Gerpinnes

Gerpinnes (en wallon Djerpene) est une commune de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut dans la région de l'Entre-Sambre-et-Meuse. Elle est connue notamment pour sa marche folklorique en l'honneur de sainte Rolende

Gerpinnes

L'hôtel de ville

Héraldique

Drapeau
Administration
Pays Belgique
Région  Région wallonne
Communauté  Communauté française
Province  Province de Hainaut
Arrondissement Charleroi
Bourgmestre Philippe Busine (cdH)
Majorité cdH - MR
Sièges
cdH
HORIZONS
23
13
10
Section Code postal
Gerpinnes
Acoz
Gougnies
Joncret
Loverval
Villers-Poterie
6280
6280
6280
6280
6280
6280
Code INS 52025
Zone téléphonique 071
Démographie
Gentilé Gerpinnois(e)
Population
– Hommes
– Femmes
Densité
12 660 ()
48,19 %
51,81 %
269 hab./km2
Pyramide des âges
– 0–17 ans
– 18–64 ans
– 65 ans et +
()
19,36 %
63,29 %
17,34 %
Étrangers 5,41 % ()
Taux de chômage 11,08 % (octobre 2013)
Revenu annuel moyen 15 389 €/hab. (2011)
Géographie
Coordonnées 50° 20′ nord, 4° 31′ est
Superficie
– Surface agricole
– Bois
– Terrains bâtis
– Divers
47,10 km2 (2005)
56,97 %
25,34 %
15,15 %
2,53 %
Localisation

Situation de la commune dans l'arrondissement de Charleroi et la province de Hainaut
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Gerpinnes
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Gerpinnes
Liens
Site officiel www.gerpinnes.be

    Situation

    Située en province de Hainaut, à 12 km au sud de Charleroi, la commune de Gerpinnes dont l'altitude moyenne est de 190 m, présente une superficie totale de 47,88 km2. L'entité de Gerpinnes est composée de plusieurs villages.

    Sections de commune

    Acoz, Gerpinnes, Gougnies, Joncret, Loverval et Villers-Poterie.

    L'ancienne commune de Gerpinnes elle-même compte différents hameaux :

    • Fromiée
    • Hymiée
    • Les Flaches

    Héraldique

    La commune possède des armoiries dont la date d'octroi n'a pas été trouvée.
    Blasonnement : De sinople au Saint Michel tenant de la main dextre une épée et de la main senestre une balance et terrassant le dragon, le tout d'argent.
    Source du blasonnement : Heraldy of the World[1].

    Population

    Au 1er juillet 2004, la population - appelés Gerpinnois - totale de cette commune était de 12 044 habitants[réf. nécessaire] (5 810 hommes et 6 234 femmes).

    Démographie

    Elle comptait, au , 12 789 habitants (6 165 hommes et 6 624 femmes), soit une densité de 271,53 habitants/km²[2] pour une superficie de 47,10 km².

    Le graphique suivant reprend sa population résidente au 1er janvier de chaque année[3]

    Les chiffres des années 1846, 1900 et 1947 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.

    • Source : DGS - Remarque: 1806 jusqu'à 1970=recensement; depuis 1971=nombre d'habitants chaque 1er janvier[4]

    Toponymie

    le nom de la localité est attesté sous les formes :

    • En l'an 1000 : Gerpinia
    • En l'an 1016 : Gerpin
    • En l'an 1127 : Gerpinas
    • En l'an 1133 : Gerpinos
    • En l'an 1201 : Gelpines
    • En l'an 1363 : Gerpines
    • Enfin en 1348 : Gerpinnes
    [réf. nécessaire]

    D'après Jespers[5], qui cite Herbillon[6], Gerpinnes signifie « domaine de Grippo », diminutif de Grimberht, nom de personne germanique.

    Nous trouvons également les origines des noms des hameaux :

    • Fromiée : 1227, Frawengie « propriété de Frawo ».
    • Hymiée : 1289, Umingnées « propriété d'Emmo ».
    • Les Flaches : 1542, parcelle boisée au sol très argileux retenant des flaques d'eau = flaches.

    Histoire

    Gerpinnes était habitée au paléolithique, mais ce n'était évidemment qu'une solitude de bois et de marais à l'exception de quelques îlots formés de masures.

