Barie
Barie est une commune française située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Barie | |||||
L'hôtel de ville (mars 2009). | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Bernard Pagot 2020-2026 |
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Code postal | 33190 | ||||
Code commune | 33027 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bariauds, Bariots | ||||
Population municipale |
292 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 34′ 16″ nord, 0° 06′ 49″ ouest | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 18 m |
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Superficie | 5,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Réolais et des Bastides | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.barievillage.fr/ | ||||
Géographie
La commune de Barie se situe sur la rive gauche (sud) de la Garonne, à 58 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 13 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à 11 km au nord d'Auros, chef-lieu de canton[3].
Communes limitrophes
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Les communes limitrophes sont Floudès à l'est, Bassanne au sud-est, Castets et Castillon au sud et sud-ouest (anciennement Castillon-de-Castets au sud et Castets-en-Dorthe au sud-ouest). Sur la rive droite de la Garonne, se trouvent Caudrot à l'ouest, Casseuil au nord-ouest et Gironde-sur-Dropt au nord-est.
Communications et transports
La commune est essentiellement desservie par la route départementale D 226 qui conduit vers le sud-ouest à Castets-en-Dorthe et vers l'est à Floudès et La Réole.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) dont l'accès no 4 de La Réole est distant de 12 km par la route vers le sud-est.
L'accès no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 22 km vers le sud-ouest.
La gare SNCF la plus proche est celle de Caudrot distante de 7 km au nord. Celle de La Réole qui propose plus de trafic se trouve à 8 km vers le nord-est. Dans ces deux gares, le réseau est celui de la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
La Garonne
Le territoire est constitué par des alluvions de la Garonne qui dessine, à cet endroit, d'importants méandres.
Située dans une région inondable, la commune a subi de nombreuses crues au cours de son histoire. Les plus récentes ont eu lieu en 1930, 1935 et en 1952, les eaux atteignant respectivement une hauteur de 11,26 m, 10,43 m et 10,41 m. La dernière, du 16 au 22 décembre 1981, a dépassé 10,60 m[4].
En février 2013, certaines routes entre le fleuve et les digues ont été interdites à la circulation, la Garonne ayant atteint un niveau de 7,45 m.
Un nouveau pic a été atteint le 16 décembre 2019 avec un niveau de 8,88 m suivi d'une décrue puis d'un niveau de 7,92 m le 24.
C'est la raison pour laquelle une longue digue préventive court le long de la Garonne sur tout le territoire communal. Ladite digue se prolonge sur les territoires des communes voisines, celui de Castets-en-Dorthe vers le sud-ouest, ceux de Floudès, du quartier du Rouergue à La Réole et de Fontet vers l'est.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[11] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 52 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[15], à 13,8 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Barie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones urbanisées (9,4 %), eaux continentales[Note 5] (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %), forêts (1,9 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Selon une étymologie populaire, la commune doit son nom aux variations, en gascon bariats, de la Garonne. En réalité, l'étymologie semble être *vallia, dérivée de vallis , «vallée», les deux l intervocaliques évoluant régulièrement en r et le v se prononçant b[24].
Le nom de la commune se dirait Varía en gascon : il s'agit d'une erreur de Bénédicte Boyrie-Fénié reprise imprudemment sur l'article en occitan, l'accent aigu sur le i n'apportant aucune information supplémentaire est une faute[25],[26].
