est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir BU.


L'église Notre-Dame
 Classé MH (1963)[1].

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Pierre Sanier
2020-2026
Code postal 28410
Code commune 28064
Démographie
Gentilé Buxois (anciennement Bus ou Bdédrus)
Population
municipale
1 985 hab. (2018 )
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 50″ nord, 1° 29′ 47″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 141 m
Superficie 22,6 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Anet
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Liens
Site web http://www.bu-28.fr

    Les habitants sont les Buxois.

    Géographie

    Situation

    Bû se situe au nord de la région Centre-Val de Loire, à la frontière des régions Normandie et Île-de-France. Elle est plus proche de Paris que de sa capitale régionale Orléans.

    Elle se trouve dans la région naturelle et agricole du Drouais[2].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 645 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1996 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records BU_SAPC (28) - alt : 132m, lat : 48°48'00"N, lon : 01°29'30"E
    Statistiques établies sur la période 1996-2010 - Records établis sur la période du 01-10-1996 au 04-07-2021
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,7 3,1 4,7 8,3 10,9 12,9 13 10,3 7,8 4,2 1,4 6,7
    Température moyenne (°C) 3,8 5 7,4 10 13,7 16,7 18,7 18,9 15,8 11,9 7,2 3,9 11,1
    Température maximale moyenne (°C) 6,4 8,3 11,7 15,2 19 22,6 24,6 24,8 21,3 16 10,2 6,4 15,6
    Record de froid (°C)
    date du record
    −14,9
    08.01.10
    −13,9
    12.02.12
    −11,6
    13.03.13
    −4,9
    06.04.21
    −1,3
    06.05.19
    1,1
    01.06.06
    5,8
    21.07.12
    3,9
    28.08.1998
    0,6
    30.09.18
    −5,1
    30.10.1997
    −9,8
    30.11.10
    −10,2
    29.12.1996
    −14,9
    2010
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    15,3
    27.01.03
    19,9
    27.02.19
    24,3
    31.03.21
    27,9
    21.04.18
    30,6
    27.05.05
    37,7
    27.06.11
    41,4
    25.07.19
    39,1
    10.08.03
    34
    15.09.20
    28,6
    01.10.11
    20,8
    07.11.15
    15,9
    07.12.00
    41,4
    2019
    Précipitations (mm) 49,9 43,9 47 47,3 51 48,9 61,1 49,4 39,1 68,5 60,4 69,1 635,6
    Source : « Fiche 28064002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Bû est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), forêts (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), zones urbanisées (3,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    Beutum, vers 1186 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye de Coulombs) ; Bu, vers 1190 Archives départementales d'Eure-et-Loir-Livre journal de l’église de Broué) ; Beu, août 1386 (Archives nationales-JJ 129, no 129, fol. 82) ; Sur le chemin entre Faveroles et Bu, novembre 1388 (Archives nationales.-JJ 133, no 216, fol. 123) ; , avril 1393 (Archives nationales.-JJ 148, no 14, fol. 8) ; Bu, novembre 1402 (Archives nationales.-JJ 157, no 235, fol. 144 v°) ; Bû, février 1495 (Archives nationales.-JJ 226B, no 1177, fol. 222) ; Bu ; XVIIIe siècle (Carte de Cassini).

    Beutum semble venir de l'abréviation du bas latin Beucum ou Beutum, nom sous lequel cette commune est citée vers 1186. Substantif d’origine germanique, bur = résidence ; ou français buc, but, bu = tronc d’arbre (FEW, XV(2), 3a).

    Histoire

    Les Gaulois

    La tribu gauloise des Durocasses est installée dans la région vers 500 av. J.-C. Le peuple des Carnutes lui céda une partie de son territoire. Contrairement aux Carnutes qui résistèrent longtemps à la domination romaine, les Durocasses se montrèrent davantage conciliants avec l'occupant (références ?).

    L'époque gallo-romaine

    De cette époque de « paix » reste le sanctuaire du Bois des Fours à Chaux occupé entre le Ier et le IVe siècle de notre ère. C'est une construction orientée d'est en ouest, longue de trente mètres et large de vingt. On peut penser que ce sanctuaire était enclos d'une vaste enceinte qui répondait au souci de matérialiser le domaine sacré du dieu ou de la déesse. Le site est classé monument historique depuis fin 1986. Un second temple semi-circulaire, repéré par des photos aériennes existerait en contrebas du premier.

    Le Moyen Âge

    Le christianisme s'installe petit à petit, puis arrive la période des grandes invasions, qui ravagent le pays. Pendant ces moments difficiles, on sait que les moines de Jumièges possédèrent un vignoble à Bû en 632.

    C'est vraisemblablement au début du Moyen Âge que le village s'est réellement créé. Au début du XIIe siècle, les moines buxois étaient seuls administrateurs.

    En 1145, le seigneur de Dreux, Robert (fils de Louis VI le Gros et frère du roi Louis VII) fit construire un fort à Bû. Celui-ci faisait partie d'une seconde ligne de défense contre l'envahisseur normand. La construction de cet édifice démarra vers 1158 et dura environ quarante ans.

    La séparation de Bû

    Les religieux de Bû s'indignèrent de cette intrusion du comte de Dreux dans leur fief et s'en plaignirent au pape. Celui-ci confia l'arbitrage de cette querelle à l'évêque de Chartres qui procéda à la séparation de Bû en deux paroisses. Beu-le-Chastel a assez vite disparu, mais Beu-la-Vieuville se retrouve plus tardivement dans certains écrits.

