Clermont-l'Hérault

Clermont-l'Hérault (en occitan Clarmont d'Erau) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Clermont.

Clermont l'Hérault

L'Eglise Saint-Paul de Clermont-l'Hérault

Héraldique
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Clermontais
(siège)
Maire
Mandat
Gérard Bessière
2020-2026
Code postal 34800
Code commune 34079
Démographie
Gentilé Clermontais[1]
Population
municipale
8 962 hab. (2018 )
Densité 276 hab./km2
Population
agglomération
10 565 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 41″ nord, 3° 25′ 59″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 322[2] m
Superficie 32,49 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Clermont-l'Hérault
(ville-centre)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Clermont l'Hérault
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Clermont l'Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Clermont l'Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Clermont l'Hérault
Liens
Site web ville-clermont-herault.fr

    Ses habitants sont appelés les Clermontais.

    Géographie

    Carte.

    Chef-lieu de canton, Clermont-l'Hérault est situé à 48 km environ à l'ouest de Montpellier[3], à mi-chemin entre la mer Méditerranée au sud et le parc national des Cévennes au nord.

    Hydrographie

    La Lergue, le Salagou, le ruisseau des Servières sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Clermont-l'Hérault
    (Distances : à vol d'oiseau / par la route)[4]
    Celles
    (8.21 / 22,91 km)
    Lacoste
    (2.31 / 3,73 km)
    Ceyras
    (2.93 / 4,42 km)
    Liausson (4.98 / 6,74 km)
    Mourèze (6.00 / 7,66 km)
    Brignac
    (3.42 / 5,25 km)
    Villeneuvette
    (3.00 / 3,42 km)
    Nébian
    (2.20 / 3,61 km)
    Canet
    (5.46 / 6,84 km)

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 779 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Pouget », sur la commune du Pouget, mise en service en 1980[10]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,6 °C et la hauteur de précipitations de 680,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 33 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[14], à 15,4 °C pour 1981-2010[15], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[16].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : , effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[18], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[19].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[20] :

    • l'« embouchure de la rivière du Salagou » (24 ha), couvrant 2 communes du département[21] ;
    • le « massif de la Ramasse » (391 ha), couvrant 3 communes du département[22] ;
    • les « plateaux de l'Auverne et du puech Rouch » (800 ha), couvrant 5 communes du département[23] ;
    • les « Ruffes du Salagou » (1 170 ha), couvrant 5 communes du département[24] ;
    • la « vallée de la Lergue » (225 ha), couvrant 8 communes du département[25] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[20] :

    • le « bassin du Salagou » (8 089 ha), couvrant 12 communes du département[26] ;
    • le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[27] ;
    • le « massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret » (8 126 ha), couvrant 13 communes du département[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Clermont-l'Hérault est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31]. Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-l'Hérault, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[32] et 10 565 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[33],[34].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (23,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), forêts (14,9 %), eaux continentales[Note 8] (12,4 %), zones urbanisées (9,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %), prairies (0,3 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune a été connue sous les variantes : via publica mercatorum Claromontensium (vers 1140), apud Claromontem castrum (1158), lo castel de Clarmon (1168), Clermont de Lodève (1529), etc

    Selon Combarnous : clarum montem, hauteur orientée vers le soleil levant[38].

    En 1790, le nom est devenu Clermont-l'Hérault[39].

    Histoire

    Calendrier julien. Leudaire de la juridiction de Clermont (XIVe siècle).

    La commune de Clermont-l'Hérault est occupée depuis la Protohistoire : durant l'âge du fer (VIIIe – IIe siècle av. J.-C.), Clermont constitue avec « La Ramasse » l'un des principaux oppida de la Celtique méditerranéenne[40].

    Durant les années 2000, en collaboration avec l'Inrap, des fouilles archéologiques ont démontré son importance durant l'Antiquité[41]. Il existait alors une agglomération principale de cinq à six hectares ainsi qu'une zone habitée périphérique de 12 hectares. Les vestiges d'un établissement thermal ont été mis au jour.

