Dieffenbach-au-Val

Dieffenbach-au-Val est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Dieffenbach et Val.

Dieffenbach-au-Val

Entrée du village de Dieffenbach-au-Val.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Sélestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Villé
Maire
Mandat
Bernard Schmitt
2020-2026
Code postal 67220
Code commune 67092
Démographie
Gentilé Dieffenbachois [1]
Population
municipale
629 hab. (2018 )
Densité 213 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 18′ 54″ nord, 7° 19′ 38″ est
Altitude Min. 233 m
Max. 560 m
Superficie 2,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sélestat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mutzig
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Dieffenbach-au-Val
Géolocalisation sur la carte : Bas-Rhin
Dieffenbach-au-Val
Géolocalisation sur la carte : France
Dieffenbach-au-Val
Géolocalisation sur la carte : France
Dieffenbach-au-Val

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Géographie

    Implantée sur la rive droite du Giessen, la commune de Dieffenbach-au-Val est partagée en trois parties bien distinctes dont la superficie globale atteint 295 ha. La première partie du secteur englobe la vallée alluviale du Giessen qui se rétrécit pour rejoindre l'endroit granitique du Petit et du Grand Hollé. L'autre partie traversée par le ruisseau qui descend de la Basse Nicole vers le Hollé. Enfin un autre secteur rejoint le massif de l'Altenberg dont Dieffenbach-au-Val ne couvre que la partie de basse altitude située à 550 m et les crêtes situées sur le territoire de la commune de Neubois. Le village s'étale entre 280 et 300 mètres d'altitude. Il est rejoint en partie par le hameau de Hirzelbach situé dans un vallon à mi-chemin de Dieffenbach-au-Val et Neuve-Église.

    Communes limitrophes de Dieffenbach-au-Val
    Neuve-Église Saint-Maurice Thanville
    Neubois Neubois
    Neubois Neubois Neubois

    Écarts et lieux-dits

    • Hirtzelbach (hameau).

    Urbanisme

    Typologie

    Dieffenbach-au-Val est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sélestat, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 37 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,8 %), prairies (16,2 %), zones urbanisées (16,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    L'étymologie du nom du village n'a pratiquement pas changé au cours des siècles. On trouve Dieffenbach dès 1336, puis en 1336, puis en 1359, 1369, ensuite Tifenbas (1690). Par la suite on a rajouté au-Val pour ne pas confondre son homonyme Dieffenbach-lès-Wœrth. Un toponyme germanique, Dieffenbach, est donc complété par le français « au Val » . Un exemple concret du bilinguisme qui montre que l'Alsace constitue une zone de contact entre les civilisations germanique et française. Que signifie ce nom ? L'interprétation populaire « rivière profonde » ne correspond guère au site du village dont une partie s'étire le long d'un ruisseau peu encaissé. Dieffenbach-au-Val est situé dans l'avant-vallée aux pentes douces ; la rivière n'est ni profonde, ni abondante, et quasiment à sec en été.

    Histoire

    Un village faisant partie de la seigneurie de Frankenbourg

    Les premières mentions écrites se trouvent dans un document de 1336 et dans un acte de vente de 1359, mais l'origine de l'existence du village n'est pas exactement connue. Une charte de 1369 nous permet de penser que le village existait déjà au XIIIe siècle. Faisant partie de la seigneurie de Frankenbourg, il en partage le destin, change de propriétaire au cours des siècles. Ce sont d'abord les comtes de Frankenbourg qui gèrent le village, le château dominant le village du Comte-Ban. À la fin du XIIe siècle le comte Siegebert IV s'établit au château de Werde, près de Matzenheim, et en prend le nom. Le XIIIe siècle voit le déclin de cette famille qui perd une partie de ses biens qui tombent dans la mouvance de l'évêque de Strasbourg.

    Le village passe dans la propriété des comtes d'Oettingen

    Le déclin s'accentue au XIVe siècle et par mariage, le château et le village deviennent la propriété des comtes d'Oettingen. La commune de Dieffenbach choisira d'ailleurs comme armoiries celles des Oettingen. Les comtes d'Oettingen vendent en 1359 leur seigneurie du Frankenbourg à l'évêque de Strasbourg qui en reste propriétaire jusqu'en 1489. À ce moment-là, l'ensemble du Comte-Ban, et donc Dieffenbach, est acquis par le Grand Chapitre de la cathédrale de Strasbourg et cela jusqu'à la Révolution.

