Échirolles

Échirolles est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Échirolles

Hôtel de ville d'Échirolles avec La Liberté guidant le peuple de Delacroix sur son fronton.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Grenoble-Alpes Métropole
Maire
Mandat
Renzo Sulli
2020-2026
Code postal 38130
Code commune 38151
Démographie
Gentilé Échirollois
Population
municipale
36 961 hab. (2018 )
Densité 4 702 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 37″ nord, 5° 43′ 06″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 395 m
Superficie 7,86 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Grenoble
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Échirolles
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Échirolles
Géolocalisation sur la carte : Isère
Échirolles
Géolocalisation sur la carte : France
Échirolles
Géolocalisation sur la carte : France
Échirolles
Liens
Site web Ville-echirolles.fr

    La commune compte 36 227 habitants au , se positionnant avec Saint-Martin-d'Hères comme l'une des deux principales villes de la banlieue de Grenoble. C'est une ville à fort caractère urbain, dont un centre n'a été développé que vers la fin du XXe siècle.

    Ses habitants sont appelés les Échirollois[1].

    Géographie

    Situation

    Échirolles est située dans le sud-est de la France dans le département de l'Isère, à 70 km de la frontière italienne, au sud du sillon alpin.

    Ce territoire se positionne dans la partie sud de l'agglomération grenobloise, entre le Drac, principal affluent de l'Isère qui borde les falaises du massif du Vercors (à l'est) et les premiers contreforts de modestes reliefs situés en avant poste du massif de Belledonne (au sud et au sud-ouest).

    Le centre d'Échirolles (Hôtel de ville) est situé, par la route, à environ km du centre de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, 109 km de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, 312 km de Marseille et 578 km de Paris[2].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Description

    La majeure partie du territoire communal est fortement urbanisée et accueille la quasi-totalité de la population urbaine dans un ensemble architectural assez hétéroclite, composé essentiellement de villas de taille modeste, de maisons rurales, notamment dans la partie méridionale du territoire ainsi que de nombreuses barres d'immeubles à la dimension et à la hauteur plus ou moins variées (généralement entre 5 et 18 étages), majoritairement implantés dans la partie septentrionale de la commune (Secteur de la Villeneuve d'Échirolles)[3].

    Dans sa partie située la plus méridionale, dénommée « frange verte » par le site de la ville et non urbanisé, le territoire échirollois est constitué de forêts, sillonné de nombreux sentiers menant vers le plateau de Champagnier[4]. Cet espace de verdure a été menacé par un projet de carrière dans les années 1970, celle-ci étant notamment destinée à fournir en matériaux l'extension du réseau routier. Il a été épargné à la suite de la mobilisation de la population locale et des associations naturalistes.[5]

    Communes limitrophes

    Relief et géologie

    La cuvette grenobloise

    Á l'instar de la plupart des zones urbanisées des communes de la cuvette grenobloise reposant sur une zone alluvionnaire formée par les séidments déposés par l'isère et de le Drac au fil des millénaires, le relief du territoire échirollois est relativement plat. La commune est toutefois située entre deux massifs montagneux, la Belledonne vers le sud-est et le Vercors à l'ouest.

    La fonte du glacier de l'Isère, il y a environ vingt-cinq mille ans, entraîne la présence d'un lac pendant plus de dix mille ans, avec ses alluvions lacustres würmiennes[6]. La disparition progressive de ce lac n'en a pas moins laissé un nombre très important de petits cours d'eau dans la plaine nouvellement émergée. Ainsi, avant le XVIIe siècle, le Drac n'était pas canalisé et rejoignait l'Isère par de nombreux méandres vers l'actuel pont de la Porte de France, à proximité du centre-ville de Grenoble, le reste de la plaine, soumis aux inondations fréquentes se partageait entre marais, cultures et modestes pâturages.

    Hydrographie

    Le Drac, un affluent de l'Isère, borde la partie ouest de la commun. Son cours le sépare du territoire voisin de Seyssins. Il forme la limite entre Échirolles et Seyssins, située sur la rive gauche du torrent.

    Le canal des cent vingt toises constitue le seul axe d'écoulement artificiel franchi par l'autoroute A481, soumis à un régime hydraulique artificiel engendré par les besoins de la microcentrale électrique du Rondeau[7].

