Bill Gates

William Henry Gates III, dit Bill Gates [bɪl ɡeɪts][1], né le à Seattle (État de Washington), est un informaticien, entrepreneur et milliardaire américain. Il est connu comme le fondateur de Microsoft en 1975 et son principal actionnaire jusqu’en 2014[2].

Grâce au succès commercial de Microsoft, il est l’un des hommes les plus riches du monde depuis 1996. En 2021, le magazine Forbes classe Bill Gates 4e fortune avec 124 milliards de dollars[3].

Depuis , Bill Gates se consacre à sa fondation Bill-et-Melinda-Gates.

Biographie

Les années de formation : 1955-1975

Bill Gates naît le à Seattle (État de Washington) aux États-Unis, dans une famille aisée.

Son père, William Henry Gates II (1925-2020), est avocat d'affaires. Sa mère, Mary Maxwell Gates, est professeur et présidente de la direction de quelques entreprises et banques de la United Way of America et le First Interstate Bank[4],[5].

Bill Gates découvre l'informatique à la très sélective Lakeside School de Seattle, qui dispose alors d'un PDP-10 loué. Il y réalise avec son ami d'enfance Paul Allen son premier programme informatique : un jeu de tic-tac-toe (morpion).

En 1968, âgé de 13 ans, il fonde avec Allen et quelques autres amis le Lakeside Programmers Group. Quelques sociétés recourront à leurs talents, essentiellement pour améliorer des systèmes et des applications existantes écrites en langage assembleur.

En 1973, Gates entre à l'université Harvard, à l'âge de 18 ans. Il y rencontre Steve Ballmer, futur CEO de Microsoft. Il abandonne rapidement ses études pour se consacrer uniquement à la programmation informatique.

Le , il est arrêté par la police à Albuquerque au Nouveau-Mexique pour une conduite sans permis. De cette arrestation subsistera une célèbre photographie d'identité judiciaire où l'on voit le patron de Microsoft sourire sur les clichés, malgré les circonstances.

Premiers succès : Altair BASIC

Bill Gates à Copenhague en 2004.

Bill Gates co-réalise avec Allen un interpréteur BASIC pour l'Altair 8800. Cette réalisation est à la fois un tour de force et un coup de chance : le développement se fait entièrement sur PDP-10 et l'Altair BASIC n'est essayé sur un véritable Altair 8800 que le jour de la démonstration, laquelle réussit parfaitement. L'Altair BASIC marque une étape dans l'histoire de la micro-informatique : ce sera le premier langage de programmation à avoir fonctionné sur un micro-ordinateur commercial. Ce sera également le premier logiciel édité par la société Microcomputer Software, fondée pour l'occasion, en 1975, alors que Bill Gates est âgé de 20 ans, et dont la contraction Micro-Soft puis Microsoft est aujourd'hui plus familière.

Le , Bill Gates écrit une lettre intitulée « An Open Letter to Hobbyists » (« Lettre ouverte aux bricoleurs »), dans laquelle il condamne pour la première fois le partage illégal de l'un de ses logiciels, le BASIC d'Altair : « We have written 6800 BASIC, and are writing 8080 APL and 6800 APL, but there is very little incentive to make this software available to hobbyists. Most directly, the thing you do is theft. » (« nous avons écrit le 6800 BASIC et nous écrivons les 8080 et 6800 APL, mais nous n'avons pas envie de fournir ce logiciel aux amateurs. Pour être clair, ce que vous faites, c'est du vol »).

Le partenariat avec IBM : MS-DOS, Windows

En 1980, Microsoft signe un accord avec IBM pour développer un système d'exploitation à commercialiser avec chaque ordinateur personnel IBM PC. MS-DOS est commercialisé aux États-Unis à partir du . Il s'agit d'une version modifiée d'un autre produit : Microsoft a, le , acquis des droits d'exploitation de 86-DOS à la société Seattle Computer Products (SCP)[6], puis le a conclu un accord de commercialisation[7] avec la société SCP permettant à Microsoft de présenter le produit comme sien et à SCP de toucher des redevances sur le volume de vente, chaque société pouvant faire évoluer le produit indépendamment. L'accord incluait déjà une version pour utilisateurs multiples.

Sa fortune est faite, et ne cessera plus de croître à des niveaux record. Bill Gates est persuadé qu'un jour tous les foyers et le monde professionnel seront équipés d'ordinateurs personnels. IBM est loin d'être le premier sur le marché : Apple, entre autres, s'est déjà lancé sur ce marché quatre ans auparavant avec un succès foudroyant. Le poids d'IBM est alors d'une importance primordiale pour le décollage de MS-DOS.

