Sauveterre-de-Guyenne
Sauveterre-de-Guyenne est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Sauveterre.
Sauveterre-de-Guyenne | |||||
La place centrale et l'église. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes rurales de l'Entre-Deux-Mers (siège) |
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Maire Mandat |
Christophe Miqueu 2020-2026 |
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Code postal | 33540 | ||||
Code commune | 33506 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sauveterriens | ||||
Population municipale |
1 820 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 41′ 37″ nord, 0° 05′ 06″ ouest | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 107 m |
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Superficie | 31,75 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Réolais et des Bastides | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.sauveterre-de-guyenne.eu | ||||
Ses habitants sont appelés les Sauveterriens[1].
Géographie
La commune appartient à l'arrondissement de Langon ; elle faisait partie de l'arrondissement de la Réole supprimé le . Elle a été chef-lieu de canton du canton de Sauveterre-de-Guyenne jusqu'à la réforme de 2014, à la création du Canton du Réolais et des Bastides.
Commune de Guyenne située au cœur du vignoble de l'Entre-deux-Mers et arrosée par la Vignague, affluent du Dropt, Sauveterre se trouve à 49 km à l'est-sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département et à 22 km au nord-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement[2].
Communes limitrophes
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Les communes limitrophes sont Cleyrac au nord-est, Caumont à l'est, Saint-Martin-du-Puy au sud-est, Saint-Hilaire-du-Bois au sud, Saint-Sulpice-de-Pommiers au sud-ouest, Saint-Brice à l'ouest, Daubèze à l'ouest-nord-ouest, Frontenac au nord-ouest et Blasimon au nord.
Communications et transports
Les principales voies de communication routière, traversant toutes deux la ville, sont la route départementale D670, ancienne route nationale 670, qui mène vers le nord-nord-ouest à Saint-Jean-de-Blaignac et Libourne et vers le sud-sud-est à La Réole, la route départementale D672, ancienne route nationale 672, qui mène vers le sud-ouest à Saint-Macaire et Langon et vers le nord-est à Pellegrue et Sainte-Foy-la-Grande ; la route départementale D671, ancienne route nationale 671 mène vers le nord-ouest vers Targon et à Créon ; vers le nord, la route départementale D129, commençant sur la D670 un peu après Le Puch, mène à Blasimon ; vers le sud-est, la route départementale D230, commençant sur la D670 à Saint-Romain-de-Vignagne, mène à Monségur.
Les accès no 3, dit de Langon, et no 4, dit de La Réole, à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) sont tous deux distants de 23 km, le premier vers le sud-ouest, le second vers le sud-est.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 36 km vers le sud-sud-ouest.
L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 31 km vers le nord-ouest.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 14 km par la route vers le sud, de Gironde-sur-Dropt sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine. Sur la même ligne mais offrant plus d'opportunités de liaisons, la gare de La Réole se situe à 15 km par la route vers le sud-est.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1978 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,3 | 2,7 | 4,6 | 6,7 | 10,5 | 13,5 | 15 | 15,1 | 12 | 9,7 | 5,3 | 3 | 8,4 |
Température moyenne (°C) | 5,6 | 6,9 | 9,7 | 11,9 | 15,9 | 19,1 | 21 | 21,1 | 17,8 | 14,4 | 9 | 6,3 | 13,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 9 | 11,2 | 14,8 | 17,2 | 21,3 | 24,7 | 27 | 27,1 | 23,6 | 19,1 | 12,8 | 9,6 | 18,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−16,6 17.01.1987 |
−12,2 09.02.12 |
−10,6 01.03.05 |
−2,4 21.04.1991 |
1 05.05.19 |
5,2 07.06.1986 |
7 08.07.1978 |
4 30.08.1986 |
2,4 25.09.02 |
−3,9 30.10.1997 |
−8 18.11.07 |
−10,5 16.12.01 |
−16,6 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19,8 13.01.1993 |
24,3 27.02.19 |
25,5 20.03.05 |
29,3 07.04.11 |
33,6 30.05.01 |
37,8 26.06.19 |
40,7 23.07.19 |
40,1 13.08.03 |
35,5 12.09.16 |
31,5 03.10.1985 |
25 08.11.1985 |
20 16.12.1989 |
40,7 2019 |
Précipitations (mm) | 71,2 | 59,9 | 56,5 | 78,1 | 71,7 | 53 | 48,9 | 64,1 | 63,9 | 73,2 | 84,3 | 84,3 | 809,1 |
Urbanisme
Typologie
Sauveterre-de-Guyenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (56,2 %), forêts (14,5 %), terres arables (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), prairies (6,7 %), zones urbanisées (2,3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La bastide a été construite en lieu et place d'un petit village appelé Athala et fut nommée Salveterra en 1281 qui devint Saubeterre puis Sauveterre.
