Beaumont-de-Lomagne

Beaumont-de-Lomagne est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Beaumont.

Beaumont-de-Lomagne

Beaumont-de-Lomagne

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Castelsarrasin
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne tarn-et-garonnaise
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Luc Deprince
2020-2026
Code postal 82500
Code commune 82013
Démographie
Gentilé Beaumontois, Beaumontoises
Population
municipale
3 765 hab. (2018 )
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 53′ 02″ nord, 0° 59′ 21″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 252 m
Superficie 46,16 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Beaumont-de-Lomagne
(ville isolée)
Aire d'attraction Beaumont-de-Lomagne
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Beaumont-de-Lomagne
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Beaumont-de-Lomagne
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Beaumont-de-Lomagne
Géolocalisation sur la carte : France
Beaumont-de-Lomagne
Géolocalisation sur la carte : France
Beaumont-de-Lomagne
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Beaumontois.

    Ancienne bastide fondée en 1276 connue pour ses grandes foires agricoles et la culture de l'ail blanc de Lomagne qui en ont fait sa renommée.

    Géographie

    Localisation

    Commune située dans la Lomagne en Pays Garonne Quercy Gascogne et Rivière-Verdun entre Auch (sud-ouest) et Montauban (nord-est) ainsi qu'entre Agen (nord-ouest) et Toulouse (sud-est).

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Beaumont-de-Lomagne[1]
    Esparsac Sérignac Vigueron
    Gimat Comberouger
    Auterive Faudoas Bouillac,
    Escazeaux

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Gimone et le ruisseau de Tessonne, deux affluents de la Garonne.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 4 616 hectares ; son altitude varie de 96 à 252 mètres[2].

    Voies de communication et transports

    Elle se trouve au carrefour de la RD 928 de Montauban à Auch (ancienne route nationale 128 déclassée) et de la RD 3.

    La ligne 849 du réseau liO relie le centre de la commune à la gare de Dieupentale, en correspondance avec des TER Occitanie vers Toulouse et Montauban, et la ligne 933 relie la commune à Montauban ou Auch[3].

    Les gares les plus proches de la commune sont la gare de Castelsarrasin ou la gare de Montauban-Ville-Bourbon. Pour le fret, la gare de Beaumont-de-Lomagne sur la ligne de Castelsarrasin à Beaumont-de-Lomagne[4] dessert la commune.

    L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Toulouse-Blagnac.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 746 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sérignac », sur la commune de Sérignac, mise en service en 1978[10]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 676,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 33 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[14] à 14 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Beaumont-de-Lomagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beaumont-de-Lomagne, une unité urbaine monocommunale[19] de 3 765 habitants en 2018, constituant une ville isolée[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne, dont elle est la commune-centre[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,3 %), zones urbanisées (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), forêts (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), eaux continentales[Note 5] (0,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Beaumont-de-Lomagne, bastide fondée en 1276 à la suite de l’acte de paréage entre l’abbaye de Grandselve et le roi Philippe le Hardi représenté par son sénéchal de Toulouse, Eustache de Beaumarchès, se voit octroyer en 1278 une charte de coutumes très libérale pour l’époque qui définit les droits et les devoirs de ses habitants[25].

    En 1280 commence à s’élever la vaste église à chevet plat trahissant l’influence de Cîtaux. Le clocher, réalisé au XVe siècle, ressemble à celui de Saint-Sernin, à Toulouse.

    La halle de Beaumont-de-Lomagne, au centre de la place, est destinée à abriter le marché du samedi. La construction de l’église se termine vers 1430 et l'évêque de Montauban, chassé de cette ville par les Anglais, en fait sa cathédrale jusqu’en 1432.

    Le XIVe siècle est marqué par le début de la guerre de Cent Ans. Prise par les Anglais en 1345, Beaumont est délivrée en 1350 mais continue à subir les pillages des routiers et la guerre civile due à l’opposition de deux chefs militaires : le comte de Foix et Jean d'Armagnac. Le siècle se termine par une épidémie de peste qui fait 500 morts.

    Beaumont, cité catholique était entourée par trois villes protestantes : Montauban, Mas-Grenier et Mauvezin. En 1577, Henri III vendit Beaumont à Henri III de Navarre (futur Henri IV), chef des protestants dont une troupe venait de massacrer une centaine de beaumontois.

    En décembre 1580, six-cents mercenaires de Montauban, démobilisés, prirent Beaumont et y restèrent deux mois, causant beaucoup de dégâts. La paix revenue, beaucoup de Beaumontois avaient adopté les idées de tolérance d’Henri IV.

