Col du Galibier
Le col du Galibier est un col routier des Alpes françaises situé à 2 642 mètres d'altitude entre les départements de la Savoie au nord et des Hautes-Alpes au sud. Il relie ainsi Saint-Michel-de-Maurienne via le col du Télégraphe, à Briançon et La Grave via le col du Lautaret. Il marque traditionnellement la limite entre les Alpes du Nord et les Alpes du Sud françaises[2]. Ce col est fermé à la circulation l'hiver et la route ouvre pour la période estivale habituellement vers la fin mai ou au début du mois de juin, après son déneigement[3],[4],[5]. Il est doublé par un tunnel percé sous le col, une centaine de mètres plus bas.
Pour les articles homonymes, voir Galibier.
Col du Galibier | |||||
Le col du Galibier en arrivant par le nord | |||||
Altitude | 2 642 m[1] | ||||
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Massif | Arves / Cerces (Alpes) | ||||
Coordonnées | 45° 03′ 51″ nord, 6° 24′ 28″ est [1] | ||||
Pays | France | ||||
Vallée | Vallée de la Guisane (sud) | Vallée de la Valloirette (nord) | |||
Ascension depuis | Col du Lautaret | Valloire | |||
Déclivité moy. | 7,4 % | 6,8 % | |||
Déclivité max. | 12,1 % | 11,8 % | |||
Kilométrage | 8,5 km | 18,1 km | |||
Accès | D902 | D902 | |||
Fermeture hivernale | mi-octobre à fin mai | ||||
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Savoie
Géolocalisation sur la carte : France
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Situé entre le massif des Arves et le massif des Cerces, en particulier le chaînon du Galibier, il est le quatrième plus haut col routier des Alpes françaises, après le col de l'Iseran (2 764 mètres), le col Agnel (2 744 mètres) et le col de la Bonette (2 715 mètres).
Toponymie
Le col du Galibier est mentionné dès la fin du XIIe siècle. Le Regeste dauphinois mentionne un document de l'année 1183 où l'on trouve in collo Galaubiae associé au col[6],[7]. On trouve ensuite, plus tardivement, les formes Custodia collis Galiberii (1516), Le Gallebier, Galabier (1638), Galeibier (1660), Galubier (1741), Galibier (1754)[7].
Le toponyme semble dériver d'un nom d'homme germanique[7].
Géologie
Les crêtes rocheuses du Grand Galibier, du roc Termier et de la Tête de Colombe[8] sont constituées de calcaires dolomitiques et de quartzites triasiques (200-250 Ma)[9] appartenant à une nappe de charriage, dite briançonnaise. Au-dessous de cette nappe viennent des terrains plus tendres et plus ravinés (domaine sub-briançonnais à pentes plus douces), faits de calcschistes gris plus tendres[10] et de marnes crétacées (70 Ma), terrains auxquels appartiennent le col du Galibier. Il y a donc superposition anormale puisque du Trias, terrain ancien, repose sur du Crétacé et du Tertiaire, plus récents. Une autre compression fait chevaucher ce compartiment sub-briançonnais (écailles formant elles-mêmes une nappe de charriage) sur le compartiment dauphinois formé de flysch. Cette structure en empilement de nappes (déplacées de l'ordre de 20 à 30 km, soit une vitesse moyenne d'un cm par an), contemporaine du plissement alpin (30 Ma), a été facilité par la présence de couches de gypse jouant le rôle de « lubrifiant tectonique » (couche dite « savon » formant une semelle de nappe). Une dernière compression due au soulèvement du massif de La Meije (5 à 10 Ma) accentue et raccourcit cette superposition de nappes à l'origine horizontale, en même temps que se produisent le basculement vers l'est des compartiments et les soulèvements qui portent l'ensemble à son altitude définitive[11].
Le col recèle une curiosité géologique. Des terrains gypseux affleurent au-dessus du tunnel et en contrebas du portail nord du col : un gisement à une centaine de mètres au-dessus et les Gypsières (2 300 m[12]). Ces gypses sont criblés de dépressions décamétriques rappelant les formes karstiques. Certains touristes les confondent même avec des trous d'obus mais il s'agit d'entonnoirs de dissolution (en profondeur se produisent des dissolutions suivies d'effondrements se traduisant, en surface, par ces entonnoirs)[13].
