Cologne (Gers)

Cologne (Colonha en gascon) est une commune française située dans le département du Gers en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Cologne (homonymie).

Cologne

Halle de Cologne.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes Bastides de Lomagne
Maire
Mandat
Cyril Romero
2020-2026
Code postal 32430
Code commune 32106
Démographie
Gentilé Colognais
Population
municipale
920 hab. (2018 )
Densité 141 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 23″ nord, 0° 58′ 43″ est
Altitude 199 m
Min. 134 m
Max. 214 m
Superficie 6,52 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gimone-Arrats
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Cologne
Géolocalisation sur la carte : Gers
Cologne
Géolocalisation sur la carte : France
Cologne
Géolocalisation sur la carte : France
Cologne
Liens
Site web http://www.mairie-cologne.com/

    Géographie

    La commune est implantée en Rivière-Verdun à la limite du Fezensaguet et du Gimois. Elle marie avec élégance la pierre et la brique.

    Le village est situé sur la D 654 entre Mauvezin et l'Isle-Jourdain.

    Communes limitrophes

    Cologne est limitrophe de six autres communes.

    Carte de la commune de Cologne et de ses proches communes.
    Communes limitrophes de Cologne[1]
    Sainte-Anne
    Saint-Georges Ardizas
    Sirac Saint-Cricq Encausse

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Sarrampion, un affluent de la Gimone.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 652 hectares ; son altitude varie de 134 à 214 mètres[2].

    Cologne se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].

    Voies de communication et transports

    Accès avec la route départementale D 654 ancienne route nationale 654.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 698 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 653,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 33 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[13] à 13,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Cologne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,9 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), zones urbanisées (5,2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    À l'instar de nombreuses autres villes neuves fondées à la même époque (« bastides »), Cologne emprunte son nom à une ville prestigieuse, Cologne en Allemagne, comme gage du succès de son développement[21]. L’hypothèse selon laquelle la ville aurait été une colonie romaine nommée Colonia alba ne repose sur aucune base sérieuse. Elle est mentionnée dans une vie de saint Clair d’Aquitaine, qui y aurait fait une halte dans son périple entre Albi et Lactora (Lectoure).

    Histoire

    La cité actuelle est une bastide fondée en 1284 par le sénéchal Eustache de Beaumarchais qui représentait le roi de France et le comte de Toulouse. Il l'a fondé en paréage avec le seigneur local Otton, vicomte de Terride, sur la paroisse Notre-Dame-de-Sabolène. Aussitôt, le pal est dressé et les coutumes promulguées deux ans plus tard.
    Le plan de la bastide est caractéristique des bastides royales de plaine. La ville s'étire le long de deux axes perpendiculaires. On retrouve ce plan pour d'autres bastides fondées par le sénéchal Eustache de Beaumarchais : Mirande ou Pavie. Dans un rectangle à pans coupés s'inscrivent neuf îlots de forme carrée ou rectangulaire, la place occupant le centre[22]. Le maire de Cologne en 1767 est Jean guillaume Cavaré, le juge, Me Bertrand Depié.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[23],[24].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes des bastides de Lomagne et du canton de Gimone-Arrats (avant le redécoupage départemental de 2014, Cologne était le chef lieu de l'ex-canton de Cologne) et avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes de Terride-Arcadèche.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1971 septembre 2011 Max Laborie[25] UDF Conseiller général (1973-2004). Décès en cours de mandat (septembre 2011)
    octobre 2011 2014 Guy Durtaud    
    mars 2014 2020 André Touge DVG Retraité
    2020 En cours Cyril Roméro PS  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2018, la commune comptait 920 habitants[Note 5], en augmentation de 2,11 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    848845897855939892938936915
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    878859754679659673636620611
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    534551504501502504480466456
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    407510515519510693832917920
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[30] 1975[30] 1982[30] 1990[30] 1999[30] 2006[31] 2009[32] 2013[33]
    Rang de la commune dans le département 60 61 57 56 54 40 37 36
    Nombre de communes du département 466 462 462 462 463 463 463 463

    Enseignement

    Cologne fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune de Cologne par une école primaires : Classes maternelles et élémentaires[34].

