Achicourt
Achicourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Ne doit pas être confondu avec Chicourt.
Achicourt | |||||
Le moulin d'Achicourt. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | Communauté urbaine d'Arras | ||||
Maire Mandat |
Jean-Paul Leblanc 2020-2026 |
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Code postal | 62217 | ||||
Code commune | 62004 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Achicouriens ou Achicourtois | ||||
Population municipale |
7 878 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 1 326 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 16′ 27″ nord, 2° 45′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 60 m Max. 101 m |
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Superficie | 5,94 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Arras (banlieue) |
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Aire d'attraction | Arras (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Arras-3 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | ville-achicourt.fr | ||||
Au milieu du XVIIIe siècle, la Société du Duc de Guînes y a creusé un puits et recherché sans succès la houille.
C'est la seconde ville de la communauté urbaine d'Arras.
Géographie
Achicourt est traversée par le Crinchon, rivière qui alimentait Arras en eau potable. La ville d'Achicourt est située au sud de la ville d'Arras et au nord de la ville de Beaurains. Les deux villes d'Achicourt et de Beaurains constituent la banlieue sud d'Arras (chef-lieu du Pas-de-Calais).
Deux lignes de chemin de fer coupent le territoire, l'une est la ligne Paris - Lille partageant la commune en deux, l'autre est la ligne Arras - Saint-Pol-sur-Ternoise passant à niveau sur une artère principale. Sur cette deuxième ligne subsiste encore la station d'Achicourt. Cependant, les trains ne s'y arrêtent plus.
La citadelle d'Arras est à proximité immédiate de la commune, 15 ha de terrains autrefois militaires constitués de bois sont situés sur son territoire. Il est heureux pour les habitants d'Achicourt que cette citadelle se soit appelée « La belle inutile », ils n'ont plus eu à subir les méfaits d'un siège depuis la prise d'Arras par Louis XIV.
Communes limitrophes
Environnement
Non loin de la citadelle d'Arras, s'étend l'espace naturel dit la Bassure. Cette zone basse, humide et prairiale a longtemps été dédiée à la culture maraîchère[1]. Elle est située dans l'ancien lit d'inondation du Crinchon. Elle fait depuis peu l'objet d'une gestion différenciée, avec l'aide d'herbivores (chèvres, zébus nains, petits ânes, alpagas et des moutons d'Ouessant) appartenant à la société Ecozone[1].
Cet espace semi-naturel est intégré dans la trame verte et bleue locale (maillage de corridors biologiques) reliant les milieux naturelsou à renaturer de Wailly à Fampoux, dans la TVB de la communauté urbaine d'Arras (CUA). La Bassure joue notamment un rôle de « zone tampon » pour la trame bleue de l'Arrageois, le long de la Scarpe et du Crinchon (via l'ancien réseau de fossés de drainage creusés pour le maraîchage)[1]. Ce réseau se remplit en cas de crue, et contribue à épurer et infiltrer l'eau, contribuant à la recharge des nappes superficielles.
La Bassure est aussi un lieu de promenade et de loisir avec un sentier pédestre, des jardins familiaux (vingt-huit jardiniers en 2012) et des zones de pâturage[1].
- La Bassure, zone inondable proche du Crinchon.
- Les jardins familiaux de la zone de La Bassure.
Urbanisme
Typologie
Achicourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arras, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[5] et 87 215 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,4 %), zones urbanisées (39,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,6 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Arcicortis en 1047, Harchicurt au XIIe siècle[12], Hachicourt en 1258[13].
Ce toponyme a pour sens : la ferme, le domaine (court) de Harico (nom d'une personne d'origine germanique). « La ferme de Harico ».
Hées est un hameau rattaché à Achicourt en 1790.
Histoire
Achicourt était au départ construit autour du centre-ville actuel. Parmi les plus vieilles familles Achicouriennes des XIXe et XXe siècles, nous citerons les familles Cailleretz, Wache, Laine, Legrand, toutes descendantes des comtes d'Achicourt, et eux-mêmes d'Haricerius, vraisemblablement un des premiers habitants et fondateur de la ville selon la légende. La grande majorité de ces habitants cultivaient des légumes (les maraîchers), le long du Crinchon et allaient les vendre à Arras avec leurs ânes (d'où l'expression les baudets d'Achicourt).
Avec le développement du chemin de fer, un grand nombre de logements furent construits pour loger les cheminots dans le secteur du Petit Bapaume. La cité des cheminots avait son église (Saint-Christophe), ses installations sportives (piscine, stade…).
