Ambigramme

Un ambigramme est la figure graphique d'un mot (ou d'un groupe de mots) dont la représentation suscite une double lecture. Un ambigramme doit ainsi pouvoir se lire selon différents points de vue, en particulier par symétrie centrale (demi-tour — exemple : New Man), par symétrie axiale (effet miroir — exemple : ABBA), ou parce que le lecteur fixe son attention sur différents éléments de la représentation. La double lecture d'un ambigramme peut donner le même mot, ou un autre mot (ou groupe de mots).

Le mot ambigramme redevient lui-même après rotation.
Ambigramme Ambigram / Wikipedia, symétrie par rotation de 180°.

L'existence d'ambigrammes est rendue possible notamment par la capacité humaine à reconnaître des caractères réalisés de manière imparfaite. La réalisation d'ambigrammes est souvent un thème d'exercices dans les écoles de graphisme[réf. nécessaire] et nécessite la maîtrise des illusions d'optique et des symétries. C'est aussi un exercice de calligraphie au même titre que le calligramme.

Historique

Ambigramme mirroir ΝΙΨΟΝΑΝΟΜΗΜΑΤΑΜΗΜΟΝΑΝΟΨΙΝ (Lavez mes péchés et pas seulement mon visage) inscrit en grec ancien au-dessus d'une fontaine d'eau bénite à l'extérieur du site de l'église Sainte-Sophie (Constantinople)[1]. Toutes les lettres sont symétriques verticalement, avec le N stylisé Ͷ à droite, la phrase peut-être lue de la même façon dans deux directions.
Ambigramme rotationnel Puzzle / the end par Peter Newell, 1893
Ambigrammes de Gustave Verbeek. Bande dessinée The Upside Downs of Little Lady Lovekins and Old Man Muffaroo - At the house of the writing pig (1904). Les phrases ambigrammes mi-anglaises mi-phonétique anglaise sont : "bid boy go away dis am home ob Mr h. hog" / "boy yew go away we sip home ob hog pig" (vignette 4) et "why big buns am mad u!" / "in pew we sung big hym" (vignette 5).

Bien que le terme soit récent, l'existence d'ambigrammes miroirs est attestée depuis au moins le premier millénaire. Ce sont généralement des palindromes stylisés pour être visuellement symétriques.

En grec ancien, la phrase « νιψον ανομηματα μη μοναν οψιν » (Lavez mes péchés et pas seulement mon visage), est un palindrome[2] retrouvé en plusieurs endroits, y compris sur le site de l'église Sainte-Sophie en Turquie[1]. Il est parfois transformé en ambigramme miroir lorsqu'il est écrit en majuscules avec la suppression des espaces et la stylisation de la lettre N (Ͷ).

Le premier palindrome carré Sator provient des ruines de Pompéi, ce qui signifie qu'il a été créé avant 79 après JC. Un carré de Sator utilisant l'écriture miroir pour la représentation des lettres S et N a été sculpté dans un mur de pierre à Oppède en France entre l'Empire romain et le Moyen Âge[3].

Le boustrophédon est un type de texte bidirectionnel que l'on peut voir dans certains manuscrits anciens. Toutes les lignes d'écriture sont inversées successivement, avec des lettres calligraphiées à l'envers. Plutôt que d'aller de gauche à droite comme dans les langues européennes modernes, ou de droite à gauche comme en arabe et en hébreu, les lignes alternées du boustrophédon doivent être lues dans des directions opposées. Chaque caractère est retourné individuellement comme dans un miroir. C'était une manière courante d'écrire dans la pierre en Grèce antique.

Ambigramme miroir sur panneau ottoman représentant la phrase علي ولي الله (Ali est le gardien de Dieu, en arabe), entre 1720 et 1730.

L'écriture en miroir dans la calligraphie islamique (en) a prospéré au début de la période moderne, mais ses origines peuvent remonter aux inscriptions en reflet préislamiques gravées sur pierre dans le Hedjaz.

Ambigrammes en anglais publiés dans The Strand Magazine en juin 1908.

