La Ricamarie

La Ricamarie est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La Ricamarie

Statue de Michel Rondet à La Ricamarie.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Cyrille Bonnefoy
2020-2026
Code postal 42150
Code commune 42183
Démographie
Gentilé Ricamandoises, Ricamandois [1]
Population
municipale
7 889 hab. (2018 )
Densité 1 135 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 24′ 14″ nord, 4° 21′ 54″ est
Altitude Min. 528 m
Max. 841 m
Superficie 6,95 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
La Ricamarie
Géolocalisation sur la carte : Loire
La Ricamarie
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La Ricamarie
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La Ricamarie
Liens
Site web www.ville-laricamarie.fr

    Géographie

    Localisation

    La Ricamarie se situe dans la vallée de l'Ondaine, à une altitude de 580 m à l'hôtel de ville. Cette commune se trouve dans le sud du département ligérien, au sein de Saint-Étienne Métropole, à km de Saint-Étienne[2]. aux confins du Pilat et proche de la Haute-Loire.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 6,95 km2 ; son altitude varie de 528 à 841 mètres[3].

    Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

    Voies routières

    La commune est traversée par deux voies express, la route nationale 88 reliant l'agglomération stéphanoise à Firminy et au Puy-en-Velay et la route départementale 201, itinéraire de contournement reliant l'autoroute A72 (vers Roanne et Clermont-Ferrand) à la route nationale 88 où l'échangeur est situé sur le territoire de la commune.

    Les départementales 33, 88 et 3088 desservent la commune.

    Transports en commun

    La commune est desservie par la ligne M1 et 70 du réseau STAS .

    Transports ferroviaires

    Une gare ferroviaire est implantée sur la ligne de Saint-Georges-d'Aurac à Saint-Étienne-Châteaucreux : la gare de La Ricamarie, desservie par des TER Rhône-Alpes reliant Lyon ou Saint-Étienne-Châteaucreux à Firminy, Bas-Monistrol ou Le Puy-en-Velay.

    Urbanisme

    Typologie

    La Ricamarie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[7] et 373 927 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (44,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (28,3 %), zones urbanisées (25,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,3 %), forêts (12,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,3 %), mines, décharges et chantiers (5,3 %), terres arables (0,1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Histoire

    Origines : de Tiregarne à La Ricamarie

    Les travaux et aménagements réalisés pendant la période contemporaine, liés à l'implantation de l'industrie et à l'extraction du charbon, ont probablement détruit tout ou partie des traces d'occupation ancienne. La présence possible d'un ancien oppidum au lieu-dit non localisé Bouthéon[14] reste aujourd'hui une théorie qu'aucune recherche archéologique n'est venue confirmer.

    L'actuel quartier de la Romière est situé sur l'ancien chemin des pèlerins reliant Lyon au Puy-en-Velay, la Via romipedum a Lugduno ad Podium[15].

    Au XIVe siècle, il est fait mention d'un hôpital sur le territoire de l'actuelle commune[16].

    Dénommée Tiregarne[17] jusqu'au XVe siècle, le lieu-dit prend ensuite le nom de la Rycamarie puis la Ricamarie, probablement tiré d'un propriétaire, monsieur Raquamier ou Récamier[18],[19].

    Certains évoquent une autre étymologie hypothétique, d'origine latine, en rapport avec son passé minier : ricamina ou ricaminera, signifiant une riche mine.

    Jusqu'en 1711, l'église de La Ricamarie dépend de la paroisse de Saint-Étienne.

    La Ricamarie n'est érigée en commune qu'en 1843.

    Depuis le XVIIIe siècle

    C'est surtout l'activité proto-industrielle, celle des forges installées sur le bassin versant de l'Ondaine et l'exploitation des mines de charbon qui est à l'origine du développement du secteur de La Ricamarie. On dénombrait déjà trois mines en 1709 (la Mine, la Béraudière, le Montcel) et en 1843, la commune comptait quatre compagnies minières, sous le contrôle d'une seule autorité locale dès 1841.

    Située sur un carrefour entre deux axes de communication de la Loire au Rhône et de Lyon au Puy-en-Velay La Ricamarie est alors partagée entre Valbenoîte, Saint-Genest-Malifaux, Montaud et le Chambon-Feugerolles. Cette situation rendant difficile le contrôle des hommes et des marchandises il est décidé  au milieu du XIXe siècle  de créer une commune indépendante. Cette dernière voit le jour le .

    La Ricamarie fut un haut lieu de la lutte des mineurs français pour l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail (avec notamment Michel Rondet). Le principal évènement eut lieu le , au lieu-dit le Brûlé, lorsque le 4e régiment d'infanterie de ligne tira sur la population rassemblée au ravin du Brûlé : la fusillade du Brûlé fit 14 morts dont un enfant de 16 mois et de nombreux blessés. En , un mouvement similaire dans le bassin houiller d'Aubin dans l'Aveyron fera également 14 morts.