    Climat

    Le parc Robert Buisson à Échirolles en automne

    Pour un article plus général, voir Climat de l'Isère.

    Comme pour tout le bassin grenoblois, le climat est mélangé entre océanique et continental, avec une très légère influence méditerranéenne (pluie d'été plus faibles qu'en hiver). Le bassin comporte un bon ensoleillement (2100 heures par an) mais des précipitations abondantes (presque un mètre par an). L'amplitude thermique annuelle est une des plus élevées de France, avec 19 °C d'écart entre janvier et juillet. Les montagnes environnantes particularisent beaucoup le climat : effet "cuvette" avec des chaleurs torrides l'été et un froid assez important l'hiver, ainsi que d'autres phénomènes liés aux vents (foehn…).

    Voies routières

    Plan de la rocade sud et des différentes sorties

    Échirolles se trouve dans la banlieue sud de Grenoble. Elle est traversée par la Rocade sud de la ville, et desservie par trois sorties :

    Tout comme la proche banlieue de Grenoble, cette ville n'échappe pas aux difficultés du trafic routier aux heures de pointe. Elle est toutefois bien aménagée avec de longues avenues qui rejoignent Grenoble comme le cours de la Libération.

    Transports publics

    Les transports en commun sont relativement bien développés et permettent de se déplacer directement entre Échirolles et Grenoble. La plupart des autres communes de l'agglomération sont assez facilement accessibles par les transports de l'agglomération grenobloise (TAG), à la suite de la mise en place d'un Pôle Multi modal.

    Une halte ferroviaire de la SNCF , desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes, bénéficiant d'un parking relais permet la connexion directe avec la tramway (ligne A) qui traverse la commune. Il est possible de prendre le train à Échirolles avec un titre de transport TAG en plaçant son vélo dans le train, en garant sa voiture au parking relais, un titre de transport TAG étant délivré (valable pour le nombre de passagers dans la voiture), permettant ainsi de voyager sur tout le réseau de transport en commun.

    Des lignes de bus « Chrono » constituant les lignes majeures du réseau de la Sémitag sillonnent également le territoire communal dont la ligne C2 (Grenoble — Louise Michel ↔ Claix — Pont Rouge), la ligne C3 (Échirolles — Centre du graphisme ↔ Grenoble — Victor Hugo). Il existe également d'autres lignes, dites « proximo » (notamment la ligne 16) assurant le transport dans des secteurs non desservie par le tramway et les lignes majeures.

    Pistes cyclables

    MétroVélo Box

    Le réseau de pistes cyclables se développe petit à petit. À la différence des bus, une passerelle cycles et piétons permet de franchir la rocade et le Drac entre Seyssins et Échirolles.

    La ville d'Échirolles propose, en partenariat avec la métropole Grenoble-Alpes Métropole, deux nouveaux services afin d'élargir l'offre de transport des habitants de la commune dont la mise à disposition de vélos en libre service et la création de consignes individuelles sécurisées (dite métrovélobox fermé pour stocker son vélo) dont un bloc est visible à l'arrêt Auguste-Delaune du Tramway, ligne A[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Échirolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[12] et 450 501 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (88 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (44,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (39,9 %), forêts (10,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,2 %), eaux continentales[Note 3] (1,1 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Morphologie urbaine

    Ciné-Théâtre Ponatière
    La Villeneuve d'Échirolles

    La commune est composée d'un bourg principal et de plusieurs lieux-dits. Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire d'Échirolles, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[19].

    • Comboire (Zone d'activités)
    • la Villeneuve d'Echirolles qui comprend :
      • les Granges,
      • Surieux,
      • les Essarts
    • le Haut-Bourg,
    • le Mas fleuri,
    • la Luire,
    • Bayard,
    • Le Rondeau,
    • Le Village II,
    • la Viscose,
    • la Ponatière
    • la Petit Quinzaine,
    • Château Gaillard
    • Gringallet
    • la Buclée
    • la Commanderie
    • la Savoyarde (zone boisée)
    • Pend-Loup (zone boisée)

    Ces quartiers sont très différents et très peu liés actuellement, bien que la commune réfléchit très sérieusement pour augmenter la cohésion urbaine de l'ensemble de la ville.

