Foucarmont

Foucarmont est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Foucarmont

L'église et la mairie
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Dominique Vallée
2020-2026
Code postal 76340
Code commune 76278
Démographie
Gentilé Foucarmontois, Foucarmontoises
Population
municipale
806 hab. (2018 )
Densité 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 50′ 51″ nord, 1° 34′ 10″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 203 m
Superficie 7,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Eu
Législatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Foucarmont
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Foucarmont
Géolocalisation sur la carte : France
Foucarmont
Géolocalisation sur la carte : France
Foucarmont
Liens
Site web http://www.foucarmont.com/

    Géographie

    Description

    Foucarmont est un bourg rural et industriel normand proche du Pays de Bray, situé dans la vallée de l'Yères, au carrefour des anciennes routes nationales RN 28 Rouen - Bergues (actuelle RD 928) et RN 320 Dieppe - Moreuil, à une quarantaine de kilomètres à l'est de Dieppe et de la Manche, à la même distance au sud-ouest d'Abbeville et à une soixantaine de kilomètres au nord-est de Rouen.

    L'autoroute A28 traverse le territoire communal.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le bourg est drainé par l'Yères, un fleuve côtier de 40 km de longueur qui se jette dans la Manche.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 875 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oisemont_sapc », sur la commune d'Oisemont, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 786,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Abbeville », sur la commune d'Abbeville, dans le département de la Somme, mise en service en 1922 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Foucarmont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,7 %), prairies (27,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), zones urbanisées (8,5 %), forêts (0,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat

    Foucarmont a été très largement détruit pendant la Seconde Guerre mondiale : le parc de logements existant en 2007 date donc majoritairement de l'après-guerre. Le quart des logements a été construit avant 1945, près de 30 % entre 1945 et 1970 et 35 % entre 1971 et 1990. Moins de 10 % des logements ont été construits depuis[21].

    De 2007 à 2017, le parc de logements est relativement stable, mais le nombre de résidences principales baisse au profit des logements vacants, dénotant une faible attractivité de la commune et l'absence de dynamique touristique :

    Logements[22]Nombre en 2007 % en 2007nombre en 2012 % en 2012nombre en 2017 % en 2017
    Total478100 %485100 %484100 %
    Résidences principales44392,7 %42487,4 %40784,1 %
    → Dont HLM8920,1 %88*20,8 %8320,4 %
    Résidences secondaires et
    logements occasionnels
    122,5 %102,1 %102,1 %
    Logements vacants[Note 6]234,8 %5110,5 %6713,8 %
    Dont :
    → maisons33570,1 %33669,3 %34871,9* %
    → appartements14029,3 %14830,5 %13527,9 %

    Projets

    La commune réalise en 2020-2021 le lotissement Clos du Verger, sur les hauts du Fromentel, qui comprend 14 parcelles pavillonnaires, ainsi que, sur un terrain de un hectare, un arboretum, une aire de jeux pour les enfants, un terrain de pétanque ainsi que des bancs[23],[24]. Cette opération, destinée à lutter contre la baisse démographique du bourg constatée depuis 1999 et permettre d'accueillir de nouvelles familles, poursuit l'effort engagé avec la restructuration de l'ancienne gendarmerie, où Habitat 76 a construit 5 logements et réhabilité 8 autres[25],[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Fulcardi montem en 1059[27].

    Toponyme mérovingien composé du nom d'homme Foucard (germanique Folkhard) dont dérivent les noms de famille Foucard (normanno-picard), Fouquart et Fouchard[27]. Post-position du déterminé -mont indice de l'influence germanique, génitif sans [s].

    Histoire

    Foucarmont est un lieu d'occupation ancienne : des haches en silex et des débris de poteries, alors attribuées à l'époque gauloise, ont été découverts au XIXe siècle[28]. Des vestiges gallo-romains et des monnaies romaines de bronze d'Agrippa , d'Antonin, de Gordien, de Posthume et de Constantont ont également été retrouvés à la même époque aux Cateliers, au Camp-du-Bourg, au Font-Théodore, à la chapelle de l'Épinette, rue du Four, ainsi que dans le domaine de l'abbaye[28].

    Le bourg est connu pour avoir accueilli l'abbaye de Foucarmont, fondée en 1130 par Henri Ier, comte d'Eu, qui propose à la florissante congrégation de Savigny des terres pour bâtir une abbaye. L'abbaye de Savigny envoie donc des moines pour bâtir une abbaye. Le comte Henri, à la fin de sa vie, se fit lui-même moine et mourut à l'abbaye en 1140[29]. En 1147, Savigny se rattache à l'ordre cistercien et à la filiation de Clairvaux. L'abbaye de Foucarmont rejoint alors l'ordre de Cîteaux.