De Windows 95 à la démission opérationnelle

Bill Gates intervenant dans une conférence à la Sorbonne à Paris en 2008.

Microsoft fait évoluer au rythme effréné des micro-ordinateurs son système d'exploitation et sa gamme de logiciels bureautiques Microsoft Office, traitement de texte, tableur, base de données, utilitaires, jeux, etc. En 1985, Windows est alors, et pour 10 ans encore, une simple interface graphique, le système d'exploitation restant MS-DOS. Le succès met très longtemps à venir pour les premières versions de Windows, l'interface étant graphiquement très peu aboutie et d'une utilisation loin d'être intuitive[8]. Windows est cependant déjà devenu le système d'exploitation le plus vendu au monde et fait la fortune de Microsoft et de ses actionnaires, avec une emprise sur le marché mondial gravitant autour de 90 %, au point de lui coûter un procès pour monopole et une grave menace de dissolution de son entreprise dans les années 2000.

En 1986, Microsoft fait son entrée en Bourse. Les investisseurs l'accueillent avec enthousiasme : le jour même, Bill Gates devient milliardaire. Il deviendra l'homme le plus riche du monde dix ans plus tard en 1996. Selon le magazine Forbes, sa fortune personnelle était en 2007 estimée à 56 milliards de dollars (voir liste des milliardaires du monde). Ses actions dans la société Microsoft, dont il détient en 2005 un peu moins de 10 % du capital, constituent environ 50 % de sa fortune.

Bien peu d'entreprises ont eu une image liée si fortement à leur fondateur, si bien qu'il a souvent été comparé à Henry Ford et à William Rockefeller, qui furent comme lui à l'origine de nouveaux domaines économiques (véhicules particuliers et industrie pétrolière), et également d'excès de la société de consommation. C'est en tant que grande figure du marché qu'il subit son entartage par Noël Godin et ses acolytes, en 1998 à Bruxelles[9].

En , Steve Ballmer indique que Bill Gates est sans doute la personne la plus spammée au monde, puisqu'il reçoit 4 millions d'e-mails par jour. Tout un service de Microsoft est à cette époque consacré à trier cette masse, essentiellement composée de spams, et dont seulement dix messages par jour arrivent finalement à Bill Gates[10].

Le , Bill Gates annonce qu'à partir de il ne s'occupera plus des affaires courantes de Microsoft. Il restera à son poste et conseillera certains projets mais se concentrera sur les œuvres caritatives[11]. Il quitte toute fonction opérationnelle au sein de Microsoft le [12]. Le , Bill Gates annonce qu'il abandonne également la présidence du conseil d'administration de Microsoft[13]. Le , la presse annonce que Bill Gates quitte le Conseil administration de Microsoft et qu'il ne conservera que des fonctions de conseiller technique auprès des dirigeants de la société[14],[15].

La Fondation Gates

Bill Gates à La Sorbonne (Paris), en 2008.

En 2000, il crée avec sa femme la fondation Bill-et-Melinda-Gates, qui a pour objectif d'apporter à la population mondiale des innovations en matière de santé et d’acquisition de connaissances. Elle dispose de 102,8 milliards de dollars.

En 2006, la fondation Gates a déjà dépensé 25,26 milliards de dollars[16], en particulier pour vacciner 55 millions d'enfants. Bill Gates a également annoncé vouloir léguer 95 % de sa fortune à sa fondation.

Ces actions ont contribué à ce que le magazine Time désigne Bill Gates « Personnalité de l'année 2005 », aux côtés de son épouse Melinda et de Bono (chanteur du groupe U2), pour leurs actions sur le front philanthropique[17].

Le , Bill Gates est anobli par la reine Élisabeth II du Royaume-Uni au grade de Chevalier commandeur de l'ordre de l'Empire britannique pour sa contribution aux entreprises britanniques et pour les efforts qu'il déploie à combattre la pauvreté dans le monde. Toutefois, n'étant pas citoyen d'un pays du Commonwealth, il ne peut préfixer son nom du titre Sir. Il peut cependant ajouter les lettres KBE (Knight of British Empire, Chevalier de l'Empire britannique) à la suite de son nom.

La majorité de l'héritage de Bill Gates devrait revenir à sa fondation, par laquelle il est devenu l'un des plus grands donateurs contre la pauvreté dans le monde, avec plusieurs milliards de dollars de sa fortune personnelle. En 2006, il a annoncé qu'il léguerait 95 % de sa fortune à la lutte contre les maladies et l'analphabétisme dans les pays du Sud.