Bien que le terme ambigramme n'ait été inventé que plus tard, certains mots de type rotationnel apparaissent à la fin du XIXe siècle, avec la possibilité technique de reproduire des écritures « dessinées » dans la presse et l'édition. En 1893, l'illustrateur américain Peter Newell publie un recueil de dessins réversibles qui, selon le sens où ils sont regardés, offrent des images différentes : Topsys and Turvys. À la dernière page, l'inscription THE END peut être lue à l'envers PUZZLE. Dans le second volume, publié en 1902, on peut lire THE END/PUZZLE 2.

En 1903, Gustave Verbeck crée The Upside-Downs of Little Lady Lovekins and Old Man Muffaroo, une soixantaine de bandes dessinées où, pour savoir la suite, il faut tourner la page de dessins à l'envers, le texte étant écrit dans les deux sens.

Bouton en métal New Man sur une chemise, logo ambigramme créé par Raymond Loewy en 1969[4].

De juin à , le journal britannique The Strand publie parmi ses Curiosités des ambigrammes de différents auteurs, généralement envoyés par des lecteurs. On considère encore qu’il s’agit de particularités propres à certains mots et on n’essaie pas encore de « forcer » la création d’ambigrammes en manipulant plus ou moins la graphie. C’est dans cette optique qu’en 1969 Raymond Loewy crée le logo New Man[4], qui tire parti de la réversibilité naturelle des lettres N, m/w, a/e. À partir des années 1970 apparaissent de nombreux logos ambigrammes (Sun, VIA, VOA, ABBA, Opodo, Nissin, OXO, Sonos, IXXI, InOui, DMC, NIͶ, Handy (en), POD, etc.)

De leur côté, les artistes américains John Langdon et Scott Kim travaillent sur l’ambigramme en pensant explorer un domaine nouveau, ce qui est vrai dans une certaine mesure. Douglas Hofstadter, universitaire, mène une réflexion approfondie sur l’ambigramme. C’est d’ailleurs à la suite de discussions avec ses amis qu’il invente le mot. En , le dictionnaire de référence Oxford intègre dans sa base ce mot nouveau[5].

Graphisme

La qualité d'un ambigramme tient à sa lisibilité dans les deux sens, à son graphisme (calligraphie, typographie), et à la manière dont les éléments nécessaires à la lecture dans un sens (accents, signes diacritiques, ligatures et fioritures) s'intègrent à l'ensemble et ne perturbent pas la lecture dans l'autre sens.[6]

Si beaucoup de mots peuvent être transformés en ambigramme, certains néanmoins se symétrisent mieux que d'autres. Ainsi en français les mots comme axe, apode ou nounou se retournent naturellement presque à l'identique avec une police typographique standard.

L'art des ambigrammes repose sur trois critères : d'abord le choix des mots avec la pertinence des significations, ensuite la cohérence dans l'association des caractères pour les combinaisons potentielles, enfin la réalisation proprement dite, c'est-à-dire l'élégance du dessin, la pureté du tracé et surtout la lisibilité[6].

L'exercice d'écriture d'un ambigramme est réputé assez difficile, pourtant il existe une multitude de styles valables pour un même mot, qui varient d'un artiste à l'autre. Le roman best-seller Anges et démons de Dan Brown, dans lequel les ambigrammes jouent un rôle non négligeable, a contribué à populariser ceux de John Langdon (en). Avant d'être dessiné, un ambigramme peut être envisagé sous la forme d'un problème à résoudre. Des astuces existent que les érudits connaissent ou inventent, et une certaine expérience entre aussi en ligne de compte dans la pratique. Une notion essentielle à l'art des ambigrammes est que plus un mot est intrigant, plus il inspire, et réciproquement, un mot décrypté avec une apparence particulière est jugé sur le plan esthétique. Pour l'artiste, il ne suffit pas d'intégrer au dessin des ornements et diverses enluminures pour rendre son sujet captivant, la difficulté consiste surtout à révéler des courbes harmonieuses à travers la structure des lettres, des indices utiles au décryptage, enfin une combinaison graphique cohérente pour l'ensemble.