Pendant la Première Guerre mondiale une partie d'Achicourt fut détruite notamment la mairie, l'église et le moulin. Celui-ci fut reconstruit en 1994 à son emplacement initial comme la mairie après la Première Guerre mondiale. L'église Saint-Vaast, quant à elle, fut bâtie près du Crinchon, elle était située auparavant au cimetière no 1 d'Achicourt.
Les écoles détruites lors de cette guerre furent reconstruites avec le concours financier du Sénégal, la rue des écoles s'appelant rue de Dakar.
À noter qu'Achicourt possédait une communauté protestante qui avait un temple. Le bâtiment de ce lieu de culte existe encore mais il a été transformé.
Dans les années 1960 la ville a connu une phase de périurbanisation, avec une zone pavillonnaire et des appartements (les 4 AS) d'où la formation de deux nouveaux quartiers : le nouvel Achicourt (« Quartier du petit Bapaume » et « Quartier des 4 As ») et l'ancien Achicourt séparés par le voie ferrée Paris-Lille.
Il n'y a plus maintenant de maraîchers professionnels mais ce caractère de culture maraîchère subsiste notamment avec l'aménagement de jardins le long de la rivière dans la zone de La Bassure.
Politique et administration
Liste des maires
Le maire depuis 2 mandats, de 2008 à 2020, était Mr. Pascal Lachambre, socialiste. Il était également président de la Communauté Urbaine d'Arras.Son action à Achicourt et dans l'arrageois a été vivement contestée particulièrement son programme urbanistique et le nouveau PLUI de l'arrageois pour 2020-2030.
Il a été mis en cause par plusieurs listes aux élections municipales pour avoir planifié une trop forte urbanisation dans des zones naturelles préservées et calmes. Mr. Lachambre a annoncé qu'il ne se représenterait pas et a choisi l'écologiste Didier Willemaet comme successeur.[15]
Aux élections municipales de 2020, le divers gauche Jean-Paul Leblanc l'emporte (48 % des voix), contre Didier Willemaet (28,15 %) et la liste[pas clair][16] d'Anaïs Honnart (23,58 %)[17].
Jumelages
La commune d'Achicourt est jumelée depuis 1966 avec la ville de :
- Kirchenbollenbach (Allemagne).
Tendances politiques et résultats
Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[21] :
Candidat | Premier tour | Second tour | |||
---|---|---|---|---|---|
Voix | % | Voix | % | ||
Eva Joly (EÉLV) | 96 | 1,98 | |||
Marine Le Pen (FN) | 982 | 20,27 | |||
Nicolas Sarkozy (UMP) | 923 | 19,05 | 1759 | 38,61 | |
Jean-Luc Mélenchon (FG) | 579 | 11,95 | |||
Philippe Poutou (NPA) | 64 | 1,32 | |||
Nathalie Arthaud (LO) | 41 | 0,85 | |||
Jacques Cheminade (SP) | 11 | 0,23 | |||
François Bayrou (MoDem) | 409 | 8,44 | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLR) | 75 | 1,55 | |||
François Hollande (PS) | 1664 | 34,35 | 2797 | 61,39 | |
Inscrits | 5927 | 100,00 | 5927 | 100,00 | |
Abstentions | 995 | 16,79 | 1004 | 16,94 | |
Votants | 4932 | 83,21 | 4923 | 83,06 | |
Blancs et nuls | 88 | 1,78 | 367 | 7,45 | |
Exprimés | 4844 | 98,22 | 4556 | 92,55 |
Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est le suivant[22] :
Candidat | Premier tour | Deuxième tour | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
% | Voix | % | Voix | |||
Nicolas Dupont-Aignan (DLF) | 5,23 | 244 | ||||
Marine Le Pen (FN) | 24,53 | 1144 | 39,56 | 1615 | ||
Emmanuel Macron (EM) | 24,04 | 1121 | 60,44 | 2467 | ||
Benoît Hamon (PS) | 6,91 | 322 | ||||
Nathalie Arthaud (LO) | 1,57 | 73 | ||||
Philippe Poutou (NPA) | 1,22 | 57 | ||||
Jacques Cheminade (SP) | 0,28 | 13 | ||||
Jean Lassalle (R) | 0,90 | 42 | ||||
Jean-Luc Mélenchon (LFI) | 21,60 | 1007 | ||||
François Asselineau (UPR) | 0,77 | 36 | ||||
François Fillon (LR) | 12,95 | 604 | ||||
Inscrits | 5 926 | 100,00 | 5 924 | 100,00 | ||
Abstentions | 1 138 | 19,20 | 1 291 | 21,79 | ||
Votants | 4 788 | 80,80 | 4 633 | 78,21 | ||
Blancs | 71 | 1,48 | 310 | 6,69 | ||
Nuls | 54 | 1,13 | 241 | 5,20 | ||
Exprimés | 4 663 | 97,39 | 4 082 | 88,11 |
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2018, la commune comptait 7 878 habitants[Note 3], en augmentation de 0,33 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,9 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 47,1 % d'hommes (0 à 14 ans = 20,8 %, 15 à 29 ans = 18,5 %, 30 à 44 ans = 18,8 %, 45 à 59 ans = 21,9 %, plus de 60 ans = 20 %) ;
- 52,9 % de femmes (0 à 14 ans = 17,9 %, 15 à 29 ans = 16,9 %, 30 à 44 ans = 19,1 %, 45 à 59 ans = 21,2 %, plus de 60 ans = 24,8 %).
