Aizenay

Aizenay est une commune française située dans le département de la Vendée en région Pays de la Loire.

Aizenay

L'église Saint-Benoît en septembre 2011.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Communauté de communes de Vie et Boulogne
Maire
Mandat
Franck Roy
2020-2026
Code postal 85190
Code commune 85003
Démographie
Gentilé Agésinates
Agezynates
Agérinates
Population
municipale
9 694 hab. (2018 )
Densité 118 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 24″ nord, 1° 36′ 30″ ouest
Altitude 47 m
Min. 10 m
Max. 76 m
Superficie 81,99 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Aizenay
(ville isolée)
Aire d'attraction La Roche-sur-Yon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aizenay
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Aizenay
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Aizenay
Géolocalisation sur la carte : France
Aizenay
Géolocalisation sur la carte : France
Aizenay
Liens
Site web Site officiel

    En 2014, elle est la dixième commune de la Vendée en nombre d'habitants.

    Géographie

    Aizenay est une commune du département de la Vendée située dans le bocage vendéen. Sa limite septentrionale suit le cours de la Vie, et sa limite méridionale le cours du Jaunay.

    Commune du canton d'Aizenay (ancien canton du Poiré-sur-Vie), Aizenay se prononce Esnàe en poitevin (parlanjhe). Traditionnellement, ses habitants, les Agésinates, sont appelés en poitevin lés Trjhous les Toujours »).

    À l'intersection des routes départementales (RD) 6, 107, 948 et 978, la ville d'Aizenay est située (en distances orthodromiques à 15 km au nord-ouest de La Roche-sur-Yon, 24 km au sud-est de Challans, 25 km à l'est de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et 30 km au nord-est des Sables-d'Olonne.

    Deuxième tronçon de ce genre en Vendée, la 2×2 voies qui relie Aizenay à la préfecture La Roche-sur-Yon, a été un axe de développement économique majeur pour la commune. Le territoire communal est également desservi par les RD 50 et 55. Une 2×2 voies, entre Aizenay et Challans est en construction.

    Le territoire municipal d’Aizenay s’étend sur 8 199 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 47 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 10 et 76 mètres[1],[2].

    Communes limitrophes

    Aizenay est limitrophe de dix autres communes.

    Urbanisme

    Typologie

    Aizenay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Aizenay, une unité urbaine monocommunale[6] de 9 510 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), prairies (10,1 %), forêts (6 %), zones urbanisées (4,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %), eaux continentales[Note 3] (0,8 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ecclesia de Asineis au XIe siècle, Asianum en 1104[13], Asinesium (sous sa forme latine) dès 1123 [14], Asènes, Asyanensis, Asiniacum et Aisenei au XIIIe siècle, de Asiano, Ayzenoys et Aizenois au XIVe siècle, Asenayum au XVe siècle, Izenay au XVIIe siècle, Aizenay au XVIIIe siècle.

    Les formes anciennes régulières, ainsi que la forme moderne, indiquent qu'il s'agit d'un nom de lieu gaulois ou gallo-roman en (-i)-acum, suffixe d'origine gauloise ayant marqué d'abord la localisation, puis la propriété. Le premier élément Asin-(i-) représente le nom de personne gallo-roman Asin(i)us, dérivé du nom gallo-roman *Asius, d'origine gauloise (cf. Azay, Aisey, Aizier, etc.) ou du nom de personne roman Asianus[13], voire asinus « âne », d'où *Asinacum « élevage d'âne », comparable au type roman Asnières.

    En poitevin, la commune se nomme Esenàe[15].

    Histoire

    Histoire contemporaine

    Vue d'Aizenay, gravure de Thomas Drake, vers 1850.
    Le bâtiment voyageurs de l'ancienne gare d'Aizenay.

    Une ligne ferroviaire entre Nantes et La Roche-sur-Yon a desservi la gare d'Aizenay entre 1880[16] et 1970. Le trafic de marchandises entre le chef-lieu de la Vendée et Coëx a subsisté jusqu'en 1995[17]. Ce tronçon, déclassé en 1996[18], a été déferré puis transformé en piste cyclable en 1999[19].

    Située entre Saint-Joseph-des-Landes et la Brionnière, la stèle de la Brionnière commémore le parachutage de deux tonnes d’armes, le [20].

    Le , un B-17 américain dénommé Big Red appartenant au 388th bomb group de l'US Air Force est abattu par la défense antiaérienne allemande. Il s’écrase à la lisière de la forêt d’Aizenay. Sur les dix membres d'équipage, cinq sont tués lors du crash. Les autres sont faits prisonniers ou sont cachés par des habitants[21]. Avec 545 autres appareils, Big Red allait bombarder des objectifs stratégiques situés dans la région de Bordeaux (port et usines). Un monument commémore cet évènement et rend hommage aux aviateurs décédés[22].