    À l'époque romaine, un riche propriétaire gallo-romain possédait un domaine s'étendant sur plus de 5000 hectares. Les bâtiments de la villa et de la ferme occupaient une superficie d'au moins un hectare au pied d'une colline et au confluent des ruisseaux d'Aujette et de Saint-Pierre. Outre d'incessantes incursions des pillards lors des grandes invasions, cette villa fut incendiée une première fois au début du Ve siècle. Ses substructures sont toujours existantes. Finalement, cette villa fut abandonnée et une autre fut construite sur la hauteur où se trouve l'église paroissiale actuelle, plus propice à la défense.[réf. nécessaire]

    Au début du VIIIe siècle, quelques missionnaires vinrent construire un oratoire en bois à l'abri de la villa de Gerpinnes (endroit de l'église actuelle) et s'installèrent à proximité.

    Ils y fondèrent le Moustiers. La chapelle fut dédiée à saint Michel, archange, et servit d'église paroissiale pour les habitants de tout le domaine.

    À la fin du IXe siècle, le régime domanial évoluait et les conditions sociales se modifièrent profondément pour aboutir au régime féodal. Les fermes secondaires finirent par se détacher de la tutelle du domaine principal et devinrent les noyaux de plusieurs seigneuries dont les maîtres exercèrent souvent sur leurs sujets des droits arbitraires. La seigneurie hautaine de Gerpinnes resta la plus importante et ce sont ses limites qui forment la commune actuelle.

    À la fin du IXe siècle, les pillards normands ravagèrent à nouveau le pays et incendièrent la villa de Gerpinnes, l'église ainsi que le Moustiers et décimèrent la population.

    Vers 920, le domaine qui se trouvait dans le pagus de Lomme devint propriétaire comtal ; le comte en disposa bien vite en faveur du chapitre noble de Moustier-sur-Sambre (1020). Après que le monastère ait été restauré, les dames de Moustiers en conservèrent la juridiction et l'administration jusqu'en 1796, année de leur dispersion.

    En 1015, se déroulait la bataille de Florennes ; ce bourg, qui avait un château-fort assez important, fut saccagé et brûlé par Eebald, avoué de Florennes en l'an 1143.

    En 1188, le même château essuya un semblable désastre de la part des troupes du comte de Hainaut, Baudouin V, pendant la guerre que ce dernier fit à son oncle Henri l'Aveugle, comte de Namur. Cette place fut depuis restaurée ; elle était flanquée d'un certain nombre de tours. Ayant de l'importance, on la conserva longtemps.

    Vers 1196, le comte de Namur, Philippe le Noble, accorda ses privilèges aux habitants de Gerpinnes, qui bénéficièrent des mêmes droits que les bourgeois de Namur, à partir de 1206.

    Par charte du , Baudouin, comte de Flandres et du Hainaut, garantit la liberté que son frère, Philippe, comte de Namur, avait accordée aux habitants de Gerpinnes.

    Ce village de l'Entre-Sambre-et-Meuse se trouve parmi les endroits que les chartes indiquent comme appartenant au comté de Lomme.

    La terre de Gerpinnes ressortait du bailliage de Bouvignes.

    Longtemps la localité fut l'objet de rivalités entre la principauté de Liège et le comté de Namur.

    Outre la juridiction qu'exerçait à Gerpinnes l'abbesse de Moustier-sur-Sambre et son avoué, il y avait, en cette localité, les seigneuries ci-après : Saint-Feuillien, Saint-Jean de Florennes, Saint-Pierre de Brogne, Lantignies et Rabuzée.

    En 1327, l'on citait déjà le château La Tour, actuellement propriété de la famille Evrard.

    En 1375, le pape Grégoire XI attribua Gerpinnes aux comtes de Namur. Ceux-ci y entretiendront une garnison dans le château-fort afin de protéger leur frontière du côté de Florennes.

    H. de Radiguès écrit: « Le (sic) vicomté de Gerpinnes était un fief consistant en rentes en avoine, levées à Gerpinnes, Rabuzée, Gougnies, Fra-Wegnées, Hubertmont. »

    Collart de Rolous en était possesseur à la fin du XIVe siècle ; elle passa à son fils Jean de Rolous. Le neveu de ce dernier, Jean de Graux, fils de Wautier, en fit relief le .

    Au XIVe siècle, les Liégeois et les Namurois se disputaient la possession de cette localité et de seize autres localités-frontières.

    En 1360, un accord intervint entre le prince-évêque, Englebert de la Marck, et le comte de Namur, Guillaume Ier. Puis, en 1375, l'intervention du pape Grégoire XI ayant été sollicitée, il trancha le litige en faveur du comté de Namur.

