Buxerolles (Vienne)

Buxerolles est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la proche banlieue nord de Poitiers dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Buxerolles.

Buxerolles

L'Hôtel de ville de Buxerolles

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Gérald Blanchard
2020-2026
Code postal 86180
Code commune 86041
Démographie
Gentilé Buxerollois
Population
municipale
10 042 hab. (2018 )
Densité 1 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 35′ 54″ nord, 0° 21′ 00″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 124 m
Superficie 9,10 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Poitiers
(banlieue)
Aire d'attraction Poitiers
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Poitiers-2
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Buxerolles
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Buxerolles
Géolocalisation sur la carte : France
Buxerolles
Géolocalisation sur la carte : France
Buxerolles
Liens
Site web buxerolles.fr

    Buxerolles est la troisième ville du département en nombre d'habitants après Poitiers et Châtellerault. Buxerolles compte près de 10 000 habitants. Ses habitants sont appelés les Buxerollois[1].

    Géographie

    Situation

    La commune de Buxerolles est majoritairement située sur la hauteur du plateau calcaire où est implantée l’agglomération de Poitiers. Ce plateau est interrompu par une vallée sèche, la vallée des Buis au nord, et par la vallée du Clain à l’ouest.

    Buxerolles se situe dans l'agglomération de Poitiers, au nord du centre-ville de Poitiers, sur la rive droite du Clain.

    Le nord de la commune est au croisement de l'axe Nantes-Limoges (RN147) et de l'axe Paris-Bordeaux (A10 et N10) qui dessert entre autres le Futuroscope, à km.

    Buxerolles se situe à environ km de Poitiers, 130 km de Limoges, 187 km de Nantes, 255 km de Bordeaux, à 334 km de Paris, 144 km de La Rochelle, 123 km d'Angoulême et 80 km de Niort.

    La commune est proche des sites naturels de la Forêt de Moulière, du Marais poitevin et du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Buxerolles
    Migné-Auxances Chasseneuil-du-Poitou Montamisé
    Poitiers
    Balade dans les vallées sèches

    Géologie et relief

    La région de Buxerolles présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[2] :

    • pour 62 %, de groies moyennement profondes sur les plaines : les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite ;
    • pour 1 % de calcaire dans les vallées et terrasses alluviales ;
    • pour 38 % par l'agglomération.
    Bords du Clain à Lessart

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Clain sur une longueur de 2,2 km.

    Le Clain bénéficie d’un classement afin de protéger ou de restaurer sa continuité écologique: la construction de tout nouvel ouvrage faisant obstacle à la continuité écologique est interdit et des aménagements doivent être réalisés afin d’assurer ou de rétablir la libre circulation des poissons migrateurs et le transit des sédiments[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 707 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1948 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records BUXEROLLES (86) - alt : 110m, lat : 46°36'42"N, lon : 00°21'48"E
    Statistiques établies sur la période 1981-2006 - Records établis sur la période du 01-01-1948 au 31-12-2006
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,4 3,3 4,9 8,6 11,6 13,6 13,3 10,5 8,2 4 2,3 7
    Température moyenne (°C) 4,9 5,5 8,6 10,6 14,7 18,1 20,5 20,2 17 13,2 8 5,4 12,3
    Température maximale moyenne (°C) 8,2 9,7 13,8 16,3 20,8 24,6 27,3 27,1 23,4 18,2 12 8,6 17,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −19,8
    21.01.1957
    −15,3
    05.02.1963
    −12,2
    01.03.05
    −5
    10.04.1949
    −2,5
    29.05.1961
    2,2
    12.06.1955
    0
    09.07.1949
    1,2
    31.08.1957
    −3,5
    19.09.1948
    −7
    30.10.1949
    −9,9
    22.11.1993
    −16,3
    24.12.1963
    −19,8
    1957
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19,2
    27.01.1958
    24,9
    15.02.1958
    26,4
    25.03.1955
    31,5
    30.04.05
    38,6
    25.05.1955
    38,8
    22.06.03
    40,1
    22.07.1990
    42,5
    06.08.03
    37
    01.09.1961
    29,9
    01.10.1997
    26,1
    08.11.1951
    19,8
    02.12.1953
    42,5
    2003
    Précipitations (mm) 67,5 51 50,8 60,4 65,3 53,6 55,6 45,9 52,3 78,5 78 74,5 733,4
    Source : « Fiche 86041001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Voies de communication et transports