Le , Bill et Melinda Gates lancent une campagne, The Giving Pledge[18], pour laquelle les milliardaires sont invités à formuler des promesses de donation dépassant 50 % de leur fortune personnelle[19]. Warren Buffett écrit la première lettre dans laquelle il indique son intention de léguer plus de 99 % de sa fortune. Bill Gates estime que « seulement 15 % des milliardaires font don de larges parts de leur fortune »[20]. Cette démarche arrive au moment où les Américains les plus fortunés sont pointés du doigt comme étant à l'origine de la crise et où la fondation Bill-et-Melinda-Gates fait aussi l’objet de controverses.

En novembre 2011, Bill Gates a appelé le G20 à augmenter son aide aux pays pauvres[21].

Dans le cadre de la réforme de l'éducation portée par le gouvernement de Barack Obama, Bill Gates œuvre notamment à la mise en place du programme « Common Core », qu'il a massivement subventionné[22]. La fondation contribue également au financement en Europe de lobbies visant à exercer des pressions sur la Commission européenne pour contourner une décision de la Cour de justice européenne sur certains OGM[23].

D'autre part la fondation Bill Gates est critiquée comme étant, sous couvert de philanthropie et sous prétexte de lutter contre les inégalités, une façon de faire des affaires à travers la générosité en multipliant les richesses de ses dirigeants, nourrissant ainsi un système destructeur ; un système de fonds d'investissements et placements financiers très profitables que le journaliste Lionel Astruc analyse et nomme « l'art de la fausse générosité », ou le « philanthro-capitalisme », dans son essai consacré à la fondation Gates[24]. En réalité, beaucoup des investissements du Bill and Melinda Gates Trust (la structure qui gère les investissements de la Fondation) sont réalisés dans les domaines de l'armement, des énergies fossiles, de l’industrie agroalimentaire, les laboratoires pharmaceutiques, entre autres  secteurs financièrement très rentables[25].

Intérêts

Géo-ingénierie

Bill Gates a manifesté son intérêt pour la géo-ingénierie, s'intéressant notamment à la capture du dioxyde de carbone dans l’air et à la dispersion d'aérosols soufrés[26]. Une étude de l'Université de Lund sur les super-émetteurs a montré qu'en 2017, Gates a fait 59 vols en jet privé, qu'il a parcouru plus de 200 000 miles aériens[27], correspondant à une émission de 1 600 tonnes de CO2 équivalant aux émissions de CO2 d'environ 10 000 personnes en moyenne[27]. Gates interrogé sur ses voyages aériens, les qualifie de "plaisir coupable" ("guilty pleasure")[28].

Depuis 2010, il a financé le programme SCoPEx (Stratospheric Controlled Perturbation Experiment) de l’Agence spatiale suédoise, conduit par le physicien de Harvard David Keith[29] consistant à larguer des aérosols de dioxyde de soufre ou de poussière de carbonate de calcium dans l’atmosphère depuis des ballons à haute altitude ou des satellites, pour bloquer le soleil et limiter le réchauffement de la planète. En avril 2021, ce programme a été stoppé par une forte opposition des Suédois, de protecteurs de l'environnement et de scientifiques[30].

Substituts de viande

Gates a également montré un intérêt pour les substituts de viande, en finançant en 2013 l'entreprise Beyond Meat qui a créé un produit à base de plantes imitant l'aspect et le goût de la viande de poulet. Bill Gates aurait déclaré qu'il « ne pouvait pas faire la différence entre le poulet Beyond Meat et le vrai poulet »[31],[32].

Pandémies

Bill Gates en 2015, dans une conférence TED et dans des interviews, a exprimé ses craintes d'une pandémie dévastatrice qui émergerait dans les années à venir et dont les mesures de prévention seraient insuffisantes. Depuis la pandémie de coronavirus, il est désigné comme un lanceur d'alerte « prophétique » mais est également la cible de nombreuses théories complotistes[33],[34],[35].

Recherche en informatique

Bill Gates a publié sous son vrai nom en 1979 un article de recherche concernant le tri de crêpes[36],[37].

Joueur de bridge

Bill Gates est un joueur de bridge assidu[38]. Son partenaire préféré est Warren Buffett.

Bill Gates a investi dans Bridge Base Online (BBO). Le fondateur de BBO, Fred Gitelman, lui avait été présenté par Warren Buffett, et c'est au cours d'une partie de bridge où Gitelman faisait le quatrième que Gates a décidé d'investir dans BBO. Gates détient 20 % de BBO. Il fait aussi régulièrement des tournois de haut niveau avec des champions sur BBO[39].