    Le centre-ville se veut le premier quartier de ce projet de cohésion. Bâti sur des réserves foncières acquises dans les années 1970, les travaux ont débuté seulement lorsque la commune s'est sentie financièrement capable de les mener, soit à partir de 1992. L'objectif de ce projet était de réunir des activités diverses, permettant la rencontre et la centralité : On y trouve l'un des plus grands multiplex de l'agglomération, un bowling, de nombreux fast-food et une série de restaurations rapides, un lycée, et enfin le siège de la Fédération Compagnonnique des Métiers du Bâtiment et autres services publics. Le centre-ville a été construit en deux tranches principales : la première était dédiée à l'installation des grands équipements (Multiplex, lycée, une partie des Universités de Grenoble). La seconde tranche s'est concentrée sur des objectifs de développement durable, en intégrant la notion de performances énergétiques au bâti et en réalisant un parc, le Champ de la Rousse, plusieurs fois récompensé pour son intérêt environnemental.

    Logement

    La « cité de la Viscose » en 1927.

    C'est dans les années 1920 que la cité dite « ouvrière » de la Viscose est sortie de terre, permettant aux ouvriers de ne faire qu'une centaine de mètres pour retrouver leur logement. Cette cité est à l'origine d'une véritable augmentation de la population. C'est le début des logements sociaux échirollois. Avant cette date, les Échirollois étaient concentrés dans le vieux village. Dans les années 1960, c'est au tour du quartier voisin de La Luire de voir le jour (aujourd'hui, ces deux cités sont considérées par les jeunes populations comme un « méga-quartier »). Après les Jeux olympiques de 1968, Échirolles a vu la naissance de nouveaux quartiers : Village II, Village I, la Villeneuve... cette dernière intègre aujourd'hui une très grande partie de la population échirolloise. Enfin, dans les années 2000, le quartier centre-ville a connu une importante croissance économique mais également démographique.

    , une série de scènes de violence s’enchaîne dans la banlieue grenobloise : coups de feu, rixes et fusillades[20].

    Risques sismiques

    Le territoire d'Échirolles est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme l'ensemble des communes du territoire de l'agglomération grenobloise[21].

    Terminologie des zones sismiques[22]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Autre risques

    Des crues importantes du Drac, torrent qui longe la partie occidentale du territoire communal, peuvent entraîner des inondations. La préfecture a réorganisé la prévention des inondations[23].

    Toponymie

    L'étymologie du nom Échirolles est controversée. L'hypothèse la plus populaire la fait remonter à une forme latine signifiant « écureuil », expliquant pourquoi le mammifère figure sur le blason de la ville. Une seconde hypothèse, basée sur l'existence de lieux-dits paronymes (c'est-à-dire portant presque le même nom) et présentant des caractéristiques topographiques similaires, la relie au mot « laîche », du nom d'une plante des zones humides. Échirolles aurait alors signifié « [prairie à] laîche » à l'origine.

    Une dernière théorie rapprocherait le nom d'Échirolles de la racine latine « Ex-Cularo » dont la contraction au fil des siècles aurait donné le nom de la commune. Cularo étant le nom celtique de Grenoble cela signifierait « à l'extérieur de Cularo », donc lieu en dehors de l'enceinte de la cité[24].

    Histoire

    Antiquité, Moyen Âge et Époque Moderne

    Situé au sud du bourg antique de Cularo, le territoire échirollois était situé sur la zone de peuplement des peuples gaulois dénommés Allobroges. Le christianisme se diffuse dans la région autour du IVe siècle.

    Époque contemporaine

    En 1825, la création d’une paroisse locale sépare le village d'Échirolles de la paroisse de Bresson. Le territoire acquiert alors une certaine reconnaissance permettant l'annonce d'une future autonomie, les habitants décident dès lors de demander au gouvernement du roi Louis-Philippe 1er la création de la commune[25] .

    Image aérienne des usines de la viscose d'Échirolles en 1928.

    C'est l'ordonnance royale no 5147 du qui a officiellement créé la commune d'Échirolles par démembrement des communes de Grenoble et de Jarrie[26].

    Ancien village ouvrier, dont la plupart des habitants travaillaient dans les usines de viscose, matière inventée par le comte Hilaire de Chardonnet en 1884 et qui connut un bel essor à Échirolles dès les années 1920, avant de connaître une diffusion mondiale.