    De ce contexte minier très rude, ressort aussi l'appel que le curé de La Ricamarie fait en chaire, lors de la grande grève des mineurs de 1948, à soutenir largement les mineurs en lutte[20].

    Blasonnement

    Les armoiries de La Ricamarie se blasonnent ainsi :

    De gueules à la filière d'or; à la massette posée en pal et à deux pics de mineurs brochant en sautoir, le tout d'argent brochant en chef sur la filière, à la lampe de mineur allumée d'or, son réservoir au bouchon d'argent timbré d’un coq d'or, à l'étrier de laquelle est appendue une boussole d'argent la bordure d'or et à l'aiguille mise en bande et écartelée d'or et d'argent, adextrée d’une étoile à six rais d'or et senestrée d'un élément du Monument des Étoiles du même, le tout posé sur un tas de charbon de sable, ombré d'argent et brochant sur la filière.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Marc Faure est réélu en 2014 avec 56,01 % des voix au premier tour, battant Joëlle Ricard-Fourneyron (45,98 %). Le taux de participation est de 48,42 % ; sur les 29 sièges du conseil municipal, le maire, une élue de la majorité et une élue d'opposition siègent aussi au conseil communautaire[21].

    Liste des maires

    Les maires sont d'abord des cadres supérieurs des Mines ou des républicains modérés. À partir de 1919 et jusqu'en 1940, la municipalité évolue vers la gauche. Jean-Marie Pons meurt pendant son mandat, remplacé ainsi par André Allette.

    Les élections étant supprimées sous le gouvernement de Vichy, une délégation spéciale remplace le conseil municipal puis le maire est nommé par l'État. Après la libération, Auguste Poinat est maire du Comité de Libération.

    La mairie passe à gauche, avec une majorité communiste dès 1947. La longévité de Fernand Montagnon, qui transmettra sa fonction à son premier adjoint Marc Faure en 1990, est le symbole d'une longue continuité politique. Pourtant, en 1995, la droite emmenée par Georges Berne remporte les élections. La gauche reprend les commandes en 2001, de nouveau avec Marc Faure.

    Georges Berne a été porté sous les feux de l'actualité en 2005 par sa condamnation pour trafic d'influence et harcèlement sexuel, faits confirmés par la cour d'appel de Lyon. M. Berne s'est alors pourvu en cassation, mais son pourvoi a été rejeté, confirmant ainsi sa condamnation (2007)[réf. nécessaire].

    Liste des maires successifs
    PériodeIdentitéPartiQualité
    - Hugues Chomier
    - Xavier Napoléon Marchand
    - Jean Aguillon
    - Jean-Pierre Mure
    - Jean Aguillon
    - Jean-Claude Braly
    - Jean-Jacques Fanget
    - Gerin Jacquemard
    - Antoine Berger
    - Antoine Moulin
    - M. VincentSFIO
    - Docteur Giroud
    - Jean-Marie PonsPRS
    - André Allette
    - Jean JourjonPUP
    - vacant
    - Délégation spéciale (présidée
    par Jean-Marie Bastie)
    - 1944Joseph Heurtier
    1944 - Auguste Poinat
    - Germain CivetPCF
    - 1962Pierre Marcel TyrSFIO
    1962 - 1965Toussaint GernierSFIO
    1965 - 1990Fernand MontagnonPCFConseiller général du canton du Chambon-Feugerolles (1970-1994)
    1990 - Marc FaurePCFConseiller général du canton du Chambon-Feugerolles (1994-2001)
    - Georges BerneRPR
    - Marc FaurePCF
    Depuis le Cyrille BonnefoyPCF

    Jumelages

     Pyskowice (Pologne) depuis 1998.

    Population et société

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1846. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

    En 2018, la commune comptait 7 889 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2013 (Loire : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
    3 9212 7393 3383 2734 1315 2646 7006 7736 330
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
    7 0447 3108 8739 0789 9279 87310 52210 24610 162
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004
    9 68310 91511 90211 53910 4269 64410 2468 4388 073
    2009 2014 2018 - - - - - -
    7 9667 8487 889------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Parler des nombreuses petites PME de mécanique générale et autres entreprises familiales. Certaines ont fait faillite, d'autres...