    Bus

    La commune est desservie par les lignes[10] du réseau de transports en commun Vitalis.

    Du lundi au samedi : 3, 10, 13, 16. Le dimanche : D. Ces lignes circulent toute l'année. Les lignes 3, 10, 13 et D desservent l'hôtel de ville.

    Les lignes S2, S30 et S72 parcourent la commune en période scolaire.

    Deux parcs-relais sont situés sur la commune : Espace des Vignes près de l'arrêt Salle des sports (ligne 13) et stade Michel-Amand (La Pépinière) près de l'arrêt Vélodrome (lignes 3 et 16). Dans les faits, les abords de l'hôtel de ville sont aussi utilisés comme parc-relai.

    Train

    Les gares et les haltes ferroviaires proches de Buxerolles sont :

    Aéroports

    Les aéroports ou aérodromes proches de Buxerolles sont :

    Urbanisme

    Typologie

    Buxerolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Poitiers, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[14] et 131 499 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (56,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48,7 %), terres arables (31,3 %), prairies (9,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,7 %), forêts (2,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du village proviendrait du latin buxus qui est le nom du buis. En 1296, son nom était Buxeroles, puis, en 1322: Buyxeroles. En 1334, il se dénomme Busolles ; en 1752 : Bucerole et en 1786 : Buxcerolle[20].

    Histoire

    Longtemps constituée de hameaux, Buxerolles est aujourd'hui une ville dense, troisième commune du département avec plus de 10 000 habitants.

    Préhistoire et Antiquité

    En 2004, des fouilles archéologiques réalisées lors de la création de la résidence «le Pas de Saint Jacques», ont révélé des vestiges de plusieurs époques. Les plus anciens datent du néolithique moyen (vers 2400 avant J.C.) : une petite nécropole avec six inhumations. Des fosses circulaires et des trous de poteaux attestent d’un bâtiment de type agricole attestent de la présence humaine à l’âge du bronze ancien (1800 avant J.C.). L’âge du fer (vers 400 avant J.C.) est illustré par les traces de six bâtiments modestes au centre d’une zone d’activités dont des silos à grains, un four et un métier à tisser. À côté de cet important site archéologique, des sondages et des fouilles ont permis de mettre au jour des sépultures gallo-romaines ou d’époque mérovingienne et carolingienne au Planty et près de l’église du Bourg. Buxerolles était située sur l'une des plus importantes voies de communication de la Gaule romaine : la via Turonensis.

    Ancien Régime

    L'occupation médiévale est attestée au Bourg, où l'ancien cimetière a longtemps gardé des sarcophages d´époque mérovingienne ou carolingienne, à Lessart dont les moulins sont mentionnés dès 1077 et à Chandy.

    Située sur les Chemins de Compostelle en Poitou, Buxerolles était le lieu de passage des pèlerins. Ils s'y arrêtaient pour se recueillir sur une étrange empreinte, dite le Pas de Saint-Jacques.

    La paroisse de Buxerolles, constituée autour de l’église romane, est citée pour la première fois en 1226. Sous l’Ancien Régime (XVIe et XVIIIe siècles), le territoire devient la propriété de notables poitevins qui acquièrent fiefs et terres à rente auprès des abbayes. Buxerolles est alors partagée en trois seigneuries. Au sud-ouest, l’abbaye Sainte-Croix contrôle le Planty, les Bizais, la Varenne, une partie de Lessart et de la Charletterie. À l’est, la seigneurie de la Loubantière relève de la Tour Maubergeon de Poitiers.