    L'abbé Cochet écrivait en 1871[28] : « Foucarmont fut au moyen âge un bourg de quelque importance, ayant des halles, une haute justice, une prison, une léproserie, un hôpital, des chapelles, une église et une abbaye. L'église paroissiale, dédiée à saint Martin, a été en grande partie construite au XVIe siècle ».

    L'abbaye est supprimée et vendue comme bien national à la Révolution française. Il n'en subsiste que quelques sections de murs d'enceinte.

    Au XIXe siècle, les habitants prétendaient encore que les restes du géant légendaire Foucard avaient été exhumés en 1796 autour de l'église et des halles dans le jardin du presbytère. Il s'agissait d'un cercueil en pierre, d'ossements, d'une épée oxydée et peut-être d'une inscription illisible[30]. Foucarmont, au XIXe siècle, avait une importante production de bière, mais on se souvenait qu'autrefois la vigne y avait été cultivée[31].

    Tracé de la ligne Aumale – Envermeu.

    Le bourg a été desservi par la ligne de chemin de fer secondaire reliant Amiens - Aumale - Envermeu de 1906 à 1947.

    Foucarmont a été détruit en quasi-totalité pendant la Seconde Guerre mondiale.
    Un premier bombardement, allemand, a lieu pendant la Bataille de France le avec des bombes incendiaires, tuant 16 personnes et détruisant 29 maisons, dont de nombreux commerces. En décembre 1943, des bombardements alliés visent des pistes de V1 en construction à Preuseville, mais atteignent également Smermesnil, Saint-Pierre-des-Jonquières et Londinières, causant de nombreuses victimes. La municipalité fait creuser des tranchées et fait réaliser des abris collectifs au Fromentel pour protéger la population contre les bombardiers des divers belligérants. Néanmoins, 17 bombardiers B17 alliés revenant sur Foucarmont laissent tomber 75 bombes soufflantes sur le centre de la commune dont la plupart explosent en touchant leur cible, et d'autres avec retard, causant 21 morts dont un petit garçon de 7 ans et de nombreux blessés, et détruisant une vingtaine de maisons, l'église et les halles. La place des Cateliers, la rue des halles, la rue douce n’étaient plus qu’un amas de décombres[32],[33],[34].

    Lors du bombardement du , la quasi-totalité des collections du musée et de la bibliothèque de Neufchâtel (qui comprenait environ 10 000 ouvrages), situés tous deux au deuxième étage de l’hôtel de ville (à l’emplacement de l’actuelle halle au beurre), est détruite. Parmi les rares éléments figurent la bible de Foucarmont, un manuscrit en cinq volumes sur vélin, datant du XIIIe siècle, ornée d’environ 150 enluminures qui provenait de l’ancienne bibliothèque de Neufchâtel, et qui est désormais préservée par le musée Mathon-Durand de Neufchâtel-en-Bray[35].

    Le bourg est libéré le par la 1re Division Blindée Polonaise, qui, arrivant du Calvados, avait atteint Criquebeuf-sur-Seine le , puis avait franchi le lendemain la Seine par « le pont de Varsovie ». Elle avait reçu l’ordre de dépasser la 3e Division Blindée Canadienne et de continuer la poursuite de l’ennemi sur l’axe Neufchâtel-en-Bray, Blangy-sur-Bresle, vers Abbeville[36].

    La reconstruction commence alors. En 1952, sur la place des Cateliers, des bâtiments provisoires sont en attente de la reconstruction de l’église et de l’îlot administratif-salle des fêtes. Une chapelle provisoire avait été édifiée à la place de l’actuelle gendarmerie, rue du Caule, en attente de la construction de la nouvelle église, terminée en 1963[37].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie depuis 1926 de l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime, en région Normandie. Pour l'élection des députés, elle dépend depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle était de 1793 à 1802 le chef-lieu d'un canton qui fut alors transféré et devint le canton de Blangy-sur-Bresle[38]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton d'Eu.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes de Blangy-sur-Bresle créée fin 2001.

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrit, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants.

    Les communautés de communes de Blangy-sur-Bresle et du canton d'Aumale, dont aucune n'atteignait le seuil légal, ont donc été amenées à fusionner.

