Escurolles

Escurolles (Escuròlas en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Allier en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Escurolles

Le chevet de l'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Vichy
Intercommunalité Communauté de communes Saint-Pourçain Sioule Limagne
Maire
Mandat
Bertrand Béchonnet
2020-2026
Code postal 03110
Code commune 03109
Démographie
Gentilé Escurollois[1]
Population
municipale
778 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 08′ 39″ nord, 3° 15′ 58″ est
Altitude Min. 287 m
Max. 323 m
Superficie 13,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Vichy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bellerive-sur-Allier
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Escurolles
Géolocalisation sur la carte : Allier
Escurolles
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Escurolles
Liens
Site web escurolles.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Escurolles est située en Limagne bourbonnaise, au sud du département de l'Allier[2], à km de Gannat, 20 km de Vichy et 50 km de Clermont-Ferrand (par la route), entre les anciennes routes nationales 9 et 209. À vol d'oiseau, ces trois villes sont situées respectivement à 7,2 km au nord-est[3], 12,4 km à l'ouest[4] et 42,9 km au nord-nord-est[5].

    Sept communes sont limitrophes d'Escurolles[6].

    Géologie et relief

    Sa superficie est de 1 327 hectares, ou 13,27 km2 ; son altitude varie entre 287 et 323 mètres[7]. Au bourg, son altitude s'élève à 306 mètres[8].

    Hydrographie

    Escurolles est traversée par l'Andelot, en rive gauche[9] et bordée par l'Ancoutay, à l'ouest, et le Châlon, à l'est, tous deux affluents de l'Andelot[8].

    Voies routières

    La D 27 traverse la commune.

    La commune est traversée par quatre routes départementales[6] :

    • la RD 27, axe est-ouest reliant le nord de l'agglomération vichyssoise (Vendat) et Saint-Pont à Saulzet ;
    • la RD 36, axe nord-sud reliant Broût-Vernet à Biozat ;
    • la RD 184, au sud-est de la commune, axe de la RD 215 à Monteignet-sur-l'Andelot ;
    • la RD 215, reliant Espinasse-Vozelle au centre du village.

    L'accès à l'autoroute A719, passant au sud de la commune, s'effectue par la sortie 15, située à l'est de Gannat. Elle permet de rejoindre Paris, Montluçon et Clermont-Ferrand par l'autoroute A71, ainsi que Vichy depuis le 12 janvier 2015.

    Transports ferroviaires

    Aucune ligne ferroviaire ne passe par la commune ; il a existé une gare, définie dans une nomenclature de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée de 1911, portant le nom de « Monteignet – Escurolles »[10], sur la ligne de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac et située sur la commune limitrophe de Monteignet-sur-l'Andelot. La gare ouverte au trafic voyageurs la plus proche est située à Gannat, desservie par des TER Auvergne-Rhône-Alpes à destination de Montluçon ou de Clermont-Ferrand.

    Urbanisme

    Typologie

    Escurolles est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vichy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,5 %), zones urbanisées (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Logement

    En 2012, la commune comptait 359 logements, contre 327 en 2007. Parmi ces logements, 85,1 % étaient des résidences principales, 3,4 % des résidences secondaires et 11,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[a 1].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 70,8 %, en baisse par rapport à 2007 (73,5 %). La part de logements HLM loués vides était de 10,3 % (contre 6,9 %)[a 2].

    Histoire

    Occupées par les Gaulois, les vallées de l'Andelot et du Châlon deviennent ensuite une terre d'élection des Romains, qui bâtissent dans ce terroir fertile de nombreuses villae, desservies par une voie menant de Vichy à Néris-les-Bains, via Chantelle-la-Vieille. Des fragments de tuiles à rebord, des tessons de céramique et quelques pièces de monnaie confirment cette présence.

    Siège d'une viguerie, centre de circonscription administrative avant 984[Note 3], Escurolles acquiert une certaine importance sous la seigneurie de l'abbaye de Cluny.