    Santé

    Maison de retraite type EHPAD[35].

    Service public

    Cologne possède un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, une poste, un office de tourisme.

    Manifestations culturelles et festivités

    Danse, musique, chorale, salle polyvalente, foyer rural, comité des fêtes,

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre[36], badminton, gymnastique, football, tennis, yoga, pêche[37],

    Économie

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a une place importante et l'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Ce village présente la particularité d'être situé à l'intersection de la Gascogne gersoise et de la Gascogne toulousaine, et donc de présenter des caractéristiques architecturales appartenant à ces deux catégories.

    La halle de marché.
    La mesure à grains du XVe.

    La halle

    Comme les autres bastides, nombreuses dans le Gers, Cologne se distingue par sa halle médiévale située sur la place, elle-même particulièrement vaste. Elle date du XIVe siècle. Bâtie sur des piliers de pierre aux angles et de bois ailleurs, elle était le lieu d'accueil des foires et des marchés hebdomadaires. La halle entoure un bâtiment à colombage qui est surmonté d'un petit beffroi avec une couverture en poivrière. Ce beffroi abrite une cloche ancienne datée de 1607. Exemple très rare, des mesures à grain du XVe siècle taillées dans la pierre sont installées sous la halle. La halle est l'édifice le plus important de Cologne avec l'église.

    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

    L'église est, comme dans de nombreuses autres fondations du sénéchal Eustache de Beaumarchais, séparée de la place par un îlot d'habitation. L'église a été profondément remaniée. Toutefois, elle conserve quelques vestiges du XIVe siècle, notamment une partie de la façade ouest et nord et le petit portail latéral nord. L'édifice est surtout intéressant par son décor intérieur, par son mobilier et par son trésor : bel autel de style Louis XVI, grande pietà de bois doré du XVIIe siècle, croix de procession du XVIe siècle. La salle du trésor rassemble de très beaux objets liturgiques des XVIIe et XVIIIe siècles. L'église est répertoriée dans la base Mérimée[39].

    La place

    La place est l'une des plus belles du Gers avec son ensemble de couverts magnifiquement restaurés. La place des bastides était, en effet, le plus souvent bordée par des galeries couvertes appelées cornières, ambans ou couverts. Ces lieux de passage, à l'abri du soleil et de la pluie offraient aux commerçants et aux artisans des avancées pour leur échoppes. La place doit être vaste comme à Cologne, car c'est un espace essentiel de convivialité. C'est aux côtés nord et sud que l'on trouve les plus anciens couverts. Ils sont à colombage et brique en fougère ou enduits, sur piliers de bois. Le mélange des matériaux utilisés pour la construction des bâtiments : bois, brique et calcaire, donne à cette place une âme bien particulière.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti : au 1er de sinople grillagé en filet d'or, au 2e de gueules à onze besants d'or rangés en trois pals de 5, 4 et 2 pièces ; au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or soutenues (d'une divise de gueules chargée) d'une épée d'argent, garnie d'or et posée en fasce.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39151085)
    • Edmond Cabié, Privilèges de Cologne au XIVe siècle, Imprimerie de G. Foix, Auch, 1899 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Plan séisme
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Ste-Anne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Cologne et Sainte-Anne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Ste-Anne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Cologne et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie gasconne, Éditions Sud Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-093-9)..
    22. B. Cursente, G. Loubès: "Villages Gersois" (Publication de la Chambre d'Agriculture du Gers, 1991)
    23. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    24. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    25. Site de la préfecture - Fiche de Cologne
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. http://www.mairie-cologne.com/index.php?page=enfance_jeunesse.php
    35. « EHPAD Résidence Alliance, Cologne (32430) - Sanitaire-social », sur Annuaire Sanitaire et Social (consulté le ).
    36. http://www.mairie-cologne.com/index.php?page=randonnees.php
    37. http://www.mairie-cologne.com/index.php?page=vie_associative.php
    38. http://www.mairie-cologne.com/index.php?page=vie_economique.php
    39. « Église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
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