Beaulieu-sous-la-Roche
Beaulieu-sous-la-Roche est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.
Beaulieu-sous-la-Roche | |||||
L'église Saint-Jean-Baptiste. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Vendée | ||||
Arrondissement | Les Sables-d'Olonne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays des Achards | ||||
Maire Mandat |
Bernard Gauvrit 2020-2026 |
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Code postal | 85190 | ||||
Code commune | 85016 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bellolocustres | ||||
Population municipale |
2 225 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 86 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 40′ 40″ nord, 1° 36′ 32″ ouest | ||||
Altitude | 49 m Min. 20 m Max. 69 m |
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Superficie | 25,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | La Roche-sur-Yon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Talmont-Saint-Hilaire | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Le territoire municipal de Beaulieu-sous-la-Roche s’étend sur 2 577 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 49 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 20 et 69 mètres[2],[3].
Commune située à 20 km de La Roche-sur-Yon, 30 km des Sables-d'Olonne, 7 km d'Aizenay et 8 km de La Mothe-Achard. Ses nombreux sentiers pédestres, sa place centrale à l'ombre des tilleuls, sa cour des Arts, ses terrasses végétales bordant le Jaunay donnent à la commune un côté bucolique apprécié de tous.
Communes limitrophes : Aizenay, Venansault, Landeronde, Saint-Georges-de-Pointindoux, Martinet.
Urbanisme
Typologie
Beaulieu-sous-la-Roche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,8 %), prairies (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,7 %), zones urbanisées (6,6 %), forêts (2,5 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Toponymie
Beaulieu vient du latin « bellus locus », « lieu beau », endroit agréable à habiter.
De nombreuses communes portent ce nom unique. Pour éviter les confusions , on indique le département entre parenthèses : ce sont Beaulieu (Ardèche), Beaulieu (Cantal), Beaulieu (Côte-d'Or), Beaulieu (Hérault), Beaulieu (Indre), Beaulieu (Isère), Beaulieu (Haute-Loire), Beaulieu (Nièvre), Beaulieu (Orne), Beaulieu (Puy-de-Dôme). Certaines communes ont adjoint, pour se différencier, un mot indiquant leur situation : Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-lès-Loches, Beaulieu-sous-Parthenay.
La gentilé des habitants de Beaulieu est très variée: Beaulieusard, Beaulieurois, Bellilocien, Bellieurain, Bellilocois, Belliloquois, Belliloqueteux, Belliquière, Berlugan, Beloudonien.
Histoire
Au IVe siècle, saint Hilaire, évêque de Poitiers fut un grand missionnaire et un pasteur efficace pour tout le Poitou qui s'étendait de Poitiers à l'océan. Parmi ses disciples, on trouve Benoît d'Aizenay qui vraisemblablement eut pour mission de répandre la Bonne Nouvelle dans le pays d'Herbauges (région de Montaigu à l'océan). On pense que Benoît résidait près d'Aizenay. C'est là qu'il meurt en 360. Il fut un envoyé de l'évêque. On le dit « évêque rural ». Si on ne connaît pas la date exacte de la construction de l'église, on peut penser que vers l'an mille, un lieu de prières fut construit à proximité du château. Les premiers desservants de la nouvelle église étaient sans doute des moines bénédictins venant du Haut-Poitou.
Quand vers 1059, l'église est donnée en partie aux moines de Talmont et non à ceux de Noirmoutier qui desservaient Aizenay, on y trouve un prêtre et non un vicaire. Le « prêtre » étant à la fois prieur et curé. Le prieur ayant la charge d'administrer au temporel les biens de l'abbaye, tandis que le curé avait la charge pastorale. On rencontre aussi parfois des vicaires et des sous-prieurs.
En 1533, l'évêque de Luçon envoie un diacre faire la visite des paroisses du diocèse. À Beaulieu, il rencontre 13 prêtres dont un prieur (11 ne résident pas à Beaulieu).
Quelques années plus tard, les « réformés » jettent le trouble dans la province. Des luttes sanglantes résultent de l'affrontement catholiques-protestants. Les églises sont « occupées », comme le déclare un texte de 1564 qui nous apprend qu’à cette date, 41 curés du diocèse de Luçon sont aux mains des réformés, c’est le cas de Beaulieu. On sait qu'un château seigneurial existait à Beaulieu-sous-la-Roche depuis le IXe ou Xe siècle. Au XVe siècle, le domaine est divisé en deux chatellenies, celles des Chateigniers et celle des Bellevilles. Fait très rare, les deux juridictions siégeaient dans le même château.
