Sainte-Maxime

Sainte-Maxime est une commune française située dans le département du Var, en Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Sainte-Maxime

Sainte-Maxime, la Tour Carrée et l'église vues du port de plaisance.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Golfe de Saint-Tropez
Maire
Mandat
Vincent Morisse
2020-2026
Code postal 83120
Code commune 83115
Démographie
Gentilé Maximois(es)
Population
municipale
14 240 hab. (2018 )
Densité 174 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 25″ nord, 6° 38′ 30″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 522 m
Superficie 81,61 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Sainte-Maxime
(ville-centre)
Aire d'attraction Sainte-Maxime
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Maxime
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Sainte-Maxime
Géolocalisation sur la carte : Var
Sainte-Maxime
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Maxime
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Maxime

    Avec 13 968 habitants en 2017, il s'agit de la ville la plus importante du golfe de Saint-Tropez. Ses habitants sont appelés les Maximois(es).

    Toponymie

    En occitan provençal, la ville est appelée Santa Maxima selon la norme classique ou Santo Massimo selon la norme mistralienne. Son nom provient de Maxime de Callian, sainte patronne de la commune, dont l'église paroissiale abrite des reliques.

    Histoire

    Au XIIe siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait l’église Sainte-Daumas, dans les Maures, dont elle percevait les revenus[1]. En 1520 débute la construction de la Tour Carrée. Elle sera surélevée d'un étage en 1560. Le site est alors occupé par les Camelin, deux évêques de Fréjus au XVIIe siècle. En 1790, après la Révolution française, la tour est cédée comme bien national. Entre 1889 et 1949, la commune est desservie par la ligne à voie métrique de Toulon à Saint-Raphaël des chemins de fer de Provence.

    Dès le début du XXe siècle, la ville connaît peu à peu les débuts du tourisme, qui ne fera que se développer par la suite. Dès le , les plages de la Nartelle et des Eléphants comptent parmi les sites qui accueillirent les Alliés lors du débarquement de Provence[2],[3]. La commune est décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[4].

    Géographie

    La station borde la rive nord du golfe de Saint-Tropez. Protégée du mistral par les collines boisées du massif des Maures, elle s'ouvre au sud. Le sud de la commune, en bordure de la mer Méditerranée, est à une altitude proche de zéro. Plusieurs vallées, des fleuves côtiers traversant le territoire communal jusqu'à la mer, dans le sens nord-sud, sont entourées des collines du massif des Maures. Le point culminant de Sainte-Maxime, le Peigros, proche du col de Gratteloup, a une altitude de 526 mètres. Plusieurs fleuves côtiers traversent la commune de Sainte-Maxime : le Préconil, se jetant dans la mer Méditerranée près du port, ainsi que son affluent, le « Vallon de Bouillonnet » ; la Garonnette, se jetant dans la mer Méditerranée en limite de commune, à l'est, près des Issambres ; le « Vallon du Puèro ».

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Climat

    Végétation typique de maquis dans les hauteurs de Sainte-Maxime, au printemps.

    Le climat de Sainte-Maxime est de type méditerranéen, avec des étés chauds et secs et des hivers frais et humides. Octobre est le mois le plus arrosé, mais les précipitations restent abondantes jusqu'en février. Juin, juillet et août sont les mois les plus secs avec parfois plusieurs semaines sans pluie. Il pleut en moyenne 700 millimètres par an. Les extrêmes climatiques sont rares à cause de la proximité de la mer même s'il y a parfois des épisodes de canicule, moins marqués que dans les terres néanmoins. Les températures négatives sont plutôt rares et les chutes de neige sont exceptionnelles, et elle fond souvent au cours de la journée. Grâce au massif des Maures, l'influence du mistral est moins marquée que pour les communes situées plus à l'ouest de la Provence comme Marseille ou Toulon.

    La végétation est typiquement méditerranéenne avec une alternance de forêts de chênes, de pinèdes ainsi que du maquis où coexiste une forte biodiversité végétale : cistes, bruyères, lavandes, romarin. Ce climat très doux permet notamment la plantation de nombreuses espèces tropicales dans les jardins de la commune.

    Communes limitrophes

    Voies de communications et transports

    • Transports en commun : les bus verts (simplicity/circuit vert et bleu) assurent toute l'année des navettes sur le territoire de Sainte-Maxime, 7 jours sur 7 durant la période estivale et du lundi au samedi en basse saison et pour un euro seulement.
    • Transports maritimes : une navette maritime assure, dix mois par an, une liaison entre le port de Sainte-Maxime et celui de Saint-Tropez[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Maxime est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sainte-Maxime, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 18 509 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sainte-Maxime, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[15]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain continu 0,7 % 56
    Tissu urbain discontinu 14,3 % 1174
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,9 % 77
    Espaces verts urbains 0,6 % 50
    Équipements sportifs et de loisirs 0,7 % 58
    Vignobles 0,1 % 6
    Vergers et petits fruits 1,0 % 103
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 4,7 % 384
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,9 % 77
    Forêts de feuillus 4,1 % 341
    Forêts de conifères 0,5 % 38
    Forêts mélangées 23,7 % 1951
    Végétation sclérophylle 47,7 % 3927
    Forêt et végétation arbustive en mutation 1,0 % 86
    Mers et océans 0,1 % 11
    Source : Corine Land Cover[18]