    La commune de La Chapelle-Palluau a été rattachée à Aizenay du au [23].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    n.c. n.c. Pierre Georget    
    n.c. n.c. M. Messager    
    1837 1848 Victor Cormier   Fermier
    n.c. n.c. Julien Ordonneau    
    n.c. n.c. Victor Neveu    
    n.c. n.c. Gaston Delaroze    
    n.c. n.c. Dieudonné Martineau    
    1937 1944 André Ferry-Wilczek   Médecin
    Pierre Bonneau[Note 4]    
    Henri Buet   Médecin
    Jean Labarbe[Note 5]   Géomètre du cadastre
    Yves Oger    
    [24] Bernard Perrin UMP puis DVD Cadre bancaire retraité
    Conseiller général du canton du Poiré-sur-Vie (2004 → 2015)
    Président de la CC Vie-et-Boulogne (2001 → 2004)
    Réélu en 1989, 1995, 2001,[25] 2008[26] et 2014[27]

    (réélu en mai 2020)
    En cours Franck Roy[28],[29] DVD Cadre territorial
    1er vice-président de la CC de Vie-et-Boulogne (2017 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2018, la commune comptait 9 694 habitants[Note 6], en augmentation de 10,9 % par rapport à 2013 (Vendée : +3,74 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    2 0672 8913 3593 3033 3843 5193 7063 7933 764
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    3 8003 8453 9093 8973 9434 0004 1734 2984 462
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    4 6074 5123 9613 9293 8593 8693 7793 8674 077
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    4 3485 4075 1495 3446 0957 1478 1079 2129 694
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,4 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,3 %, 15 à 29 ans = 17,9 %, 30 à 44 ans = 24,2 %, 45 à 59 ans = 19,4 %, plus de 60 ans = 16,2 %) ;
    • 50,4 % de femmes (0 à 14 ans = 21,2 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 23,4 %, 45 à 59 ans = 17,9 %, plus de 60 ans = 20,9 %).
    Pyramide des âges à Aizenay en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1,2 
    5,8 
    75 à 89 ans
    7,7 
    10,1 
    60 à 74 ans
    12,0 
    19,4 
    45 à 59 ans
    17,9 
    24,2 
    30 à 44 ans
    23,4 
    17,9 
    15 à 29 ans
    16,7 
    22,3 
    0 à 14 ans
    21,2 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,2 
    7,3 
    75 à 89 ans
    10,6 
    14,9 
    60 à 74 ans
    15,7 
    20,9 
    45 à 59 ans
    20,2 
    20,4 
    30 à 44 ans
    19,3 
    17,3 
    15 à 29 ans
    15,5 
    18,9 
    0 à 14 ans
    17,4 

    Manifestations culturelles et festivités

    En , se tient à Aizenay la 10e édition du Festival Jazz'inate.

    Enseignement

    La commune d'Aizenay accueille sur son territoire deux écoles primaires publiques (celle de la Pénière et Louis-Buton), ainsi qu'une école primaire privée (Sainte-Marie-Saint-Joseph).

    À Aizenay, il y a aussi un collège public qui a ouvert en (Alexandre-Soljenitsyne), ainsi qu'un collège privé (Sainte-Marie).

    En 2016, le conseil régional des Pays de la Loire a lancé un projet pour l'ouverture d'un lycée général et technique à Aizenay. Son ouverture est prévue pour .

    Sports

    En , la ville d'Aizenay accueille le départ du Tour de Vendée cycliste.

    La France d'Aizenay représente la commune dans les compétitions de football. L'ancien professionnel Christophe Avril a été l'entraîneur de l'équipe fanion pendant de nombreuses années[35].

    Économie

    Grâce à sa forêt, une industrie locale exploite le bois. Traditionnellement également, la commune comprenait des entreprises de confection textile et de chaussures.

    En 2015, les principales entreprises localisées sur le territoire de la commune sont : Cougnaud Construction, SA Atlantique Menuiserie (ouvertures en plastique], le groupe Lapeyre-Saint-Gobain), les micro-ondes (Fagor-Brandt) ; diverses entreprises de métallurgie (avec des spécialisations dans la découpe au jet d’eau et au laser), plusieurs minoteries et diverses petites sociétés agro-alimentaires ; une imprimerie ; des sociétés de transport et distribution de boisson au niveau du département (France Boisson du groupe Heineken et Elidis du groupe Kronenbourg) ainsi que de nombreuses entreprises agricoles, avec pour activités principales l’élevage de vache à viande et de vache laitière, élevages de volailles, de porcs, maraîchage…

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le clocher de l'église Saint-Benoît.

    Il ne subsiste que peu de vestiges du passé sinon des habitations troglodytiques au bord de la Vie.

    L'église Saint-Benoît, bâtie en 1904-1905, œuvre de l'architecte Alcide Boutaud (1844-1929), est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2007. En 2014, les cloches ont été descendues du clocher pour permettre la réfection du beffroi fragilisé par le temps[36].