    En 1492[21], la seigneurie de Buxerolles s'étend de Lessart et Clotet à La Loubantière. Elle comprend le Bourg où se trouvent l’église et la métairie seigneuriale, et des terres au nord-est, les coûtreries, propriétés d’ecclésiastiques poitevins.

    Plan de cadastre de Buxerolles sous l'Empire

    Les débuts de la commune

    Buxerolles accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires[22].

    Le cadastre du début du XIXe siècle montre le caractère agricole et viticole du bourg et des hameaux excentrés. Ils sont reliés directement à Poitiers par des chemins de direction nord/sud. La vie économique et sociale ne change pas jusque dans les années 1850. Puis dans le contexte général d’augmentation démographique en France, la population s’accroît. Elle passe de 305 habitants en 1821 à 885 en 1901, vivant toujours en grande partie de l’agriculture, malgré le phylloxéra qui détruit la vigne à partir de 1878. Cet accroissement de population entraîne en 1867 la construction d’une mairie et d’une école à côté de l’église du Bourg.

    A la Belle Époque, Lessart, cœur économique et commerçant de la commune, devient également un lieu de divertissement avec plusieurs guinguettes au bord du Clain.

    XXe siècle

    Au début du XXe siècle, l’exode rural est compensé par l’arrivée de rentiers et de retraités. Les moulins de Lessart et la vigne replantée sont encore des activités majeures au début du XXe siècle.

    La Cité des Castors est sortie de terre dans les années 1950

    Entre les deux guerres, les réseaux d’adduction d’eau (avec le premier château d’eau en 1935 à la Vallée), d’électricité et de bus sont prolongés à partir de Poitiers et améliorent les conditions de vie.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, les troupes d´occupation installent des baraquements au Bourg, sur l´actuel terrain de sport. En 1944, le Planty et la vallée de Lessart subissent les bombardements sur la gare de Poitiers.

    La cité des Castors

    Après la Libération, face au manque de logements, des sociétés « Castors » se créent : il s'agit d'un mouvement coopératif où chacun construit lui-même sa maison. À Buxerolles, c'est en 1949 que débute l'aventure des Castors. Outre la réalisation de 144 maisons individuelles, c'est un véritable quartier qui a émergé, comprenant un centre commercial, une salle des fêtes, une école et une église, édifiée en 1962. La construction de la cité des Castors a marqué un tournant dans l'histoire de Buxerolles : désormais, la commune est entrée dans l'ère de l'urbanisation.

    1960-2000 : une urbanisation constante [23]

    Dès lors, les municipalités qui se succèdent font le choix d'un développement urbain de la commune.

    A partir de la fin des années 1970, les dernières vignes sont arrachées. La construction de lotissements entre les villages et quartiers existant densifie la ville. Dans les années 1990, les premiers immeubles voient le jour dans le centre-ville.

    Aujourd'hui

    Les terres agricoles et les espaces naturels se trouvent essentiellement au nord et à l'est de la commune. La ville semble avoir atteint son extension géographique maximale. L'urbanisation extensive a laissé place à des choix de densification urbaine basés sur le principe de "construire la ville sur la ville".

    Au cours des années 2000, la population de la commune atteint les 10.000 habitants. Ce chiffre se maintient dans les années qui suivent : en 2019, la commune compte environ 10.200 habitants.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 10 042 habitants[Note 5], en augmentation de 0,68 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    274282286305327376388476476
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    528577598648700814867831829
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8858768668899199561 0071 2112 023
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    3 2934 0645 1565 4666 3378 7879 29810 0809 956
    2018 - - - - - - - -
    10 042--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, la densité de population de la commune était de 1 108 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    La ville est la troisième commune la plus peuplée du département de la Vienne[28]

    Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 10 298 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (218 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 10 080 habitants.