Fortune

Grâce au succès commercial de Microsoft il est l'homme le plus riche du monde de 1996 à 2007, ainsi qu'en 2009, et de 2014 à 2016. Lorsqu'il regagne cette position (selon le classement Bloomberg) en , sa fortune s'élève à 78,5 milliards de dollars américains[40],[41].

En 2019, le magazine Forbes classe Bill Gates comme le deuxième homme le plus riche du monde avec une fortune de 105 milliards de dollars américains, juste après le fondateur du site Amazon Jeff Bezos (112 milliards). En 2021, sa fortune grimpe à 124 milliards mais il régresse à la 4e place[3].

Vie privée

Le , il épouse Melinda French, responsable du marketing de Microsoft, avec laquelle il aura deux filles, prénommées Jennifer Katharine (née en 1996) et Phœbe Adele (née en 2002), et un garçon, Rory John (né en 1999).

Il habite avec sa famille au bord du lac Washington près de Seattle dans une maison estimée à 131 millions de dollars[42].

En 2019, Melinda Gates contacte des avocats spécialisés dans les divorces. Cette résolution est prise notamment en raison des liens entre Bill Gates et le criminel sexuel Jeffrey Epstein à partir de 2011 selon le Wall Street Journal[43]. Un article du New York Times décrit plusieurs rendez-vous auxquels Bill Gates se serait rendu, dans la demeure de Jeffrey Epstein à New York, alors que ce dernier avait déjà fait l'objet d'une première condamnation pour crime sexuel[44]. Ces rendez-vous auraient porté sur la contribution d'Epstein aux activités de la fondation Gates. Un autre article du même journal évoque également des conduites inappropriées au sein de l'entreprise Microsoft comme au sein de leur fondation[45]. Le divorce, qui devrait être prononcé au printemps 2021[46], est annoncé sur les réseaux sociaux le [47],[48].

Publications

Bill Gates au Medef en janvier 2008.

Filmographie

Distinctions

Bibliographie

  • James Wallace & Jim Erickson, Hard Drive: Bill Gates and the Making of the Microsoft Empire Paperback, 1993
  • James Wallace, Overdrive: Bill Gates and the Race to Control Cyberspace, Wiley, 1997, (ISBN 978-1620458013)