    Cela aboutit à la création au de la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle[39],[40], dont la commune est désormais membre.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1951 1983 René Beuvin[37]    
    mars 1983 2008 Jean Moreau[41],[37]   Médecin
    Délégué départemental de l'Éducation nationale
    Vice-président de la CC de Blangy-sur-Bresle
    mars 2008[42] mars 2014[43] Monique Pinoli[44]   Déléguée départementale de l'Éducation nationale
    Chevalier de la Légion d'honneur[45]
    mars 2014[46] En cours
    (au 25 mai 2020)
    M. Dominique Vallée[47],[44]   Enseignant et secrétaire de mairie retraité
    Chevalier dans l’ordre des Palmes académiques
    Réélu pour le mandat 2020-2026[48],[49]

    Politique de développement durable

    La communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle a ouvert le une déchetterie dans les bâtiments des anciens établissements Dalencourt, sur la départementale 928[50].

    L'éclairage public est coupé en pleine nuit, de 23 h à 4 h du matin, sauf place des Cateliers, rue Douce et rue des Halles, afin d'économiser l'énergie et lutter contre la pollution lumineuse[51].

    Distinctions et labels

    La commune a reçu en 2019 sa première Fleur au Concours des villes et villages fleuris, ainsi que le Grand prix spécial du jury et un trophée d’attractivité pour la rénovation de son vieux lavoir et la création d’un parcours pédagogique en zone humide[52],[53].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[55].

    En 2018, la commune comptait 806 habitants[Note 7], en diminution de 9,64 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    500423483549631604667696717
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    691717715727732714725710693
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    653682714654674683742624713
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9249559269549931 0451 0191 017907
    2017 2018 - - - - - - -
    817806-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En matière d'enseignement primaire, les communes de Fallencourt, Foucarmont et Villers-sous-Foucarmont sous réunies au sein d'un regroupement pédagogique. À la rentrée scolaire 2018, la commune de Dancourt est réunie aux trois communes, par décision de l'inspection académique de la Seine-Maritime[57].

    Santé

    L'intercommunalité réalise en 2020 une maison de santé pluridisciplinaire destinée à accueillir cinq médecins généralistes, un cabinet d’infirmières et une société d'ambulances, ainsi que des spécialistes à temps partiel (ostéopathe, diététicien, psychologue et podologue), dans un bâtiment de 860 m² comprenant un bureau d’accueil, 3 salles d’attente et un parking, avec un accès PMR (personnes à mobilité réduite), aménagé dans les locaux d'une usine de confection de vêtements qui a fermé en 2013[58].

    Autres équipements

    La commune dispose d'une maison des associations, implantée dans l'ancienne école municipale, rénovée et rendue accessible aux personnes à mobilité réduite en 2019-2020[59]. Les habitants peuvent également utiliser la salle des fêtes et la salle des sports.

    Un bureau de poste accueille les habitants, avec des horaires réduits en 2019 à 20 h 45 par semaine[60].

    Le bourg dispose pour sa défense incendie d'un centre de secours du SDIS-76.

    Manifestations culturelles et festivités

    En septembre, ont lieu la fête patronale et la foire d'automne, qui comprend une foire agricole et avicole[61].

    Économie

    La commune constitue un pôle d'emploi important avec ses 834 salariés recensés pour les élections prud'homales de décembre 2008. Avec les cadres, ce sont 858 électeurs recensés, chiffre à comparer avec les 1 017 habitants du bourg (dont 449 actifs).

    La principale entreprise est Alliance élaborés, devenue en 2018 Gelaé, avec 400 salariés environ en 2018 (plats surgelés)[62],[63],[23].

    Un petit marché alimentaire a lieu les mardis après-midi[64].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Martin (édifice  Inscrit MH (2004)) [65] , place des Cateliers, a été rebâtie entre 1959 et 1963 par l'architecte Otello Zavaroni et inaugurée le 3 mai 1964, l'église précédente ayant été presque entièrement détruite par faits de guerre, le 13 février 1944.
      Cet édifice, inspiré par les conceptions du Corbusier, se compose d'une nef rectangulaire à volume unique, en béton, couverte en terrasse avec chœur semi-circulaire percé de petites ouvertures. Le mur sud est traité en claustra avec parois et cabochons de verre. Le mur nord est précédé d'une galerie. Le clocher est ajouré, en forme de diapason. Le traitement de surface du béton est particulièrement soigné et l'esthétique général de l'ouvrage renvoie aux blockhaus de la guerre encore toute récente. Les vitraux ont été réalisés par une équipe d’étudiants des Beaux-Arts de Paris.
      Une des trois cloches et les statues de l'église, datant des XVIe et XVIIe siècles , proviennent de l’Abbaye de Foucarmont[66],[67].
      En 2020, la municipalité diligente une étude en vue de la rénovation de l'édifice, dont le mécanisme des cloches ne fonctionne plus, dont certains vitraux se dégradent, qui présente des problèmes d’étanchéité et dont le béton s’abîme[68].
    • Monument aux morts, qui porte l'inhabituelle mention 1914-1919 au pied du poilu, conçu par le sculpteur Charles-Henri Pourquet. Le socle a été réalisé par un marbrier local, Guibout de Bouttencourt[69].
    • Lavoir, semblant dater du début du XIXe siècle et restauré en 2016, et tour de séchage des tuyaux des pompiers[72].