    La guerre de Trente Ans

    Dieffenbach connaît le sort des autres villages de la vallée et les malheurs de la guerre de Trente Ans. Les troupes étrangères déferlent sur la région à partir de 1632. Ce conflit a pour origine l'antagonisme politique entre la maison d'Autriche, l'électeur palatin Frédéric, roi de Bohême, les rois du Danemark et de Suède, secrètement soutenus par Richelieu. Les hostilités commencent en 1618 et s'achèvent, après l'entrée en scène de la France, par la paix de Westphalie en 1648. À la veille de ce conflit le village comptait 14 familles de bourgeois ; en 1649, il ne reste que trois manants et une veuve ; cinq maisons sont encore habitables sur les quatorze édifiées avant 1618.

    Le village se repeuple

    Dans la deuxième moitié du XVIIe siècle le village se repeuple et en, 1690, onze couples, deux veufs, une veuve et 21 enfants, soit 46 personnes, vivent à Tiefenbas ; parmi ces familles on trouve des personnes portant le nom de Four, Mathieu, Thiébault, Viné, des patronymes encore connus de nos jours. Au XVIIIe siècle la population continue d'augmenter, de nombreuses maisons en témoignent, pour atteindre 370 habitants en 1801.

    La Révolution

    Le curé Kast refuse de prêter le serment de fidélité à la Constitution civile du clergé. Se sentant menacé il doit immigrer. Il meurt en 1803, quelques mois avant que le village ne soit érigé en paroisse autonome dont Neubois était jusqu'à présent la maison-mère.

    La guerre de 1870

    La guerre de 1870 est faiblement ressentie à Dieffenbach-au-Val, hormis quelques combats à Thanvillé le . Des actions de harcèlements ont lieu dans cette commune contre les troupes allemandes qui en feront l'amère expérience. En signe de représailles, les cavaliers badois passablement énervés fusilleront le lendemain quelques otages originaires de Thanvillé. L'annexion allemande qui va durer quarante huit ans, aura pour conséquence un importante émigration vers les États-Unis ou la France métropolitaine.

    La guerre 1914-1918

    La guerre 1914-1818 surprend tout le monde et fait voler en éclats la région encore imprégnée des traditions et coutumes du siècle précédent. Pendant la deuxième quinzaine du mois d', des combats acharnés se produisent dans le Val. Bien que Dieffenbach ait été relativement épargné par les combats on note le passage de Bavarois qui contrôlent les allées et venues de la population.

    La Seconde Guerre mondiale

    General Alexander M. Patch.

    Après le franchissement du Rhin les 14 et , les troupes allemandes mettent en déroute l'armée française qui se replie vers les crêtes vosgiennes par les vallées. Les premières unités de la Wehrmacht s'installent dans la vallée. Des éléments français tentent d'interdire l'accès aux vallées du Giessen et de la Liepvrette. L'administration allemande s'installe progressivement. Nombre de jeunes gens du pays tombent sous l'uniforme que l'occupant les a contraint de revêtir ; d'autres termineront leur courte vie dans les camps de prisonniers en Russie. Beaucoup refusent de se soumettre, et au péril de leur vie et de celle de leur famille, plongent dans la clandestinité ou la Résistance. Pendant la durée de la guerre plusieurs filières d'évasion se mettent en place, grâce à la complicité de passeurs et d'habitants. Ils acheminent par la frontière des centaines d'évadés, de réfractaires ou de résistants. Ces filières ont particulièrement actives dans les secteurs de Steige-La Salcée-le Climont, ainsi que dans les fermes isolées en amont de Fouchy et Lalaye. Le Val de Villé est libéré le par les troupes américaines du général Alexander Patch, relayées par la Ire Armée française et les goumiers marocains. Préalablement, dès le , des bombardements de l'aviation américaine détruisent plusieurs immeubles dans les alentours, surtout à Villé.

    Les années d'après-guerre

    Les années d'après-guerre sont essentiellement marqués par la crise du textile survenue dès le printemps 1956. L'entreprise F.T.V. en situation de monopole, est contrainte de licencier 1 500 personnes ne conservant en activité qu'une seule production à Villé. La situation économique et sociale se dégrade rapidement. Le Val de Villé connaît une période noire, à tel point que la population diminue périodiquement. La reconversion est lente, délicate et précaire. Des entreprises s'installent (plasturgie, mécanique), mais un certain nombre d'entre elles disparaissent à nouveau. Le développement des migrations quotidiennes de travail, en particulier vers les entreprises du Centre-Alsace, permettent finalement à la population active du canton de se maintenir sur place.