Les changements de tracé
La route du Galibier est construite à partir de 1880, et est achevée par le percement du tunnel sommital en 1891[14].
Cette route a par la suite subi de nombreux travaux, le tracé a été modifié à plusieurs reprises, avec pour résultat des appréciations différentes de la difficulté de ce col selon l'époque.
Avant 1976, le tunnel était le seul point de passage au sommet, à une altitude de 2 556 m côté nord et 2 555 m côté sud. À cause de sa vétusté, le tunnel a été fermé en 1976. Un nouveau tracé a alors été construit, franchissant le col topographique et ajoutant sur chaque versant 1 km de nouvelle route à près de 10 % de pente moyenne. Depuis 2002, le tunnel, rénové, est rouvert au trafic automobile (l'ouvrage a une longueur de 370 mètres pour une largeur de 4 mètres qui autorise seulement une circulation alternée par feux tricolores), mais toujours interdit aux vélos, qui doivent franchir le vrai col et ne peuvent pas escamoter le dernier kilomètre, le plus dur de l'ascension.
Le tracé de la route sur le versant sud était totalement différent avant l'inauguration en 1938[15],[16] d'un nouveau tracé débouchant au col du Lautaret et l'abandon progressif de l'ancienne route. Celle-ci, située à l'est de la route actuelle, débouchait sur la D1091 en contrebas du col du Lautaret, juste en amont des Sestrières, et présentait une pente moyenne nettement plus forte que l'actuel tracé (les six derniers kilomètres à presque 10 %), avec un itinéraire plus court mais un dénivelé plus important[16]. L'ancien et le nouveau tracé se rejoignent au niveau du monument Henri Desgrange et ne se croisent qu'une seule fois, en un point situé légèrement en contrebas de ce monument.
Sur son versant nord, la rampe de Bonnenuit, entre Valloire et Plan Lachat, qui présentait une déclivité de 14 %[17], a été adoucie par la création d'une longue boucle passant le long du torrent, atténuant ainsi considérablement la difficulté du tronçon précédant Plan Lachat.
Ouverture à la circulation
La route franchissant ce col de haute montagne est fermée à la circulation en hiver. Le déneigement intervient à la fin du printemps.
- Un engin de déneigement équipé d'une fraise à neige, lors du déneigement de la route du col du Galibier.
- Vue du col avec le passage de la route (virage dans le quart en bas à droite de l'image) ; plus haut, le Grand Galibier (3 228 m).
- Un vélo appuyé contre l'un des « murs » de neige bordant la route à la fin du printemps, après le déneigement de celle-ci.
Cyclisme
Profil
Le col est accessible en été depuis ses deux versants nord et sud. Le tunnel proche du sommet est interdit aux cyclistes.
Versant nord
Sur son versant nord, depuis le carrefour à proximité de l'église au centre de Valloire (1 403 m), l'ascension fait 18,1 km à 6,8 % de moyenne. Cependant, si l'on considère le pied à Saint-Michel-de-Maurienne (715 m) avec l'ascension préalable du col du Télégraphe et son profil de 12,1 km à 7 %, on compte 35,1 km[18] à 5,5 %, une moyenne tronquée par la descente de ce dernier col avant d'arriver à Valloire, la moyenne réelle des pentes s'élevant à 6,9 %.