    La ville était anciennement dénommée Clermont-Lodève. Toute proche, la manufacture des draps de Villeneuvette[42] fut créée, ou plutôt relancée, en 1667 par Colbert pour développer l'industrie du drap en France, en profitant des eaux de la Dourbie.

    Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la liberté », créée en décembre 1790[43] et par réaction, une société contre-révolutionnaire se constitue en [43].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1837  ? Jean Delpon    
    1940  ? M. Barral  ? Président de la délégation spéciale, à la suite de la dissolution du conseil municipal[44]
    1949 1971 Jean Rouaud Rad. Conseiller général
    mars 1971 2001 Marcel Vidal PS Sénateur (1980-2006), conseiller général
    mars 2001 2014 Alain Cazorla PS Conseiller général
    mars 2014 2020 Salvador Ruiz DVG[45] Professeur
    juin 2020 En cours Gérard Bessière[46],[47] DVC  

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 8885 2245 6945 8376 1996 5826 2946 1346 180
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6 2326 4056 0505 8705 9645 4505 1915 0795 083
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    5 2805 1405 1775 3815 6165 6575 4265 1955 314
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    5 5386 2095 4825 9266 0416 5327 2147 3057 395
    2013 2018 - - - - - - -
    8 3228 962-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Clermont-l'Hérault est place commerciale d'envergure au cœur de l'Hérault, accueillant plus de 800 entreprises[50]. Le marché du mercredi et le tourisme avec le camping du lac du Salagou sont des moteurs pour l'économie clermontaise.

    Le marché du mercredi matin existe depuis le Moyen Âge. Une centaine de commerçants s'y retrouve pour proposer des produits locaux et alimentaires, vêtements et fleurs, etc.

    En 2012, un important centre logistique de Système U est créé, recrutant plus de 100 emplois temps plein et 50 saisonniers.

    Malgré ces atouts, le taux de chômage est au-dessus des 20 %, avec un taux à 20,5 % en 2014[51].

    Jumelages

    Clermont-l'Hérault est jumelée avec :