Dans un écrit du XVe siècle, le seigneur de Beaulieu dit que le château est bâti « entre l'église et mon étang », établi sur le Jaunay. Le château sera détruit, sans doute sur ordre de Richelieu alors aux affaires. On ne sait pas si l’église fut construite avant le château ou vice versa, si celle-ci était la chapelle du château ou l'église paroissiale. En 1860, le clocher de l'église est rénové. À nouveau, en 1998, des travaux sont entrepris pour la restauration de l'église. Le clocher est refait à l'identique de ce qui existait, mais avec des pierres de « Richemond », plus dures qui résistent mieux au temps que le tuffeau utilisé lors de la première rénovation.
Le 1er janvier 2010, après avoir fait cavalier seul pendant 17 ans, la commune est entrée dans la communauté de communes du Pays-des-Achards qui regroupait déjà 10 communes du canton.
Politique et administration
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
Depuis 2014, Beaulieu-sous-la-Roche fait partie du canton de Talmont-Saint-Hilaire.
Comme les communes du canton de Talmont-Saint-Hilaire, Beaulieu-sous-la-Roche est rattachée à l'arrondissement des Sables-d'Olonne.
Les citoyens de Beaulieu-sous-la-Roche élisent leur député dans la Deuxième circonscription de la Vendée. En 2020, Patrick Loiseau, membre de la République en marche, est le député de cette circonscription.
Depuis 2010, Beaulieu est membre de la Communauté de communes du Pays-des-Achards, elle dispose de trois délégués qui représentent les citoyens de Beaulieu au conseil de la communauté de communes.
Jumelages
Depuis 1999, la commune de Beaulieu-sous la Roche est jumelé avec un ensemble commune s'intitulant ou commençant par Beaulieu ,ce sont les communes de Beaulieu (Ardèche), Beaulieu (Cantal), Beaulieu (Côte-d'Or), Beaulieu (Hérault), Beaulieu (Indre), Beaulieu (Isère), Beaulieu (Haute-Loire), Beaulieu (Nièvre), Beaulieu (Orne), Beaulieu (Puy-de-Dôme), Beaulieu-sous-la-Roche, Beaulieu-sur-Mer, Beaulieu-sur-Loire, Beaulieu-sur-Layon, Beaulieu-sur-Dordogne, Beaulieu-les-Fontaines, Beaulieu-sur-Sonnette, Beaulieu-sur-Oudon, Beaulieu-en-Argonne, Beaulieu-lès-Loches, Beaulieu-sous-Parthenay.
Ensemble ces communes forment l'Alliance des Beaulieu de France.[19]
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2018, la commune comptait 2 225 habitants[Note 3], en augmentation de 5,05 % par rapport à 2013 (Vendée : +3,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
En 2008, Beaulieu-sous-la-Roche comptait 1 963 habitants (soit une augmentation de 14 % par rapport à 1999). La commune occupait le 5 095e rang au niveau national, alors qu'elle était au 5 290e en 1999, et le 89e au niveau départemental sur 282 communes.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,3 % contre 48,4 % au niveau national et 49 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 50,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 20 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 21,2 %, 45 à 59 ans = 23,1 %, plus de 60 ans = 18,6 %) ;
- 49,7 % de femmes (0 à 14 ans = 17,8 %, 15 à 29 ans = 18,1 %, 30 à 44 ans = 20,3 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 22,4 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Festival Les Hivernales : spectacles organisés par la communauté de communes du Pays-des-Achards de novembre à mars
- Festival Théâtre à Cour : représentations théâtrales dans la Cour des Arts durant en période estivale
- Fête de l'été avec feu d'artifice
- Festival Jaunay'Stivales : spectacles organisés par la communauté de communes du Pays-des-Achards
- Rallye Côte de Lumière, organisé durant le premier week-end de septembre
- Marchés de Noël : organisé sur trois jours, le premier week-end de décembre
Village d'art
Beaulieu est nommée village d'art. Avec sa cour des artistes derrière l'église, il rassemble peintres, sculpteurs, souffleurs de verre, relieurs, calligraphes, potiers, libraires... Les touristes aiment visiter ces artisans dans un cadre rural. La petite place du marché ombragée entourée des commerces de proximité apporte au village une chaleur que le visiteur apprécie.