    À Gerpinnes siégeaient la cour foncière de Saint-Jean de Florennes et la haute cour de Rabuzée. Une halle aux grains abritait les marchés publics (à l'emplacement de l'actuelle place de la Halle). Elle avait un grand renom à cette époque à cause des franchises dont y jouissaient les marchands. Elle fut à l'origine d'une locution destinée à exprimer le contentement « il allé à la Halle de Gerpinnes ».

    L'église Saint-Michel fut incendiée en 1545 et fut reconstruite en gothique flamboyant.

    C'est au XVIe siècle que fut construit le château d'En Haut, l'actuel hôtel de ville (depuis 1972). Il fut édifié par la famille de Bruges. La "maison Bouillon" porte les armoiries de cette famille de seigneurs du lieu. Ces armoiries figurent sur la porte d'entrée avec comme date 1617. À l'intérieur, se trouve une cheminée avec une plaque de foyer aux armes de Croy (1612) et la devise : "J'aime qui m'aime".

    À la fin du XVIe siècle, le tour Sainte-Rolende était conduit par des joueurs de violon et de tambourin. La châsse était protégée par une garde d'honneur de dix hommes. C'est au travers de ce groupe qu'il faut envisager l'origine des actuelles compagnies de marcheurs.

    En 1562 : détachement de Sart-Eustache de Gerpinnes.

    En 1602 : ce sera Tarcienne qui se détachera.

    C'est au XVIIe siècle que fut édifié, par des maîtres de forges, le château d'En Bas, actuellement collège Saint-Augustin, établissement scolaire.

    En 1689, le , les troupes françaises du maréchal de Humière, commandant de l'armée de Flandre de Louis XIV, vinrent camper à Gerpinnes après la défaite de Walcourt le . Il faisait front contre les troupes espagnoles du prince Waldeck qui, elles, s'étaient retranchées sous les canons de Charleroi. Le maréchal de Humière voulait recommencer la lutte ; sur ordre du Roi, il marcha sur Tournai et Lille, pour faire rentrer dans leur garnison les troupes espagnoles qui ravageaient le territoire français en l'absence de l'armée de Flandre.

    Gerpinnes avait déjà son école communale en 1740 ainsi qu'en témoigne une pierre encastrée dans la façade d'une maison de la rue F. Bernard : "1740 - Escol de Gerpinnes".

    En 1753, Gougnies se détacha de la paroisse.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, un important centre de liaison de l'armée secrète fonctionnera à Gerpinnes ; au centre se situait le maillon 10, le noyau central de la chaîne se situant à Tarcienne, à la ferme Lambot.

    Pendant les décennies qui suivirent la fin de la guerre, Gerpinnes continua sa vie de commune rurale, passant progressivement au stade de commune mi-rurale, mi-résidentielle. Les sursauts politiques de cette période ne l'atteignirent guère (affaire royale, grèves de 60… ), alors que ce qui était encore appelé le « Pays Noir » vivait ces événements d'une façon plus intensive.

    Texte provenant du livre Gerpinnes Vade-Mecum[source insuffisante]

    Patrimoine

    L'église

    Gerpinnes, l'église Saint-Michel.
    Gerpinnes, la châsse de Sainte Rolende.

    Gerpinnes fut le centre d'une paroisse primitive, fondée probablement à la fin du VIIe ou au début du VIIIe siècle. Elle s'étendait au domaine tout entier et comprenait les villages actuels de Joncret, Acoz, Villers-Poterie, Gougnies, Tarcienne et une partie de Sart-Eustache. L'église a subi de multiples transformations au cours des âges. Les résultats des fouilles, entreprises en 1951, permettent de dire que les premiers agrandissements ont été imposés par l'importance du pèlerinage en l'honneur de sainte Rolende[réf. nécessaire].

    La Villa romaine d'Augette

    En 1872, fut découverte, au lieu-dit "Augette", sur la colline orientée vers le midi, située non loin des confluents des ruisseaux d'Augette et de Saint-Pierre, une importante villa romaine datant du IIIe siècle. Cette villa avait une façade de plus de 90 mètres et était composée de trois corps de bâtiments; celui du personnel subalterne, celui des maîtres et enfin celui des hypocaustes, salles de bain et de jeux. Il y avait aussi une pièce située en sous-sol (que l'on peut encore visiter) et qui devait jouer le rôle de cave. La qualité des objets découverts permet de déduire qu'il s'agissait d'un riche propriétaire qui est à l'origine du nom du village. On trouvera aussi dans plusieurs endroits du village des tombeaux de l'époque franque.