Appelée communément mais officieusement Sauveterre-en-Bazadais, la commune devient Sauveterre-de-Guyenne en 1896.
De l'occitan salva terra, soit « terre sauve » ou « terre du salut », un « lieu d'asile ».
Le nom de la commune est Sauvatèrra de Guiana en gascon.
Histoire
Bastide d'origine anglaise, elle fut fondée en 1281 par Édouard Ier.
Dès le IXe siècle, il existe une bourgade de quelques maisons autour d’un prieuré. Au XIIIe siècle, un petit château en bois habité par Dame Athalésie est édifié sur une hauteur et la cité prend alors le nom d’Athala.
Pour mettre fin aux rivalités seigneuriales, le roi Édouard Ier d'Angleterre, aussi duc d’Aquitaine, accepte la création d’une bastide en 1281 avec des privilèges accordés en 1283.
La bastide changea 10 fois de camp, française, anglaise, et devient française définitivement en 1451, deux ans avant la fin de la Guerre de Cent Ans. Elle fut administrée par une jurade jusqu’à la Révolution française.
À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Sauveterre forme la commune de Sauveterre, la paroisse Saint-Léger de Vignague, annexe de Notre-Dame de Sauveterre, forme la commune de Saint-Léger-de-Vignague, la paroisse Saint-Romain de Vignague, annexe de Notre-Dame de Sauveterre, forme la commune de Saint-Romain-de-Vignague et la paroisse Saint-Christophe de Puch, annexe de Saint-Jean de Sallebruneau, forme la commune du Puch.
En 1896, la commune de Sauveterre devient Sauveterre-de-Guyenne.
Le , les communes du Puch, de Saint-Léger-de-Vignague et de Saint-Romain-de-Vignague sont rattachées à la commune de Sauveterre-de-Guyenne[15] et passe de 26 hectares à plus de 3 000 pour devenir le centre prospère du Sauveterrois, région viticole et touristique.
Les murs de la bastide furent démantelés en 1838 mais les portes ont pu être conservées. À ce jour, Sauveterre est la seule des huit bastides girondines à avoir conservé les quatre portes d’entrée de ville. L’une d’entre elles, la porte Saubotte (17 mètres de hauteur - 2 salles de garde) a été entièrement restaurée et peut se visiter.
L’église Notre Dame est reconstruite au XIIIe siècle sur l’emplacement de l’église d’origine du prieuré. Au début du XIXe siècle, son état de délabrement est tel, qu’elle est reconstruite en grande partie dans le style néo-gothique. Son clocher en ardoise est détruit en 1837 par un incendie ; reconstruit en pierre, il est foudroyé en 1887, puis supprimé. Un nouveau clocher en béton est mis en place en 1933 et démolie pour raison de sécurité en 1981. En 2013, la municipalité décide de restaurer ce clocher et d'y poser un nouveau toit, le 4e de son histoire. Les travaux de restauration, réalisés avec l'architecte en chef des monuments historiques Goutal, sont terminés en . Sur le contrefort sud du chevet se trouve un cadran solaire datant du XIIIe siècle.
Du 25 au , Sauveterre-de-Guyenne accueillait le gouvernement belge d'Hubert Pierlot en exil. Après l’armistice signé en 1940, fut mise en place la ligne de démarcation entre la France occupée et la Zone libre. Elle passait devant les portes Saint-Léger et Saint Romain. La bastide de Sauveterre était en zone occupée.
Politique et administration
Démographie
Évolution démographique
En matière de population, la commune occupait, avec 1 754 habitants en 2008, le 132e rang au niveau départemental sur 542 communes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].
En 2018, la commune comptait 1 820 habitants[Note 4], en augmentation de 1,17 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
En 1965, Sauveterre-de-Guyenne a fusionné avec les communes voisines de Saint-Romain-de-Vignague, Saint Léger-de-Vignague et Le Puch, ce qui explique l'augmentation soudaine de la population.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (31,4 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 48 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,7 %, 15 à 29 ans = 17,7 %, 30 à 44 ans = 18,3 %, 45 à 59 ans = 19 %, plus de 60 ans = 28,4 %) ;
- 52 % de femmes (0 à 14 ans = 15,5 %, 15 à 29 ans = 13,4 %, 30 à 44 ans = 16,2 %, 45 à 59 ans = 20,7 %, plus de 60 ans = 34,2 %).
Économie
Viticulture : Entre-deux-mers (AOC), Bordeaux (AOC), Bordeaux Supérieur (AOC), Crémant de Bordeaux (AOC)
Équipements, services et vie locale
Voie verte
Sauveterre est l'extrémité de la voie verte Roger-Lapébie, ancienne voie ferrée aménagée en piste cyclable, qui la relie à Bordeaux situé à 55 km.
