Aigues-Juntes
Aigues-Juntes est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Aigues-Juntes | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Gilles Soula 2020-2026 |
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Code postal | 09240 | ||||
Code commune | 09001 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aigues-Juntais | ||||
Population municipale |
63 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 8,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 03′ 23″ nord, 1° 28′ 18″ est | ||||
Altitude | Min. 340 m Max. 616 m |
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Superficie | 7,77 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Couserans Est | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
La commune d'Aigues-Juntes se situe à l'extrême nord-est du pays du Couserans, entre les communes de Foix et du Mas d'Azil, sur la D 1, dominée par le massif du Plantaurel au nord et des forêts au sud.
La commune appartient en outre au parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises[N 1].
Communes limitrophes
Hydrographie
Un ruisseau, l'Argentat (anciennement Argensac[2]), coule le long de la D1, rejoint par plusieurs affluents sur le territoire de la commune (les ruisseaux de Pierroutous, du Masuré, de Naudous, de la goute de la Ménisque, de la goute du Pont, de l'église, du Bosc, du Ramé). Il se jette dans la Lèze au nord de la commune[3].
À l'ouest du village, à environ deux kilomètres et en bordure de commune, se trouve le lac de Mondély, créé en 1980 pour l'irrigation et le soutien des étiages de la Lèze et où se jettent les ruisseaux du Gay et de la Barguère, également sur le territoire de la commune. Il se trouve à environ 386 m d'altitude.
Géologie et relief
Le village se situe au fond d'une vallée creusée lors du tertiaire, sur un sol de poudingue[4]. En l’occurrence, la vallée se trouve sur les strates dites de poudingues de Palassou, placées sur la faille nord-pyrénéenne[5].
Aigues-Juntes est sur le piémont pyrénéen, plus précisément le Plantaurel, massif de faible altitude (les plus hauts sommets ne dépassent pas 1 000 m). Le village en lui-même est sur l'adret du Plantaurel, à une altitude de 340 m en moyenne, avec un maximum de 616 m à l'extrême sud[6].
Plusieurs grottes percent les falaises du massif du Plantaurel, et notamment la grotte du Pigailh à trois kilomètres au nord du village, qui a révélé des restes archéologiques et a abrité des maquisards[3].
Sismicité et catastrophes
Placée sur la faille faille nord-pyrénéenne, la commune d'Aigues-Juntes est classée dans une zone 1A (risque très faible mais non négligeable)[7]. Les autres risques répertoriés pour Aigues-Juntes sont les feux de forêt, les ruptures de barrages, les inondations[8].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14],[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cadarcet », sur la commune de Cadarcet, mise en service en 2000[16]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[17],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,8 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 30 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[22].
Urbanisme
Typologie
Aigues-Juntes est une commune rurale[Note 3],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].
Hameaux
Les deux principaux hameaux rattachés à la commune sont le Fourné et les Pierroutous, mais plusieurs autres fermes ou groupes de maisons sont éparpillés sur le territoire de la commune (notamment les lieux-dits de Naudoux, du Taussoulet et de Jody)[3],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,6 %), prairies (21,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11 %), eaux continentales[Note 4] (2,7 %)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom Aigues-Juntes vient de l'occitan Aigasjuntas[29], issu du latin aquae (les eaux) et junctae (jointes, réunies), en référence à deux cours d'eau, l'One et la Pique, qui se rencontrent à l'ouest de la commune[30],[31].
L'occitan Aigasjuntas est devenu un Aigues-Juntes en français. L'écriture Aigues juntes est la même en catalan.
Histoire
Des fouilles effectuées par M. Miquel et M. Ladevèze en 1888 dans la grotte du Pigailh ont révélé un site de l'Âge du fer et de l'époque gallo-romaine. Y ont notamment été découvertes des pièces de monnaie et des médailles gallo-romaines à l'effigie d'Antonin le Pieux, de Tetricus I et de Licinius, ainsi que de la poterie et de petits objets[32],[31].
Du XIIIe siècle à la Révolution, Aigues-Juntes forme une enclave de la province de Languedoc dans le comté de Foix, sous l'autorité du prieur claustral du Mas d'Azil[33],[31].
La grotte du Pigailh a abrité des maquisards durant l'Occupation[3].
Politique et administration
Au premier tour des élections présidentielles de 2012, c'est la commune de France qui a voté le plus massivement pour le front de gauche de J. L. Mélenchon, avec un score de 61,90 % sur un total de 43 votants pour 48 inscrits. Le reste des voix se divise ainsi : F. Hollande 16,67 %, F. Bayrou 7,14 %, N. Sarkozy 7,14 %, P. Poutou 4,76 %, M. Le Pen 2,38 %.
Administration municipale
De par son nombre d'habitants (moins de 100), la commune dispose d'un conseil municipal de 9 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[34]).
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36]. En 2018, la commune comptait 63 habitants[Note 5], en augmentation de 18,87 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Au début des années 1761, on compte 30 feux sur la commune[39]. Par la suite, l'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Aigues-Juntes depuis cette date. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Aigues-Juntes, cela correspond à 2005, 2010, etc. Les autres dates de « recensements » (2006, 2008, etc.) sont des estimations[40],[N 2]. Sur la période recensée, le maximum de la population a été atteint en 1806 avec 427 habitants. En 2008, Aigues-Juntes comptait 41 habitants soit une diminution de 16 % par rapport à 1999. La commune occupait le 36 067e rang au niveau national, alors qu'elle était au 35 614e en 1999, et le 292e au niveau départemental sur 332 communes.