    Le musée des Marches folkloriques

    Depuis 1986, l'Association des Marches Folkloriques de l'Entre-Sambre-et-Meuse (A.M.F.E.S.M.), regroupant plus de 70 Compagnies et plus de 7 000 Marcheurs, en collaboration avec l'Administration Communale de Gerpinnes, a créé son Musée des Marches.

    Le monument aux Marcheurs

    À proximité du musée, dans le mur d'enceinte de la maison communale, un monument aux Marcheurs a été érigé en 1981 par l'Association des Marches Folkloriques de l'Entre-Sambre-et-Meuse pour son 25e anniversaire. Cette œuvre d'art, réalisée par le sculpteur Félix Roulin, est constituée de plusieurs logettes en bronze, encastrées dans le moellon et représente les éléments essentiels du Marcheur.

    Architecture

    Trois châteaux sont les témoins du passé prospère de l'ancien centre de commerce qu'était Gerpinnes.

    • Le château " La Tour " déjà cité au XIVe siècle et qui se situe à la rue Albert 1er
    • Le château d'En Haut, construit par la famille de Bruges, devenu maintenant " maison communale ". Il abrite une pièce rehaussée de peintures et boiseries finement sculptées.
    • Le château d'En Bas, ou château du Fourneau, construit par les Desmanet, maîtres de forge, et aménagé en école par les Chanoines de Latran (Collège Saint-Augustin).

    Plusieurs fermes imposantes à plan carré se trouvent sur son territoire.

    Fromiée

    Il est le plus petit village de l'entité. C'est un hameau de 70 maisons, retiré des grands axes de circulation et entouré de bois. La Cantinière de bronze, œuvre du sculpteur Voltaire Ceragioli, a été récemment installée au carrefour principal. Celle-ci témoigne de l'importance culturelle des marches folkloriques dans cette localité.

    Hymiée

    Le village, constitué en majorité de maisons en pierre calcaire, se regroupe autour d'une grande place verdoyante, fait rarissime dans la région. Village de coutumes, les écoliers y fêtent encore la saint-Grégoire en parcourant les rues et les maisons tout en chantant leur souhait de se voir offrir des œufs.

    Les Flaches

    Le hameau des Flaches, situé à proximité de la route nationale 5, a acquis, depuis la dernière guerre, un caractère de plus en plus résidentiel. On y trouve la ferme de Bertransart[7], une ancienne commanderie de l'ordre du Temple[8] dont la fondation remonte à 1207. L'une des premières possessions de l'ordre en Wallonie à l'époque dans le comté de Namur[9] qui fut ensuite dévolue aux hospitaliers[10]. La marche Sainte-Rolende passe sur ses terres et y fait une courte halte à sa chapelle.

    Folklore

    Le folklore à Gerpinnes est un élément extrêmement important. Étant situé dans ce que l'on appelle l'Entre-Sambre-et-Meuse, Gerpinnes fait partie des communes qui ont pour folklore principal, les marches de l'Entre-Sambre-et-Meuse. À côté de cela, les différents villages de l'entité vivent également au rythme des traditionnels Grands Feux.

    Les marches

    À l'entrée de Gerpinnes, le Tambour Major.

    Si la marche Sainte-Rolende de Gerpinnes est la plus connue et l'une des plus grandes marches folkloriques de l'Entre-Sambre-et-Meuse, d'autres marches, plus modestes, occupent également le calendrier des festivités des différents villages de Gerpinnes.

    La marche Sainte-Rolende

    Cette marche fait partie des quinze marches de l'Entre-Sambre-et-Meuse qui ont été reconnues en comme chef-d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité par l'UNESCO[11].

    La marche Saint-Pierre

    À Gerpinnes-Centre, ont lieu, le deuxième week-end du mois de septembre, les festivités de la Marche Saint-Pierre. Cette Marche, similaire aux Marches Sainte Rolende quant à ses coutumes, était traditionnellement réservée aux garçons et aux adolescents du village. Elle trouve son origine dans un fait de guerre : la Marche Sainte-Rolende ayant été interdite sous l'occupation allemande, les élèves de l'école communale et leur instituteur, M. Léon Gonthier, ont bravé cet interdit.

