Fontanil-Cornillon

Fontanil-Cornillon, également appelée Le Fontanil-Cornillon[1], est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Cornillon (homonymie).

Fontanil-Cornillon

Vue générale de Fontanil-Cornillon
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Grenoble-Alpes Métropole
Maire
Mandat
Stéphane Dupont-Ferrier
2020-2026
Code postal 38120
Code commune 38170
Démographie
Population
municipale
2 940 hab. (2018 )
Densité 535 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 15′ 22″ nord, 5° 39′ 57″ est
Altitude 204 m
Min. 196 m
Max. 1 240 m
Superficie 5,5 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Grenoble
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grenoble-2
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Fontanil-Cornillon
Géolocalisation sur la carte : Isère
Fontanil-Cornillon
Géolocalisation sur la carte : France
Fontanil-Cornillon
Géolocalisation sur la carte : France
Fontanil-Cornillon
Liens
Site web www.ville-fontanil.fr

    Située dans la partie septentrionale de l'agglomération grenobloise, dans la vallée de l'Isère et au pied du massif de la Chartreuse, la commune est adhérente à Grenoble Alpes Métropole.

    Ses habitants sont dénommés les Fontanilois.

    Géographie

    Carte de la commune de Fontanil-Cornillon et des communes limitrophes.
    Panorama depuis la Ferme Durant (Fontaine) : Fontanil-Cornillon à droite et Voreppe.

    Localisation et description

    Le Fontanil-Cornillon est situé dans le sud-est de la France, dans la partie septentrionale de l'agglomération grenobloise, à plus de trois heures et 575 km de Paris (avec un TGV Grenoble - Paris direct) et à seulement 300 km de Marseille, soit à moins de trois heures de la mer par l'autoroute (A7), ou encore, à 350 km de Nice.

    Le territoire longe le massif préalpin de la Chartreuse et fait face au massif du Vercors, au-delà des berges de l'Isère et du territoire de la commune voisine de Noyarey.

    Communes limitrophes

    Le Fontanil-Cornillon est limitrophe de la ville de Saint-Égrève, ancien chef-lieu du canton du Fontanil. Au niveau du quartier de la Croix de la Rochette, le Fontanil-Cornillon a pour voisine la ville de Voreppe qui appartient au canton de Voiron. Troisième commune juxtaposée au Fontanil-Cornillon : le Mont-Saint-Martin, petit village de montagne. De l'autre côté de l'Isère, le Fontanil-Cornillon a pour voisin le village de Noyarey et ses espaces naturels remarquables.

    Communes limitrophes de Fontanil-Cornillon
    Voreppe Mont-Saint-Martin
    Noyarey Proveysieux
    Saint-Égrève

    Géologie

    Le calcaire du Fontanil est un calcaire bicolore de type bioclastique. Il fut exploité dans la région dès le XIVe siècle pour fournir les pierres de construction de Grenoble. Il se retrouve dans les falaises de la Chartreuse où on distingue encore la présence d'anciennes carrières[2].

    Le rocher du Cornillon, particularité géologique locale, appartient à l'ensemble géologique du massif de la Chartreuse, se présentant sous la forme d'un éperon rocheux calcaire qui avance dans la plaine de l'Isère.

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de l'Isère.

    Située dans la partie septentrionale du bassin grenoblois, le climat du Fontanil-Cornillon se situe entre le climat océanique et le climat continental, avec une légère influence méditerranéenne (les étés sont chauds mais plutôt humides). Le bassin comporte un bon ensoleillement (2 100 heures par an) mais des précipitations généralement abondantes (entre 900 et 1 000 mm par an). L'amplitude thermique annuelle est une des plus élevées de France, avec 19 °C d'écart entre janvier et juillet. Les montagnes environnantes particularisent beaucoup le climat car elles entraînent un effet de cuvette avec des chaleurs torrides, l'été et un froid assez important, l'hiver. D'autres phénomènes liés aux vents tels que l'effet de foehn sont également bien connus dans la région.

    Hydrographie

    L'Isère, un des plus importants affluents de la rive gauche du Rhône borde l'est du territoire communal, mais assez loin du bourg ancien, ce qui s'explique pour des raisons historiques face aux risques de crues.

    Le territoire de la commune est également sillonné par d'autres cours d'eau, au débit modeste :

    • le Rif Tronchard ;
    • le ruisseau de Lanfrey ;

    ainsi que des canaux d'irrigation, longeant l'Isère :

    • le canal de la Vence ;
    • le canal de Mondragon ;
    • le canal du Palluel.

    Voies de communication

    L'autoroute A48
    L’autoroute A48 est une autoroute permettant la liaison de Lyon à Grenoble. Elle est connectée avec l'A480 à Sassenage et avec l'A49 à Voreppe, au nord de Saint-Egrève. Cette autoroute est gérée par la société AREA.

