Blincourt

Blincourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Blincourtois et les Blincourtoises.

Cet article possède des paronymes, voir Blacourt, Blécourt et Blicourt.

Blincourt

Représentation de l'église.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Dominique Le Sourd
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60078
Démographie
Gentilé Blincourtois, Blincourtoises
Population
municipale
101 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 03″ nord, 2° 37′ 10″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 98 m
Superficie 2,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 7e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Blincourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Blincourt
Géolocalisation sur la carte : France
Blincourt
Géolocalisation sur la carte : France
Blincourt
Liens
Site web http://www.blincourt.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    La commune d'Épineuse se situe à égale distance entre Paris, au sud et Amiens, au nord (61 kilomètres), à 39 kilomètres à l'est de Beauvais et à 15 kilomètres à l'ouest de Compiègne[Note 1].

    Communes limitrophes de Blincourt
    Moyvillers
    Choisy-la-Victoire
    Sacy-le-Petit

    Topographie et géologie

    La commune s'étend entre 69 mètres et 98 mètres au-dessus du niveau de la mer. La mairie du village se situe à 84 mètres altitude. Le point le plus bas se situe au sud-est de la commune et le point le plus élevé se trouve au nord-ouest près du lieu-dit « les Quarante Mines ». Le territoire, situé sur une plaine, est légèrement orienté vers le sud du fait de son inclinaison vers le bassin versant de l'Oise[1]. Le territoire constitue une plaine découverte dépourvue d'eau[2].

    La craie s'étend jusqu'à Blincourt[3]. La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[4].

    Hydrographie et eau potable

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune. Un château d'eau situé dans le village est utilisé pour les besoins en eau courante[1]. Le nord et l'ouest de la commune se situent au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[5].

    Voies de communications et transports

    La commune de Blincourt est desservie par la route départementale 1017, anciennement nommée route nationale 17. Reliant Paris à Lille, celle-ci s'appelle rue des Flandres lors de son passage dans le chef-lieu. Le village se situe au kilomètre 55 de cet axe. La route départementale 152, débutant à Montgérain rejoint la route nationale 17 au nord du territoire. Plusieurs routes communales relient le site aux communes et hameaux alentour comme Choisy-la-Victoire, le hameau Froyères (dépendant de cette dernière commune), et le village de Sacy-le-Petit[1].

    La gare la plus proche est celle de Estrées-Saint-Denis à km à l'est sur la ligne d'Ormoy-Villers à Boves reliant Compiègne à Amiens. Située sur la ligne de Creil à Jeumont, la gare de Pont-Sainte-Maxence se trouve à km à l'ouest.

    La commune est desservie par le réseau Atriom du Compiègnois du conseil départemental de l'Oise par la LR33-Renf reliant Clermont à Compiègne ainsi que par une ligne de transports scolaires vers le collège d'Estrées-Saint-Denis[6]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal a été mise en place avec les communes d'Avrigny, Épineuse et Fouilleuse [7].

    L'aéroport de Paris-Beauvais se trouve à 37,6 km à l'ouest de la commune et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 43 km au sud. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.

    Le GR 124A, branche du GR124 reliant Litz à Orrouy traverse l'extrême sud du territoire en longeant en partie la limite communale avec Sacy-le-Petit. Une piste cyclable a été établie le long de la route nationale 17 entre la rue de l'Église et la route départementale 152[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 672 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Margny-les-Compiègne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne, mise en service en 1994[14] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 662,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 38 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[18] à 10,6 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels

    Hormis l'espace bâti, s'étendant sur 10 hectares (3 % de la surface communale), le territoire se compose à 86 % de cultures. Les espaces boisés, dont on trouve des parcelles en périphérie du village, rassemblent 25 hectares pour 9 % de la superficie. Les vergers et prairies totalisent 4 hectares[21],[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Blincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Hameaux et lieux-dits

    L'habitat communal est uniquement situé dans le chef-lieu Blincourt. La commune ne possède pas de hameaux ou de lieux-dits habités autre que le village sur son territoire[1].

    Morphologie urbaine

    En 1890, des 28 maisons dont se compose la commune, 19 sont groupées autour de l'église, à l'ouest de la route de Flandre. C'était ce qu'on appelait autrefois « le Grand-Blincourt », pour le distinguer du « Petit-Blincourt », qui comprenait les habitations placées sur la route. Cette dernière section était ordinairement appelée le « Pavé »[29]. Enfin, deux maisons, peu éloignées des autres, avaient reçu une dénomination particulière : les Buttes et la Cour-Brûlée[a 1].

    Toponymie

    La commune a porté les noms suivants au cours de son histoire : « Belincourt » en 1228, « Blaincourt » en 1373 et « Blincourt » depuis 1476. Cette localité a tiré son nom de « Blahini » ou « Blina curtis », la cour ou la ferme de Blin ou Belin[a 1].