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (46,5 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (28,3 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,2 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 51,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 4,5 %, 15 à 29 ans = 9,1 %, 30 à 44 ans = 13,6 %, 45 à 59 ans = 27,3 %, plus de 60 ans = 45,5 %) ;
- 48,8 % de femmes (0 à 14 ans = 14,3 %, 15 à 29 ans = 9,5 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 9,5 %, plus de 60 ans = 47,7 %).
Enseignement
L'école, située au hameau du Fourné, est désaffectée. L'école la plus proche est désormais celle de Montégut, à trois kilomètres au nord.
Sports
La commune offre la possibilité d'une pratique de la randonnée, notamment avec des parcours plus ou moins balisés autour du lac, mais aussi de l'escalade et de l'équitation[42].
Santé
Il n'y a ni pharmacie, ni médecin à Aigues-Juntes, les plus proches se trouvant à La Bastide-de-Sérou soit à environ 6 kilomètres. Le Centre hospitalier intercommunal des vallées de l'Ariège, le plus important du département, se situe à Saint-Jean-de-Verges à une douzaine de kilomètres.
Économie
Emploi
L'agriculture (blé, vignes, fruits) et l'élevage (bovins) représentent une part importante des emplois à Aigues-Juntes. La population active pour 2007 est de 71,4 % (soit 19 actifs). Le chômage y est néanmoins nul.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église dédiée à saint Barthélemy est au hameau du Fournié. C'est à l'origine un édifice roman, reconstruit de 1861 à 1864[31].
- Le monument aux morts, située près du clocher, est une représentation du Christ en croix[43].
- La commune possède aussi un lavoir-abreuvoir, reconverti en jardinière.
- La grotte du Pigailh a abrité des êtres humains comme l'ont révélé les restes archéologiques qui y ont été découverts. Elle a également été un abri pour des maquisards pendant la Seconde Guerre mondiale[3].
- Enfin, le lac de Mondély, à cheval sur trois communes : Aigues-Juntes, La Bastide-de-Sérou et Gabre.
- Moulin du Pas del Roc.
- L'église Saint-Barthélemy.
- L'église.
- Chevet de l'église.
- Monument aux morts avec une statue d'un Christ en croix.
- Moulin du Pas del Roc.
Personnalités liées à la commune
- Saturnin Marc de Boyer (1753-1840), député sous le Premier Empire, était seigneur d'Aigues-Juntes et de Montégut[44].
- Paul Bégou, résistant et maire pendant 42 ans.
Pour approfondir
Bibliographie
- Miquel, « Grotte du Pigailh à Aigues-Juntes », Bulletin de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, vol. III, 1889-1890, p. 222-226 (ISSN 0988-1557, lire en ligne)
- Les communes du département de l'Ariège : Annuaire 1907, t. 1, Paris, Lacour-Ollé, , 258 p. (ISBN 2-7504-1339-7), p. 353
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Plan du parc interactif », sur le site officiel du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises (consulté le )
- Par convention, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de présenter :
* pour 2004 et 2005 la population réelle publiée dans la base Cassini (attribuée par convention à l'année 2006 par l'EHESS) si elle existe ;
* la population 2006, première population légale connue post-1999 publiée par l’Insee ;
* les populations suivantes correspondant aux années réelles de recensement publiées par l’Insee ;
* la dernière population légale publiée par l’Insee.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Elisée De Robert-Garils, Monographie d'une famille et d'un village : La famille de Robert et les gentils-hommes verriers de Gabre, Toulouse, Éditions Privat, , 427 p. (lire en ligne), p. 191
- « Aigues-Juntes », sur le site du Centre de gestion de la fonction publique territoriale de l'Ariège (consulté le )
- « Carte Géologique simplifiée de l'Ariège », sur http://vira.1.free.fr (consulté le )
- « Répartition des corps ultrabasiques le long de la chaîne des Pyrénées », sur http://pedagogie.ac-toulouse.fr, Académie de Toulouse (consulté le )
- « Carte d'Aigues-Juntes », sur Géoportail (consulté le )
- « Cartographie des risques en Ariège », sur Portail de la prévention des Risques Majeurs (consulté le )
- « Base Gaspar - Risques pour le département ARIEGE », sur Portail de la prévention des Risques Majeurs (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (oc) P. Pojada, Las Comunas de Miègjorn-Pirenèus, Nouvelles Editions Loubatières,
- S. M..., « La Pique et les foires de Piqué prés Luchon », Revue de Comminges, no XIX, 1885 (3e trimestre), p. 144 (ISSN 0035-1059, lire en ligne)
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- Arnaud Esquerrier, Chroniques romanes des comtes de Foix, Paris, A. Picard et fils, , 192 p. (lire en ligne), p. 102
- (fr) « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, livre de 1761
- « Calendrier de recensement », sur insee.fr (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de l'Ariège en 2007 », sur insee.fr (consulté le )
- Michel de La Torre, Ariège : Le guide complet de ses 332 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5009-8)
- « Aigues-Juntes : monument aux morts », sur memorialgenweb.org
- Les Politiques Ariégeois, 1789 - 2003
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