    On recense quelques vestiges archéologiques : des puits dits funérailles gallo-romaines sous le bourg actuel ; et une nécropole du haut Moyen Âge autour de l’ancienne église.

    On note également sur le territoire communal la présence de nombreuses demeures comme « La Petitière » (maison noble transformée en ferme), « La Giraudinière » (ancien château) ou le logis du « Grand Plessis ».

    Parmi les éléments remarquables : une cheminée à Bonnefonds ; et une croix processionnelle et une lampe sanctuaire en argent du XVIIe siècle, des calices, des statues et crucifix anciens.

    Patrimoine naturel

    En 2007, la commune a obtenu le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[37].

    Aizenay possède une forêt de plus de 700 hectares, qui s’étend jusqu’à la commune de La Genétouze.

    Équipements culturels

    La médiathèque d'Aizenay nommée À livres ouverts a été inaugurée en sur l'ancien site d'un supermarché, route de Challans. Elle fait partie du réseau des bibliothèques de la communauté de communes Vie et Boulogne, intitulé « Communauthèque ».

    La commune dispose d'un cinéma, le Jeanne-D'Arc.

    Folklore

    Les légendes locales font état de plusieurs garaches dans la ville. Un soir, un prétendant était blotti sous son lit quand il vit sa fiancée s’oindre d’une graisse magique et répéter trois fois :

    « Par-dessus les haies et les buissons !
    Pour aller joindre Lavignon ! »

    Désireux de la suivre, il s’oignit de la même manière, seulement, il avait oublié la formule « Par-dessus … » et l’avait remplacée par « À travers les haies et les buissons », il arriva donc à Lavignon avec le corps ensanglanté par les épines contre lesquelles il s’était heurté. Au retour, en voyant sa fiancée franchir la rivière d’un bond, il s’écria, admiratif « Jésus ! », ce qui eut pour effet de lui faire perdre tout pouvoir et l’obligea à rentrer à pied[38].

    Gastronomie

    Un fromage de chèvre, réputé, est produit localement.

    Personnalités liées à la commune

    • Armand Thibaudeau, (1886-1958), dirigeant sportif français, secrétaire général de FGSPF puis de la FICEPS y est né.
    • Marcel Robin, (1924-2010), sociologue français, né à Aizenay.
    • Arsène Garnier, (1921-2004), prêtre né à Aizenay, auteur de l'ouvrage La Fontaine à la sauce vendéenne publié en 1980 et comprenant 120 fables en poitevin de la région d'Aizenay.
    • Jacques Perdrieau, (1957), ancien footballeur professionnel, né à Aizenay.

    Héraldique

    Aizenay arbore un champ d'hermine sur son blason, comme d'autres communes vendéennes dont Sainte-Hermine et Les Essarts.

    Blasonnement :
    D'hermine au chef de gueules.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. En 1944, le préfet a nommé Pierre Bonneau en remplacement du docteur Ferry, il est resté avec trois adjoints jusqu'au renouvellement suivant où le docteur Henri Buet lui a succédé.
    5. Invalidation car Jean Labarbe est géomètre du cadastre dans la circonscription.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Commune 34406 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Aizenay », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 d'Aizenay », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'La Roche-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, [lire en ligne].
    14. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 32.
    15. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 16.
    16. Historail no 17 d'avril 2011, p. 66.
    17. Historail n°17 d'avril 2011, p. 100 et 119.
    18. Journal officiel de la République Française du 18 avril 1996, p. 5953.
    19. Cyclotourisme à Aizenay
    20. « Balade à la découverte de la stèle de la Brionnière », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
    21. « 70e anniversaire de la chute du B17 Big Red, le 6 septembre », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
    22. Pierre Pécastaingts, « B-17 Big Red », sur aerosteles.net, (consulté le ).
    23. Code officiel géographique de La Chapelle-Palluau sur le site de l'Insee, consulté le 19 novembre 2013.
    24. « Maire depuis 33 ans, Bernard Perrin rend son écharpe », Ouest-France, (lire en ligne).
    25. « Bernard Perrin, réélu maire pour un quatrième mandat », Ouest-France, (lire en ligne).
    26. « Aizenay: Bernard Perrin réelu maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    27. « Bernard Perrin, réélu maire, entame son sixième mandat », Ouest-France, (lire en ligne).
    28. Philippe Écalle, « Les 12 chantiers qui attendent le nouveau maire », Ouest-France, (lire en ligne).
    29. « Franck Roy, nouveau maire d’Aizenay », Le Journal du Pays yonnais, (lire en ligne).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 », sur insee.fr (consulté le ).
    35. « AllezSedan.com - site indépendant », sur www.allezsedan.com (consulté le ).
    36. « Église Saint-Benoît », notice no PA85000028, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 novembre 2013.
    37. Palmarès 2008 du 49e concours des villes et villages fleuris. Consulté le 22 septembre 2009.
    38. Histoires de Vendée, site web consulté le 20 mai 2009.
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