Cormelles-le-Royal

Cormelles-le-Royal est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 4 959 habitants[Note 1].

Cormelles-le-Royal

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Caen la Mer
Maire
Mandat
Jean-Marie Guillemin
2020-2026
Code postal 14123
Code commune 14181
Démographie
Gentilé Cormellois
Population
municipale
4 959 hab. (2018 )
Densité 1 425 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 14″ nord, 0° 19′ 49″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 37 m
Superficie 3,48 km2
Unité urbaine Caen
(banlieue)
Aire d'attraction Caen
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Ifs
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Cormelles-le-Royal
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Cormelles-le-Royal
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Cormelles-le-Royal
Liens
Site web www.ville-de-cormelles-le-royal.fr

    Géographie

    Cormelles-le-Royal se situe en plaine de Caen, dans la banlieue sud de Caen. Son centre est à 4,5 km du centre de la capitale régionale[1].

    Situé dans le bassin de l'Orne, le territoire couvre une superficie de 348 hectares et est peuplé de 4 959 habitants[Note 2], soit une densité de 1 425 habitants/km2.

    Le point culminant (37 m) se situe en limite sud, près de l'échangeur du périphérique sud. Le point le plus bas (13 m) correspond à la sortie de l'unique cours d'eau de la commune du territoire, au nord-est.

    Les communes limitrophes sont Caen, Mondeville, Grentheville et Ifs.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 681 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[10] à 11,2 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Cormelles-le-Royal est une commune urbaine[Note 6],[13]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Caen, une agglomération intra-départementale regroupant 24 communes[16] et 205 163 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (83,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (21 %), terres arables (12,6 %), prairies (4,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Cormellis vers 1070[23] et Cormellæ en 1195[24].

    L'origine du toponyme n'est pas clairement établie, mais Albert Dauzat et Charles Rostaing émettent l'hypothèse de l'ancien français corme, « sorbe » avec le diminutif -ella[24]. Il semble désigner un lieu planté de cormiers (arbre de la famille des sorbiers), dont la corme (fruit) servait à fabriquer une boisson appelée cormée, une sorte de cidre.
    Une autre version proviendrait du pré-latin corn dérivé de la base cor qui veut dire « escarpement ou hauteur » ( Cormelles est sur les hauteurs de Caen). Associé au suffixe romain mella, cela a donné le nom de Cormellæ en 1195[25].

    Royal est une allusion à des privilèges accordés aux habitants de cette localité par Philippe VI par lettres patentes du 22 juin 1347[26].

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune, créée à partir de la paroisse de Cormelles-le-Royal[26] a porté le nom de Cormelles-le-Libre en 1789 qui fut ensuite écourté en Cormelles en 1793, Coronelles en 1801[27].

    Le déterminant « le-Royal » est à nouveau ajouté en 1969[27].

    Le gentilé est Cormellois.

    Histoire

    Le territoire de la Guérinière faisait autrefois partie de Cormelles, la limite nord de la commune suivant le chemin aux Bœufs entre la route de Falaise et le chemin de la Sente-de-Mondeville (actuellement boulevard de l'Avenir). La famille de la Guérinière y possédait un château, situé entre les actuelles rues de la Charité, du Clos-du-Monastère et du Champ-de-Foire. Le château a été détruit pendant la bataille de Caen. En 1875, la ville de Caen a acheté les 27 ha de terrain de l'académie d'équitation de Caen, située sur le domaine du château de la Guérinière, pour y aménager un champ de manœuvre pour les garnisons de la ville. En 1951[28], ce territoire a été officiellement rattaché à la commune de Caen.

    Durant la bataille de Normandie, le village est fortifié par les Allemands, peu avant le déclenchement des opérations Goodwood et Atlantic par les Britanniques et les Canadiens[29] Le village est libéré le 19 juillet 1944 par les bataillons du Canadian Scottish et la North Nova Scotia Highlanders appartenant à la 3e division d'infanterie canadienne après des combats contre des soldats de la 272e division d'infanterie allemande[29]. Trois semaines plus tard, des troupes canadiennes et polonaises s'y rassemblent en vue du lancement de l'opération Totalize. Le 8 août, l'aviation américaine les bombarde par erreur provoquant des pertes[29].