Histoire
En 1763, l'abbé Expilly présente le village ainsi :
- « Barie, Paroisse & Jurisdiction, dans le Bazadois, en Guyenne, Diocese de Bazas, Parlement & Intendance de Bordeaux, Election de Comdom. On y compte 187 feux. Cette Paroisse est située sur la rive gauche de la Garonne, à une lieue & deux tiers E. de Langon. La Jurisdiction de Barie ne comprend qu'une seule Paroisse, qui est celle de son nom. »[27]
À la Révolution, la paroisse Sainte-Catherine de Barie forme la commune de Barie[28].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
À l'analyse des résultats des scrutins électoraux depuis le début du XXIe siècle et exception faite de l'élection présidentielle de 2002 dont le résultat a été à l'image du résultat national, l'électorat est globalement de gauche (63,86 % pour Ségolène Royal en 2007 soit 15 points de plus qu'au niveau national et 73,75 % pour François Hollande en 2012 soit 22 points de plus qu'au niveau national) avec un relatif manque d'attirance pour l'extrême droite (18,48 % pour le FN alors qu'il réalise 24,71 % au niveau national) bien qu'au premier tour des élections cantonales de 2011, le candidat FN, Jean Le Guern, ait obtenu 24 voix sur 106 suffrages exprimés soit 22,64 % (et seulement 14,07 % au niveau du canton).
- Au second tour de l'élection présidentielle, le 5 mai 2002, Jacques Chirac, candidat de l'UMP, a obtenu 81,12 % des suffrages exprimés contre 18,88 % pour Jean-Marie Le Pen, candidat du FN (résultats nationaux : 82,21 % contre 17,79 %)[30], le candidat du PS, Lionel Jospin, étant arrivé en tête du premier tour avec 27,54 % devant Jean-Marie Le Pen (12,32 %) et Jacques Chirac (11,59 %).
- Au second tour des élections législatives, le 16 juin 2002, Odette Trupin, candidate socialiste, a obtenu 63,03 % des suffrages exprimés contre 36,97 % pour Philippe Dubourg, candidat de l'UMP (résultats de la 9e circonscription de la Gironde : 49,72 % contre 50,28 %)[31].
- Au second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai 2007, Ségolène Royal, candidate socialiste, a obtenu 63,86 % des suffrages exprimés contre 36,14 % pour Nicolas Sarkozy, candidat de l'UMP (résultats nationaux : 46,94 % contre 53,06 %)[32], après être arrivée en tête du premier tour avec 34,46 % devant Nicolas Sarkozy (16,95 %), François Bayrou du MoDem (15,25 %) et Jean-Marie Le Pen du FN (15,25 %).
- Au second tour des élections législatives, le 17 juin 2007, Martine Faure, candidate socialiste, a obtenu 73,85 % des suffrages exprimés contre 26,15 % pour Philippe Dubourg, candidat de l'UMP (résultats de la 9e circonscription de la Gironde : 55,80 % contre 44,20 %)[33].
- Aux élections européennes, le 25 mai 2009, la liste Europe Écologie menée par José Bové et la liste Front de gauche menée par Jean-Luc Mélenchon ont toutes deux obtenu 22,83 % des suffrages exprimés contre 14,13 % pour la liste UMP menée par Dominique Baudis, 10,87 % pour la liste Parti socialiste menée par Kader Arif, 9,78 % pour la liste NPA menée par Myriam Martin, 5,43 % pour la liste MoDem menée par Robert Rochefort, 5,43 % pour la liste « Alliance écologiste indépendante » menée par Patrice Drevet, 3,26 % pour la liste FN menée par Louis Aliot, 2,17 % pour la liste « Libertas » menée par Eddie Puyjalon, 2,17 % pour la liste « L'Europe de la vie ! » menée par Jean-Claude Martinez et 1,09 % pour la liste Lutte ouvrière menée par Sandra Torremocha (résultats respectifs pour le Sud-Ouest : 15,83 % et 8,16 % contre 26,89 %, 17,72 %, 5,62 %, 8,61 %, 4,24 %, 5,94 %, 3,06 %, 0,92 % et 1,28 %)[34].
- Au second tour des élections cantonales, le 27 mars 2011, Francis Zaghet, candidat socialiste, a obtenu 60,71 % des suffrages exprimés contre 39,29 % pour André-Marc Barnett, candidat de l'UMP (résultats du canton d'Auros : 56,83 % contre 43,17 %)[35].
- Au second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai 2012, François Hollande, candidat socialiste, a obtenu 73,75 % des suffrages exprimés contre 26,25 % pour Nicolas Sarkozy, candidat de l'UMP (résultats nationaux : 51,64 % contre 48,36 %)[36], après être arrivé en tête du premier tour avec 30,46 % devant Jean-Luc Mélenchon du Front de gauche (22,99 %), Marine Le Pen du FN (17,82 %) et Nicolas Sarkozy (13,22 %).