    La commune appartient à la communauté d’agglomération de Poitiers qui connait un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999- 2006 (Ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de +16,5 % et celle de Châtellerault de +5,0 %[29]. La population de la commune devrait donc continuer à croitre. Toutefois, en 2014, Buxerolles qui a gagné près de 4 000 habitants depuis 1990 stagne cette année (perte de 15 habitants) pour la première fois depuis longtemps alors que de 2007 à 2012 sa population augmentait, en moyenne annuelle, de 0,6 %.

    La répartition par sexe de la population est la suivante:

    • en 1999 : 47,4 % d'hommes et 52,6 % de femmes.
    • en 2004 : 47,1 % d'hommes et 52,9 % de femmes.
    • en 2010 : 46,2 % d'hommes pour 53,8 % de femmes.
    • en 2011 : 46,5 % d'hommes pour 53,5 % de femmes.

    En 2004:

    • Le nombre de célibataires était de : 37,9 % dans la population,
    • Les couples mariés représentaient 48,9 % de la population,
    • Les divorcés sont 7,3 %,
    • Le nombre de veuves et veufs était de 6 %.

    Les plus de 60 ans représentent, en 2011, 23,70 % de la population. La moyenne départemental en 2006 était de 23 %. La population de Buxerolles est moyennement jeune, résultat d'un certain dynamisme démographique mais un taux faible du solde naturel. La population augmente grâce à son solde migratoire largement positif sur 10 ans.

    Solde naturel de Buxerolles de 1999 à 2009 fut de + 369 habitants (+ 4 %):

    • en 2008 : 108 naissances et 75 décès,
    • en 2007 : 120 naissances et 77 décès,
    • en 2006 : 115 naissances et 74 décès,
    • en 2005 : 104 naissances et 64 décès,
    • en 2004 : 86 naissances et 68 décès,
    • en 2003 : 94 naissances et 63 décès,
    • en 2002 : 101 naissances et 60 décès,
    • en 2001 : 99 naissances et 62 décès,
    • en 2000 : 89 naissances et 53 décès,
    • en 1999 : 104 naissances et 62 décès,

    Son taux de natalité en 2011 s'élève à 9,59 . Il est inférieur au taux de natalité de 2010, qui est de 13,34  et il reste moins important que le taux national (12,62 ). Au niveau des décès, le taux de mortalité atteint 8,89 , ce qui est supérieur à celui de l'année précédente (7,66 ). Le taux de mortalité français est, quant à lui, plus bas que celui de la ville (8,35 ).

    Solde migratoire de Buxerolles de 1999 à 2009 fut de + 942 habitants (+ 10 %).

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Buxerolles fait partie de la communauté d'agglomération de Grand Poitiers.

    Depuis le Redécoupage cantonal de 2014 en France, Buxerolles est dans le canton de Poitiers-2 (No 14 du département de la Vienne) et dans la Première circonscription de la Vienne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    An VIII 1815 Jean René Orrillard    
    janvier 1816 novembre 1830 Jean-Jacques Chemioux    
    décembre 1830 avril 1835 Jean René Placide Orrillard    
    mai 1835 décembre 1843 Pierre Orrillard    
    janvier 1844 décembre 1870 Jean Jacques Véron Favre    
    janvier 1871 décembre 1874 Jean Trichard    
    janvier 1875 1884 Pierre Fouquet    
    1884 24 février 1912 Hippolyte Véron   Conseiller général
    1912 1914 Auguste Sapin    
    1914 1919 Hilaire Fouquet   Faisant fonction de maire
    1919 1927 Antoine Thimonnier    
    1927 1937 Camille Girault    
    1937 1944 Omer Bernier    
    1944 1961 Abel Tassin    
    1961 mars 1989 Marcel Varliette[30] (1919-2017)    
    mars 1989 mars 2001 André Messy[31] (1926-2011)    
    mars 2001 12 juin 2011[32]
    (décès)
    Jean-Marie Paratte (1947-2011) PS Ingénieur en génie civil et urbanisme
    Conseiller général du canton de Poitiers-2 (2004 → 2011)
    Réélu en 2008[33]
    23 juin 2011[34] 28 juin 2020 Jean-Louis Chardonneau (1944-) DVG Retraité de la fonction publique
    Réélu en 2014[35]
    28 juin 2020 En cours Gérald Blanchard[36] (1975-) DVD Responsable de l'action sociale d'une caisse de retraite complémentaire