Exemples de choix typographiques en fonction de mots :

En France, le designer Raymond Loewy[4], l'illustrateur Étienne Lécroart[7], l'artiste graphique Alain Nicolas[8],[9], le graphiste et illustrateur Jean-Claude Pertuzé, le graphiste et typographe Joël Guenoun[10],[11], le graphiste Julien David[12],[13], et le plasticien Patrice Hamel[14] ont travaillé sur les ambigrammes.

L'écrivain Georges Perec, membre de l'Oulipo et auteur de nombreux palindromes, a créé un ambigramme rotationnel[15],[16]. Sa phrase, « andin basnoda a une epouse qui pue », pivote à 180° avec une police typographique classique telle qu'Arial, si l'on adapte les espaces.[17] Le graphiste et typographe français Pierre di Sciullo a créé une police d'écriture nommée "Basnoda" en hommage à cet ambigramme que Perec nommait "palindrome vertical"[15],[18].

Différents types

Les ambigrammes appartiennent généralement à l'une de ces trois catégories : pivotant, miroir ou morphologique.

Ambigrammes pivotants

Les ambigrammes pivotants, appelés aussi ambigrammes par rotation de 180°, sont lisibles à l'envers, et donc symétriques par rapport au centre. Ce sont les plus fréquents et ceux qu'on associe généralement au terme, bien que les ambigrammes ne se limitent pas exclusivement à cette catégorie.

Le dessin retourné peut alors générer soit le même mot, soit un mot nouveau.

Exemples d'ambigrammes pivotants où le mot reste lui-même :

En 2017, la SNCF adopte la marque inOui avec un logo ambigramme lisible à 180 degrés pour tous ses TGV. Paul McCartney sur la couverture de son album Chaos and Creation in the Backyard a son nom lisible à l'endroit comme à l'envers[19]. L'agence de voyages Opodo et le jeu vidéo pod possèdent également des identités visuelles basées sur ce type de symétrie.

Exemples d'ambigrammes pivotants où le mot change :

La pochette de l'album Funeral (en) du rappeur Lil Wayne, sorti en 2020, utilise cette symétrie pour fusionner le nom de l'album, lisible dans un sens, avec le nom du chanteur, de l'autre[20].

Ambigrammes miroirs

Les ambigrammes miroirs, ou ambigrammes par réflexion, sont lisibles par une symétrie axiale (verticale ou horizontale, plus rarement à 45°). Quand l'axe de symétrie est vertical, le mot peut se lire à travers une vitre des deux côtés. Certains autocollants sont ainsi dessinés pour être décryptés recto ou verso.

Les groupes de musique ABBA, Nine Inch Nails abrégé NIИ, et Water on Mars (avec son acronyme WOM), utilisent des ambigrammes miroir pour leurs logos. Les confiseries Maoam[21] du groupe Haribo montrent également cinq lettres symétriques horizontalement. Temporairement, la façade de la Gare du Nord à Paris (hall d'accueil en verre des trains régionaux) : vu de l'extérieur, le mot « entrée » inscrit en écriture cursive au frontispice du bâtiment, se lisait « sortie » par transparence, à l'intérieur du hall[22].

Exemples d'ambigrammes miroirs, symétriques par rapport à un axe vertical :

Quand l'axe de symétrie est horizontal, l'ambigramme peut se lire à travers un miroir posé au sol, une surface réfléchissante comme l'eau d'un étang, etc.

Exemples d'ambigrammes miroirs, symétriques par rapport à un axe horizontal :

Ambigrammes morphologiques

D'autres ambigrammes non symétriques sont néanmoins doublement lisibles grâce à un jeu de morphologie. C'est le cas notamment des mots imbriqués, quand l'espace de séparation entre les lettres est discrètement utilisé afin de former d'autres lettres aux formes complémentaires, constituant ainsi un mot différent du premier. En anglais, le dessin You / Me de John Langdon entre dans ce répertoire. Pour qu'un ambigramme de ce type soit réussi, il faut que les deux mots se déchiffrent spontanément tout en donnant l'illusion d'un seul.

