La Bastide-de-Sérou
La Bastide-de-Sérou (en occitan : La Bastida de Seron) est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir La Bastide.
La Bastide-de-Sérou | |||||
Le bourg vu du ciel en 2016. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Ariège | ||||
Arrondissement | Saint-Girons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Christophe Pillon 2020-2026 |
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Code postal | 09240 | ||||
Code commune | 09042 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bastidiens | ||||
Population municipale |
967 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 00′ 46″ nord, 1° 25′ 43″ est | ||||
Altitude | 406 m Min. 354 m Max. 692 m |
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Superficie | 43,62 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Couserans Est | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.mairielabastidedeserou.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune de Bastide-de-Sérou se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 15 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, et à 23 km de Saint-Girons[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Nescus (2,2 km), Suzan (2,8 km), Larbont (3,1 km), Montels (3,7 km), Montagagne (4,3 km), Alzen (4,4 km), Sentenac-de-Sérou (5,5 km), Allières (5,7 km).
Sur le plan historique et culturel, La Bastide-de-Sérou fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[5].
La commune de Suzan forme une enclave au milieu du territoire de La Bastide-de-Sérou. Suzan est la seule commune française non délimitée. Elle est cadastrée entièrement sur la commune de La Bastide-de-Sérou[7].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionalesLa station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1991 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −1,3 | −0,6 | 1,5 | 3,7 | 7,9 | 11,3 | 13,2 | 12,9 | 9,1 | 6,5 | 1,9 | −0,7 | 5,5 |
Température moyenne (°C) | 4,4 | 5,4 | 8,1 | 10,1 | 14,2 | 17,6 | 19,7 | 19,7 | 16,1 | 12,8 | 7,6 | 4,8 | 11,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,2 | 11,4 | 14,6 | 16,5 | 20,6 | 23,9 | 26,3 | 26,5 | 23,1 | 19,1 | 13,3 | 10,3 | 18 |
Record de froid (°C) date du record |
−13 12.01.10 |
−17 09.02.12 |
−16,5 01.03.05 |
−5 05.04.1996 |
−2 06.05.19 |
1 01.06.06 |
5 09.07.04 |
3 29.08.1998 |
−1 26.09.02 |
−5,5 30.10.12 |
−11 18.11.07 |
−14 25.12.01 |
−17 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21 13.01.15 |
29 27.02.19 |
28 24.03.01 |
29 30.04.05 |
32 13.05.15 |
37,5 29.06.19 |
38 25.07.19 |
39 13.08.03 |
35 02.09.1999 |
32 07.10.09 |
26 01.11.14 |
23 08.12.10 |
39 2003 |
Ensoleillement (h) | 66,4 | 87,3 | 140,5 | 176,2 | 207 | 216,6 | 221,3 | 224,6 | 179,2 | 121,1 | 70,6 | 56,6 | 1 767,3 |
Précipitations (mm) | 81,1 | 64,8 | 72,4 | 115 | 115,5 | 98,1 | 64 | 78,6 | 85,9 | 96,4 | 98,9 | 89,8 | 1 060,5 |
Urbanisme
Typologie
La Bastide-de-Sérou est une commune rurale[Note 3],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,3 %), prairies (31 %), forêts (24,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,4 %), terres arables (3,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %), zones urbanisées (1,1 %), eaux continentales[Note 4] (0,5 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Pays des Serones, ancienne peuplade gauloise.
Histoire
Des vestiges de l'antiquité sont encore visibles dans les environs : amphores de Nescus, lac asséché d'Alzen, mines des Atiels, chemin gallo-romain vers Castelnau-Durban...
Au Moyen Âge, le village est chef-lieu de l'une des seize châtellenies du comté de Foix.
En 1150, la Bastide-de-Sérou s'appelait Montesquieu (Mont Farouche) et était alors composée des quartiers Noir et de la Faurie. Puis, en 1246, Montesquieu devient la Bastide d'Antuzan.