    Politique et administration

    Comme la grande majorité des villes du Var, la ville de Sainte-Maxime est plutôt orientée politiquement à droite.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Jacques Sadoul[21] PCF Avocat
    Les données manquantes sont à compléter.
    Aymeric Simon-Lorière UDR puis RPR Attaché parlementaire
    Député de la 3e circonscription du Var (1973 → 1977)
    Conseiller général du canton de Toulon-5 (1973 → 1977)
    Paul Bausset RPR Pharmacien

    Maire honoraire
    Réélu en 1983 et 1989

    Bernard Rolland RPR puis UMP Commerçant
    Conseiller général du canton de Grimaud (2001 → 2015)
    9e vice-président du conseil général du Var (2008 → 2015)
    Réélu en 2001
    en cours Vincent Morisse UMP-LR Agent d'assurances
    Conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (2015 → )
    Président de la CC du golfe de Saint-Tropez (2014 → )
    Réélu en 2014 et 2020
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[22],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 14 240 habitants[Note 4], en augmentation de 2,93 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2009649949549431 1011 1669561 030
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9899521 0209419829501 0441 0381 020
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1221 1491 3901 5032 2112 6232 6282 6883 096
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 9375 4366 6277 36410 01511 78513 73913 33714 263
    2018 - - - - - - - -
    14 240--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Cultes

    La paroisse catholique Sainte-Maxime dépend du diocèse de Fréjus-Toulon, doyenné de Saint-Tropez[25].

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Nice. Les élèves de Sainte-Maxime commencent leur scolarité dans la commune, qui comporte trois écoles maternelles, trois écoles primaires, dont une privée et deux collèges, dont un privé[26].

    Économie

    L'économie de Sainte-Maxime repose principalement sur le tourisme. Le , la commune de Sainte-Maxime a été classée "station climatique". Depuis, la station continue d'améliorer son offre touristique. La plage a reçu le pavillon bleu en 2005. L'obtention de la dénomination "Station touristique (classement en "station classée de tourisme" introduit par la loi du ) en mai 2011 récompense ainsi une politique touristique de qualité. Cette distinction repose sur de nombreux critères. Station familiale, la ville de Sainte-Maxime accorde une attention particulière aux enfants. Le label « Famille Plus » a été obtenu en 2010. Ce label national vise à répondre de façon optimale aux attentes des familles en améliorant les prestations et les services. Depuis , l'office de tourisme est classé catégorie 1. Sainte-Maxime est situé au km 42 de la route du Mimosa. La ville possède notamment un casino construit en 1929 ainsi qu'un parcours de golf.

    Agriculture

    Sainte-Maxime fait partie des zones de production de l'huile d'olive de Provence AOC et des Côtes-de-provence, deux produits bénéficiant d'une AOC. La commune fait également partie des zones de production des vins de pays des Maures, des vins de pays de Méditerranée, et du miel de Provence, trois produits bénéficiant d'une IGP[27].

    Revenus de la population et fiscalité

    Budget et fiscalité 2015
    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

    • total des produits de fonctionnement : 36 532 000 , soit 2 611  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 34 715 000 , soit 2 481  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 7 340 000 , soit 525  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 7 123 000 , soit 509  par habitant ;
    • endettement : 15 996 000 , soit 1 143  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 20,32 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 21,36 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,65 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 35,33 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 23,55 %.

    Culture et patrimoine

    Manifestations culturelles et festivités

    Février
    • Corso du mimosa : défilé et grande parade de chars fleuris en l'honneur du mimosa.
    Mars
    • Salon des Vignerons et de la Gastronomie : producteurs et viticulteurs venus de toute la France présentent des produits d'exception.
    Avril
    Mai
    • Fest'Italia : grand marché italien proposant des produits venus directement d'Italie. Artisanat, gastronomie, mode, décorations mais aussi spectacles et animations au rendez-vous.
    • Eurofestival Harley Davidson : festival européen officiel de la marque.
    • Fête Votive : célèbre l'anniversaire de la mort de sainte Maxime, patronne de la ville.
    • Semaine Famille Plus et Journées récréatives des enfants : une semaine entière réservée aux familles, se terminant par trois journées dédiées aux enfants (spectacles, ateliers, animations...).
    • SUP Race Cup : championnat de stand up paddle.
    Juin
    • Fête de la Saint-Jean.
    • Fête de la Saint-Pierre.
    Juillet - Août
    Septembre
    • Fête des Vendanges : la traditionnelle fête des vendanges en l’honneur de la récolte du raisin qui débute dans la région.
    Octobre
    • Salon du Goût : véritable institution maximoise, ce salon offre mille et une recettes présentées par les plus grands chefs et professionnels de la région.
    • Sainte-Maxime Free Flight World Masters : depuis 2000, un show aérien exceptionnel avec les meilleurs pilotes de voltige au monde.
    Novembre
    • Rallye du Var : épilogue traditionnel de la saison du championnat de France des Rallyes.
    • Fête de l'Huile : événement qui marque l'arrivée de l'huile nouvelle.
    Décembre
    • Salon Plaisirs et Chocolats : de nombreux exposants dévoilent leurs produits artisanaux pour des plaisirs tantôt sucrés, tantôt salés.