    Au XVIIe siècle, Louis XIII fait assiéger plusieurs villes du Sud-Ouest dont Beaumont. Le « Château du Roi » est détruit par décret royal. En 1639 Louis XIII vend Beaumont au prince de Condé.

    Pendant la minorité de Louis XIV, l’un des chefs de la Fronde étant Arnaud de Conti, vicomte de Beaumont, la ville est occupée en 1651 par les troupes des princes rebelles. Sans combat, Beaumont finit pourtant ruinée et doit payer une lourde amende de 15 000 livres, qui est avancée par M. Fermat, M. de Toureil et Jean-Georges de Saliné, seigneur de Roujos, capitoul de la Dalbade à Toulouse en 1644 et en 1654, né à Beaumont en 1597, décédé à Beaumont en 1689 (fonds Saliné archives du Gers). Une terrible épidémie de peste s'ensuit.

    En 1702, la ville ne compte que 2 400 habitants. Avec la période de paix, elle entreprend différents travaux et redevient prospère.

    En 1777, les remparts sont détruits. Le passé guerrier de Beaumont n’est plus qu’un souvenir. Après avoir envoyé un délégué aux États Généraux, Beaumont crée un club révolutionnaire.

    À partir de 1790, la ville fait partie du département de Haute-Garonne et se voit écartée au profit de Grenade, sa voisine et rivale, de la fonction de chef-lieu de district.

    En 1808, à la suite du nouveau découpage des départements par Napoléon Ier, Beaumont est désormais en Tarn-et-Garonne.

    Pendant la Deuxième Guerre mondiale, la ville était située dans la zone libre. Le , la Gestapo y arrêta le commissaire de police et résistant Jean Philippe.

    De nos jours, si l’importance des grandes foires a décru, Beaumont demeure un marché agricole important grâce à la culture de l’ail.

    De son passé qui ne fut pas sans gloire, elle garde la mémoire grâce à ses vieux édifices : l’église, semi-forteresse dont la masse imposante domine la ville, la grande halle à l’importante charpente ainsi qu’une quinzaine d’hôtels particuliers dont la majorité date de la période allant du XVIIe au XIXe siècle.

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'or au mont d'azur sommé d'un saule de sept branches sans feuilles de sinople, au chef aussi d'azur chargé de trois fleurs de lys du champ[26].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[27],[28].

    Composition du conseil municipal 2020-2026
    Liste Tendance Effectif Statut
    Jean-Luc DEPRINCE DVG-PRG 21 Majorité
    Jacqueline TONIN DVD 4 Opposition
    Christian MAILFERT DVD 2 Opposition

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1896 1912 Jean Bedouch    
    1912 1924 Marc Frayssinet PRS Député
    1924 1929 Paul Gesse    
    1929 1941 Léon Laurent    
    1941 1944 Marc Frayssinet    
    1944 1948 Léon Laurent    
    1948 1959 Irénée Sartre    
    mars 1959 mai 1959 Auguste Seris    
    mai 1959 mars 1971 Paul Suquet    
    mars 1971 1986 Henri Daudignon PS[29]  
    1986 mars 2001 Pierre Calvignac PS[29] Professeur
    mars 2001 mars 2008 Faustin Llido RPR puis UMP Médecin
    Conseiller général du canton de Beaumont-de-Lomagne (1998 → 2004)
    mars 2008 En cours Jean-Luc Deprince PRG puis MRSL Agriculteur
    Conseiller général (2011 → 2015) puis départemental du Beaumont-de-Lomagne (2015 → )
    Vice-président de la CC de la Lomagne Tarn-et-Garonnaise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2018, la commune comptait 3 765 habitants[Note 6], en diminution de 0,19 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 7003 7133 4123 7704 1304 2114 1124 1644 176
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 2854 3004 4564 3444 5134 3714 1994 0403 859
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 7323 4943 5773 0933 2423 0623 0663 1833 469
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2009 2014 2018
    3 4863 6293 6253 5793 4883 6903 8093 7463 765
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 6 6 6 6 6 9 9 10
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Économie

    L'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés.

    Agriculture

    Ail blanc de Lomagne et est orientée principalement vers la production de céréales et des oléo-protéagineux, viticulture Saint-sardos (AOVDQS), élevage du cheval de race trotteur français.

    Vie locale

    Santé

    La commune possède un centre communal d'action sociale, deux maison de retraite, un EHPAD, un laboratoire d'analyse médicale, un service d'ambulances, des infirmiers, des sages-femmes, des médecins généralistes, des professionnels de la rééducation, de l'appareillage, des pédicures-podologues, des dentistes[38], un centre de réadaptation cardiaque.