    La commune de Cormelles-le-Royal est décorée de la Croix de guerre 1939-1945.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? mars 1983[30] Charles Auvray   Réélu en 1977
    mars 1983[30] mars 2014 Bernard Oblin DVD Agriculteur
    mars 2014[31] en cours Jean-Marie Guillemin[32] SE-DVD Cadre dans l'industrie
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et sept adjoints[32].

    Circonscription

    En 1793, la commune est incorporée au canton du Mesnil-Frémentel, dans le district de Caen[27]. En 1801, elle est rattachée à l'arrondissement de Caen, d'abord au canton de Caen-Sud, puis à celui de Caen-Est en 1815, de nouveau à celui de Caen-Sud en 1967 et au canton de Caen-10 en 1982[27]. En 2015, dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, la commune est rattachée au canton d'Ifs[33].

    Enseignement

    La commune dispose de deux écoles maternelles : l'école maternelle des Verts Prés et l'école maternelle des Drakkars. Elles ont chacune une petite, une moyenne et une grande section réparties en deux ou trois classes.

    Elle dispose de deux écoles élémentaires : l'école élémentaire de la Vallée et l'école élémentaire des Drakkars, pour les classes du CP, CE1, CE2, CM1 et CM2.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

    En 2018, la commune comptait 4 959 habitants[Note 8], en augmentation de 3,16 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    185216218216229308268277280
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    251276293281268273254276233
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2832813063974615055546721 174
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 6291 8623 0993 4424 6044 5994 4524 4314 818
    2017 2018 - - - - - - -
    4 8984 959-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune a hébergé une usine pyrotechnique de 1916 à 1919[37]. Sur son emplacement, une usine Moulinex est construite en 1963[38]. Elle ferme en 2001.

    Culture locale et patrimoine

    La mairie

    Les services de la mairie sont installés dans l’ancien presbytère de la paroisse. Le bâtiment, aux lignes simples, a été construit en pierre de Caen en 1738 par l’abbé Pierre Manchon de Gournay, à ses frais, sur un terrain appartenant à la cure de Cormelles. L’escalier intérieur en pierre est pourvu d’une superbe rampe en fer forgé du XVIIIe siècle ornée des initiales de l’abbé.

    Dès 1794, le culte catholique étant supprimé dans la paroisse de Cormelles, le presbytère est loué par la commune à des familles cormelloises qui s’y partagent l’habitation. Une des pièces fait office de mairie et de salle de conseil municipal. De 1802 à 1826, la paroisse d’Ifs dont dépend Cormelles, prend possession du presbytère et de l’église.

    Après 1945, des familles sinistrées y sont relogées. C’est en 1970 que la mairie y installe définitivement ses services. Le développement de la commune entraîne, en 1999, la nécessité d’un agrandissement des bureaux. Une nouvelle aile construite côté rue des Écoles, en pierre de Caen, s’harmonise avec l’ancien presbytère. Devant cette façade, les jardins très fleuris en font un espace public agréable.

    L'église de Cormelles-le-Royal

    Placée sous l’invocation de saint Martin, l'église située au cœur du bourg, ne présente pas d’intérêt architectural particulier. Construite en pierre calcaire au cours des XVIe et XVIIe siècles sur l’emplacement d’une chapelle, elle subit les affres de l’histoire et du temps.

    La tour actuelle, en forme de cloche, fut édifiée en 1776 à la suite du tremblement de terre qui ébranla la tour carrée. Endommagée suite aux bombardements de 1944, l’église a par la suite été restaurée. Les vitraux ont été posés en 1958. La grille en fer forgé du chœur est l'œuvre d'un Cormellois qui a fait également don du chemin de croix en bois.

    Activité et manifestations

    L'OMACL (Organisation de manifestations, culturelles et de loisirs), depuis 1985, association de bénévoles, qui a pour but d'animer et de divertir la commune par de diverses manifestations (cabaret, théâtre, chanson, sortie culturelle).

    Sports

    L'Entente sportive Cormelles-le-Royal fait évoluer une équipe féminine de football en ligue de Basse-Normandie après avoir évolué plusieurs années au niveau national (2e division en 2013-14), et trois équipes masculines en divisions de district[39].

