
    La place du Lac.
    • Le parc municipal de loisirs du Val d'or, ouvert au public depuis le début des années 2000, est un endroit de calme et de convivialité, présentant des activités ludiques pour les enfants.
    Le parc de loisirs du Val d'Or.
    • Le camping se situe au nord du village, non loin de la fontaine Saint-Régis. Il propose aussi des cabanes.
    • Les coins pique-niques permettent le repos du voyageur ou du touriste dans un cadre agréable.
    • Les promenades et randonnées ludiques : le parcours botanique sillonnant les pentes du mont Besset, le parcours de gymnastique en forêt près du mont Besset, le parcours des champignons parcourant le mont Chaix. En toutes saisons, randonneurs, cavaliers, VTTistes apprécient les nombreux sentiers de randonnées cheminant le long des champs et dans de majestueuses forêts à la découverte de framboises sauvages, myrtilles, champignons et faune variée...
    • La table d'orientation avec vue panoramique sur la chaîne des Alpes à l'est (on y voit le Mont-Blanc par temps clair).
    • Le Carrefour des Arts, expose des artistes depuis 1989.

    Héraldique

    Les armes de Lalouvesc se blasonnent ainsi :
    D'argent au chef d'azur chargé d'une fleur de lys d'or.

    Personnalités liées à la commune

    Politique et administration

    La mairie.

    Le tableau ci-dessous dresse la liste des maires successifs de Lalouvesc.

    Nom Étiquette Début de mandat Fin de mandat Précisions Portrait
    Régis de l'Hermuzière
    François Forel
    Régis Chalaye
    Mme Astier née Goudard
    Jacques de Montgolfier
    Edmond Battandier
    André Costet
    Joseph Charmetant
    Julien Mialon Décédé en 2000 et remplacé par Bernard Besset
    Bernard Besset
    Jean-François Couette[14] juillet 2020Commerçant, DVG
    Jacques Burriez[15] juillet 2020 en cours


    Événements

    • Les rassemblements religieux les plus nombreux ont lieu le et le dimanche suivant pour la fête de saint Jean-François Régis, le en l'honneur de saint Ignace de Loyola (fondateur des jésuites), le pour la fête de l'Assomption, et le dernier dimanche d'août pour sainte Thérèse Couderc.
    Des expositions sur quatre niveaux au Carrefour des Arts.
    • Le Carrefour des Arts[16] est une exposition d'arts plastiques de plus en plus renommée qui reçoit maintenant près de 10 000 visiteurs chaque été, locaux, français ou étrangers. Elle est organisée par une association de bénévoles, créée en 1989, qui rassemble une dizaine de membres actifs, une soixantaine d'adhérents et de nombreux partenaires, publics et privés. Elle présente chaque année les œuvres d'une dizaine d'artistes professionnels, français et étrangers, de renommée nationale ou internationale. Des techniques toujours diverses et originales y sont représentées, en peinture, sculpture, verrerie, broderie, vitraux, photos…, dans des mises en scène très élaborées. L'exposition s'étend sur les 700 m2 et les quatre niveaux du Centre d'animation communal, qui est l'ancienne école religieuse du village. Elle est en principe ouverte tous les après-midis au mois de juillet et d'août.
    • L'offre culturelle d'été comprend aussi des visites commentées du village, des conférences, des concerts classiques avec les Promenades musicales, des soirées au pub Saint-Régis...
    • Le rallye automobile Monte-Carlo a fait très régulièrement étape à Lalouvesc, en tant que départ ou arrivée de spéciales. La région reçoit maintenant le Monte-Carlo historique.
    • L'Ardéchoise, à la fois course cyclosportive et plus grand rassemblement cyclotouriste d'Europe, créée en 1992 et qui rassemble chaque année plus de douze mille amateurs, n'est plus basée à Lalouvesc, mais constitue la dernière difficulté de la course avec le col à 1 092 m d'altitude.
    • Des commerces proposent des souvenirs religieux et des spécialités gastronomiques locales.
    • Deux hôtels restent ouverts, le Vivarais et les Voyageurs. Ils sont complétés par plusieurs gîtes ou chambres d'hôte. 

    Galerie de photographies

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Albin Mazon, Voyage autour d'Annonay (1901)
    • Guide de l'Union Touristique Ardèche Verte (1991)
    • Office de Tourisme du Val d'Ay
    • ressources municipales
    • articles du Dauphiné Libéré, et notamment reportages du de François Bassaget.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    9. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    12. « Lalouvesc, haut-lieu de l'esprit ignatien », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
    13. « En Ardèche, Lalouvesc devient « ville sanctuaire » », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
    14. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
    15. « Ardèche. Jacques Burriez est le nouveau maire des Louvetous », sur www.ledauphine.com (consulté le )
    16. « Carrefour des Arts de Lalouvesc accueil », sur www.carrefourdesarts-lalouvesc.com (consulté le )
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