    Labellisation

    La Ville a reçu plusieurs reconnaissances avec les labels :

    Jumelages

    Buxerolles est jumelée avec Datça en Turquie et La Robla en Espagne.

    Elle entretient des relations amicales avec Belluno en Italie.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les services municipaux se composent : des services administratifs, techniques et scolaires, d'un CCAS avec service de portage de repas à domicile, d'une crèche, d'un relai assistantes-maternelles, d'un centre de loisirs, d'une bibliothèque, d'une police et d'une cuisine centrale.

    La commune dispose d'un centre socio-culturel, La Maison des projets, doté d'une salle de spectacle, La Rotative.

    Le Conseil départemental assure des permanences dans ses locaux situés près de la zone du Pas-de-Saint-Jacques.

    Enseignement

    La commune de Buxerolles dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et ses écoles primaires dépendent de l'Inspection académique de la Vienne. Cinq établissements scolaires sont ouverts:

    • École maternelle publique Le Bourg qui accueille 107 élèves en 2016-2017[37],
    • École maternelle publique Jean-Marie Paratte (quartier du Planty) qui accueille 162 élèves en 2016-2017,
    • École élémentaire publique Le Bourg qui reçoit 206 élèves en 2016-2017,
    • École élémentaire publique Jean-Marie Paratte (quartier du Planty) qui accueille 293 élèves en 2016-2017,
    • Collège Jules-Verne qui accueille près de 500 élèves.

    Économie

    Buxerolles bénéficie de sa position dans l'agglomération de Poitiers et possède quatre zones d'activité contribuant au dynamisme économique de la ville :

    • Le Cœur de ville, regroupe une cinquantaine de commerces et professions libérales ainsi que plusieurs services publics (Mairie, Bibliothèque, crèche, relai assistantes-maternelles).
    • La zone d'activité économique du Pas de Saint-Jacques au nord, créée en 1991, regroupe une quinzaine de commerces et entreprises dont un cinéma.
    • Le secteur de La Charletterie, situé à la fois sur Poitiers et Buxerolles, regroupe lui aussi une quinzaine de commerces et entreprises.
    • La zone artisanale et économique du Tilleul, créée en 1984, regroupe une vingtaine de commerces et entreprises principalement dans les secteurs du bâtiment, du textile, des transports et de la formation ;

    Le pôle économique de l'Ormeau regroupe des entreprises et professions libérales de divers secteurs.

    Agriculture

    Selon la Direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[38], il reste 2 exploitations agricoles en 2010 contre 7 en 2000. Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 136 hectares en 2000 à 128 hectares en 2010.

    Commerce

    Buxerolles, en 2012, dispose de 13 commerces sur son territoire :

    Un marché important a lieu une fois par semaine sur la place des Castors, le jeudi matin.

    Activité et emploi

    Le taux d'activité était de:

    • en 1999: 68, 6 %,
    • en 2004: 72,7 %,
    • en 2012: 75,3 % (Le taux d’activité moyen du département de la Vienne est de 55,9 % en 2012[39].)

    Le taux de chômage:

    • en 1999, il était de 9,4 %.
    • en 2004 était de 8,5 %,
    • en 2010 : 10 %
    • en 2012 : 12,8 %
    • en 2014: 7,7 % (moyenne nationale est de 10,4 % fin 2014).

    Les retraités et les pré-retraités représentaient 21,2 % de la population en 2004 et 17,2 % en 1999.