La sortie de la station de Valloire présente une pente supérieure à 8 % mais, à la sortie du hameau des Verneys, 2 km plus loin, on profite d'un bon replat[19] de 2,05 km à 2,4 % jusqu'au lieu-dit « Pratier » (1 594 m)[20], de quoi remettre du braquet. Mais la pente repart avec notamment des pourcentages à environ 7 % dans le lacet des Étroits qui précède le hameau de Bonnenuit. De ce dernier hameau (1 695 m)[20] jusqu'au parking du Crey Barétaz (1 960 m), on a 3,8 km à environ 7 % sur une route plutôt rectiligne qui suit le ruisseau de la Valloirette[21]. De ce parking jusqu'au petit pont de « Plan Lachat » (1 986 m)[21], la route offre 550 m de répit avec des pentes de près de 4,5 %[19], ultime replat avant la dernière partie qui s’annonce beaucoup plus dure. En effet, après le passage d'un petit pont, la route grimpe beaucoup plus nettement et il reste 7,85 km à 8,35 % de moyenne à effectuer alors que l’on dépasse peu après les 2 000 m d’altitude qui peuvent s'avérer être difficiles pour ceux qui ne sont pas habitués à la montagne. À partir de là, on entre dans un décor de verdure et de rochers sans aucun bâti sauf au niveau des granges du Galibier à près de 4,5 km du sommet.
Un kilomètre après le Plan Lachat, un panneau rond indique 9 % pour le kilomètre suivant. Les cyclistes enchaînent les lacets. Certains passages paraissent proches de 10 %, notamment dans le kilomètre qui précède les granges du Galibier ou sur certains lacets des ultimes kilomètres. La route offre peu de répit si ce n'est un court replat juste après les granges du Galibier, à près de 4 km du sommet. Alors qu’il reste 3 km à grimper, on aperçoit le col du Galibier dans les rochers. En été, il arrive qu’il y ait encore quelques congères de neige sur les côtés de la route. À 1 km de l’arrivée, la route se sépare à une intersection devant une auberge, à environ 2 540 m d'altitude. Les cyclistes et motards prennent la route à gauche, avec un dernier kilomètre plutôt impressionnant à près de 9,5 % de moyenne[18],[19], tandis que les automobilistes peuvent emprunter tout droit le tunnel du Galibier (2 556 m) pour passer sur l'autre versant. Le col se trouve à 2 642 m d’altitude.
- Point de départ à Valloire.
- Les lacets au-dessus de Plan Lachat, que l'on aperçoit en bas.
- Vallée de la Valloirette.
- Des névés sont toujours présents au mois de juillet dans les derniers kilomètres.
Versants sud-est et sud-ouest
L'accès par le sud comprend deux routes qui viennent l'une de Briançon, l'autre de Bourg-d'Oisans et se rejoignent au col du Lautaret (2 057 m), un col assez roulant mais long. De ce dernier col, il reste 8,65 km à 6,75 %. Après quelques hectomètres faciles au départ, on trouve des pentes régulières à 6-7 % durant une grande partie de l'ascension[22], avec tout au plus quelques portions à 8 %. Cependant, les coureurs peuvent profiter d'un replat au niveau de la stèle dédiée à Henri Desgrange[22] et ce jusqu'au tunnel du Galibier. Pour terminer, à partir de l'embranchement du tunnel, il reste un peu plus de 900 m à près de 9,5 % de moyenne comprenant un passage à 11 %, le plus difficile pour le final.
Par le versant sud-est, depuis Briançon, l'ascension totalise 36,35 km à 3,95 % depuis le croisement (1 204 m)[23] entre les routes D2 et N94 à Briançon. Ceci peut être légèrement raccourci pour ceux provenant du col de Montgenèvre ou de la vallée de la Clarée avec 34,75 km depuis le rond-point (1 262 m)[24] entre les routes N94 et D1091, au-dessus de la ville.
Il est également possible d'effectuer l'ascension par le versant sud-ouest, depuis le barrage du Clapier, non loin de Bourg-d'Oisans. L'ascension est alors de 42,7 km à 4,4 % de moyenne[18].
- Plus bas le col du Lautaret.
- Vue sur le pic de Rochebrune au fond.
- Vue sur la vallée de la Guisane.
- Vue plus bas sur le monument en hommage à Henri Desgranges et le chalet du Galibier.
Passages du Tour de France
Indiqué à 2 645 m par la voirie, mais avec une altitude réelle de 2 642 m[1], le col est fréquemment le point le plus élevé du Tour de France, bien que dépassé en absolu par la route de la Bonette (2 802 m au sommet de la route faisant le tour de la cime de la Bonette, au dessus du col homonyme), le col de l'Iseran (2 764 m) et le col Agnel (2 744 m).