    Histoire

    Du Moyen Âge à la Renaissance

    La seigneurie de la paroisse de Blincourt appartenait aux religieuses de Penthemont, qui percevait en outre sur le terroir les grosses dîmes à raison de 7 du 100. L'abbaye de la Victoire (près de Senlis) avait à Blincourt des biens beaucoup plus importants, tenus en fief de la seigneurie de Francières. En 1228, Philippe Mulet, seigneur de Sacy-le-Petit, avait vendu à l'abbaye 20 muids de blé à prendre sur sa dîme à Blincourt. En 1476, les religieux acquirent de Binet Mulet, écuyer, seigneur du Petit-Blincourt, la seigneurie du Petit-Blincourt, sise en la paroisse de Sacy-le-Petit, moyennant 230 écus d'or. En 1470, ils achetèrent, au prix de 280 écus d'or, un fief sis à Blincourt, comprenant un manoir, 12 muids de terre et 20 arpents de bois. La même année, Jean de Harlay leur vendit son fief de Quinquempoix, au Grand-Blincourt, et, quelque temps après, Pierre Lépreux leur vendit aussi son fief comprenant une maison sise devant l'église, avec ses terres et bois. On ne sais lequel de ces fiefs s’appelait le « fief de la tour de Villers ». En 1568, cette tour était en ruine et les constructions qui l'avoisinaient n'étaient plus qu'une masure. La cure était à la nomination de l'évêque de Beauvais[a 1].

    Époque moderne

    Blincourt, carte de Cassini.

    En 1756, 111 mines de terre étaient cultivées par leurs propriétaires, et 1323 mines par des fermiers. On comptait un tiers de bonnes terres, un tiers de médiocres et un tiers de mauvaises. Il n'y avait plus que 49 vergers de vignes. Le cheptel des laboureurs se composait de 33 chevaux, 43 vaches et 264 moutons. À l'exception de trois cabaretiers et un paveur, la population était alors, comme en 1890, entièrement agricole. Les doléances des habitants de Blincourt portèrent sur les points suivants : leurs terres sont imposées à un taux qui excède d'un tiers celui des paroisses voisines, la conversion en argent de la corvée, autrefois faite en nature, leur coûte au moins le double, le voisinage de la capitainerie d'Halatte est pour eux désastreux, tant à cause du gros gibier qui ronge les grains, que pour les chasses des princes qui, se faisant du mois de mai au mois d'août, font le plus grand tort aux récoltes. L'impôt du sel est très onéreux, les droits sur les boissons sont exorbitants, la perception des droits de péage et travers sur les routes donne lieu à des vexations de toute espèce, la multitude des mendiants prive la campagne d'un grand nombre de bras et est l'origine d'une foule de crimes. Les ormes plantés sur la grande route de Paris à Lille, âgés de 60 ans, causent le plus grand tort aux terres riveraines par leurs racines et leur ombre qui s'étendent à plus de 100 pieds d'un côté et de l'autre, où la terre ne produit plus rien. Les députés, chargés de porter ces doléances à l'assemblée du bailliage de Clermont, furent Augustin Debourge et Jacques Cordier. La ferme de Blincourt appartenait à l'abbaye de la Victoire. Elle fut vendue, en 1791, avec 525 mines de terre. Une autre ferme, appartenant à l'abbaye de Penthemont, dont dépendaient 60 arpents de terre fut adjugée la même année. Blincourt, réuni à Avrigny par une ordonnance du , en fut séparé le . En 1890, la population du chef-lieu était de 161 habitants[a 2].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Solange Fournier DVD[30]  
    mars 2008 En cours
    (au 3 juin 2020)
    Mme Dominique Le Sourd UMP Députée de l'Oise (2011 → 2012)
    Réélue pour le mandat 2020-2026[31]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2018, la commune comptait 101 habitants[Note 8], en diminution de 8,18 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    104120132134117127117127113
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    108106102109134171119123113
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    146128118130124137126120103
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    787365457611212399101
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (11,6 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,9 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 15,8 %, 15 à 29 ans = 28,1 %, 30 à 44 ans = 28,1 %, 45 à 59 ans = 17,5 %, plus de 60 ans = 10,5 %) ;
    • 49,1 % de femmes (0 à 14 ans = 18,2 %, 15 à 29 ans = 32,7 %, 30 à 44 ans = 14,5 %, 45 à 59 ans = 21,8 %, plus de 60 ans = 12,8 %).
    Pyramide des âges à Blincourt en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    0,0 
    75 à 89 ans
    5,5 
    10,5 
    60 à 74 ans
    7,3 
    17,5 
    45 à 59 ans
    21,8 
    28,1 
    30 à 44 ans
    14,5 
    28,1 
    15 à 29 ans
    32,7 
    15,8 
    0 à 14 ans
    18,2 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Nicolas : l'abbaye de Penthemont reconstruisit l'église en 1774. C'est une petite construction en belle maçonnerie, avec un chœur en hémicycle. Le clocher est couvert d'ardoise. Le cimetière, clos de murs, entoure l'église[a 1].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Ouvrages

    • A. Debauve et E. Roussel, Clermont et ses environs, Res Universalis, , 160 p.
    1. p. 35
    2. p. 35 et 36

    Autres sources

    1. « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, page 58
    3. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, page 12
    4. « Géorisques : Mieux connaître les risques sur le territoire - Blincourt », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
    6. « Transports en commun à Blincourt (carte, lignes et arrêts) », sur Oise mobilité (consulté le ).
    7. « Navette de regroupement pédagogique intercommunal », sur Oise mobilité (consulté le ).
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    14. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Blincourt et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Margny-les-Compiègne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Blincourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Blincourt », sur www.donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. lieu-dit encore indiqué sur Géoportail et les cartes IGN
    30. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 37.
    31. « Élection des maires », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606, , p. 18.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Évolution et structure de la population à Blincourt en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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