    Un aménagement a été réalisé avec un cheminement en platelage en chêne et une passerelle, permettant de relier la zone humide et le lavoir pour rejoindre le chemin de l'Épinette, facilitant la visite des lieux, que ce soit dans un but touristique ou d'étude environnementale[73].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Norbert Dufour et Christian Doré (préf. Daniel Pégisse), L'Enfer des V1 en Seine-Maritime durant la Seconde Guerre mondiale, Luneray, Bertout, , 295 p. (ISBN 978-2-86743-179-1, lire en ligne), p. 108-111, sur Google Books.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Foucarmont », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Oisemont_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Foucarmont et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Oisemont_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Foucarmont et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Abbeville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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    24. « À Foucarmont, le lotissement Clos du Verger, c'est pour bientôt ! : La commune a obtenu le permis d'aménagement pour la construction du lotissement Clos du Verger. Quatorze parcelles seront mises en vente », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Cynthia Lherondel, « À Foucarmont, le chantier de l'ex-gendarmerie a pris du retard : La rénovation de l'ex-gendarmerie foucarmontaise a pris du retard. Habitat 76 y prévoit d'ici l'automne, la construction de 5 logements et la restructuration de 8 autres », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Cynthia Lherondel, « L'ancienne gendarmerie, devenue résidence de l'Yères, à Foucarmont a été inaugurée : Mercredi 18 avril 2018, le bailleur social Habitat 76 a inauguré la résidence de l'Yères à Foucarmont. Une nouvelle vie offerte à l'ancienne gendarmerie ! », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
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    37. « Un demi-siècle d’expansion ! », Découverte, sur http://www.foucarmont.com, (consulté le ) « René Beuvin, Maire de 1951 à 1983 et Jean Moreau, Maire de 1983 à 2008, ont donné une véritable expansion démographique à la commune par la création de plusieurs lotissements : route de Preuseville – rue du stade aujourd’hui (le « terrain de football » se trouvait alors sur les hauteurs de la commune vers Neufchâtel) et rue du Fond du Buc, au début des années 60, puis l’ouverture d’un passage pour créer la Rue Levavasseur, la Résidence Beaupré. Trois immeubles seront édifiés en bout de rue, après celui de la Rue Pasteur. Dans le prolongement, début 80, le complexe des Papillons Blancs se mettra progressivement en place ».
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    43. Blandine Thoreux, « Foucarmont Dominique Vallée endosse l’écharpe de maire : Vendredi dernier, Dominique Vallée a endossé l’écharpe de maire à Foucarmont. L’émotion était présente, tant pour le nouveau 1er magistrat que pour Monique Pinoli, maire sortante », L'Informateur - L'éclaireur, (lire en ligne, consulté le ).
    44. « Foucarmont : le maire et la maire honoraire ont été décorés », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Dominique Vallée a été secrétaire de mairie pendant 29 ans, de 1977 à 2006, parallèlement à la fonction d’instituteur qu’il a exercée de 1974 à 2009. De 2008 à 2014, il est élu conseiller municipal, et devient maire en 2014. Il est également chevalier dans l’ordre des Palmes académiques. Monique Pinoli a été élue conseillère municipale en 1971 (elle s’était présentée en individuelle et avait obtenu le plus grand nombre de suffrages). Elle a été réélue continuellement jusqu’en 2008. En 1983, elle devient la première adjointe de Jean Moreau, poste qu’elle occupe pendant 25 ans, avant de devenir maire, de 2008 à 2014 ».
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    47. Isabelle Desbordes, « Dans la vallée, c'est Vallée contre Vallée ! : Duel fratricide dans ce bourg de la Bresle, où deux sortants, mais surtout deux frères, s'affrontent dans la conquête de la succession de Monique Pinoli. Ambiance. », Le Courrier picard, édition d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ).
    48. « Municipales 2020. Le maire sortant de Foucarmont, Dominique Vallée, a présenté sa liste : Foucarmont. Avec sa liste « Foucarmont autrement », le maire sortant Dominique Vallée propose la continuité dans l’action », Paris Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    49. « Foucarmont : sans surprise, Dominique Vallée a été réélu maire : Le conseil municipal de Foucarmont a finalement pu être installé samedi 23 mai. Dominique Vallée a été élu maire », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ) « Dominique Vallée, seul candidat parmi les 15 conseillers, a été réélu pour un deuxième mandat, à l’unanimité ».