- Au second tour des élections législatives, le 17 juin 2012, Martine Faure, candidate socialiste, a obtenu 81,25 % des suffrages exprimés contre 18,75 % pour Yves d'Amécourt, candidat de l'UMP (résultats de la 12e circonscription de la Gironde : 60,53 % contre 39,47 %)[37].
- Aux élections européennes, le 25 mai 2014, la liste d'union de la gauche (PS-PRG) menée par Virginie Rozière a obtenu 26,09 % des suffrages exprimés contre 22,83 % pour la liste EELV menée par José Bové, 18,48 % pour la liste FN menée par Louis Aliot, 14,13 % pour la liste Front de gauche menée par Jean-Luc Mélenchon, 7,61 % pour la liste UMP menée par Michèle Alliot-Marie, 2,17 % pour la liste UDI-MoDem-Les Européens menée par Robert Rochefort, 2,17 % pour la liste Nouvelle Donne menée par Joseph Boussion, 2,17 % pour la liste « Europe citoyenne » menée par Marie-Jeanne Husset, 2,17 % pour la liste « Citoyens du vote blanc » menée par Francis Lenne, 1,09 % pour la liste NPA menée par Philippe Poutou et 1,09 % pour la liste Debout la République menée par Pascal Lesellier (résultats respectifs pour le Sud-Ouest : 15,73 % contre 11,48 %, 24,71 %, 8,57 %, 18,52 %, 8,60 %, 3,01 %, 0,87 %, 0,74 %, 0,54 % et 3,12 %)[38].
- Au second tour des élections départementales, le 29 mars 2015, le binôme des candidats socialistes, Bernard Castagnet et Christelle Guionie, a obtenu 64,22 % des suffrages exprimés contre 23,85 % pour le binôme des candidats du FN, Sandrine Chadourne et Patrick Duval-Campana, et 11,93 % pour le binôme des candidats de l'Union de la droite (UD), Yves D'Amécourt et Sophie Sellier (résultats respectifs du Canton du Réolais et des Bastides : 39,46 % contre 22,39 % et 38,16 %)[39].
- Au second tour des élections régionales, le 13 décembre 2015, la liste d'union de la gauche (PS-PRG) menée par Alain Rousset a obtenu 60 % des suffrages exprimés contre 26,67 % pour la liste FN menée par Jacques Colombier et 13,33 % pour la liste d'union de la droite (LR-UDI-MoDem-CPNT) menée par Virginie Calmels (résultats respectifs pour la région Nouvelle-Aquitaine : 44,27 % contre 21,67 % et 34,06 %)[40].
- Au second tour de l'élection présidentielle, le 7 mai 2017, Emmanuel Macron a obtenu 66,22 % des suffrages exprimés contre 33,78 % pour Marine Le Pen, candidat du Front national (résultats nationaux : 66,10 % contre 33,90 %)[41], le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, étant arrivé en tête du premier tour avec 31,32 % devant Emmanuel Macron (17,03 %) et Marine Le Pen (15,93 %).
Intercommunalité
Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du Pays d'Auros ayant été supprimée, la commune de Barie s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.
En matière de développement socio-économique, la commune est adhérente, à l'instar des anciennes communes de la CC du Pays d'Auros, du syndicat mixte du Pays des Rives de Garonne.
Démographie
D'une population assez constante, aux alentours de 900 habitants, jusqu'à l'aube de la troisième République, la commune a subi un exode rural lent et régulier depuis cette époque en perdant près des trois quarts de la population initiale. Un léger regain s'amorce, depuis le début des années 2000, correspondant à la ruralisation des citadins.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].