    Lieux et monuments

    À proximité

    Galerie

    Personnalités liées à la commune

    Cinéma

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Services publics Clermont-l'Hérault - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. http://wikiwix.com/cache/?url=http://www.ign.fr/affiche_rubrique.asp?rbr_id=1087%26CommuneId=35340 Clermont-l'Hérault sur le site de l'Institut géographique national
    3. Distance vers : Montpellier, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
    4. Distances vers : Lacoste, Ceyras, Brignac, Canet, Nébian, Villeneuvette, Liausson, Mourèze et Celles, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Le Pouget - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Clermont-l'Hérault et Le Pouget », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Le Pouget - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Clermont-l'Hérault et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Clermont-l'Hérault », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « site Natura 2000 FR9112002 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune de Clermont-l'Hérault », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF l'« embouchure de la rivière du Salagou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « massif de la Ramasse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF les « plateaux de l'Auverne et du puech Rouch » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « Ruffes du Salagou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF la « vallée de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « bassin du Salagou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    37. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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    39. Claude Motte, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire administrative et démographique - Hérault, Paris, CNRS, , 490 p. (ISBN 2-222-04293-3, notice BnF no FRBNF36636193), p. 184
    40. Dominique Garcia, La Celtique méditerranéenne. Habitats et sociétés en Languedoc et en Provence. VIIIe-IIe siècles av. J.-C., éditions Errance, Paris, 2004, (ISBN 2-87772-286-4).
    41. Projet de réhabilitation de l'oppidum situé sur la colline de la Ramasse au-dessus de Clermont l'Hérault, publié sur le site grec-clermontais.fr (consulté le ).
    42. (en) J. K. J. Thomson, Clermont de Lodève 1633-1789, , 520 p. (ISBN 978-0-521-54109-1, lire en ligne), p. 144.
    43. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
    44. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets » , sur Gallica, (consulté le ).
    45. « Résultats municipales 2020 à Clermont-l'Hérault », sur lemonde.fr (consulté le ).
    46. Résultats des élections municipales et communautaires dans l'Hérault, publié le sur le site du Conseil départemental de l'Hérault (consulté le ).
    47. Gérard Bessière officiellement maire de Clermont-l’Hérault, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le ).
    48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    50. [PDF] « Mairie de Clermont l'Hérault - rapport d’orientations budgétaires 2019 », sur ville-clermont-herault.fr (consulté le ).
    51. « Emploi et chômage à Clermont l’Hérault », sur journaldunet.com (consulté le ).
    52. « Balade à l’oppidum de la Ramasse », sur Midi-Libre, (consulté le ).
    53. « Clermont-l'Hérault : la ville sera prochainement sur tous les écrans », sur Midi-Libre (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • [Berthelé 1924] Joseph Berthelé, Répertoire numérique des Archives communales de l'Hérault (Archives départementales, série E supplément) : tome premier, Bédarieux, Lodève, Lunel, Lattes, Saint-Chinian, Cette, Gignac, Clermont-l'Hérault, Capestang, Frontignan, Marsillargues, localités diverses, Montpellier, Archives départementales de l'Hérault, , 428 p.
    • [Combarnous 1960] Augustin Combarnous, « Le développement topographique de Clermont-l'Hérault », Annales du Midi, Privat, t. 72, no 51, , p. 257-272 (ISSN 2496-7068, lire en ligne)
    • [Dô 2013] Renée , « Clermont-L'Hérault et ses transformations », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 176- 177 - 178, , p. 28-45
    • [Durand 1837] Auguste (abbé) Durand, Histoire de la ville de Clermont-l'Hérault et de ses environs, Montpellier, Chez les principaux libraires, , 258 p. (lire en ligne)
    • [Fleury 1885] A.-P. Fleury-Geniez, Histoire populaire de la ville de Clermont-l'Hérault et de ses environs depuis les temps les plus reculés jusqu'à la Révolution, Montpellier, Firmin et Cabirou frères, , 220 p. (lire en ligne)
    • [Martin 1892] Ernest Martin, Chronique et généalogie des Guillem, seigneurs de Clermont, diocèse de Lodève, et des diverses branches de leur famille, Marseille, Typographie et lithographie Barlatier et Barthelet frères, , 235 p. (lire en ligne)
    • [Archives 2009] Mission Archives 34, Répertoire numérique détaillé des archives modernes de Clermont-L’Hérault, Montpellier, , 200 p.
    • [Molinier-1 1997] Magali Molinier et Peter Thornton, Clermont-l'Hérault, la fière cité médiévale : du Ier millénaire av. J.-C. à nos jours, t. 1, Clermont-l'Hérault, Ateliers de la licorne, , 111 p.
    • [Molinier-2 1997] Magali Molinier et Peter Thornton, Clermont-l'Hérault, la fière cité médiévale : du Ier millénaire av. J.-C. à nos jours, t. 2, Clermont-l'Hérault, Ateliers de la licorne, , 251 p.
    • [Moulias 1996] Daniel Moulias-Carrat, Microtoponymie de l'ancienne baronnie de Clermont-l'Hérault, [S.l.], [S.n.], , 181 p.
    • [Saint-Pierre-1 2012] Brigitte Saint-Pierre, « Clermont-l'Hérault qui es-tu ? : Chronique de la ville qui a changé de nom (I) », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 170-171-172, , p. 26-48
    • Brigitte Saint-Pierre-2 2012, « Clermont-l'Hérault qui es-tu ? : Chronique de la ville qui a changé de nom (II) », Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 173-174-175, , p. 31-37

    Fonds d'archives

    • Fonds : Archives communales de Clermont-l'Hérault (1789-2010) [169,7 ml]. Clermont-l'Hérault : Mairie de Clermont-l'Hérault (présentation en ligne).

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