Alzen

Alzen est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

Alzen

Vue générale du village.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Christian Gabet
2020-2026
Code postal 09240
Code commune 09009
Démographie
Gentilé Alzenois
Population
municipale
265 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 59′ 25″ nord, 1° 28′ 23″ est
Altitude 650 m
Min. 430 m
Max. 1 173 m
Superficie 17,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Foix
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Couserans Est
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Alzen
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Alzen
Géolocalisation sur la carte : France
Alzen
Géolocalisation sur la carte : France
Alzen

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Alzen se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 11 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 27 km de Saint-Girons[3], sous-préfecture, et à km de La Bastide-de-Sérou[4], bureau centralisateur du canton du Couserans Est dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Foix[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Montels (1,7 km), Cadarcet (3,3 km), Nescus (3,3 km), Burret (4,0 km), Serres-sur-Arget (4,4 km), La Bastide-de-Sérou (4,4 km), Le Bosc (4,9 km), Montagagne (5,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Alzen fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[6].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 902 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13],[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cadarcet », sur la commune de Cadarcet, mise en service en 2000[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,8 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 30 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 12,3 °C pour 1981-2010[20], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Alzen est une commune rurale[Note 4],[22]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Foix, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,5 %), prairies (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Alsen en 1068, Alzenh en 1272, Alzenio en 1309, Alzein en 1793, Alzen en 1801[réf. nécessaire].

    Histoire

    Jusqu'à la Révolution française[28], le territoire de la paroisse d'Alzen (Alzein) avec ceux de Montels, de Nescus, de Larbont et de Sentenac-de-Sérou (Sentenac) formaient une enclave du diocèse de Rieux (Rieux-Volvestre) et du Languedoc dans le comté de Foix. Voir cartes de Cassini.

    Le territoire, avec le château, fit longtemps partie des possessions du comte de Toulouse. En 1167, Raymond VI, comte de Toulouse, donna cet ensemble en fief à Roger-Bernard Ier comte de Foix. En 1243, l'hommage pour ce fief au comte de Toulouse fut fait par Bernard-Amiel, seigneur de Pailhès. En 1244, l'hommage fut renouvelé par Sans de Rabat à Roger, comte de Foix. Les détails historiques de ce fief disparu sont relatés par R. Rumeau, instituteur, dans sa Notice historique sur les 20 cantons de l'Ariège éditée en 1881[29]. Le , Raymond de Durfort, seigneur d'Alzen, accorda une charte de coutumes aux habitants d'Alzen. Le texte latin et sa traduction en français a été publié par R. Rumeau dans un bulletin de la Société Ariégeoise des Sciences, Lettres et Arts (1912, vol. 13, pages 197 à 218)[30]. Ce seigneur, précurseur de pratiques actuelles, offrait le terrain nécessaire pour construire une maison et tracer un jardin sur les terres libres de son domaine d'Alzen à de nouveaux arrivants (voir la charte précitée, page 199), dans le but évident d'augmenter l'importance démographique de la baronnie d'Alzen.

    La consultation du dictionnaire de la noblesse du Languedoc indique « Jean de Pradines, seigneur de Barsa et Saint Esteffe (évêché de Mirepoix, les terres seigneuriales se trouvant dans l'Aude actuelle) mousquetaire, puis capitaine, gouverneur du château par provision du  »[31]. Le démembrement du château est donc postérieur à cette date. Son père avait déjà ce titre de gouverneur et en avait rendu hommage à la reine Marguerite de Navarre (même source).

    Une note archéologique sur le château et ses fortifications a été réalisée en 2014, illustrée de plans et de photographies[32].

    Le code forestier voté en 1827 (loi du ) déclenchera dès 1828 de très fortes protestations, puis devant le zèle des gardes forestiers, une vraie révolte connue sous le nom de "Guerre des demoiselles" à laquelle participeront également les habitants d'Alzen. Des ordonnances ministérielles du et du restaurent le droit de pacage et suppriment, pour l’Ariège, toutes les dispositions du code forestier de 1827. Une amnistie générale est accordée, les condamnés sont libérés et les poursuites judiciaires sont arrêtées. Des évènements sporadiques, repris sous le même vocable de Guerre des demoiselles agiteront encore l'Ariège jusqu'en 1872.

    En 1854, l'épidémie de choléra que subit la France fut particulièrement sévère à Alzen (176 décès pour 855 habitants) comme en quelques points du département, tel le canton des Cabannes. Déjà au cours de l'été, une importante sécheresse avait mis à mal les cultures et fragilisé la population[33].