    Politique et administration

    Liste des maires

    En 2010, la commune d'Échirolles a été récompensée par le label « Ville Internet @@@@ »[27].

    Principaux maires d'Échirolles[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1834 1840 Étienne Riquet ... ...
    1840 1847 Joseph Olivier ... ...
    1847 1850 Étienne Riquet ... ...
    1850 1853 François Olivier ... ...
    1853 1865 Henri Ferlin ... ...
    1865 1868 Étienne Gairu ... ...
    1868 1878 Antoine Artru ... ...
    1878 1884 François Olivier ... ...
    1884 1888 Antoine Gaymard ... ...
    1888 1892 Victor Caillat ... ...
    1892 1896 Henri Fini ... ...
    1896 1900 Auguste Ferrier ... ...
    1900 1902 Paul Audemard ... ...
    1902 1908 Henri Fini ... ...
    1908 1909 Paul Audemard ... ...
    1909 1919 Jean-François Gourmel ... ...
    1919 1927 Antoine Amblard ... ...
    1927 1945 André Delachanal ... ...
    1945 1981 Georges Kioulou PCF photographe, artisan, ouvrier de l’industrie chimique
    conseiller général du canton de Grenoble-Sud (1970-1973)
    conseiller général du Canton d'Échirolles (1973-1985), conseiller régional
    1981 1999 Gilbert Biessy PCF Technicien
    Conseiller général du canton d’Échirolles-ouest (1982 - 1993),
    député de la 2e circonscription de l'Isère (1993 - 2007)
    décembre 1999 En cours Renzo Sulli PCF Retraité Fonction publique
    Conseiller général du canton d’Échirolles-ouest (1993-2007)

    Politique de développement durable

    La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2000[29].

    Jumelages

    La commune d'Échirolles est jumelée avec trois communes dont une, située en Afrique, et deux, en Europe :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 4]

    En 2018, la commune comptait 36 961 habitants[Note 5], en augmentation de 3,58 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    735702715639634615642652682
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    619679633600574582572597838
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    2 7652 5202 8253 7627 11115 42933 28837 36034 435
    1999 2006 2011 2016 2018 - - - -
    32 80635 68735 99535 85536 961----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Collège Jean Vilar d'Échirolles

    Située dans l'académie de Grenoble, la commune compte de nombreux établissements scolaires du premier et du second degré mais aussi des établissements d'études supérieures et une école de musique.

    Établissements scolaires

    La commune gère douze écoles maternelles et dix écoles primaires (l'école élémentaire A. Delaune, l'école élémentaire Francçoise Dolto, l'école élémentaire Jean Jaurès, l'école élémentaire Jean Moulin, l'école élémentaire Jean Paul Marat, l'école élémentaire Joliot-Curie, l'école élémentaire Marcel Cachin, l'école élémentaire Marcel David, l'école élémentaire Paul Langevin et l'école élémentaire Vaillant Couturier).

    Elle compte également trois collèges (le collège Jean Vilar, le collège Louis Lumière et le collège Pablo Picasso) ainsi que deux lycées (le lycée Marie Curie et le lycée professionnel Thomas Edison)[35].

    Établissements d'études supérieures

    Autres établissements

    Le conservatoire de musique, labellisée Conservatoire à Rayonnement Intercommunal (CRI), dispense des cours destinés à tous les publics avec des ateliers parents-enfants, ainsi que de l'art-thérapie en collaboration avec l'EHPAD, voisin[36].

    Équipement social et sanitaire

    La commune compte deux établissements sanitaire sur son territoire, un établissement public : l'hôpital Sud, établissement du CHRU de Grenoble et un établissement privé : la clinique des Cèdres.

    L'hôpital Sud

    Hôpital Sud.

    L'hopital Sud, inauguré le [37], est situé dans la partie est de la commune, sur l' avenue de Kimberley. D'une capacité de 340 lits, il comprend de nombreux services d'hospitalisation (orthopédie, traumatologie, rhumatologie) ainsi que les activités de radiologie interventionnelle et une IRM. Le site héberge des unités de gériatrie pour un nombre total de 245 lits. L'établissement accueille également en son sein l'institut de rééducation dont l'activité se base sur les soins de suite et de réadaptation[38].