    Cormelles-le-Royal présente aussi des équipes de tennis et de judo.

    Jumelages

    Personnalités liées à la commune

    • Gilles-André de La Rocque, historiographe, héraldiste de Louis XIV et de la maison d'Harcourt, chevalier de l'ordre de Saint-Michel, auteur de l'histoire de la maison d'Harcourt, il est né à Cormelles en 1597 (1598). Il est membre de l'académie des belles lettres de Caen.
    • M. de Bonnaire, célèbre par l'industrie des blondes (dentelles de soie) est mort en 1832. Il a été maire de Cormelles et un bienfaiteur pour la commune. La mode ayant fait prévaloir l'usage des dentelles de soie, M. Bonnaire et quelques autres fabricants de l'arrondissement de Caen, ont perfectionné et enrichi cette dentelle qui était recherchée dans toute l'Europe.
    • Samuel Bochart, né en 1599 à Rouen, fils d'un pasteur de Caen. Il fait ses études à Paris, Sedan, Saumur, Oxford et Leyde. Il est nommé à Caen sur une place vacante de pasteur en juin 1624. En 1652, 1653, il est invité par la reine Christine de Suède pour développer la théologie réformée. En 1653, il est nommé à la tête de l'académie des Arts et Belles Lettres de Caen dont le siège est l'hôtel du Grand Cheval (hôtel d'Escoville). Écrivain, nous trouvons parmi ses œuvres : Polémique avec le jésuite Véron (1628), Géographie sacrée (1628), l'Héroïcon (1663). Marié à Suzanne de Béversluys, il eut une fille Esther qui épousa le 14 novembre 1649 Pierre Lesueur, sieur de Cormelles et de Colleville, Conseiller au parlement de Normandie. Il mourut le 16 mai 1667 au cours d'une discussion de l'académie des Arts et Belles Lettres. Étant protestant, il ne pouvait pas être enterré dans le cimetière de la commune, il le fut donc chez son gendre, Pierre Lesueur « Dans un bosquet (qui portait le nom de bois aux Protestants), maintenant transformé en herbage, borné en partie vers le nord par les restes du manoir seigneurial de Cormelles et joignant immédiatement la delle appelée le clos du pavillon, le corps étant enterré à 2,60 m du mur qui sépare cet herbage du cimetière et des jardins de M. Marguere à 10 m vers le sud de l'angle aigu formé par la rencontre de ce mur avec celui du cimetière communal. »
    • Jules Morière (1817 à Cormelles-le-Royal - 1888), naturaliste.

    Héraldique

    Les armes de la commune de Cormelles-le-Royal se blasonnent ainsi :

    D'azur à la tour crénelée de cinq pièces d'or, ouverte du champ, maçonnée de sable, accompagnée de trois fleurs de lys aussi d'or, au chef cousu de gueules chargé de deux léopards affrontés d'or.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. Population municipale 2018 , légale en 2021.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Distance routière la plus courte selon Viamichelin.fr
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Caen-Carpiquet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Cormelles-le-Royal et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Caen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations pré-celtique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 282
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
    25. Les noms de lieux celtiques, premières séries, Vallées et Plaines, François Falc’Hun. Edition Armoricaine.
    26. Gervais de La Rue, Essais historiques sur la ville de Caen et son arrondissement, t. 1, Rouen, (lire en ligne), p. 357
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Cf. Cormelles-le-Royal au fil du temps
    29. "Cormelle-le-Royal", page 188, dans le Dictionnaire du Débarquement, sous la direction de Claude Quétel, éd. Ouest-France, 2011.
    30. « Bernard Oblin ne se représentera pas en 2014 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    31. « Huit adjoints réunis autour de Jean-Marie Guillemin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    32. Réélection 2020 : « Municipales à Cormelles-le-Royal. Le maire et ses adjoints enfin installés », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    33. Décret no 2014-160 du 17 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Calvados
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Cormelles-le-Royal au fil du temps, de 1901 à 1938 », sur http://cormellesleroyal.free.fr/
    38. Nathan Hervé, « Cormelles, crépuscule d'une usine », Libération, (lire en ligne)
    39. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Ent.S. Cormelles » (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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