    Presque ruinée par les ennemis de Cluny, la ville fait appel à la protection de Philippe-Auguste. Le roi accorde à Escurolles en 1189 une charte de pariage et de coutumes, parmi les premières du Bourbonnais ; les habitants reçoivent les coutumes de Saint-Pierre-le-Moûtier, ils payent en retour un cens et la justice est partagée par moitié (« pariage ») avec les moines[Note 4]. Une enceinte enserre désormais la ville administrée par trois consuls. Nicolas de Nicolay, dans sa Générale description du Bourbonnais, mentionne Escurolles au nombre des villes closes.

    En 1440, lors de la Praguerie, Charles VII s'empare de la ville qui a pris parti pour les Princes. En 1465, Louis XI, pourchassant des opposants, s'arrête le 20 juillet pour y passer la nuit.

    Il existait une ancienne abbaye de Génovéfains[9].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune d'Escurolles est membre de la communauté de communes Saint-Pourçain Sioule Limagne[19], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Pourçain-sur-Sioule (avant 2017, elle était membre de la communauté de communes du Bassin de Gannat). Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[20].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Vichy, à la circonscription administrative de l'État de l'Allier et la région Auvergne-Rhône-Alpes[19]. Jusqu'en , elle était chef-lieu de canton.

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Bellerive-sur-Allier pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[19], et de la troisième circonscription de l'Allier pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[21].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal d'Escurolles, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[22] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[23]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice[24] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 51,78 %[24].

    Chronologie des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        M. Croizier   Conseiller général du canton d'Escurolles (1892-1910)
    1983 1995 Jean-Jacques Rozier DVD Agriculteur retraité
    Conseiller général du canton d'Escurolles (1993-2015)
    puis conseiller départemental du canton de Bellerive-sur-Allier (2015-)
    et 11e vice-président du conseil départemental[25]
    1995 2001 Christian Martinat    
    Jean-Pierre Moulin[26]   Retraité
    En cours
    (au )
    Bertrand Béchonnet[27] DVD Exploitant agricole[28]

    Autres élections

    Aux élections européennes de 2014, la liste FN dirigée dans la circonscription Massif central-Centre par Bernard Monot a recueilli 27,65 % des voix ; la deuxième liste est la liste UMP dirigée par Brice Hortefeux, qui a obtenu 22,12 % des voix. Moins d'un électeur sur deux a voté (44,84 % soit 239 votants sur 533 inscrits)[29].

    L'ancien maire d'Escurolles, Jean-Jacques Rozier (DVD), a été réélu en 2004[30] et en 2011[31] dans le canton. D'ailleurs, dans la commune, il est arrivé en tête au second tour devant le socialiste Christian Trillet, avec respectivement 72,96 %[32] et 70,90 %[33] des voix. Les taux de participation s'élèvent à 68,91 % en 2004[32] et 60,83 % en 2011[33], scores supérieurs à la moyenne du canton (68,40 %[30] et 48,99 %[31]). Jean-Jacques Rozier s'est à nouveau représenté aux élections départementales de 2015, en binôme avec Isabelle Goninet (Union de la droite), dans le nouveau canton de Bellerive-sur-Allier. Ce binôme, élu au second tour avec 70,66 % des voix dans le canton[34], a recueilli 75,68 % des suffrages exprimés dans la commune[35]. Le taux de participation s'élève à 54,39 %[35], légèrement inférieur à celui du canton (54,60 %)[34]. Le 2 avril 2015, il est élu 11e vice-président du conseil départemental chargé « des ressources humaines, de l'administration générale, de la coopération internationale et de la commande publique »[25].

    Aux élections municipales de 2014, tenues au scrutin majoritaire, 74,58 % des électeurs avaient voté[36].

    Administration municipale

    Le conseil municipal d'Escurolles, réuni en à la suite de l'élection du nouveau maire, a désigné trois adjoints[E 1].