Marché de Noël
La commune a été la première à lancer en 1992 le Marché de Noël en Vendée[réf. nécessaire]. Il est présent le premier week-end de décembre.
Économie
Entreprises et commerces
La commune est avant tout rurale, avec une grande part accordée à l'élevage, laitier et allaitant. On trouve également un domaine viticole à l'Atrie et un élevage d'escargots à l'Augisière.
Les principales entreprises locales sont regroupées dans la zone d'activités du Chantenay et dans la zone artisanale de l'Augisière : Ets Brochard (construction de remorques agricoles), SARL Bonneau-Trichet (construction matériel agricole), SAS Praud (matériel de boulangerie), Ets Mercier (alimentation animale)...
Une carrière est également en exploitation.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Dans le bourg, les visiteurs pourront apprécier l'église rénovée et éclairée, la Cour des Arts, la place du Marché à l'ombre des tilleuls, les vieilles maisons de pierre. Derrière l'église et la cour des arts, le parc des Terrasses du Jaunay, a été restauré avec des vieilles pierres et surplombe aujourd'hui le ruisseau du Jaunay qui traverse le village.
Les nombreux chemins de randonnées permettent d'apprécier les paysages boisés et les sites insolites : chemins creux, sources, ruisseaux traversés au niveau de gués, bocage vendéen... On pourra apprécier les différents châteaux surplombant le Jaunay : la Guissière, les Forges, la Rochette. Des hameaux sont également particulièrement mis en valeur, comme le Plessis aux Moines, l'Augisière ou encore la Vacherie.
Personnalités liées à la commune
- Benjamin Rabier né en 1864 dans la commune. Il a notamment dessiné le célèbre dessin de la vache rouge de la Vache qui rit. Il est aussi l'inspirateur de Tintin : il dessine en 1897 l'album Tintin Lutin ou apparaît un personnage avec une houppette et un pantalon de golf. Surtout, le voyage de Benjamin Rabier à moto jusqu'à Moscou va pousser Hergé à le prendre comme modèle pour son premier album Tintin au pays des Soviets.
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé : au premier, de gueules aux cinq tours d'or ordonnées en sautoir ; au deuxième, d'azur aux trois fleurs de lys d'or, à la bordure cousue de gueules ; au troisième, d'argent à la croix ancrée de gueules, à la bordure de sable chargée de huit besants d'or ; au quatrième, gironné de vair et de gueules de douze pièces ; à la croix d'argent chargée d'un bâton prieural au naturel posé en pal, brochant sur l'écartelé. |
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Dictionnaire des communes de Vendée, Ouest-France, Rennes, 1991 (ouvrage rédigé par les correspondants d'Ouest-France en Vendée).
- « Commune 6562 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
- « Beaulieu-sous-la-Roche », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 35.
- Guy Perraudeau, Beaulieu-sous-la-Roche, Vendée: mémoire d'une commune en 101 questions, p. 94 (ISBN 978-2-84622-180-1).
- « Le maire sortant conduit une liste de différents courants », Ouest-France, .
- « Maurice Poissonnet le nouveau maire s’entoure de cinq adjoints », Ouest-France, .
- Stéphanie Hourdeau, « Décès de Maurice Poissonnet, l'ancien maire de Beaulieu : Maurice Poissonnet, ancien maire de Beaulieu-sous-la-Roche, est décédé lundi 12 février à l'âge de 62 ans. », Le Journal du Pays Yonnais, (lire en ligne)
- « Claude Groussin, nouveau maire de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Beaulieu-sous-la-Roche. Le maire ne se représente pas », Ouest-France, (lire en ligne).
- « Beaulieu-sous-la-Roche. Bernard Gauvrit, nouveau maire de la commune », Ouest-France, (lire en ligne).
- [PDF]
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Beaulieu-sous-la-Roche sur le site de l'Insee
- « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 », sur insee.fr (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Beaulieu-sous-la-Roche sur le site de l'Institut géographique national
- Beaulieu-sous-la-Roche sur le site de l'Insee
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