Aujourd'hui, la commune d'Achicourt est la 2e ville la plus peuplée dans tout l'arrondissement de l'Artois.
Manifestations culturelles et festivités
« La Fête du Moulin » organisée par la ville a lieu tous les ans, le 4e dimanche de septembre sur la parc de la Tourelle au pied du moulin.
Les arts de la rue sont mis à l'honneur.
Cultes
Notre-Dame de Pentecôte est la communauté catholique de la ville.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
C'est à Achicourt, à quelques lieues du beffroi d'Arras, que l'on peut découvrir le moulin La Tourelle.
Sur le lieu-dit du Caumont, où se dresse l'actuel Moulin, se trouvait déjà au XIVe siècle un moulin en bois sur pivot.
Vers 1800, un moulin tour en pierre y fut construit. Dans un premier temps moulin à tordre l'huile, il est devenu moulin à farine au début des années 1840.
Le moulin « Hacart », du nom de son ancien propriétaire, n'a pas survécu à la Première Guerre mondiale. En 1915, il fut éventré par des obus, la tempête hivernale de 1915/1916 fit tomber son toit et en 1917, il tomba littéralement en ruine.
Le souvenir de ce moulin est resté ancré dans la mémoire collective (article de presse, photos...).
La Municipalité, au début des années 1990, décide sa reconstruction, la famille Hacart ayant fait don à la commune du terrain où se trouvent les anciennes fondations.
Celui-ci fut inauguré en 1994.
Le moulin la Tourelle, reconstruit presque à l'identique, est un des derniers moulins à vent ayant un droit de production (contingent de blé).
La commune en a fait un patrimoine historique et culturel. Il est redevenu un lieu de rencontre et de découverte d'un savoir-faire pour de nombreux visiteurs.
Il n'est pas seulement le rescapé d'un temps révolu, un émouvant monument. Ses ailes flamandes entraînent, si le vent le permet, les mécanismes et régulièrement les meules qui font craquer la charpente et embaument l'air des parfums de froment.
Pour approfondir
Bibliographie
- Jean Michel Decelle, Paulette Gournay et Francis Perreau, Le Moulin d'Achicourt et les moulins de la région d'Arras
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Julien Lechevestrier, La Bassure, un parc environnemental, La Voix du Nord, 2012-04-22
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Arras », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Vaast.
- Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, 1907.
- Blog Flandre et Artois - Quelques Villes
- Laurent Boucher, « Qui sont derrière les cinq listes envisagées aux municipales à Achicourt ? », La Voix du Nord, (lire en ligne).
- « - À Achicourt, Anaïs Honnart veut « incarner le changement » à la tête d’une liste « citoyenne » », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- « - À Achicourt, la troisième tentative aura été la bonne pour Jean-Paul Leblanc », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
- Mémoires de baudet d'Achicourt-Jean Yves Beaumont
- « Achicourt : Pascal Lachambre réélu face à Jean-Paul Leblanc (VIDÉO) », sur http://www.lavoixdunord.fr (consulté le ).
- Laurent Boucher, « Jean-Paul Leblanc, le nouveau maire d’Achicourt qui a renoncé aux « calculs » politiques », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Au deuxième tour des municipales, dimanche dernier, les Achicouriens ont choisi Jean-Paul Leblanc à plus de 48 %, au détriment du candidat de la majorité sortante, Didier Willemaet. Une alternance à gauche pour diriger la ville « autrement »… au terme d’un parcours semé d’embûches ».
- Ministère de l'Intérieur - Pas-de-Calais (Nord-Pas-de-Calais), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Achicourt » (consulté le ).
- Ministère de l'Intérieur - Pas-de-Calais (Hauts-de-France), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Achicourt » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Achicourt en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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