    Les protestants à Bû

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    Les guerres de religion ont certainement sévi à Bû comme ailleurs. La plus sanglante bataille de la région eut lieu près de Dreux, entre Nuisement et Marville-Moutiers-Brûlé, le . En 1585, les protestants de Bû durent abjurer ou quitter le royaume dans les plus brefs délais.

    Entre 1598 et 1685, les cultes se pratiquaient à Blainville, hameau de Marville-Moutiers-Brûlé puis à Fontaine-sous-Prémont, hameau d'Ouerre.

    En , puis de à , 54 huguenots de Bû abjureront en l'église Saint-Pierre de Dreux et en l'église d'Abondant. En 1812, le nombre de protestants à Bû était de 76, contre 57 en 1851. Vers 1900, leur nombre tombera à une quinzaine, ce qui entraînera la désaffection du temple après la Première Guerre mondiale. Il a été transformé en maison individuelle.

    XXe siècle

    Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[16], dont Bû[17]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[18]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[19].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1975 1977 Mme Chardin    
    1977 1983 Louis Bernasconi    
    1983 1989 Jean-Pierre Lesage PS  
    1989 2001 Jacques Fleury RPR  
    2001 2014 Évelyne Lefebvre UMP-LR Conseillère générale d'Eure-et-Loir depuis 2014
    mars 2014 En cours Pierre Sanier[20],[21]   Cadre de la fonction publique

    Population et société

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3951 4121 5111 5491 5501 5781 5191 5051 467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3831 3111 2861 2101 1601 0761 024997914
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    873855830835797805773760731
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    6967788611 0621 4191 6891 7711 8311 908
    2018 - - - - - - - -
    1 985--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église Notre-Dame

    L'église de style roman, très ancienne, de nombreuses fois remaniée, avec une verrière remarquable occupant toutes les ouvertures. Elle est classée monument historique depuis 1963[1].

    Ancien temple protestant

    Désaffecté après la Première Guerre mondiale, il a été transformé en maison individuelle[24].

    Sanctuaire gallo-romain

    Les vestiges d'un temple gallo-romain sont visibles sur un terrain dont le nom était "pièce de l'église" sur le cadastre. Classé monument historique en 1986[25], il était probablement consacré au traitement des maladies des yeux comme en témoignent de nombreux ex-voto en forme de loups découverts lors de la campagne de fouilles des années 1960.

    Dans les années 1980 d'autres fouilles ont permis de mettre au jour les fondations d'un temple plus ancien que celui qui est visible actuellement. De nombreuses fouilles y ont été entreprises mais le site se dégrade en raison de la fréquentation.

    Ancien château de Bû

    Ce château est démoli par les Buxois à la Révolution[26].

    Patrimoine naturel

    Sous l'appellation « forêt de Dreux », a été classée en 2004, comme forêt de protection, la forêt domaniale d'une superficie d'environ 3 917 hectares, s'étendant dans le nord du département d'Eure-et-Loir sur les huit communes d'Abondant, Anet, Boncourt, Bû, Montreuil, Rouvres, Saussay et Sorel-Moussel[27].

    Héraldique

    Les armoiries de Bû se blasonnent ainsi :

    De sinople à la gerbe d'or et à une faux, une houe et une cognée d'argent emmanchées au naturel et posées en bouquet, le tout lié par un bandeau de gueules dont l'une des extrémités noue un sécateur d'argent pendu par sa bride au manche de la cognée.
    Couleurs, restituées par Christian Léger, Jean Paul Fernon et Denis Joulain. Adoptées officiellement le 14 octobre 2011[réf. nécessaire].

    Personnalités liées à la commune

    Auguste Vavasseur en 1900.
    • Robert Ier de Dreux (1217-1281), premier seigneur de Beu (Bû) ;
    • Étienne Claye (1740-?), cultivateur et maire de Bû, député de 1791 à 1792 ;
    • Auguste Vavasseur (1823-1905), officier de la Légion d'honneur, officier de l'Instruction publique, né à Bû le 9 juin 1823. Avocat à la cour d'appel de Paris, maire du IIe arrondissement, ancien maître des requêtes ;[réf. nécessaire]
    • Costa-Gavras (1933-), homme de cinéma ;
    • Jacques Périlliat, ancien préfet de Région[réf. nécessaire] ;
    • Alexandre Carlin (1973-), compositeur et arrangeur.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. « Église », notice no PA00096986, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    17. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    18. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    19. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    20. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. Clochers de France - Dominique Bureau, « Ancien temple », sur https://www.clochers.org, (consulté le ).
    25. « Vestiges de sanctuaire gallo-romain », notice no PA00096987, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. « L’histoire du château s’écrit dans un livre », sur https://www.lechorepublicain.fr,
    27. Décret du 30 août 2004 portant classement comme forêt de protection de la forêt de Dreux sur le territoire des communes d'Abondant, Anet, Boncourt, Bu, Montreuil, Rouvres, Saussay et Sorel-Moussel dans le département d'Eure-et-Loir, JORF no 206 du 4 septembre 2004, p. 15678, texte no 21, NOR AGRF0401659D, sur Légifrance.
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