    La clinique des Cèdres

    La clinique des Cèdres est située dans le centre de la commune. Celle-ci propose 200 lits d'hospitalisation, dont une maternité[39].

    Équipements et clubs

    Gymnase Jean Vilar d'Échirolles

    Tennis de Table

    Le tennis de table est représenté par l'Amicale Laïque Échirolles-Eybens TT, créé en 2008 à la suite de la fusion du Eybens TT avec l'AL Échirolles, qui évolue en Championnat de Pro B Féminin depuis .

    Football

    Le Football est représenté par le FC Echirolles, créé en 1949 et compte 24 équipes en coupe et championnat(district et ligue)et 10 en plateaux(district).

    Les Seniors 1 évoluent en Régional 1 Est et sont éliminés de la coupe Laura Foot et la Coupe de France de football 2017-2018. Mais ces Seniors ont remporté 2 Coupes Laura FOOT(Rhone Alpes). Malheureusement, les U19 se font éliminer en Coupe Gambardella (32e) contre l'Olympique de Marseille le à Eugène Thenard (Score final : 1-1 (t.a.b 2-4) pour les Marseillais).

    8 Stades de Football appartiennent au FC Echirolles, à Echirolles (Navis, Eugène Thénard, Pablo Picasso 1 et 2, Auguste Delaune, Parc des Sport Jean Villar), et à Eybens (Stade des Ruires).

    L'OC Eybens a coopéré avec le FC Echirolles puisque le stade fait partie de la frontière de Echirolles à Eybens.

    Water-Polo

    L'Échirolles Water Polo est le club phare de la ville, comptant aussi bien une équipe masculine (Division 4), qu'une équipe féminine (Division 2).

    Ce club est présent, et mis en valeur, au sein du clip Un jour au mauvais endroit, relatant une tragédie récemment arrivée au sein de la commune.

    Cultes catholique

    La communauté catholique d'Échirolles est rattachée à la paroisse Bienheureux Charles de Foucault, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne.

    Presse locale

    La presse locale est dominée par le quotidien régional Le Dauphiné libéré, fondé en 1945, et dont le siège est à Grenoble. Ce quotidien fait partie du groupe Est Bourgogne Rhône Alpes. Son tirage quotidien est d'environ 270 000 exemplaires[40]. L'édition de Grenoble Sud Romanche et Oisans correspond au secteur de diffusion d'Échirolles.

    Il existe également Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné le journal d'annonces légales diffusé de façon hebdomadaire dans le département de l'Isère et dont le siège est situé à Grenoble, ainsi que Le Postillon une publication bimestrielle concernant la ville et l'agglomération grenobloise. Indépendant et à tendance critique (présentant également des caricatures). Créé en 1885, puis épisodiquement disparu, sa version moderne, en version papier autant que numérique, date de 2009[41].

    La mairie d'Échirolles distribue gratuitement dans les boîtes aux lettres des résidents de la commune, un journal d'information dénommé Cité Échirolles dont l'édition bimestriel permet d'informer les habitants des décisions du conseil municipal, des travaux et des animations organisées sur le territoire de la commune[42].

    Télévision locale

    Le bassin grenoblois bénéficie par ailleurs de la présence de chaines de télévisions régionales comme France 3 Alpes qui propose une édition locale du service public. Celle-ci domine historiquement l'information locale en offrant des reportages sur divers lieux de la région.

    La chaîne locale TéléGrenoble est une chaîne de télévision privée mise en service en . Devenue en 2011, TéléGrenoble Isère, elle propose de multiples reportages d'actualités locales sur Grenoble et l'ensemble du Grésivaudan et du Pays Voironnais.

    Ces deux chaînes émettent par voie hertzienne grâce entre autres à l'émetteur de la Croix de Chamrousse et à celui de la Tour sans Venin, mais uniquement sur le réseau de la télévision numérique terrestre.

    Économie

    Secteur industriel

    La ville compte de nombreuses entreprises situées dans plusieurs zones d'activités anciennes (la ZA des Essarts qui accueille le siège de la Société Métallurgique de Grenoble, la ZA des Granges ou encore celle de Sud village...), ou plus récente comme le parc d'entreprises "Sud Galaxie" créé en 1987. À l'instar de la banlieue sud de Grenoble, et grâce à son passé, Echirolles reste une ville industrielle. Notamment avec les établissements Caterpillar qui en occupent une surface importante.