    La bretelle de sortie n°14 permet de rejoindre les différents quartiers de la ville

     14 Saint-Égrève nord à 52 km : Saint-Égrève, Fontanil-Cornillon.

    La route départementale 1075
    La route nationale 75 était une route nationale française reliant Bourg-en-Bresse à Sisteron. Cette route a été déclassée en route départementale 1075 (RD 1075) en 2006. Cette route relie la commune à Grenoble vers le sud et à Voiron, Bourg-en-Bresse jusqu'à Tournus par Lacrost, vers le nord. Cette voie qui suit un axe nord-ouest/sud-est est longée, au niveau de la commune, par une ligne de tramway.

    Transports

    La ville est desservie par le réseau des Transports de l'agglomération grenobloise. Depuis le 13 juillet 2015, une ligne de tramway et six nouvelles lignes de bus TAG traversent la commune du Fontanil-Cornillon.

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Saint-Égrève-Saint-Robert, située à moins de trois kilomètres du centre. Cette gare est desservie par les trains TER Auvergne-Rhône-Alpes.

    Urbanisme

    Typologie

    Fontanil-Cornillon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[6] et 450 501 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (47,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,5 %), zones urbanisées (17,9 %), terres arables (10,4 %), eaux continentales[Note 3] (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Hameau, quartiers, lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune du Fontanil-Cornillon, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[13].

    • la Roche
    • la Rohcette
    • Chapelière
    • Fetola
    • Valetière
    • le Mont Pertuis
    • la Garde
    • la Girodière
    • les Grands Essarts
    • Pommeyre
    • la Tannerie
    • Claretière
    • Cornillon
    • Malganjouze
    • la Verrerie
    • la Californie
    • la Louisiane
    • Rochepleine

    Risques sismiques

    Le territoire du Fontanil-Cornillon est situé en zone de sismicité n°4, comme l'ensemble du territoire de l'agglomération grenobloise[14].

    Terminologie des zones sismiques[15]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Toponymie

    Le nom de la commune se présente en deux parties avec des origines distinctes :

    Fontanil

    Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, cette partie du nom de la ville trouve son origine dans la référence au terme latin Fontus, dieu des sources et fils de Janus.

    Cornillon

    Toujours selon cet auteur, la racine indo-européenne Cor désigne un grand rocher qui permet de servir de belvédère et que l'on retrouve notamment dans le nom d'autres communes telles que Corenc, Corps ou Corbelin[16].

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Préhistoire

    Sur le rocher du Cornillon ont été trouvés les restes de deux occupations préhistoriques, une de la fin du Néolithique (IIIe millénaire av. J.-C.) et l'autre de l'âge du Bronze final (Xe/VIIIe siècle av. J.-C.)[17].

    Antiquité

    Gravure du monastère Saint-Robert-de-Cornillon dans le livre Monasticon Gallicanum du XVIIe siècle .

    Le nom du Fontanil vient de Fontus, dieu des sources et de Janus ce qui semble attester une présence gallo-romaine avant l'instauration du christianisme. Au fil des siècles, Fontus donna le mot latin fontana, la source. Depuis l'Antiquité, l'eau a marqué l'histoire du Fontanil.

    Cornillon évoque la racine cor, un rocher d'où la vue s'étend au loin, un belvédère. Sur ce rocher a existé durant tout le Moyen Âge une forteresse.

    Moyen Âge

    Durant l'époque médiévale, Cornillon est chef-lieu de mandement. L'enquête de 1339 précise les familles nobles qui ont une résidence dans le château, de celles qui en sont dépourvues et de celles qui ne résident pas sur le territoire : « nobiles non residentes qui tamen habent domicilia in castris »[18].

    Au XIIe siècle, dépendent de ce mandement entre autres les paroisses de Mont-Saint-Martin, Proveysieux, Quaix-en-Chartreuse, Sarcenas et Le Sappey-en-Chartreuse. En son centre s'élève le château de Cornillon, cité avec sa chapelle au XIe siècle, dressé sur le rocher éponyme par Guigues-le-Gras, comte d’Albon. Il protégeait Grenoble contre les attaques savoyardes. La forteresse fut démolie sur ordre d'Henri IV car elle était devenue place protestante[19].

    Sont également érigés une église paroissiale et le monastère de Saint-Robert-de-Cornillon relevant de l’abbaye de la Chaise-Dieu.

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1942 1965 Joseph Magnin    
    1965 1977 Georges Masson    
    mars 1977 mars 1983 Michel Prudhomme    
    mars 1983 juin 2016 Jean-Yves Poirier UMP-LR Retraité
    juin 2016 En cours Stéphane Dupont-Ferrier LR Cadre administratif et financier
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    La commune est Champion Rhône-Alpes de l’environnement en 1986.[réf. nécessaire] Elle s'est distinguée en 2009 avec le premier prix de l’originalité dans le cadre du palmarès « Fleurissement, paysage et développement durable ».

    En mars 2017, la commune confirme le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris, qu'elle obtient depuis 2003 ; ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[20],[21].

    Jumelages

    Activités sportives

    La ville dispose d'un stade de rugby baptisé récemment stade "Vincent Clerc" en hommage à l'actuel joueur toulousain qui a vécu ses débuts en tant que rugbyman à Grenoble, le Rugby-Club Chartreuse-Néron évolue sur ce stade qui est accolé au gymnase Lionel-Terray, récemment refait à neuf.

