Henri Frenay

Henri Frenay Sandoval, dit Henri Frenay, est un résistant et homme politique français né le à Lyon et mort le à Porto-Vecchio en Corse-du-Sud. Avec Berty Albrecht, il fonde Combat, un mouvement de résistance regroupant apparemment toutes les tendances politiques[1] à l'exception des mouvances radicales et pro-communistes qu'il rendait responsables de la défaite de 1940[2]. Il est fait Compagnon de la Libération en 1943. À la Libération, il est commissaire puis ministre des Prisonniers, des Déportés et des Réfugiés.

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Biographie

Jeunesse

Henri Frenay est issu d'une famille lyonnaise d'officiers, une famille de droite, anticommuniste et catholique. Selon son biographe Robert Belot, c'est « un catholicisme pratiquant et exigeant, une austérité et un sens des traditions et de l'ordre. Un milieu qui est aussi une culture. Attenter à l'ordre moral ou social y est sacrilège et hérésie. Le sabre et le goupillon, telles sont les deux références structurantes de l'univers familial »[3]. De son côté, Henri Frenay écrit plus tard : « J'appartenais sans le savoir à cette droite française, traditionaliste, pauvre, patriote et paternaliste. »[4]. Son père est mort pendant la Première Guerre mondiale et Henri Frenay est élevé par sa mère. Il fait ses études au lycée Ampère de Lyon d'où il sort bachelier ès-sciences. Bien qu'ayant reçu « une éducation nationaliste »[3], il se tient en dehors de la politique, jusqu'à sa rencontre avec Berty Albrecht en 1934. Selon son entourage familial (notamment ses cousines Juliette et Cécile Simon, il se serait à partir de cette époque « orienté vers la social-démocratie pro européenne ».

Formation militaire et avant-guerre

En 1924, à dix-neuf ans, et après une classe préparatoire au lycée du Parc de Lyon, il intègre l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, promotion « du Rif » (1924-26). Il est d'abord affecté dans l'armée du Rhin. Il rejoint ensuite, en Syrie, le 16e régiment de tirailleurs tunisiens puis le 8e bataillon assyro-chaldéen à Kamechlié. En 1933, il revient en métropole, à Hyères, au 3e régiment d'infanterie alpine. Il effectue également un stage d'observateur aérien. En 1935, il entre à l'École supérieure de guerre et il s'y lie d'amitié avec Robert Guédon.

En 1934, il rencontre Berty Albrecht. Grâce à elle, il entre en contact avec des réfugiés allemands anti-nazis et en vient à s'intéresser au nazisme, dont il découvre alors les dangers en lisant Mein Kampf. En 1938, il suit les cours du Centre d'études germaniques de Strasbourg et rédige un mémoire sur la minorité allemande de Haute-Silésie polonaise[5].

Au début de la guerre

En 1939, Henri Frenay, alors capitaine, est affecté comme officier d'état-major sur la Ligne Maginot. Le , le 43e corps d'armée dont il fait partie reçoit l'ordre de repli à l'issue duquel, quatre jours plus tard, il est fait prisonnier par l'armée allemande. Henri Frenay réussit à s'évader avec l'adjudant Bourguet. À pied, ils gagnent la zone libre où ils arrivent le . Affecté en garnison à Marseille, Frenay prend conscience de la gravité de la situation. Sensibilisé très tôt aux considérations idéologiques allemandes grâce aux rencontres organisées par Berty Albrecht, et convaincu que la France finira par se relever, il se met en devoir de rassembler autour de Berty Albrecht et lui, en , un début de réseau pour ce qui est le premier mouvement historique de Résistance intérieure, le Mouvement de libération nationale (MLN). Dans cette même période, il parvient rapidement à diffuser un Bulletin d'information et de propagande.

Dans ces débuts de la Résistance intérieure, le but n'est pas le combat contre le Régime de Vichy. Frenay, en particulier parce qu'il est militaire, voit en Pétain un ancien maréchal de la Grande Guerre en faveur duquel le bénéfice du doute peut jouer. L'espoir des militants réside alors dans le possible double jeu de cet homme, qui « prépare forcément le salut de la France d'une manière ou d'une autre ».

Frenay est muté au Deuxième Bureau de l'État-Major de l'Armée (service du renseignement militaire) à Vichy, d'où il continue son action, unissant les mouvements naissants de chaque province, tout en prenant soin de respecter un cloisonnement très strict pour éviter tout « coup dur ». À la suite de ces fusions successives, le MLN est rebaptisé MLF, Mouvement de libération française.