Lieux et monuments
Place centrale
La place centrale carrée, dite place de la République, caractéristique d'une bastide est entourée d'arcades. L'hôtel de ville et le syndicat d'initiative s'y trouvent, ainsi que de nombreux commerces. Chaque mardi matin, la place accueille le marché.
Portes de la ville
Les portes de la ville sont situées aux quatre accès principaux de l'ancienne bastide, sur les routes départementales D670 et D672. Elles sont classées au titre des monuments historiques depuis 1892[25].
- Porte Saubotte, au nord-ouest
- Porte de la Font, au sud-ouest
- Porte Saint-Romain, au sud-est
- Porte Saint-Léger, au nord-est
Autres
On trouve encore quelques maisons à colombages datant du XVIe siècle (pan de bois et enduit à la chaux).
Le « jardin zoologique » de Raymond Guitet (art brut) mérite de figurer parmi les humbles créations populaires. Bien que ne pouvant rivaliser avec le « Palais Idéal » du Facteur Cheval, il n'en est pas moins, comme ce dernier, un pied de nez au bon goût et aux valeurs établies.
C'est depuis la Place de la République de Sauveterre-de-Guyenne, que s'effectue le départ du cyclo-festival Ouvre La Voix.
Patrimoine religieux
- L'église Notre-Dame date du XIVe siècle. Remarquable par son abside, elle est classée monument historique depuis 1920[26].
- L'église Saint-Christophe du Puch, située au nord de la ville au lieu-dit Le Puch, date des XIe et XIIe siècles et possède un portail à trois voussures ornées au-dessus d’un décor de billettes soutenu par sept modillons dont l’un est un « obscène ». Elle est classée monument historique depuis 1909 pour son portail et inscrite en totalité depuis 2002[27].
- L'église de Saint-Léger-de-Vignague est située à l'est de la ville au lieu-dit Saint-Léger-de-Vignague. Elle date du XIIe siècle et a été incendiée au XVIe siècle par les protestants. Cette église est tronquée car il ne reste plus que le chœur voûté en coupole byzantine – unique en Gironde - et l’abside en cul de four aplatie. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1925[28].
- L'église de Saint-Romain-de-Vignague, située au sud de la ville au lieu-dit Saint-Romain-de-Vignague, est de style roman, datant des XIe, XIIe et XIVe siècles. Elle aussi dispose d’un clocher massif qui n’est pas celui d’origine et qui a probablement remplacé un clocher-pignon. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 2002[29].
- Façade sud-ouest et clocher de l'église Notre-Dame (fév. 2012)
- Vue nord-ouest sud de l'église Saint-Christophe du Puch (fév. 2012)
- Façade ouest de l'église de Saint-Léger-de-Vignague (fév. 2012)
- Façade sud de l'église de Saint-Romain-de-Vignague (fév. 2012)
Personnalités liées à la commune
- Maison d'Astarac
- La famille Bacalan, originaire de Sauveterre-de-Guyenne, a compté parmi ses membres un nombre important de parlementaires bordelais dont l'un fut propriétaire du château Haut Bacalan. Elle possédait un domaine au nord de Bordeaux. Le chemin y menant, le long de la Garonne, prit le nom de « chemin de Bacalan ». La propriété disparut mais le nom resta celui du quartier.
- André Parmentier (1876-1937), tireur sportif né dans la commune.
- Stéphanie Possamaï, judokate française, médaille de bronze aux Jeux Olympiques de Pékin, vice-championne du monde à Rio en 2007, est originaire de Gornac et a commencé le judo sur le tatami de Sauveterre.
Jumelages
La commune entretient des accords de coopération[30] avec :
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Résultats du recensement de la population de Sauveterre-de-Guyenne sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sauveterre-de-Guyenne », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Ressource relative à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 16 mars 2012.
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 42,1 km pour Bordeaux et 20,4 km pour Langon. Données fournies par lion1906.com, consulté le 11 octobre 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Historique des communes, p. 63, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 9 avril 2013.
- Fiche de Robert Barrière sur le site de l'Assemblée nationale, consultée le 6 juillet 2014.
- Le décès de Jean Sourbet dans le mois qui suit son élection fait de Robert Barrière, son suppléant, le député de la huitième circonscription de la Gironde le 22 décembre 1962.
- https://www.politiquemania.com/forum/vie-partis-f16/cpnt-devient-mouvement-ruralite-lmr-t8177.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Sauveterre-de-Guyenne en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Gironde en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Classement des portes de la ville », notice no PA00083837, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Classement de l'église Notre-Dame », notice no PA00083834, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Classement et inscription de l'église de Saint-Christophe du Puch », notice no PA00083686, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription de l'église de Saint-Léger-de-Vignague », notice no PA00083835, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Inscription de l'église de Saint-Romain-de-Vignague », notice no PA00083836, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Jumelage(s) de Sauveterre-de-Guyenne », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
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