    La répartition de la population par catégorie socioprofessionnelle est la suivante en 2009:

    • Agriculteurs : 0,00 %
    • Artisans : 3,44 %
    • Cadres: 18,28 %
    • Professions intermédiaires : 31,23 %
    • Employés : 34,51 %
    • Ouvriers : 12,54 %

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le Manoir de Clotet

    Patrimoine civil

    La commune compte plusieurs propriétés privées remarquables :

    • Manoir de Clotet
    • Manoir de la Loubantière
    • Manoir de la Charletterie
    • Manoir de Puy-Mire

    Patrimoine funéraire

    Le cimetière actuel de Buxerolles a été mis en place en 1873, soit bien après de décret du 23 prairial An XII (12 juin 1804). Ce décret imposait, pour des raisons essentiellement hygiéniques, l’éloignement des cimetières des lieux d’habitation et des puits. De ce fait, le cimetière a été déménagé de son site traditionnel: les abords de l’église qui offrait la proximité avec Dieu et la cité céleste, symbolisée par l’édifice cultuel, vers l’emplacement actuel. Le cimetière, a depuis, fait l’objet de deux extensions, liées à l’accroissement spectaculaire de sa population depuis l’après Deuxième Guerre mondiale. Avant la séparation de l’Église et de l’État, le cimetière était uniquement réservé aux Catholiques. La loi de 1905 a permis notamment aux Protestants (mais aussi à d’autres confessions) d’y être enterrés sans signes distinctifs. Le cimetière de Buxerolles, est d’un point de vue patrimonial un véritable conservatoire de l’art funéraire et des comportements devant la mort. Ainsi, plus de vingt types de sépultures sont visibles plus ou moins sophistiquées, qui va de la simple pierre tombale avec une épitaphe gravée jusqu’à la chapelle de style néo-gothique très travaillées (sépulture des meuniers du début du XXe siècle). Les aménagements des tombes révèlent le rang social et la richesse du défunt. L’art funéraire a évolué au fil du temps. Ainsi, typique du XIXe siècle, deux chapelles de l’ancien cimetière sont ornées de sculptures. Elles abritent un autel, des prie-Dieu et ses baies sont fermées par des vitraux tandis que la porte est de style néogothique. D’autres tombes sont ornées d’une façade d’église. D’autres se signalent par une colonne qui symbolise le lien de la terre au ciel ; certaines sont brisées (souvent sur les tombes de personnes non-catholiques, athées ou déistes). Les tombes des prêtres sont recouvertes d’une étole. Au XXe siècle, les décorations évoluent: des porcelaines décoratives ou des photos apparaissent sur les pierres tombales et des tombes sont ornées de couronnes de perles confectionnées par des prisonniers. L’époque actuelle se caractérise par des formes de plus en plus pures, les épitaphes se font discrètes voire disparaissent, le choix des matériaux (plus ou moins luxueux), les volumes plus ou moins complexes en fonction de son rang social ou de sa richesse, priment sur les éléments décoratifs qui ont tendance à disparaitre complètement.

    Église Saint-Philippe et Saint-Jacques

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Philippe et Saint-Jacques. Sur l'emplacement actuel de l'église du Bourg, plusieurs constructions se sont succédé entre le XIe et le XIXe siècle. Une église est construite au XIe siècle. De dimensions relativement modestes (environ 22 m sur m), celle-ci est agrandie au XIIe siècle. Au XIVe, un clocher de style roman vient compléter l'édifice. Malheureusement, la bâtisse étant dans un état de délabrement avancé, celle-ci doit être reconstruite entre 1867 et 1869.
    • Église Notre-Dame-de-l’Annonciation dite du Planty, inaugurée en 1962, fut construite par les Castors.
    • Salle de lecture du culte antoiniste.
    Le Parc de la Robla (vue partielle)

    Patrimoine naturel

    • La commune possède une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[40] qui couvre 17 % de la surface communale : la Vallée des Buis.
    • Le site Puy Mire est classé comme monument naturel[41].
    • Les vallées sèches de Buxerolles qui couvrent 4 % du territoire communal sont protégées au titre des Espaces Naturels Sensibles. Elles sont gérées par le Conservatoire d'espaces naturels de Poitou-Charentes.
    • Les parcs de Valvert et de la Robla.
    • Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[42], il y a deux arbres remarquables sur la commune qui sont : un Robinier faux acacia et un Sophora du Japon.