    Un complexe sportif, constitué de deux terrains de football (un en herbe et un en terre battue), est mis à la disposition du 2 Rochers Football Club, et de quatre terrains de tennis en béton poreux gérés par le club de tennis du Fontanil.

    Des départs de randonnées se font depuis le Fontanil sur la Chartreuse en direction du mont Saint-Martin et des différents sommets alentour.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

    En 2018, la commune comptait 2 940 habitants[Note 4], en augmentation de 5,76 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    443399405508655668652621588
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    612599567584534533502465466
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    436366345331381417400420524
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    5861 1231 4541 6822 0792 4542 6142 8182 735
    2018 - - - - - - - -
    2 940--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. Sur la commune se trouvent le groupe scolaire du Rocher, et le lycée professionnel Françoise Dolto. L'école est dans le secteur du collège Chartreuse, situé à Saint-Martin-le-Vinoux.

    Équipement culturel

    La médiathèque.
    • La médiathèque municipale divisée en trois secteurs (enfant, adulte et musique)[27].
    • L'espace Claretière, espace multifonctionnel
    • L'Atrium, espace d'échanges et de rencontres
    • L'école de musique

    Médias

    En 2014, la commune de Fontanil-Cornillon a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[28].

    Le village additionne aussi les prix suivants :

    • Trophées de la communication en 2003
    • Première commune à informer ses habitants par SMS des évènements et à mettre internet dans la rue.

    Presse écrite
    Historiquement, le quotidien à grand tirage régional Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Grenoble, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Cultes

    La communauté catholique et l'église du Fontanil-Cornillon (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint Martin du Néron, celle-ci étant également rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[29].

    Économie

    Secteur agricole

    La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[30],[31].

    Fontanil-Cornillon est une des communes d'un secteur de vignobles pouvant revendiquer le label IGP « Coteaux-du-grésivaudan », comme la plupart des communes de la moyenne vallée de l'Isère (Grésivaudan et cluse de Voreppe).

    Culture locale et patrimoine

    Il y a une volonté de mettre la culture dans la rue. En se promenant on y trouve des « livres chevalets » esthétiques et originaux mais aussi présentant l’avantage d’être supports d’informations, historiques et communales. Les différents symposiums de sculptures organisés ont laissé des traces à travers les œuvres restées en place. Des fresques, des bas reliefs, sur le thème de la transmission du savoir jalonnent tout le village. Il est vrai qu’il y a un projet de « village du livre » en cours de réalisation et tout concourt à le dessiner petit à petit.

    Lieux et monuments

    • Les ruines du Château de Cornillon[32] : le rocher du Cornillon servait de défense naturelle au château du seigneur du Dauphiné. Il fut pris par le Duc de Lesdiguières en 1589 et détruit peu après. Aujourd'hui il reste quelques morceaux du rempart et de la citerne d’eau. Une maquette du château féodal (réalisée par l'AVIPAR) est exposé à la médiathèque[33].
    • Le jardin ethnobotanique[34]
    • au lieu-dit Claretière, on trouve la maison forte de Claret, transformée en exploitation agricole[32]
    • La maison forte de la Garde[32]
    • Plusieurs bâtiments anciens[32]
    • Les sculptures en plein air.
    • L'église Notre-Dame de l'Assomption, de la paroisse Saint-Martin du Néron.

    Patrimoine naturel

    Rocher du Cornillon

    La commune fait partie du parc naturel régional de Chartreuse. Deux particularités géologiques :

    • le rocher du Cornillon (site classé Patrimoine national).
    • la grotte de la Lutinière, ou fontaine de la Lutinière, à 250 m à peine de la mairie, conduit à un lac souterrain ; en cas de pluie, la grotte est noyée.[32].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Fontanil-Cornillon possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Cette forme est notamment utilisée sur le site officiel de la commune.
    2. Stephane Revel, « Les calcaires du Fontanil / Limestones Fontanil », sur Patrimoine du Dauphiné, (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Grenoble », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Site géoportail, page des cartes IGN
    14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    15. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    16. André Planck, "L'origine du nom des communes du département de l'Isère", (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 93
    17. Aimé Bocquet, Isère pré et protohistorique, Gallia Préhistoire, 1969-1, p. 257 .
    18. Élisabeth Sirot, Noble et forte maison - L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe siècle, Picard, 2007, (ISBN 9782708407701), p. 33.
    19. Histoire des communes de l'Isère 1988 Reboul imprimerie.
    20. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    21. Les villes et villages fleuris Fontanil Cornillon sur le site officiel des Villes et villages fleuris, consulté le 20 juillet 2014.
    22. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. Site fontanil.fr, page sur la médiathèque, consulté le 22 septembre 2019
    28. « Les Villes Internet 2014 », sur le site officiel de l’association « Ville Internet » (consulté le ).
    29. Site Messe infos, page sur la paroisse Saint Martin du Néron, consulté le 22 septembre 2019
    30. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
    31. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
    32. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 284-289.
    33. « Le Rocher du Cornillon et les coteaux », sur ville-fontanil.fr.
    34. Un jardin ethnobotanique au cœur du Fontanil-Cornillon, www.ville-fontanil.fr
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