    Enseignement

    Beaumont-de-Lomagne fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par l'école maternelle du Blanc le groupe scolaire Fermat, le collège Despeyrous, le lycée professionnel et l'Université populaire pour le secteur public et l'école Sainte-Lucile, le collège Saint-Joseph, et le lycée agricole pour le secteur privé.

    Sports

    Équipement

    Culture et festivité

    Fête à Fermat (chaque année en juin), fête de l'ail (chaque année en juillet), médiathèque, salle de cinéma, office de tourisme.

    Associations

    De nombreuses associations y existent, avec d'autres infrastructures qui abritent les associations (Croix-Rouge, Restos du cœur, etc.).

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de la Lomagne tarn-et-garonnaise[39].

    Sur la commune, il existe une déchèterie (ZA de Bordevieille).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Maison à deux croisées du XVIe siècle, rue de l’Église ;
    • Maison du Seigneur d’Argombat (XVIe), rue de l’Église. Jean-Jacques de Saliné sieur d'Argombat épouse Ursule de Garaud de Vieillevigne. Il possède aussi le château d'Argombat acheté aux religieux de l'abbaye de Belleperche (abbé Frayssinet) ;
    • Hôtel de Saliné puis de Ruble, rue Fermat ;
    • Maison de Jean d’Armagnac, (XVe siècle), rue de la République ;
    • Hôtel de Noble (XVIIIe), rue de la République ;
    • Hôtel Vergnes (XVIe et XVIIIe), rue de Lomagne ;
    • Les Cordeliers, hôpital Saint-Jacques au XIIIe et XIVe, couvent au XVIIe, 8 rue Despeyrous[42];
    • Couvent des clarisses XVIIe, rue Toureilh ;
    • Hôtel Pierre Long, c. 1780-1785, 1, rue Nationale, avec une très belle façade sur le jardin, au revers [43];
    • Hôtel aujourd’hui appelé “Maison des Lumières” (hôtel de Voyageurs), rue de la Font, lui aussi doté d’une impressionnante façade arrière, néoclassique et néopalladienne, s’ouvrant sur le jardin par deux étages de galeries à colonnes. Ce morceau de bravoure paraît dater de la première moitié du XIXe s. (c. 1840 ?), mais le reste de l’édifice remonte aux XVIIe et XVIIIe siècles ;
    • Hôtel de François Bordes, rue Nationale ;
    • Maison de François-Isidore Darquier, rue Darquier ;
    • Premières maisons de Beaumont, rue Launac et rue Toureilh ;
    • L'église Saint-Jean de Saint-Jean-de-Coquessac, inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel[44].
    • Chapelle Notre-Dame de Beaumont-de-Lomagne.
    • Deux monuments aux morts l'un pour les soldats tombés en 1914-1918 et 1939-1945, rond-point du ; l'autre, plus rare, honore les soldats de la guerre de 1870-1871, place Jean Moulin.

    Personnalités liées à la commune

    Tradition culinaire

    Soupe traditionnelle à l'ail[45].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • [Babinet 1888] Gustave Babinet de Rencongne (transcription et annotation), Le livre juratoire de Beaumont-de-Lomagne : Cartulaire d'une bastide de Gascogne, Montauban, Société archéologique de Tarn-et-Garonne, Imprimerie et lithographie Forestié, , 276 p. (lire en ligne)
    • Carte géologique de la France à 1/50 000 - Beaumont-de-Lomagne, BRGM Direction du service géologique et des laboratoires, 1968 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. « Lignes régulières dans le Tarn-et-Garonne », sur liO : Service Public Occitanie Transports (consulté le ).
    4. « Ligne de Castelsarrasin à Beaumont-de-Lomagne », sur Histoire de lignes oubliées..., (consulté le ).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Sérignac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Beaumont-de-Lomagne et Sérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Sérignac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Beaumont-de-Lomagne et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de Beaumont-de-Lomagne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beaumont-de-Lomagne », sur insee.fr (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Beaumont de Lomagne en Tarn-et-Garonne (82) le site officiel de la commune », sur www.beaumont-de-lomagne.fr.
    26. « Beaumont de Lomagne en Tarn-et-Garonne (82) le site officiel de la commune », sur www.coll82.com.
    27. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    28. Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur http://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014.
    29. « Municipales triangulaire possible au second tour », La Dépêche, (lire en ligne)
      « À Beaumont-de-Lomagne, le maire socialiste qui ne se représentait pas sera remplacé par un conseiller général RPR. [...] Il faut rappeler que la ville était détenue par le PS depuis 1971, 30 ans tout juste. ».
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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    45. « Beaumont de Lomagne en Tarn-et-Garonne (82) le site officiel de la commune », sur www.beaumont-de-lomagne.fr.
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