    Grand-Place (entrée du Carrefour d'Échirolles)

    De dimension plus modeste par la surface, un important centre R&D de développement et expertise en solutions informatiques, dénommé Bull Grenoble[43] est installé rue de Provence sur un site occupé précédemment et successivement par la Télémécanique et la SEMS. En 2014, Bull a été racheté par la SSII française ATOS.[44]

    La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[45],[46].

    Secteur commercial

    Au niveau commercial, la commune abrite deux zones commerciales d'importance régionale, le centre commercial Grand'Place (dans sa partie située autour de l'hypermarché Carrefour) et l'Espace Comboire, situé entre le Drac et l'A480.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'église paroissiale Saint-Jacques Le Majeur, du XIXe siècle[47], se trouve au cœur du vieux village. Elle fait partie de la paroisse Charles-de-Foucauld.
    Un temple romain surgissait en proximité du château au lieu où fut probablement bâtie la première chapelle Saint-Jacques d'Échirolles, puis détruite en 1847 et qui sera à la suite remplacée par l'église paroissiale au même lieu.
    Selon une légende locale née au XIVe siècle, les templiers d'Echirolles auraient ramené de la Terre Sainte les restes de saint Jacques[Lequel ?], puis enterrés dans l'ancien tombeau à côté de cette chapelle.
    La présence du tombeau donna lieu à un pèlerinage important, auquel participa aussi Charles IV selon la tradition. Cependant, la présence des restes du saint a été questionnée en 1488 par Laurent Alleman, évêque de Grenoble : le tombeau ouvert par lui le révéla les ossements d'un corps inhumé selon des techniques très anciennes. Le procès-verbal de l'Evêque signale que l'identité du corps est "encore ignorée" et soumet la question au Pape et au Saint-Siège Apostolique. En attendant la réponse de Rome, l'évêque stipule que "le corps ne doit pas être vénéré publiquement comme saint, ni aucun office solennel célébré dans l'église à son nom"[48]. Aucune réponse ne vint de Rome, et les choses en restèrent là. L'annonce de l'évêque n'arrêta pas le pèlerinage, qui s'acheva seulement à la Révolution française[47],[49].
    • La commune d’Échirolles compte six mosquées concentrées dans les quartiers de la Villeneuve, du Village 2 et de la Luire. La grande mosquée d'Echirolles à portée d'agglomération a été inaugurée en sur le quartier ouest de la commune, dans le secteur Navis[50].

    Patrimoine civil

    Cette ancienne bâtisse, du XIVe siècle, est connue à niveau local comme « château des Templiers »[47],[51]. Il s'agit d'une maison ou commanderie, labelisée Patrimoine en Isère en 2019[52]. Après le procès des Templiers, la maison du Temple d'Échirolles fut séquestrée par Jean II de Viennois qui ne la restitua aux Hospitaliers qu'en 1317 et on trouve alors un commandeur de Vizille et d'Échirolles au sein du grand prieuré d'Auvergne[53]. Vers 1471 la commanderie d'Échirolles passe au grand prieuré de Saint-Gilles[54] puis est unie à la commanderie de Valence en 1654[55]. Le Grand Maréchal de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Gaspard de Vallier, né à Herbeys un peu avant 1500, a vécu dans la commanderie d'Echirolles, avant d'être nommé gouverneur de Tripoli qu'il perdit face aux Ottomans en 1551.
    Le château Saint-Jacques, une maison forte de la fin du Moyen Âge[47], se trouve sur la première colline de la commune, dominant le cours du Drac. Collé au château, on trouve une stèle romaine dédiée à Mercure, à la mémoire du temple qui surgissait en proximité du château[49].