Le col du Galibier a été franchi au total à 61 reprises par le Tour de France, dont 35 depuis 1947, ce qui en fait le col alpestre le plus souvent emprunté par l'épreuve, loin cependant derrière les plus grands cols pyrénéens, Tourmalet en tête avec 77 passages en 2011. Il est escaladé pour la première fois le , Émile Georget étant le seul à le franchir sans mettre pied à terre dans les neiges en lançant aux témoins « Ça vous en bouche un coin » tout en qualifiant de « bandits » les organisateurs qui ont osé faire passer les coureurs par ce col[25]. Il est classé hors catégorie depuis 1979. Son passage en 1996 a été neutralisé en raison de la neige[26]. En 2011, pour le centenaire du passage au sommet, les coureurs font l'ascension du col à deux reprises, par deux versants différents. La 18e étape offre même l'arrivée la plus haute de l'histoire de l'épreuve[27]. Elle dépasse celle réalisée lors de la 17e étape de l'édition 1986 au col du Granon (2 413 m), également situé dans la vallée de la Guisane.
Voici les coureurs qui ont franchi le col en tête[28],[26] :
Depuis 1949, sur le versant sud, à la sortie du tunnel, s'élève le monument Henri Desgrange (réalisé par l'architecte Alexandre Audouze-Tabourin[29]), grand champion cycliste de la fin du XIXe siècle et instigateur du Tour de France en 1903[26], qui donne lieu à une récompense pour le coureur passant en tête au col lors de cette course : le souvenir Henri Desgrange. Henri Desgrange écrira dans L'Auto au soir de la première ascension du col au cours du Tour de France ces quelques mots : « Oh ! Sappey ! Oh ! Laffrey ! Oh ! Col Bayard ! Oh ! Tourmalet ! je ne faillirai pas à mon devoir en proclamant qu'à côté du Galibier vous êtes de la pâle et vulgaire bibine : devant ce géant, il n'y a plus qu'à tirer son bonnet et à saluer bien bas !... »[30],[31]
Le tracé de la 20e étape du Tour de France 2015 a été modifié, en raison de l'éboulement prévu du tunnel du Chambon. Le Conseil départemental de l'Isère annonce le l'impossibilité de faire passer une étape du Tour de France à cet endroit à la date prévue[32] et la préfecture de l'Isère annonce le que la route départementale 1091, reliant Grenoble à Briançon, ne pourrait être rouverte avant la course[33],[34]. Le tracé initialement prévu reprenait quasiment celui de la 19e étape du Tour de France 2011 : départ de Modane, puis passage par le col du Télégraphe, suivi du col du Galibier, gravi cette fois intégralement (l'étape de 2011 passait par le tunnel). Les coureurs seraient ensuite redescendus vers la vallée de l'Oisans après être passés par le col du Lautaret, avant d'atteindre Le Bourg-d'Oisans et de monter vers l'Alpe d'Huez. En conséquence de ce changement de parcours, le souvenir Henri-Desgrange, qui récompense le coureur passé en tête sur le toit du Tour, initialement prévu au sommet du Galibier (2 642 m), a été attribué au col d'Allos (2 250 m), juste avant l’arrivée de la 17e étape à Pra-Loup.
Tour d'Italie
Pour la 96e édition du Giro, une arrivée au col est prévue le avec une ascension par le versant nord savoyard. Toutefois, l'abondance de neige résiduelle oblige les organisateurs à juger l'arrivée aux Granges, à côté du monument dédié à Marco Pantani, quatre kilomètres avant le col, encore fermé a la circulation, et à restreindre le public en dessous de Plan Lachat[35]. C'est Giovanni Visconti qui remporte l'étape en échappée en résistant à ses poursuivants alors que Vincenzo Nibali, à moins d'une minute derrière, contrôle ses rivaux au classement général.