En 2018, la commune comptait 292 habitants[Note 6], en augmentation de 2,1 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Lieux et monuments
L'église Sainte-Catherine, déplacée à deux reprises à cause des inondations, est un édifice construit en 1776, intéressant par sa façade à trois registres verticaux. Le portail dont les voussures s'accompagnent de chapiteaux sculptés s'accompagne, au rez-de-chaussée, de fenêtres hautes et étroites[4]. L'église a été dotée, dans la seconde partie du XIXe siècle et sous l'impulsion de Mgr Donnet, archevêque de Bordeaux, d'un clocher à flèche de pierre.
- L'église Sainte-Catherine (mars 2009)
- Le port (juin 2009)
- Une digue entre la Garonne et le village (juin 2009)
- Passage d'une route dans la digue (juin 2009)
Des traverses de bois (batardeaux) sont insérées entre les deux épaulements latéraux de façon à ralentir l'écoulement des eaux. - Champ d'osiers en décembre, peu avant la récolte (déc. 2009)
- Le monument aux morts au cimetière (mai 2009)
Personnalités liées à la commune
- Marie Ndiaye, qui a vécu à Barie de 2001 à 2007 avec son mari Jean-Yves Cendrey et ses trois enfants[46]. Leur maison est reste leur résidence secondaire.
Vie locale
Économie
La commune a une vocation agricole en raison des terrains alluvionneux propices à la culture. Les principales productions sont les céréales (essentiellement le maïs et le blé), le tabac, les cultures maraîchères, les fraises, les noix, les noisettes ainsi qu'une spécialisation pour l'osier (les vimes en patois) et le kiwi. Quelques vignes sont disséminées sur le territoire communal.
Culture
- L'Opéra de Barie est une association fondée en 2008 dont l’objectif premier est de « proposer au moins une fois par an, en été, loin des grandes métropoles, à la campagne, un opéra ou une opérette oublié et qui mérite d’être découvert ou redécouvert et, en tous cas, une œuvre qui retient l'attention »[47].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Site de la mairie
- L'Opéra de Barie, consulté le 30 janvier 2010.
- Résultats du recensement de la population de Barie sur le site de l'INSEE, consulté le 30 janvier 2010.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Barie », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Barie sur le site de l'Institut géographique national
- Plan d'assemblage du cadastre de Barie en 1848 sur le site des Archives de Gironde, consulté le 16 août 2011.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 4 juillet 2011.
- Site officiel de la commune
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 47,5 km pour Bordeaux, 10,9 km pour Langon et 8,6 km pour Auros. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 4 juillet 2011.
- Texte issu d'un panneau d'information situé sur la place principale du bourg, consulté en mai 2009.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Barie et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Barie et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Bénédicte Boyrie-Fénié, Dictionnaire toponymique des communes, Gironde, ed. CAIRN, Pau, 2008
- Jacme Taupiac, Gramatica occitana, chapitre 5 Quora cal metre un accent grafic ?, p. 12, édition Institut d'Estudis Occitans, Toulouse, 1994
- Gilbert Narioo, Patric Guilhemjoan, Michel GrosclaudeDictionnaire intermédiaire français-occitan (Gascogne), p. 15, edicions Per Noste, Ortès, 2015
- Jean-Joseph Expilly, « Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France », sur Google books, Desaint et Saillant, (consulté le ), p. 459.
- Historique des communes, p. 4, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 26 mars 2013.
- Commune de Barie sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 4 juillet 2011.
- Résultats de l'élection présidentielle 2002 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats des élections législatives 2002 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats de l'élection présidentielle 2007 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats des élections législatives 2007 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats des élections européennes 2009 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats des élections cantonales 2011 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats de l'élection présidentielle 2012 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats des élections législatives 2012 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats des élections européennes 2014 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 juin 2014.
- Résultats des élections départementales 2015 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 1er novembre 2015.
- Résultats des élections régionales 2015 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 5 janvier 2016.
- Résultats de l'élection présidentielle 2017 à Barie sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 6 octobre 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- is. de Montvert-Chaussy, « Marie NDiaye fait escale à Bordeaux », Sud-Ouest, (lire en ligne).
- L'Opéra de Barie, consulté le 30 janvier 2010.
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