Arignac
Arignac est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.
Arignac | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Foix | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Tarascon | ||||
Maire Mandat |
Philippe Pujol 2020-2026 |
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Code postal | 09400 | ||||
Code commune | 09015 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arignacois | ||||
Population municipale |
700 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 79 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 52′ 19″ nord, 1° 36′ 05″ est | ||||
Altitude | 470 m Min. 467 m Max. 1 371 m |
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Superficie | 8,84 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Foix (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Sabarthès | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune d'Arignac se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, et à 3 km de Tarascon-sur-Ariège[3], bureau centralisateur du canton du Sabarthès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarascon-sur-Ariège[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Bompas (1,5 km), Surba (2,5 km), Mercus-Garrabet (2,6 km), Tarascon-sur-Ariège (2,6 km), Quié (2,8 km), Bédeilhac-et-Aynat (3,0 km), Rabat-les-Trois-Seigneurs (4,2 km), Arnave (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Arignac fait partie du pays de Sabarthès, structuré par la haute vallée de l'Ariège en amont du pays de Foix avec Tarascon-sur-Ariège comme ville principale[5].
Arignac est limitrophe de six autres communes.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 884 hectares ; son altitude varie de 467 à 1 371 mètres[7]. Le territoire communal est dominé par le Pech (1370 m).
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13],[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tarascon-sur-Ariège », sur la commune de Tarascon-sur-Ariège, mise en service en 1959[15]et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 769,3 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 43 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,3 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[21].
Urbanisme
Typologie
Arignac est une commune rurale[Note 4],[22]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tarascon-sur-Ariège, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[25] et 6 120 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Foix, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,8 %), zones urbanisées (10 %), prairies (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), eaux continentales[Note 6] (0,3 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Accès par la route nationale 20 et par le train, en gare de Tarascon-sur-Ariège, sur la ligne de Portet-Saint-Simon à Puigcerda (frontière).
Histoire
Deux haches en bronze du Néolithique ont été trouvées en 1907 aux éboulis du roc de Sédour, ainsi que des débris d'amphores gallo-romaines.
À l'époque féodale, Arignac en Sabarthès, une des quatre grandes baronnies du comté de Foix (avec Rabat, St-Paul et Durfort), eut d'abord pour famille seigneuriale les Roquefort, aussi les maîtres de Marquein[31] et de Crampagna (Crampaignac) (on cite dans ladite famille Vésian de Roquefort, père d'Olivier Ier (x vers 1400 Jeanne, fille de Corbeyran Ier de Foix-Rabat), père de Roger, père d'Olivier II († vers 1515), et aussi Blaise de Roquefort († 1573) dont l'épouse Germaine de Lévis était la sœur du gouverneur huguenot du comté de Foix pour Henri IV, Jean-Claude de Lévis-Léran dit Audou, sgr. de Bélesta, Audou/Audon — cf. Pech Audou à Bélesta — et Fougas[32] ; peut-être des nobles issus de Roquefort (en Lavelanet), mais sans en avoir la seigneurie, du moins principale, qui était aux Dun puis aux Lévis ; en tout cas, pas de la famille des juges-mages du comté de Foix Jean Ier et Jean II de Roquefort, sgr. de Gargas et Viviès, fl. au XVe siècle, originaires de Pamiers, liés au comte Gaston et à Charles VII[33]).
Puis Arignac et Crampagna passèrent aux Comenges, alias Comminges (une des innombrables familles de ce nom réputées descendre — en lignée masculine ou féminine, légitime ou naturelle — des comtes de Comminges ; possiblement à la suite d'un mariage, par exemple entre une certaine Françoise de Roquefort et Mathieu de Comenges/de Comminges-de la branche qui avait Pontéjac ; les Péguilhan ?). Par ailleurs, des Roquefort d'Arignac héritèrent, peut-être par un mariage avec une d'Orbessan, de L'Isle (la Hille) et Montégut, qu'une certaine Marguerite de Roquefort transmit au début du XVIIe siècle à son mari Jean-Louis de Rochechouart-Faudoas, sgr. de Barbazan[34].
Quant à Arignac et Crampagna, ils changèrent de famille dans la 1re moitié du XVIIe siècle, car Raimond de Comminges, baron de Pontéjac et d'Arignac, seigneur brigand, fut condamné par le Parlement en 1614 et mourut en prison ou exécuté[35]. Ses biens échurent plus tard à François de Minut baron du/de Castéra, sénéchal de Rouergue (fils de Jean, lui-même fils de Jacques de Minut, 1er président du Parlement de Toulouse en 1524-1536 ; un oncle de François et frère de Jean, Antoine de Minut, avait épousé Catherine de Comminges[36] : un lien avec Raymond de Comminges ?) ; la veuve héritière de François de Minut, Anne-Catherine du Bouzet de Roquépine, épousa en 1647 Marc-Antoine de Galard-Terraube[37] : cette dernière maison assuma la baronnie, avec Crampagna, jusqu'à la Révolution (Pontéjac étant passé par mariage aux Cardeilhac d'Auzon).
(Ces familles peuvent être mal connues, imprécises : ce qui précède ne vise qu'à donner les grandes lignes et à être complété ou corrigé. Pour donner une idée des risques de confusion, citons dans les biens possédés par la Maison de Comminges : Aurignac, Roquefort-sur-Garonne, L'Isle-en-Dodon ; et dans ceux des Rochechouart-Faudoas : Montégut...).
Les carrières de gypse du Sédour ont autrefois permis d'élaborer un plâtre réputé.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[38],[39].
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Foix, de la communauté de communes du Pays de Tarascon et du canton du Sabarthès (avant le redécoupage départemental de 2014, Arignac faisait partie de l'ex-canton de Tarascon-sur-Ariège).
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42]. En 2018, la commune comptait 700 habitants[Note 7], en diminution de 4,37 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
selon la population municipale des années : | 1968[45] | 1975[45] | 1982[45] | 1990[45] | 1999[45] | 2006[46] | 2009[47] | 2013[48] |
Rang de la commune dans le département | 49 | 38 | 33 | 39 | 47 | 41 | 39 | 40 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Enseignement
Arignac compte une école maternelle et élémentaire et fait partie de l'académie de Toulouse.
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- Michel Raluy, aquarelliste né en 1948 à Arignac[49].
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Arignac sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune d'Arignac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arignac et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arignac et Tarascon-sur-Ariège », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arignac », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 365-366.
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
- « Station Météo-France Tarascon-sur-Ariège - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Arignac et Tarascon-sur-Ariège », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Arignac et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Le château et les seigneurs de Marquein en Lauragais », sur A la découverte de l'Aude
- « Maison de Lévis (branche de Léran), p. 14 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2004, 2007 et 2021
- « Histoire du château de Gargas, à Viviès (Ariège) », sur Château de Gargas
- « Maison de Rochechouart : Faudoas-Barbazan, p. 23-24 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2006 et 2021
- « Raymond de Comminges, baron de Pontéjac et d'Arignac, p. 91 », sur Revue de Gascogne, t. XIX, à Auch, 1878
- « Jean de Minut », sur Geneanet, arbre de Bruno Muratet
- « Marc-Antoine de Galard et Anne-Catherine du Bouzet, p. 730-731 », sur La Maison de Galard, t. IV, par Joseph Noulens, chez Jules Claye, à Paris, 1876
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
- Bruno Labrousse, Les politiques Ariégeois
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Aquarelles d'Ariège de Michel Raluy », sur Youtube.com, (consulté le )
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