Notes et références

  1. Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  2. (en) Mary Jo Foley, « Bill Gates' stake in Microsoft is now just 1.3 percent », sur ZDNet (consulté le )
  3. « Classement Forbes 2021 des Milliardaires : l'incroyable année de tous les records pour Jeff Bezos, Elon Musk, Bernard Arnault / Forbes France », sur Forbes France, (consulté le ).
  4. « William H. Gates, Sr. », Geni.com.
  5. Mary Maxwell Gates, Université de Washington- Affaires académiques de Premier cycle universitaire.
  6. (en) Licence agreement - Seattle Computer Products Inc./Microsoft, 6 janvier 1981 [PDF].
  7. (en) Agreement of Sale - Seattle Computer Products Inc./Microsoft, 22 juillet 1981 [PDF].
  8. Captures d'écran de Microsoft Windows Version 1.x.
  9. France 3 - 19/20, « Bill Gates entarté », sur ina.fr, .
  10. (en) Bill Gates 'most spammed person' - BBC News, 18 novembre 2004.
  11. (en) Annonce par Bill Gates sur le site de Microsoft.
  12. Microsoft, la vie sans Bill Gates - Le Figaro, 27 juin 2008.
  13. Microsoft tourne la page Bill Gates, Les Echos, le 4 février 2014, consulté le 4 février 2014.
  14. « Le milliardaire Bill Gates quitte le conseil d'administration de Microsoft », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  15. « Bill Gates quitte le conseil d’administration de Microsoft », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  16. Sixtine La Fondation Gates, une machine de guerre contre « les plaies » du tiers-monde - Léon-Dufour, Le Figaro, 17 juin 2006.
  17. (en) « TIME names Bono, Bill and Melinda Gates Persons of Year », sur CNN.com, (consulté le ).
  18. (en) The Giving Pledge.
  19. « On June 16th, with Bill Gates and his wife, he launched a campaign to persuade America's billionaires to give away much of their fortunes. They are invited to take the "giving pledge" by writing a public letter promising to donate 50% or more of their wealth. »The Economist, 19 juin 2010, p. 64.
  20. « Mr Gates reckons that only about 15% of the wealthy currently give away large amounts of their fortune. »The Economist, 19 juin 2010, p. 64.
  21. Bill Gates invite le G20 à augmenter l'aide aux pays pauvres - RIA Novosti, 3 novembre 2011.
  22. « Bill Gates Comes To The Defense Of The Common Core », sur Huffington Post.
  23. Marie Astier et Magali Reinert, « Bill Gates finance le lobby des « nouveaux OGM » en Europe », sur Reporterre,
  24. Lionel Astruc, L'art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, avec une postface de Vandana Shiva, Actes Sud, 2019.
  25. L’OMS : dans les griffes des lobbyistes ? [ Die WHO: Im Griff der Lobbyisten? ], de Jutta Pinzler et Tatjana Mischke, de SagaMedia, NDR et Arte, 2016 [présentation en ligne], de 43 min 25 s à 52 min 26 s (voir en ligne).
  26. Sophie Chapelle, « Géo-ingénierie : scientifiques, milliardaires et militaires s’allient pour manipuler l’atmosphère », sur Basta !, (consulté le ).
  27. « These celebrities cause 10,000 times more carbon emissions from flying than the average person », sur Lu.se (consulté le ).
  28. Julie Bort, « Here's a glimpse of Bill Gates enjoying his 'guilty pleasure : ' a massive private jet - Business Insider », sur Businessinsider.com, (consulté le ).
  29. https://www.nature.com/articles/d41586-018-07533-4,
  30. https://climatesciencenews.com/2021-02-10-scopex-ballon-launch-sweden-criticized-environmental-groups.html.
  31. « This Fake Meat Is So Good It Fooled Whole Foods Customers For 3 Days » (consulté le ).
  32. « The Bill Gates-backed company that’s reinventing meat », sur Fortune, (consulté le ).
  33. « Vidéo. Il y a deux ans, Bill Gates alertait Trump sur le risque de pandémie », sur Courrier International,
  34. « Bill Gates, la CIA, Jacques Attali... ils avaient alerté sur une épidémie mondiale », sur Le Parisien,
  35. « Il aurait créé le virus, planifié la vaccination… Bill Gates balaie les théories du complot l’accusant d’être à l’origine du Covid-19 », sur 20 Minutes,
  36. Jérôme Cottanceau, Le choix du meilleur urinoir : Et 19 autres problèmes amusants qui prouvent que les maths servent à quelque chose !, Paris, Belin, coll. « Science à plumes », , 216 p. (ISBN 978-2-7011-9766-1), chap. 19 (« À quoi servent les maths... À trier ses crêpes comme Bill Gates ? »).
  37. (en) William H. Gates et Christos Papadimitriou, « Bounds for Sorting by Prefix Reversal », Discrete Mathematics, no 27, , p. 47-57 (DOI 10.1016/0012-365X(79)90068-2).
  38. Note de Bill Gates, 6 août 2010.
  39. Geekwire.com, 31 octobre 2016.
  40. « Fortunes : Bill Gates redevient l'homme le plus riche du monde », ouest-france.fr, janvier 2014.
  41. « Classement bloomberg : les riches encore plus riches en 2013, Gates (Microsoft) en tête » « Copie archivée » (version du 22 juillet 2018 sur l'Internet Archive), Challenges, 3 janvier 2014.
  42. (en) Inside Bill Gates House - Pictures of Bill Gates Home - Digital Inspiration, 30 mai 2005.
  43. (en-US) Emily Glazer and Khadeeja Safdar, « Melinda Gates Was Meeting With Divorce Lawyers Since 2019 to End Marriage With Bill Gates », Wall Street Journal, (ISSN 0099-9660, lire en ligne, consulté le )
  44. (en-US) Emily Flitter et James B. Stewart, « Bill Gates Met With Jeffrey Epstein Many Times, Despite His Past », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  45. (en-US) Emily Flitter et Matthew Goldstein, « Long Before Divorce, Bill Gates Had Reputation for Questionable Behavior », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  46. 2022.
  47. (en) Rupert Neate, « Bill and Melinda Gates to divorce after 27 years of marriage », The Guardian, (lire en ligne , consulté le ).
  48. Le Monde avec AFP, « Bill Gates et sa femme Melinda annoncent leur divorce », Le Monde, (lire en ligne , consulté le ).
  49. « Barack Obama a remis ses dernières médailles de la Liberté », sur Paris Match, .
  50. (en) Staff and agencies, « Bill Gates becomes honorary knight », sur the Guardian, (consulté le ).
  51. (en)Honorary Doctorates, Prize and Awards, Waseda University, consulté sur http://www.waseda.jp le 19 septembre 2012.
  52. « Bill Gates à HEC » (consulté le ).

Annexes

Articles connexes

Liens externes

  • Portail de Microsoft
  • Portail du logiciel
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.