Le comte de Foix conforte son domaine vers l'ouest en prenant l'initiative de créer des bastides, d'abord Le Mas d'Azil (1246) puis La Bastide-de-Sérou[19].En 1252, la commune passe sous le régime de la charte de Roger IV de Foix qui remet en question le monopole des moulins et forges. La place retrouve son nom primitif et Roger IV l'entoura d'une enceinte de murailles avec quatre portes : la porte du Mas, la porte de Foix, la porte d'Arize et la porte de la Faurie.
C'est au XIVe siècle que le bourg prend son nom actuel. Le château, mentionné en 1255, fut rasé sous ordre de Louis XIII. Il abritait une garnison du comte de Foix, ainsi qu'une prison. Son imposante enceinte était suivie par des escoussières (chemin de ronde). La ville était encore enclose en 1672.
Gaston Ier de Foix-Béarn, qui avait épousé Ferdinande de Nègrepont, fut appelé à la cour de Philippe le Bel. Ce dernier encouragea les amours de sa nièce, Jeanne d'Artois, et de Gaston Ier, au détriment de Ferdinande de Nègrepont. Gaston Ier envoya une ambassade au pape pour recevoir une autorisation de répudiation de Ferdinande. Ce qui lui fut refusé. Philippe le Bel passa outre et obligea son chapelain à consacrer son nouveau mariage. Ferdinande se réfugia au château de la Bastide-de-Sérou. Leur relation perdura néanmoins et Ferdinande tomba enceinte. Elle s'établit alors à « la Tour » de la Bastide-de-Sérou, où naquit le garçon, Lou. (« La Tour de Lou » devenue aujourd'hui « La Tour du loup »). Gaston Ier fit construire pour Ferdinande l'abbaye des Salenques aux Bordes-sur-Arize [réf. nécessaire].
Le titre de maire apparaît pour la première fois en 1745. Comme de nombreuses communes de la région, femmes et hommes étaient en égalité pour la prise des décisions.
Les événements de 1789, qui furent connus plus tard, entraînèrent à La Bastide la confiscation des armes des nobles, la peur des prêtres dont certains se cachèrent, la fermeture de l'église dont six cloches seront fondues.
L'arbre de la Liberté était dressé en haut de la place et fut replanté en 1848. Il donne naissance à une chanson : Aquet arbré, aro l'aben arrapat …
En 1823, le champ de Mars est planté d'ormeaux qui seront remplacés par des platanes en 1836. Également en 1823, la mairie achète un immeuble place de l'église pour en faire un hospice.
La halle actuelle date de 1829-1830, remplaçant l'ancienne, dont le couvert reposait sur 21 piliers de pierre. Les mesures sont en place depuis 1872.
L'église Saint-Jean-Baptiste, remaniée sans style déterminé, abrite un christ rhénan du XVe siècle et une piéta, tous les deux classés.
Vers 1843, les rues furent éclairées de douze réverbères. La chapelle Saint-Roch date de 1852. Une terrible épidémie de choléra frappa le bourg en 1854 ; elle fit de nombreux morts dont la majorité fut inhumée dans la nouvelle chapelle.
À l'intérieur des murailles, les petites gens disposaient toujours de maisons où les animaux vivaient également. La Bastide-de-Sérou a longtemps manqué d'eau à l'intérieur de ses murailles : source du foirail, source del cassé et quelques puits locaux. Après 1858, l'eau fut amenée de la tour de Loli, alimentant les bornes fontaines.
Fondation de la caisse d'épargne en 1862 puis, en 1864, construction du bureau du télégraphe. Vers 1870, il y avait quatre foires par an, chacune durant deux jours. La Maison commune (hôtel de ville) était alors à l'angle de la rue de Foix et de la rue de la Rose. Le couvent des Cordeliers, qui date de 1222, abrite une ferme depuis 1882.
La commune était desservie par la ligne ferroviaire de Foix à Saint-Girons mise en service en 1902 depuis Foix puis en 1903 vers Saint-Girons. Elle a été fermée au service des voyageurs le . Elle a été valorisée en voie verte pour la randonnée pédestre et cycliste autour de 2010.