Panorama au sommet
Un peu plus haut que le col se trouve une table d’orientation[36] érigée par le parc national des Écrins en 1988. De là, on peut voir les glaciers de la Barre des Écrins[37] et de la Meije[36] (massif des Écrins) au sud, le mont Blanc au nord, une des Aiguilles d'Arves au nord-ouest, le pic de Rochebrune (massif du Queyras) au sud-est plus loin et enfin le Grand Galibier (3 228 m).
Annexes
Articles connexes
Bibliographie
Liens externes
Notes et références
- « Col du Galibier » sur Géoportail.
- Claude Meyzenq, « A propos de la limite Alpes du Nord - Alpes du Sud. Limites, pays de marge et organisation spatiale en montagne, évolution des concepts », Revue de Géographie Alpine, vol. 72, no 2, , p. 241–251 (DOI 10.3406/rga.1984.2567, lire en ligne, consulté le )
- « Le déneigement du col du Galibier a commencé », sur www.ledauphine.com, (consulté le )
- « Le déneigement du col du Galibier vu du ciel (article et vidéo) », sur www.ledauphine.com, (consulté le )
- « INA - Le Galibier est ouvert (1969) », sur www.ina.fr, (consulté le )
- Ulysse Chevalier, Regeste dauphinois, ou Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés et manuscrits relatifs à l'histoire du Dauphiné, des origines chrétiennes à l'année 1349, vol. 1, Valence, Imp. valentinoise, (lire en ligne), p. 807, n°4853.
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé (réimpr. 2004) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 203.
- [PDF] Panorama géologique du massif du Grand Galibier
- Ces roches recouvrent un socle paléozoïque composant les massifs cristallins internes.
- Ces calcaires jurassiques et schistes crétacés deviennent rouges à la base (versant ouest de Roche Colombe).
- Jacques Debelmas, Découverte géologique des Alpes du Nord, BRGM, , p. 33.
- Versant Valloire sous le col du Galibier
- Jean-Paul Legros, Les grands sols du monde, PPUR presses polytechniques, p. 258.
- Écomusée du pays de la Roudoule, La Route des Grandes Alpes, Édition de l’écomusée du pays de la Roudoule, Puget-Rostang (ISSN 1246-1938), p 15
- Le Galibier, un centenaire qui impressionne toujours autant, Le Dauphiné libéré, 21 juillet 2011
- Dossier sur le col du Galibier.
- Philippe Bouvet, Philippe Brunel, « Galibier, le monstre sacré », L’Equipe, cols mythiques du Tour de France, mars 2005, p. 43.
- Cycling Cols – Col du Galibier
- Alpes4Ever – Profil de l’ascension du col du Galibier
- « Bonnenuit » sur Géoportail.
- « Plan Lachat » sur Géoportail.
- Briançonnais – Col du Galibier
- « Briançon- Le Moulin Faure » sur Géoportail.
- « Briançon N94/D1091 » sur Géoportail.
- Serge Laget, Le bêtisier du Tour de France, Editions du Rocher, , p. 87.
- (fr) Le dico du Tour - Le col du Galibier dans le Tour de France depuis 1947.
- Le tour 2011, étape par étape, 18e étape (site de l'organisateur).
- (fr) Le col du Galibier.
- « Piscine du Rhône, Centre nautique - dossier IA69000630 réalisé en 2001 », sur patrimoine.rhonealpes.fr.
- Henri Desgrange, « Acte d'Adoration », L'Auto, .
- « Galibier l'éternel », sur letour.fr.
- « Tour de France: L'étape menant à l'Alpe d'Huez va être modifiée » (consulté le ).
- « L'étape Modane Valfréjus - L'Alpe d'Huez détournée par la Croix de Fer », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- « Etape 20 : Modane - L'Alpe d'Huez... par la Croix de Fer », sur letour.fr, .
- 15e étape du Giro : pas de spectateur dans le Galibier, sur Le Dauphiné libéré, consulté le 19 mai 2013
- Philippe Baudoin, « L’ascension à vélo du col du Galibier depuis le col du Lautaret », sur sport-passion.fr
- Philippe Bouvet, Philippe Brunel, « Galibier, le monstre sacré », L’Equipe, cols mythiques du Tour de France, mars 2005, p. 40.
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