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le sentier du Mineur
    Il s'agit d'un sentier touristique et historique de 6,5 km permettant de découvrir différents sites de l'histoire minière de La Ricamarie. Son départ a lieu sous la statue de Michel Rondet puis on découvre successivement le musée de la Mine, la fresque murale du fronton des écoles du Centre, la chapelle polonaise dans le quartier du Montcel, la cité minière des Mas, le monument du Brûlé, le puits des Combes et son site, le crassier Saint-Pierre, la cité minière des Combes.
    Fondé en 1931, inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques sur demande de la municipalité depuis le , il s'agit d'un des derniers puits de mine des vallées de l'Ondaine et du Gier. Bure reliant plusieurs galeries, profond de 469 mètres, le puits a cessé son activité en 1973. Une reconversion culturelle a été envisagée mais rien n'a été décidé jusqu'à aujourd'hui.
    • Le lavoir de la Verrerie
    Situé au 63 rue de la Libération, ce dernier lavoir public de la ville témoigne de la vie quotidienne des femmes dans le passé ainsi que la vie sociale en général puisqu'il était un lieu d'échange et de communication.
    • L'église Notre-Dame
    La première chapelle fut créée en 1710 puis agrandie en église avec la construction d'un clocher. En 1976, la paroisse, la municipalité et la population sont contraintes d'élaborer un projet de nouvelle église puisque l'église tombe en ruine. En 1980, la nouvelle architecture voit le jour : seul clocher d'origine, rénové, témoigne de l'ancienne église. À l'intérieur, on peut remarquer la nef hexagonale et trois statues en bois représentant sainte Barbe, saint Éloi et saint François Régis.
    • Le barrage de l'Ondenon
    Construit entre 1901 et mai 1904 dans la vallée de l'Ondenon, à l'entrée de la forêt, ce barrage est formé d'un mur curviligne de 32,60 m de hauteur au-dessus du lit et de 128 m de longueur en couronnement.
    cf. paragraphe « Personnalités liées à la commune »
    • Le monument des Étoiles
    Cette sculpture de bronze de Victor Caniato commémore les événements du printemps 1869 (cf. paragraphe « Histoire »). Inaugurée le , l'œuvre est située au carrefour des routes de Caintin et du puits des Combes. D'une hauteur de 3,60 m, elle est pourvue de 14 étoiles symbolisant les victimes de la fusillade, dont les noms sont gravés sur la table d'offrande. L'enfant endormi à leurs pieds représente quant à lui l’avenir et l’espoir des hommes.
    • Le Monument de La Versanne
    Situé dans le parc du Pilat, à La Versanne, cette stèle rappelle le nom des 23 victimes d'un épisode local de la Seconde Guerre mondiale : en , ces 23 résistants (dont une jeune fille), pour la plupart d'origine polonaise, ont été massacrés par les soldats allemands.

    Équipements divers

    • Sports :
      • Gymnase Youri-Gagarine ;
      • Complexe sportif de Caintin ;
      • Halle des sports Jules-Vallès ;
      • Salle Pierre-Poty ;
      • Salle Louis-Daquin ;
      • Médiathèque municipale Jules-Verne ;
      • Salle Valette ;
      • École intercommunale des arts La Ricamarie/Le Chambon Feugerolles ;
      • Salle Fernand-Montagnon ;
      • Le musée de la Mine
    Créé en 1980 à l'initiative de la section locale des mineurs CGT, il est situé place des Écoles-du-Centre. La collection est constituée d'outillage, d'instruments, d'équipements de mineur et de géomètres, de roches, de fossiles, de documents, d'archives, de photos. On peut aussi y admirer une reconstruction grandeur nature d'une galerie en deux techniques différentes, cadre métal et boisage à anglet ainsi que les maquettes du puits des Combes et du puits Pigeot. D'anciens mineurs entretiennent le musée et en assurent les visites sur rendez-vous.
    L'amical laïque Ricamarie section basket évolue au plus au niveau régional en RM1

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/loire-42
    2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre La Ricamarie et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    3. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Bouthéon: lieu detr. près du Montcel, commune de La Ricamarie - Terra vocata de Boutheon, 1455 (terr. de Roëria, f°112), dans le Dictionnaire topographique du département de la Loire, Publ. Univ. de Saint-Étienne, 2006.
    15. Mémoire de la Diana, tome X, p.149 idem.
    16. Terra sita en la Saygnete, juxta terram dicti tenementi vocatam de Lopital, 1388 (B 2026, f° 66) id.
    17. Apud Tiragarne et Solore, 1388 (B2026, f°60 v°) id.
    18. Iter tendens de Sancto Stephano apud Tiragarne... Versus domun Andree Raquamer, 1388 (B2026, f°60 v°) id..
    19. Ramerius de Rochetaillée, copie partielle de la bulle relative à la fondation de l'abbaye de Valbenoîte (v. 1184), Recueil de mémoires et documents sur le Forez. Publ. par la Société de la Diana, T. 10 Lire en ligne
    20. Jean-Louis Vivens, Conflit social ou affrontement politique ? La grève des mineurs en France en 1948 sous les angles de la solidarité ́et de la répression, mémoire de Master 2, 2015, p. 121.
    21. Résultats des élections municipales de 2014
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Claude Cherrier, La Ricamarie: une ville, des hommes, édité par la Ville de La Ricamarie, 1993.
    • Dictionnaire topographique du département de la Loire, Publ. Univ. de Saint-Étienne, 2006.

    Articles connexes

    Liens externes

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