    Équipements culturels

    • Méga CGR : 12 salles de cinéma.
    • La bibliothèque municipale Léopold-Sédar-Senghor.
    • Une salle de spectacle : La Rotative.

    Le collège Jules Verne, qui accueille une classe Théâtre, possède aussi sa propre salle de spectacle.

    Événements culturels

    • Depuis 2018, la commune de Buxerolles accueille, au centre socio-culturel de la Maison des Projets, un petit festival de langues organisé en septembre par l'association Tous Azimuts, qui présentait 15 langues pour sa première édition et en programme 19 pour l'édition 2019. Événement accompagné de diverses manifestations culturelles (concerts et spectacles de danse, cérémonie du thé et arts martiaux chinois, reconstitution historique sur l'antiquité, etc.).

    Équipements sportifs

    • Le complexe sportif de Grand Poitiers dans le quartier de la Pépinière comprend le stade Michel-Amand, un dojo, une salle d'armes, une salle de gymnastique, un vélodrome et un centre aquatique.
    • Le complexe André-Messy (stade et salle de sports) au Planty comprend un terrain synthétique.
    • La salle de sport Eric Tabarly au Planty.
    • Le complexe sportif Colette Besson (salle de sports, dojo, club-house, courts de tennis extérieurs, terrains de sport bouliste) dans le quartier des Bizais.
    • Un bowling près du Méga CGR.
    • Un city-stade à proximité du groupe scolaire, au Planty

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Charron, boxeur, champion de France amateur en 1939 (catégorie mi-moyens), militaire en 1939 (mi-moyens), professionnel (poids moyens) en 1944 et 1946
    • Robert Buchet, dit Bubu, était l'une des figures les plus pittoresques du sport automobile ; il y repose en son cimetière.
    • Frédéric Augris, photographe et historien, a passé son enfance à Buxerolles.
    • Bathiste Tchouaffe, basketteur professionnel depuis 2016 et évoluant à Poitiers Basket 86 au cours de la saison 2019-2020; sélectionné en équipes de France U16 (Or au championnat d'Europe 2014), 3x3 U18 (Bronze à la Coupe du monde 2015) et U18 (Or au championnat d'Europe 2016).

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.
    2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    3. DREAL Poitou-Charentes / MNHN, 2012-2013
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Lignes Vitalis ».
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Poitiers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    21. « Aveu rendu au roi par Jacques Charlet pour la seigneurie de Buxerolles (voir annexe 2) ».
    22. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 195.
    23. « Les “Baby boomburbs” à la française par Laurent Chalard, Population & Avenir 2011/5 (n° 705) ».
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. les chiffres clés de l’Économie de la Vienne – 2011
    29. Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
    30. « Marcel Varliette quitte Buxerolles », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    31. « Le stade du Planty devient le stade André-Messy », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    32. « Une ville sous le choc après le décès de son maire », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    33. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    34. « Jean-Louis Chardonneau nouveau maire de Buxerolles », Centre Presse, (lire en ligne).
    35. « Jean-Louis Chardonneau réélu à Buxerolles », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    36. « Municipales à Buxerolles : Gérald Blanchard fait basculer la ville à droite », La Nouvelle République, (lire en ligne).
    37. Chiffres : Mairie de Buxerolles
    38. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    39. Les chiffres-clés de l’économie de la Vienne - CCI Vienne et Insee
    40. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011
    41. DREAL Poitou-Charentes / SDAP, 2013
    42. Poitou-Charentes Nature, 2000
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