    Lieux et monuments

    « Le goûter sur la terrasse à Sainte-Maxime » par Henri Lebasque.
    • Le port est bordé par la place du Commandant-Bietti. Cet homme de Sainte-Maxime a participé à la libération de la ville ; à proximité, sur le bord des quais, on verra la première borne de la voie libératrice « Sainte-Maxime-Langres »[29].
    • Monument aux morts[30].
    • L'église possède un bel autel en marbre du XVIIIe siècle[31] et une cloche de 1733[32],[33].
    Tour Carrée.
    Carte postale de Sainte-Maxime avec autographe de Théodore Botrel, 1907.
    • Face à l'église se trouve la Tour Carrée. Cette tour abrite aujourd'hui le musée de Sainte-Maxime, au dernier étage qui permet aussi de voir une belle vue sur le golfe de Saint-Tropez et le port, vous trouverez une salle d'exposition temporaire. Elle a été inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du et a abrité dans les années 1930 la mairie de Sainte-Maxime. La Tour Carrée des Dames, érigée au XVIe siècle par des moines, servit par la suite aux audiences de justice et abrite aujourd'hui le musée de la Tour Carrée : musée consacré au folklore et traditions locales, qui présente des expositions temporaires ou permanentes de costumes et d’objets divers relatifs à l’histoire provençale, à l’artisanat et à la pêche[34].
    • Le Sémaphore, haut de 127 mètres(. De ses abords, la vue sur la côte englobe un panorama du cap Sardineau au cap Saint-Pierre, De là, la vue s'étend sur le massif des Maures et même jusqu'à la chaîne des Alpes françaises et les îles de Lérins[35].
    • Le musée du phonographe et de la musique mécanique présente une collection unique en Europe de plus de 300 appareils, des origines à nos jours[36].
    • Le château des Tourelles (aussi nommé château Kéler -ou Keller-, château Gaumont ou château Meissonier), construit en 1883 par Jules Antoine Meissonier[37]. Léon Gaumont acheta le domaine en 1912. Ce château lui servit à plusieurs reprises de cadre pour le tournage de films, notamment Judex et Le Penseur. En 1930, Léon Gaumont s'y retira définitivement et y mourut en 1946[38].
    • Le Meinier site de l'âge du fer, qui appartint à l'écrivain Victor Margueritte
    • La villa Bellevue, construite en 1926, elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2004[39].
    • "La plage de Sainte-Maxime" par Charles Camoin.
      Vivier des Sardinaux, d'époque romaine, fouillé en 2002 par l'Association Archéologique Aristide Fabre.
    L'église de Sainte-Maxime par Georges Lepape (1933).


    Blasonnement

    Les armoiries de Sainte-Maxime se blasonnent ainsi :

    De gueules à la tour d'or, maçonnée, ouverte et ajourée de sable.

    Personnalités liées à la commune


    Louis Lumière (à gauche) rendant visite à Léon Gaumont à Sainte-Maxime vers 1930.

    Jumelages

    Pacte d'amitié

    • Anderlecht, commune de la région de Bruxelles de 100 000 habitants.

    Sainte-Maxime est jumelée avec Matthews en Caroline du Nord.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe siècle au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p. 229.
    2. Chemins de mémoire : Provence août 44.
    3. Mémorial du Débarquement des forces alliées
    4. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    5. liaison maritime pour Saint Tropez
    6. transports ferroviaires
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Sainte-Maxime », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sainte-Maxime », sur insee.fr (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    16. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    19. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897) p.429 « 
    20. La fiche biographique de FABRE Siméon sur le Maitron en ligne
    21. La fiche biographique de SADOUL Jacques, Numa sur le Maitron en ligne
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. paroisse Sainte Maxime
    26. écoles à Sainte-Maxime
    27. produits AOC et IGP de Sainte-Maxime
    28. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 22 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    29. Monument dit mémorial du Débarquement des forces alliées à Sainte-Maxime
    30. Monument aux morts de Saint-Maxime
    31. Notice no PM83000479, base Palissy, ministère français de la Culture autel (maître-autel) classé au titre des objets mobiliers
    32. Notice no PM83000481, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche de l'église Sainte-Maxime classée au titre des objets mobiliers
    33. Cloche à décor de coquille et du monogramme du Christ
    34. « Tour carrée », notice no PA00081708, base Mérimée, ministère français de la Culture inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 29 août 1977
    35. Golge de Saint-Tropez depuis le Sémaphore
    36. Musée du phonographe
    37. Maison de villégiature (villa balnéaire) dite Château Meissonnier, puis Château Keller, puis Château Gaumont, actuellement hôtel de voyageurs (centre de vacances) dit Château Les Tourelles
    38. Article sur l'histoire du château.
    39. Notice no PA83000015, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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