    Jumelages

    Le pays d'Escurolles est jumelé avec la région du lac Koboro au Mali, près de Niafunké[37].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2018, la commune comptait 778 habitants[Note 5], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2013 (Allier : −1,82 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0121 0281 0901 1171 1001 1941 1891 2391 288
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2651 2361 1361 1261 1501 1001 0741 0241 063
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    940905847741726728731694623
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    602623617662668657715736768
    2018 - - - - - - - -
    778--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,5 %)[a 3] est en effet inférieur au taux national (23,6 %) et au taux départemental (31,6 %).

    À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,9 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    Répartition de la population de la commune par tranches d'âge en 2012
    Tranche d'âge 0 à 14 ans 15 à 29 ans 30 à 44 ans 45 à 59 ans 60 ans et plus
    47,1 % d'hommes 17,6 %17 %19,6 %23,3 %22,5 %
    52,9 % de femmes 18 %21 %16,7 %21,9 %22,4 %
    Pyramide des âges d'Escurolles en 2012 en pourcentage[a 4]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1 
    7,8 
    75 à 89 ans
    8 
    14,4 
    60 à 74 ans
    13,3 
    23,3 
    45 à 59 ans
    21,9 
    19,6 
    30 à 44 ans
    16,7 
    17 
    15 à 29 ans
    21 
    17,6 
    0 à 14 ans
    18 
    Pyramide des âges du département de l'Allier en 2012 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7 
    90 ans ou +
    1,9 
    9,6 
    75 à 89 ans
    14,1 
    18,1 
    60 à 74 ans
    18,5 
    21,6 
    45 à 59 ans
    20,6 
    17,9 
    30 à 44 ans
    16,7 
    15,3 
    15 à 29 ans
    13,4 
    16,8 
    0 à 14 ans
    14,9 

    Enseignement

    Escurolles dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école élémentaire publique[43]. Celle-ci fait partie d'un regroupement pédagogique de six communes : Escurolles, Espinasse-Vozelle, Le Mayet-d'École, Monteignet-sur-l'Andelot, Saint-Pont, Saulzet, l'un des trois de la communauté de communes[44]. Pour la rentrée 2015, ce regroupement exclut Espinasse-Vozelle et « [compte] 143 élèves pour sept classes »[45].

    Les élèves poursuivent leur scolarité au collège de Gannat[46], puis au lycée de Saint-Pourçain-sur-Sioule ou de Cusset[47].

    L'Institut de formation par alternance d'Escurolles (IFPAE) prépare au BTS.

    Économie

    La commune a une vocation agricole, il y a peu d'élevage. On y cultive principalement le blé, le maïs, le tournesol et la betterave à sucre.

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2011, le revenu fiscal médian par ménage s'élevait à 30 741 , ce qui plaçait Escurolles au 14 512e rang des communes de plus de 49 ménages en métropole[48].

    Emploi

    En 2012, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 493 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,6 % d'actifs dont 65,5 % ayant un emploi et 6,2 % de chômeurs[a 5].

    On comptait 170 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 325, l'indicateur de concentration d'emploi est de 52,3 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 6].

    Entreprises

    Au , Escurolles comptait 26 entreprises : quatre dans l'industrie, trois dans la construction, quinze dans le commerce, les transports et les services divers et quatre dans le secteur administratif[a 7], ainsi que 30 établissements[a 8].

    La principale entreprise, Allier Volailles, entreprise familiale implantée depuis 1894, est un abattoir de volailles, avec une unité de conditionnement de produits élaborés à base de volailles. Elle emploie 70 salariés environ.

    Agriculture

    Au recensement agricole de 2010, la commune comptait quinze exploitations agricoles. Ce nombre est en nette diminution par rapport à 2000 (22) et à 1988 (34)[49].

    La surface agricole utile (SAU) sur ces exploitations est de 1 361 hectares en 2010, incluant 518 ha d'exploitations individuelles. Aucun chiffre sur les GAEC n'est diffusé en raison du secret statistique[49].

    Les établissements Jeudy, situés à Banelle, ont une unité spécialisée dans la semence de pomme de terre stockée en chambre froide.

    Industrie et construction

    L'atelier des Granges, spécialisé en parquet à la française, est installé au château des Granges. Il fabrique aussi des meubles de style.