    La commune a perdu 30 habitants, morts pour la France, lors de la guerre 1914-1918 soit environ 5 % de sa population d'alors[34].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 31 décembre 2018[35] André Rouch PS Retraité de l'enseignement
    Conseiller général (canton de La Bastide-de-Sérou) (1998-2015)
    puis départemental (canton du Couserans Est (2015-2018)
    décédé en fonctions
    2019 En cours Christian Gabet   Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Depuis le , Alzen est rattachée à la communauté de communes Couserans - Pyrénées qui regroupe 92 communes et près de 30 000 habitants.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2018, la commune comptait 265 habitants[Note 6], en augmentation de 15,22 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    665596597907934920882904855
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    689802846790813778768736691
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    690646598473428390370305242
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    124836381113163206226250
    2018 - - - - - - - -
    265--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Alzen compte une école primaire publique.

    Économie

    Alzen reçoit le siège du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

    Culture locale et patrimoine

    Chapelle Sainte-Croix

    La chapelle Sainte-Croix d'Alzen date du Xe siècle, elle a été détruite en 1694 puis reconstruite au XVIIIe siècle sur l'emplacement d'un très ancien château fort à vocation purement militaire, déjà totalement démantelé lors de la reconstruction[29]. Le site offre un beau panorama. Une pierre sculptée représentant une fleur de lys est incorporée au pignon. Sans doute est-ce un remploi de pierre du château dont le vestige le plus visible est le soubassement de la tour, situé quelques mètres derrière la chapelle[40].

    La façade et la toiture sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques depuis 1995[41],[40]


    • Église de l'Exaltation-de-la-Sainte-Croix d'Alzen.
    • Lavoir des Paulis. Utilisé chaque mois par les Alzenois pour laver le linge jusqu'en 1960, il a été restauré en 2000.
    • La cascade d'Alzen[42], site naturel à découvrir à pied (sentier de 200 mètres à partir de la route menant au village à partir de la D 117 permettant l'accès à la cascade de plus de 40 mètres) où se pratique du canyoning avec rappel[43].


    Vie culturelle et festivités

    • L'écomusée d'Alzen[44]présente une ferme traditionnelle qui constitue un modèle d’avenir avec notamment des races locales préservées (vaches castas, brebis castillonnaises...) , un jardin avec des légumes rares. Expositions, restaurant et animations.
    • Festib'Alzen[45] : festival organisé chaque année en mai ou juin (musiques, danses, etc.) depuis 1996.

    Personnalités liées à la commune

    • Noël Brousse né le à Alzen. Finaliste du championnat de France de rugby en 1969 avec le Stade Toulousain. Il a joué à Toulouse et Revel. Pilier (1,78 m - 98 kg).

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Cartes

      Références

      1. « Métadonnées de la commune d'Alzen », sur le site de l'Insee (consulté le ).
      2. Stephan Georg, « Distance entre Alzen et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      3. Stephan Georg, « Distance entre Alzen et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      4. Stephan Georg, « Distance entre Alzen et La Bastide-de-Sérou », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
      5. « Communes les plus proches d'Alzen », sur www.villorama.com (consulté le ).
      6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
      7. Carte IGN sous Géoportail
      8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      10. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
      11. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      14. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
      15. « Station Météo-France Cadarcet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      16. « Orthodromie entre Alzen et Cadarcet », sur fr.distance.to (consulté le ).
      17. « Station Météo-France Cadarcet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      18. « Orthodromie entre Alzen et Lorp-Sentaraille », sur fr.distance.to (consulté le ).
      19. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      20. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      21. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      22. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      23. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      28. L'Ariége : division administrative--monuments historiques ... avec le tableau des communes ..., Librairie de Pomiés Frères, (lire en ligne)
      29. L'Ariége : division administrative--monuments historiques ... avec le tableau des communes ..., Librairie de Pomiés Frères, (lire en ligne)
      30. lettres et arts Auteur du texte Société ariégeoise des sciences, Bulletin de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, (lire en ligne)
      31. François Alexandre Aubert de la Chenaye Desbois, Dictionnaire de la noblesse ... de France, (lire en ligne)
      32. « le castrum d'Alzen », sur lauragais-patrimoine.fr,
      33. Jean-Yves Bousigue, « Le Choléra de 1854 dans les Pyrènées ariégeoises », Histoire Des Sciences Medicales, vol. 17, , p. 121-125 (lire en ligne)
      34. (en) Eric Blanchais, « MémorialGenWeb Tableau des morts de la commune », sur www.memorialgenweb.org (consulté le )
      35. LAURENT GAUTHEY, « Les réactions affluent après le décès brutal d'André Rouch », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
      36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      40. « Sites archéologiques de l'Ariège », sur www.lauragais-patrimoine.fr (consulté le )
      41. « Chapelle Sainte-Croix », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
      42. « Beautés de la Nature : La Cascade d'Alzen », sur www.annuaire-tourisme-france.fr (consulté le )
      43. « Descente-Canyon.com - Alzen - Canyoning Canyonisme », sur www.descente-canyon.com (consulté le )
      44. (en-US) « Ecomusée d'Alzen », sur Ecomusée d'Alzen (consulté le )
      45. « Festibalzen 2018 », sur www.festibalzen.fr (consulté le )
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