Ambigramme de Douglas Hofstadter illustrant le principe scientifique de dualité onde-corpuscule : Light is a wave/particle, puisque la lumière peut être considérée à la fois comme une onde ou comme une particule.

Toujours dans cette catégorie, on trouve des ambigrammes qui révèlent deux mots par la forme et la disposition des lettres qui les composent. En anglais, un ambigramme classique de ce genre est la phrase Light is a wave (la lumière est une onde) qui devient Light is a particle (la lumière est une particule) lorsque le regard insiste et décompose le texte.

Peuvent être aussi considérés comme ambigrammes les mots qui se transforment en images, lorsque l'image entretient un lien étroit avec la signification du mot. Un exemple bien connu est le mot Liar en anglais (« menteur ») qui montre un visage de profil lorsqu'on incline légèrement la tête.

Enfin, tout dessin réalisé en vue de susciter une lecture multiple pour une écriture unique peut être assimilé à un ambigramme.

Exemple d'ambigramme morphologique en français : Lisible / Visible

Autres symétries

Le tableau ci-dessous présente des exemples d'ambigrammes "naturels" selon les différentes symétries possibles. Les mots homogrammes restent inchangés après transformation, tandis que les hétérogrammes produisent d'autres mots[27].

Miroir
Angle Type Homogrammes Hétérogrammes
Totem
90°
Totem
45°
135°
Rotation
Angle Sens Homogrammes Hétérogrammes
180°
90° horaire
trigo.

Certains ambigrammes sont à la fois pivotants et miroirs, tandis que d'autres, nommés "spinonymes", exploitent le même graphème reproduit plusieurs fois, avec des rotations ou des réflexions pour générer les différents glyphes[6].

Les ambigrammes 3D sont des sculptures en volumes générant des lettres, voire des mots, différents selon l'orientation de la lumière, grâce aux ombres portées dans trois directions X, Y et Z. Ainsi, la couverture du Prix Pulitzer Gödel, Escher, Bach, les brins d'une guirlande éternelle affiche les lettres E, G et B, les trois initiales des noms contenus dans le titre du livre, depuis un ambigramme 3D créé par ordinateur.

Ambigrammes de perception figure-fond

Certains mots peuvent se lire via l'espace négatif dessiné entre les lettres. Dans ce cas, un mot apparaît à la première lecture, puis un autre (ou le même) lorsque l'attention se dirige vers la silhouette intégrée dans la surface vide[6]. Le graphiste et typographe français Joël Guenoun a publié plusieurs ouvrages exploitant cette possibilité[11],[10].

Ambigrammes chaîne

Avec les dernières lettres d'un mot combinées aux premières, certains ambigrammes peuvent s'enchaîner à la suite et former une boucle ou une spirale infinie. C'est ce qu'on appelle les ambigrammes chaîne[6]. Ces mots ne sont lisibles qu'en groupe et ne peuvent être isolés (sauf si la chaîne est constituée d'un mot unique).

Pavages ambigrammes

Avec les pavages figuratifs ou conceptuels tels que ceux d'Alain Nicolas[8],[9], les ambigrammes peuvent s'orienter dans trois, quatre, et jusqu'à six directions via des symétries par rotation de 120°, 90° et 60° respectivement[6]. Certains mots peuvent aussi se transformer dans l'espace négatifs, mais la multiplication des contraintes a souvent pour effet de réduire, soit la lisibilité, soit la complexité des mots calligraphiés.

Ambigrammes dans d'autres langues

Si l'alphabet latin s'adapte relativement bien à cet exercice, les ambigrammes ne se limitent cependant pas à l'occident et l'on trouve des ambigrammes dans presque toutes les langues et systèmes d’écriture, y compris en chinois, coréen, bengali, arabe, grec, hébreu ou ukrainien.

Ambigrammes de nombres

Les chiffres peuvent également se combiner pour former certaines opérations arithmétiques, des dates, ou des logos.