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2018, la commune comptait 967 habitants[Note 5], en augmentation de 0,73 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
École municipale et son CLAE
Économie
Plus de 200 entreprises, très majoritairement individuelles, sont installées sur la commune.
Au Champ-de-Mars se tient un marché hebdomadaire le jeudi matin.
Inaugurés en 1989, les 24 chalets du village de vacances communal vont être rénovés avec du mélèze local par des entreprises du secteur[25]. Par cette rénovation, un classement 3 étoiles et le label Tourisme et handicap est attendu en 2019.
De nombreux artisans et producteurs « bio » sont installés dans le périmètre de la commune. La foire « Ariège en bio 2018 » s'y déroule le .
- « El Biscarron », fromage de type pâte molle produit à partir de lait cru de vache, crottins de chèvre nature et aux herbes, ferme de la Biscarrère, au hameau les Estaniels.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jean-Baptiste de La Bastide-de-Sérou.
- Église Notre-Dame-de-la-Nativité-de-la-Vierge, au hameau d'Unjat, inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1992[26].
- Église de la Nativité-de-la-Vierge-Marie de Brouzenac.
- Église Saint-Pierre-aux-Liens d'Aron[27],[28].
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Vic-de-Sérou[29].
- Chapelle du château Castelmire de La Bastide-de-Sérou.
- Chapelle Saint-Roch de La Bastide-de-Sérou.
- Deux arbres remarquables : le chêne d’Antuzan, 700 ans, 6 m de circonférence (coordonnées GPS : 370273 – 4764679) et le châtaignier de la Beuze, 300 ans, 6 m de circonférence (coordonnées GPS : 372102 – 4764145).
- Mine de cuivre gallo-romaine du Goutil, classée aux monuments historiques en 1982.
- Réserve d'eau transformée en un lac de montagne, avec maîtres nageurs en été.
- Élevage et exposition de reptiles, à Brouzenac.
- Lieux Historiques
- Église Saint-Jean-Baptiste de La Bastide-de-Sérou.
- Vue sur les Pyrénées et sur La Bastide-de-Sérou.
- Lac de Mondély.
- Lac de Mondély.
- Lac de Mondély, panorama.
- Mine de cuivre de Goutil.
Personnalités liées à la commune
- Adolphe d'Assier (1827-1889), explorateur et écrivain français né à La Bastide et mort à Aulus-les-Bains.
- Lucien Lafont de Sentenac (1893-1986), directeur des haras de Cluny (années 1920), Pau - Gelos (1930), Villeneuve-sur-Lot (1940), Tarbes (1950), habitant à Estaniels (hameau de La Bastide), a réhabilité le cheval de Mérens comme cheval de compagnie.
- Mathilde Mir, née à La Bastide-de-Sérou en 1896, morte en 1958, est une enseignante, résistante et écrivaine française.
Héraldique
Blason | D'azur à une tour d'or sur une terrasse de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- La Bastide-de-Sérou sur le site de l'Institut géographique national
- La Bastide-de-Sérou sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune de Bastide-de-Sérou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre La Bastide-de-Sérou et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre La Bastide-de-Sérou et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de La Bastide-de-Sérou », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
- Carte IGN sous Géoportail
- Cadastre de la commune de La Bastide-de-Sérou
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Simone Henry, Comminges et Couserans, Toulouse, Privat, , 254 pages p. (ISBN 2-7089-7108-5), page 76
- Site de la mairie.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Maylis Jean-Préau, « Ariège : une commune choisit du bois local pour rénover son village vacances », Le Parisien, (lire en ligne)
- « Eglise d'Unjat », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « La Bastide-de-Sérou. Quand il y a messe à Aron », sur ladepeche.fr (consulté le )
- « Horaires », sur Eglise info (consulté le )
- « Horaires », sur Eglise info (consulté le )
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