    50. « La nouvelle déchetterie a ouvert le  », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3513, , p. 33.
    51. Cynthia Lherondel, « Éclairage public : Extinction des feux de 23 h à 4 h, sauf dans le centre à Foucarmont : À Foucarmont, la municipalité a décidé d'éteindre l'éclairage public de 23 h à 4 h. Une action commencée il y a deux mois. Des économies sont à la clé », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    52. « Foucarmont obtient une 1re Fleur des Villes et Villages Fleuris de Normandie : La Commune de Foucarmont vient de recevoir sa première Fleur des Villes et villages fleuris ainsi que le Grand Prix spécial du jury », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    53. « À Foucarmont, Dominique Vallée aborde l’avenir lors des voeux du maire : Travaux et attractivité, des thèmes qu'a abordé Dominique Vallée, l'actuel maire de Foucarmont lors des vœux vendredi 10 janvier, tournés vers l'avenir », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
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    58. « La maison de santé de Foucarmont ouvrira début janvier 2020 : Après presque un an de travaux, la maison de santé communautaire de Foucarmont a enfin vu le jour. Elle ouvrira ses portes dans quelques jours », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    59. Cynthia Lherondel, « A Foucarmont, la mise aux normes de la Maison des associations est terminée : Après les salles des fêtes, écoles et salle des sports, c'était au tour de la Maison des associations de Foucarmont de faire l'objet de travaux », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    60. Cynthia Lherondel, « Les nouveaux horaires d’ouverture de La Poste de Foucarmont inquiètent : Depuis le 18 novembre 2019, les horaires d’ouverture ont été modifiés à la Poste de Foucarmont. Chaque semaine, la structure est ouverte 3 h 15 de moins que précédemment », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    61. Cynthia Lherondel, « Rendez-vous à la foire agricole et avicole de Foucarmont : Rendez-vous ce samedi 24 septembre à Foucarmont pour la traditionnelle foire avicole et agricole », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    62. D.Q., « Sur la commune, 858 salariés concernés », Le Réveil, .
    63. Cynthia Lherondel, « A Foucarmont, pour ses 40 ans, Alliance Elaborés devient Gelaé : Un recueil et un nouveau nom. Ce sont les cadeaux d'Alliance Elaborés,spécialiste des produits élaborés surgelés, à l'occasion du 40 anniversaire de la société basée à Foucarmont. », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    64. « Des volontaires pour exposer gratuitement sur le marché de Foucarmont ? : Pour doper les allées du marché hebdomadaire, les élus foucarmontais ont décidé d'accorder la gratuité aux exposants cet été, à une condition », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    65. « Église Saint-Martin », notice no PA76000067, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    66. David Duarte, « L'église Saint-Martin de Foucarmont : atypique et classée au monument historique : Entièrement construite en béton, l'église de Foucarmont est apparue iconoclaste pour son époque. Elle est classée monument historique depuis 2004 », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    67. « Eglise Saint-Martin à Foucarmont », Monumentum, Carte des Monuments Historiques français, (consulté le ).
    68. « À Foucarmont, les cloches de l'église resonneront-elles ? : Les cloches de l'église de Foucarmont ne tintent plus depuis trois mois et des parties de l'édifice se détériorent. Des études vont être lancées pour résoudre les problèmes », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    69. « La mention 1914-1919 sur le monument aux morts : Le monument aux morts de Foucarmont présente une particularité : l'inscription 1914-1919 est gravée dessus. Explications », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    70. « Foucarmont : une zone humide de 1,6 ha sur le bassin de l’Yères », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    71. David Duarte, « Au coeur des zones humides de Foucarmont : Mercredi 10 juillet à 14 h, les zones humides de Foucarmont étaient à redécouvrir, au cours d'une visite proposée par deux animateurs en charge de l'aménagement du site », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
    72. « Le Lavoir / La Tour de Séchage / Zone humide », Les petits patrimoines de notre vallée, sur http://www.tourisme-aumale-blangy.fr/ (consulté le ).
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    74. Emmanuel Bénézit: Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999. Voir tome 3 page 667.
    75. « Louise Claeysen, artiste peintre de renommée, née à Foucarmont », Actualités et curiosités à Foucarmont, 3 mars 2018
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