    Les grands feux

    Chaque année, pour fêter la fin de l'hiver et l'arrivée du printemps, chaque village de l'entité organise un « grand feu ». Au sommet d'un bûcher, on brûle symboliquement le "Bonhomme Hiver". Par cette tradition, on entend saluer le retour des beaux jours.

    Harmonie Royale Saint-Michel

    1869 : c’est en effet l’année indiquée sur le premier drapeau de cette harmonie, qui se trouve actuellement au Musée des Marches folkloriques de l’Entre-Sambre-et-Meuse, bien que le quotidien « L’Union de Charleroi » relate déjà l’existence d’une Société d’Harmonie de Gerpinnes dans son édition du .

    Concert de Marches 2009 , « veille de l'ascension ».

    Vers 1890, on retrouve trace d’une Société d’Harmonie « L'Aurore », notamment sur un ancien règlement de la société exposé dans le local de répétition de notre musique situé à la Rue Schmidt. Elle prendra le nom définitif d’ « Harmonie Royale Saint-Michel » le à la suite de l’octroi du titre de « société royale » par Sa Majesté le Roi Albert 1er. Elle participe à de nombreux évènements culturels, plus particulièrement à la célébration de la Pentecôte, aux festivités liées à la Châsse Sainte Rolende ainsi qu’à plusieurs marches et concerts dans l’entité de Gerpinnes et à l’extérieur.

    Outre ses répétitions hebdomadaires, l’harmonie assure également l’apprentissage musical de jeunes et moins jeunes élèves grâce à son école de musique. Les cours de solfège et d’instruments y sont dispensés et permettent aux musiciens de se perfectionner et/ou (re)découvrir cet art particulier qu’est la musique.

    Directeur Musical de l’HRSM : Benoît Delbart


    Personnalités

    Notes et références

    1. https://www.heraldry-wiki.com/heraldrywiki/index.php?title=Gerpinnes
    2. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
    3. 3_Population_de_droit_au_1_janvier,_par_commune,_par_sexe_2011_2014_G_tcm326-194205 sur le site du Service Public Fédéral Intérieur
    4. http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/population-bevolking-20190101.pdf
    5. Jean-Jacques Jespers, Le nouveau dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, Bruxelles, Éditions Racine, , 752 p. (ISBN 978-2-87386-733-1), p. 302
    6. Jules Herbillon, Les noms des communes de Wallonie, Bruxelles, Crédit communal, coll. « Histoire » (no 70), , 181 p.
    7. 50° 19′ 44″ N, 4° 29′ 00″ E
    8. L. Bertaux, « La commanderie des Templiers de Bertransart », dans Documents et rapports de la société royale d'archéologie de Charleroi, t. 45, 1944/45, p. 135-147 ; Chestret de Haneffe, « L'ordre du Temple dans l'ancien diocèse de Liège ou la Belgique orientale », Compte rendu des séances de la commission royale d'histoire, ou recueil de ses bulletins, 5e série, t. IX, , p. 320-321 (lire en ligne)
    9. Laurent Dailliez, Les templiers : En Flandre, Hainaut, Brabant, Liège et Luxembourg, Nice, Alpes-Méditerranée, , 428 p. (ISBN 978-2-86320-017-9, présentation en ligne)
    10. (fr + la) Anne-Marie Legras, L'enquête pontificale de 1373 sur les biens de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem : L'enquête dans le prieuré de France, vol. 1, Editions du Centre National de la Recherche Scientifique, , 524 p. (ISBN 978-2-222-03404-9, présentation en ligne), p. 349
      « La maison de Bretonsart ; Jadis du Temple ».
    11. Patrick Lemaire, « Quinze marches de l’Entre-Sambre-et-Meuse admises au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco », L'Avenir (Belgique), (lire en ligne)

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0, lire en ligne)
    • Guy Bernard (dir.) (ill. Alec Nicolas), La châsse de Sainte Rolende, Gerpinnes, Comité "Restauration Châsse Sainte Rolende",
    • Joseph Roland, « Histoire de la seigneurie hautaine de Gerpinnes », Documents et rapports de la Société royale d'archéologie et de paléontologie de Charleroi, t. LVII, 1974-1978, p. 57-79
    • Camille Quenne, Gerpinnes et son pélérinage. Etude folklorique, Mont-sur-Marchienne, Leloup, éditeur, , 40 p.
    • Philippe Wille, Sur deux fronts , Gerpinnes - Nalinnes - Tarcienne, Editions du Basson, 2018, 179 p (ISBN 978-2-930582-57-3)
    • Portail du Hainaut
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