    Commerce et services

    Escurolles possède sur son territoire des activités commerciales ou de service : un point d'alimentation générale - multiservice, une boulangerie-pâtisserie, un café-tabac, un restaurant, un coiffeur en salon ou à domicile, ainsi qu'un service de taxi.

    Des professions libérales (médecin, dentiste, infirmière à domicile) et des activités artisanales (électricité générale, plomberie-sanitaire, menuiserie, maçonnerie) sont représentées à Escurolles.

    La base permanente des équipements de 2014 recense une épicerie et une boulangerie[50].

    Tourisme

    Au , la commune ne compte ni hôtels[a 9] ni campings[a 10] ni aucun autre hébergement collectif[a 11].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Notre-Dame de Banelle, gravure sur bois du milieu du XVIIIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Percilly (1858-1928), né à Escurolles, architecte, créateur de nombreuses villas et autres bâtiments de Vichy et de la région.
    • Léon Cristiani, né le à Escurolles et mort le à Moulins, prélat, historien et théologien.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    D'azur à la main dextre d'argent en bande, tenant une gerbe de blé d'or liée de gueules posée en barre, le tout accompagné au canton dextre du chef d'une fleur de lys d'or.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Vers le milieu du Xe siècle, la viguerie d'Escurolles est mentionnée dans une charte de Cluny (Chart. Clun., I, no 562) à propos de terres données à Cluny in villa Lineraco, in vicaria Escurollas par Étienne et son épouse Aldéarde. Mais en juillet 984, une autre charte situe Escurolles dans la viguerie de Gannat : in pago Arvernico in vicaria Gatnacensi in villa Scuriolas.
    4. La charte est connue par une copie du XIIIe siècle, qui est conservée à la BnF, Petit cartulaire de Cluny, fonds latin no 5458, fo194[18].
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. LOG T2 – Catégories et types de logements.
    2. LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
    3. POP T0 – Population par grandes tranches d'âges.
    4. POP T3 – Population par sexe et âge en 2012.
    5. EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
    6. EMP T5 – Emploi et activité.
    7. DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
    8. DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
    9. TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
    10. TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
    11. TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .
    • Site de la mairie :
    1. « Le Conseil Municipal » (consulté le ).
    • Autres sources :
    1. « Escurolles (03110) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
    2. « Escurolles », sur Lion 1906.
    3. « Orthodromie entre Escurolles et Gannat », sur Lion 1906.
    4. « Orthodromie entre Escurolles et Vichy », sur Lion 1906.
    5. « Orthodromie entre Escurolles et Clermont-Ferrand », sur Lion 1906.
    6. Carte d'Escurolles, sur le site Géoportail (consulté le 29 octobre 2016).
    7. « Répertoire géographique des communes », IGN.
    8. « L'Accueil », sur infomairie.net (consulté le ).
    9. François Gabriel Théodore Basset de Jolimont, L'Allier pittoresque, Moulins, Martial Place libraire-éditeur, (lire en ligne).
    10. Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, Nomenclature des gares, stations et haltes, Paris, Imprimerie Maulde - Doumenc, (lire en ligne), p. 89.
    11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. René Germain, Chartes de franchises et fortifications au duché de Bourbon, Gannat, Société culturelle du pays gannatois, , 602 p. (ISBN 2-9524104-0-2), p. 226-229.
    19. « Commune d'Escurolles (03109) », sur insee.fr (consulté le ).
    20. « CC Saint-Pourçain Sioule Limagne - No SIREN : 200071389 », sur la base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    21. « Découpage électoral de l'Allier », sur Politiquemania (consulté le ).
    22. Article L. 252 du Code électoral.
    23. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
    24. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    25. « Les élus », Conseil départemental de l'Allier (consulté le ).
    26. Liste des maires de l'Allier [PDF], sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de l'Allier, 8 avril 2014 (consulté le 3 juin 2014).
    27. « Bertrand Béchonnet a été élu maire d'Escurolles (Allier) », La Montagne, (consulté le ).
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