Dessin ambigramme

Le dessin qu’il suffit de retourner à 180 degrés pour voir une image différente est une très ancienne tradition de l’imagerie populaire : une tête, retournée, montre un visage totalement différent. Plus perfectionné, en 1903, Gustave Verbeck crée The Upside-Downs of Little Lady Lovekins and Old Man Muffaroo, une soixantaine de bandes dessinées où, pour savoir la suite, il faut tourner le dessin à l'envers, le texte étant écrit dans les deux sens. La petite fille, retournée, représente le vieux monsieur, et réciproquement.


Références

  1. R. Langford-James, A Dictionary of the Eastern Orthodox Church, Ayer Publishing, (ISBN 0-8337-5047-X), p. 61.
  2. Barry J. Blake, Secret Language: Codes, Tricks, Spies, Thieves, and Symbols, Oxford University Press, 2010, (ISBN 0-19-957928-8), p. 15.
  3. (en) « New Man », sur Logobook (consulté le )
  4. (en) « Ambigram.com », sur ambigram.com (consulté le ).
  5. (en) Nikita Prokhorov, Ambigrams Revealed : A Graphic Designer's Guide To Creating Typographic Art Using Optical Illusions, Symmetry, and Visual Perception, New Riders, , 162 p. (ISBN 978-0-13-308646-1, lire en ligne)
  6. « Étienne Lécroart », sur larousse.fr (consulté le ).
  7. (en) « Ambigrams revealed », sur Google Books (consulté le )
  8. « Parcelles d'infini - promenade au jardin d'Escher - Alain Nicolas », sur Bibliothèque Nationale de France, (consulté le )
  9. « Guenoun, Joël », sur Bibliothèque Nationale de France, (consulté le )
  10. « Joël Guenoun - Biographie & Informations », sur Babelio (consulté le )
  11. « Julien David, Le traducteur magique », sur Bibliothèque Nationale de France (consulté le )
  12. « Julien David - Réversibles - le livre magique où les mots prennent tous leurs sens », sur Biliothèque Nationale de France (consulté le )
  13. « Patrice Hamel, magicien des lettres », sur Le Monde, (consulté le )
  14. « L'écrit touareg du sable au papier.Un typographe français a retranscrit l'alphabet des hommes du désert. », sur Libération, (consulté le )
  15. « Les tristes épousailles d'Andin Basnoda, Pierre di Sciullo & Bernard Magné », sur Cabinet Perec (consulté le )
  16. « Ambigramme de Georges Perec - andin basnoda a une epouse qui pue - animation », sur Wikimedia Commons (consulté le ).
  17. « Ce repère, Perec. », sur APMEP (Association des Professeurs de Mathématiques de l'Enseignement Public) (consulté le ).
  18. Couverture de l'album
  19. « Lil Wayne releases his 13th album, Funeral » [archive du ], sur Entertainment Weekly (consulté le )
  20. MAOAM
  21. Six autres bâtiments publics du Xe arrondissement de Paris ont également accueilli ces œuvres dans le cadre de l'exposition « le sens de la visite », de Patrice Hamel. D'autres expositions du même auteur ont également consisté en l'affichage d'ambigrammes dans des lieux publics. patricehamel.org.
  22. « Penelope Gate : la photo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis ce weekend », sur Téléstar, (consulté le )
  23. « Avec un miroir, Pénélope devient "bénévole" », sur Le Soir, (consulté le )
  24. « PenelopeGate: voici la photo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis ce week-end, et vous n’y aviez certainement pas pensé! », sur SudInfo, (consulté le )
  25. « Penelope Gate : la photo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis ce weekend », sur Le Matin, (consulté le )
  26. (en) Walter de Gruyter, Semiotik Semiotics, Herbert Ernst Wiegand, , 3588 p. (ISBN 978-3-11-017962-0, lire en ligne)

Annexes

Articles connexes

    • Portail de l’écriture
    • Portail de la psychologie
    • Portail de l’œil et de la vue
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.