    Patrimoine culturel

    La commune héberge sur son territoire de nombreux établissement à vocation culturelle, dont, notamment :

    Le musée de la viscose
    • le musée Géo-Charles;
    • le Ciné-Théâtre La Ponatière;
    • le théâtre « La Rampe »;
    • les bibliothèques Pablo Neruda et La Ponatière;
    • le cinéma multiplex Pathé;
    • les Moulins de Villancourt, lieu d'expositions temporaires;
    • le Dcap, Développement culturel arts et poésie;
    • la Maison des écrits propose des ateliers et des formations et elle développe des projets culturels autour de l'écrit;
    • le Centre du graphisme[57]

    Espaces verts et fleurissement

    En , la commune confirme le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[58]. En 2014, la commune avait obtenu « une fleur »[59].

    Personnes nées à Échirolles

    Calogero
    Melissa Theuriau

    Personnes résidentes d'Échirolles

    Yanis Tafer

    Personnalités sportives

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au premier et au quatrième d'azur aux trois étoiles d'or disposées en 2 et 1, au deuxième et au troisième d'or à l'écureuil de gueules[60].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 22 novembre 2019
    2. Site annuaire-mairie.fr, page "Distances des grandes villes avec Échirolles", consulté le 22 novembre 2019
    3. Site lesvilleneuves.fr, page de présentation du quartier de la Villeneuve d'Échirolles, consulté le 23 novembre 2019.
    4. Site echirolles.fr, page Ballades et randonnées, consulté le 23 novembre 2019.
    5. « La Colline Verte :: Pièces et Main d'Oeuvre », sur www.piecesetmaindoeuvre.com (consulté le ).
    6. « Altitude atteinte par les glaciers dans... », sur www.geoglaciaire.net (consulté le ).
    7. Site isere.gouv.fr, page les eaux superficielles, consulté le 22 novembre 2019
    8. Site echirolles.fr, page "Métrovélo, un service qui roule", consulté le 6 mai 2020.
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Grenoble », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Site géoportail, page des cartes IGN
    20. « Grenoble: Plusieurs blessés lors de nouvelles scènes de violence à Echirolles et Fontaine », (consulté le ).
    21. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    22. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
    23. Site echirolles.fr, page sur les risques locaux, consulté le 28 novembre 2019.
    24. Site de la commune d'Échirolles
    25. Site echirolles.fr, page Histoire, consulté le 23 novembre 2019.
    26. « Le bourg d'Échirolles est distrait des communes du Grenoble et de Jarrie, arrondissement de Grenoble, département de l'Isère, et érigé en commune particulière » : No 5147 - Ordonnance du Roi sur Gallica, dans le Bulletin des lois du Royaume de France, IXe série, IIe partie, Ire section, p. 655.
    27. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 17/12/2009.
    28. Bienvenue - Histoire - Les maires ville-echirolles.fr
    29. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Échirolles, consultée le 26 octobre 2017
    30. Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
    31. Échirolles / Honhoué - Houéyogbé, un jumelage coopératif, sur le site officiel de la Ville d'Échirolles, accès 20 décembre 2014
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Site journaldesfemmes.fr, page sur les écoles d'Échirolles, consulté le 23 novembre 2019
    36. Site echirolles.fr, page sur le conservatoire de musique d'Échirolles, consulté le 23 novembre 2019.
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    43. Bull et NetApp inaugurent un centre d’expertise et de solutions de stockage à Grenoble., sur le site bull.com, mars 2011
    44. Audrey Fournier, « Atos met la main sur Bull pour se renforcer dans le big data », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
    45. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
    46. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
    47. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 272-275.
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    49. « Le mystère du tombeau de saint Jacques à Echirolles (Isère) », sur www.saint-jacques.info, (consulté le ).
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    51. Isabelle Calendre, « Echirolles : le château des Templiers n’est pas ce qu’on croit ! », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
    52. Édifices labellisés "Patrimoine en Isère" : la "cuvée" 2019., culture.isere.fr, accès le 2 août 2019.
    53. René Guillemier, Notre-Dame des autels et la « Roche Courbière », , 120 p. (ISBN 978-2-8106-0283-4, lire en ligne), p. 59-60 ; Société des écrivains Dauphinois, A la découverte du vieil Echirolles, (présentation en ligne), p. 86-87.
    54. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome II », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVIII, , p. 21, lire en ligne sur Gallica.
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    56. « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).
    57. Geoffrey Dorne, « Ouverture du nouveau Centre du graphisme d’Échirolles », (consulté le ).
    58. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    59. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    60. Site de la commune d'Échirolles
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