    Héraldique

    Les armes de Dieffenbach-au-Val se blasonnent ainsi :
    « Vairé d'or et de gueules de quatre tires, à l'écuson d'azur, au sautoir d'argent brochant sur le tout. »[9].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 En cours
    (au 31 mai 2020)
    Bernard Schmitt[10],[11]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
       
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13].

    En 2018, la commune comptait 629 habitants[Note 3], en augmentation de 1,94 % par rapport à 2013 (Bas-Rhin : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    351375393402717559553599555
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    521561559569513494454452454
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    460447459383383387374384353
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    387417506504559582630618628
    2018 - - - - - - - -
    629--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Église Saint-Laurent

    Église Saint-Laurent de Dieffenbach-au-Val.

    Dieffenbach-au-Val possède probablement l'église la plus ancienne du Val de Villé. Elle est d'ailleurs inscrite pour partie dans l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Sa forme actuelle date pour l'essentiel de 1785, mais la base de la tour-chœur, deux assisses de pierre semblent constituer les vestiges de l'ancienne chapelle Saint-Laurent de 1369. Cachées sous le toit de la nef, des traces de raccordement de charpente à la tour permettent d'imaginer les différentes étapes de l'évolution de l'église.

    De l'ancienne église gothique, il ne reste que la fenêtre située au sud du chœur, sans doute l'une des plus belles de la vallée. L'étage supérieur du chœur est percé de quatre baies, elles aussi de style gothique tardif, avec remplage flamboyant. Ce niveau abrite trois cloches baptisées respectivement Joseph, Laurent et Odile (Causard 1924). La troisième fondue en 1835 par Edel de Strasbourg porte les effigies de Marie, saint Jean au pied de la croix, saint Roch et saint Paul.

    La tour est couverte d'un toit à bâtière (à deux pans). Sur le mur oriental du chœur a été dégagé en 1986 un oculus en forme d'entonnoir, aux parois galbées, taillé dans un seul bloc de grès. Il se rétrécit vers l'intérieur et est protégé à l'extérieur par une croix en fer scellée dans la pierre, à l'intérieur par une croix de Saint-André, protégeant ainsi de toute intention malveillante le tabernacle mural.

    Chapelle

    Petite chapelle privée à Dieffenbach-au-Val.

    Il s'agit d'une chapelle privée reconstruite en 1833, située au bord de la route à l'entrée du village de Dieffenbach-au-Val, au carrefour de la route de Neubois et Neuve-Église et de la rue de l'Altenberg. Cette chapelle est située sur un ancien emplacement dont la date incrustée dans le mur arrière, 1771, rappelle le souvenir. Elle a été endommagée au début du XXe siècle par un taureau furieux, puis reconstruite en 1975 par une famille du village.

    Chapelle de Nazareth

    Construite en 1970 au-dessus du village à l'intérieur des bois sous la prêtrise du curé Rodet[16].

    Architecture

    Les maisons d'habitation sont reliées entre elles par un réseau de rues tortueuses qui forment une toile d'araignée. C'est un village verger. Le village est encore occupé de nos jours par d'anciennes fermes dont le logis est formé par deux étages, coiffé d'un imposant pignon droit. La plus ancienne maison de ce type se trouve au n°17 du chemin de Hirtzelbach. C'est une ferme traditionnelle qui est située parallèlement à la rue. La porte d'entrée du logis est mise en valeur par un encadrement très haut et très massif, orné de moulures et présentant, taillées en méplat dans une cartouche rectangulaire, la date de construction : 1698 ainsi que les initiales du propriétaire : I.T. Sur le linteau cintré de la porte de grange a été gravée en creux une petite croix latine. Dans le village on note la présence d'autres maisons d'habitation des XVIIIe et XIXe siècles sur lesquelles on relève les initiales des occupants et l'année de construction et des symboles religieux ou professionnels.

    Personnalités liées à la commune

    Autres photos

    Voir aussi

    Sources

    Une grande partie des informations issue de cet article provient de l'ouvrage Le Val de Villé, un pays des hommes, une histoire, rédigé avec le soutien de la Société d'histoire du Val de Villé et la communauté de communes du canton de Villé, 1995. Les textes ont pu être modifiés depuis.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sélestat », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
    10. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
    11. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    16. évoquée sur la page du Circuit de la Route des Eaux-de-Vie

    Bibliographie

    • Le Val de Villé, un pays des hommes, une histoire, rédigé avec le soutien de la Société d'histoire du Val de Villé et la communauté de communes du canton de Villé, 1995.

    Liens externes

    • Portail des communes de France
    • Portail du Bas-Rhin
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.