Le , Frenay demande à être mis en congé d'armistice dans une lettre exprimant sa perte de confiance envers le Haut Commandement. Il est reçu par le chef d'État-Major de l'Armée, le général Picquendar, qui tente de le convaincre de rester. Devant sa détermination, le général Huntziger accorde le congé d'armistice. Henri Frenay garde néanmoins de nombreux contacts au sein de l'armée et notamment dans le Deuxième Bureau.

Fondateur de Combat

En , désormais les mains libres, Frenay se consacre entièrement à la consolidation de son réseau. Grâce à Robert Guédon et Pierre de Froment, il étend la publication du journal clandestin Les Petites Ailes, distribué dans le Nord et le Pas-de-Calais, à toute la France, journal qui prend alors pour titre Les Petites Ailes de France, puis finalement celui de Résistance en zone occupée et de Vérités en zone libre.

Recherché en zone occupée par la Gestapo et en zone libre par la police française, Frenay plonge dans la clandestinité et adopte différents noms d'emprunt comme Henri Francen, Morin, Molin, Nef, Lefèvre, ou Charvet, nom sous lequel il était connu des services britanniques. En zone libre, son journal Vérités, après la fusion avec Liberté, se transforme en Combat fin 1941, dont le sous-titre est « Organe du mouvement de la Résistance Française. » Grâce aux talents d'organisateur de son fondateur et à la multiplicité de ses réseaux (militaires, juristes, universitaires, catholiques, protestants et socialistes notamment), Combat devient plus tard, selon Laurent Douzou et Dominique Veillon, le plus efficace des mouvements de la Résistance non communiste de la zone Sud[6].

Courant 1941, Frenay est contacté par le général Benoît-Léon Fornel de La Laurencie que les Américains, par le truchement de l'OSS, voudrait faire un rival du général de Gaulle. Or Libération Nationale bénéficie alors de la manne des services américains. La situation aboutit à une rupture.

Frenay travaille en bonne intelligence avec le mouvement Franc-Tireur animé par son ami Jean-Pierre Lévy, mais plus difficilement avec le mouvement Libération animé par Emmanuel d'Astier de La Vigerie.

Pour Frenay, les intentions réelles ou supposées du Maréchal (collaboration, double jeu...) n'entrent pas en ligne de compte : résister est un devoir. Fin 1941, il consent à faire du général de Gaulle le symbole de la Résistance française, mais il accepte très mal l'autorité de ses délégués. L'influence croissante de Pierre Laval sur le gouvernement de Vichy finit de le convaincre : Combat désavoue désormais au travers de ses publications agressives l'action du gouvernement de Vichy.

Henri Frenay résistant

En , il rencontre un ancien préfet, Jean Moulin  révoqué par le régime de Vichy, en , en raison de ses idées républicaines marquées à gauche comme radical-socialiste et placé en disponibilité , qui cherche à prendre la mesure des mouvements intérieurs de résistance. Il lui dévoile l'organisation du réseau Combat et arrange aussi les réunions avec d'Astier et Lévy.

En , il rencontre à nouveau Jean Moulin, de retour de Londres, chargé d'unifier la Résistance française et de la rallier à de Gaulle. Il le voit ensuite fréquemment jusqu'en 1943.

En , pour faire libérer des militants de zone libre, Frenay rencontre deux fois (avec l'accord du comité directeur de Combat) Henri Rollin, patron de la Surveillance du territoire, puis le ministre de l'Intérieur Pierre Pucheu qui lui propose de rallier son mouvement aux services secrets français, ce qu'Henri Frenay refuse. Lors d'un troisième entretien, avec Rollin et des membres du cabinet de Pucheu, Frenay part en claquant la porte. Ces rencontres ont néanmoins permis la remise en liberté de plusieurs camarades. La bonne foi de Frenay n'est pas mise en cause, mais il prête le flanc aux critiques de certains résistants dont Emmanuel d'Astier de La Vigerie et Jean Moulin inquiets de l'influence de Combat. La situation est clarifiée lorsque Henri Frenay, en voyage secret à Londres, remet un rapport pour justifier ces rencontres. Le rapport est envoyé aux différents chefs de la Résistance. Henri Frenay est reconnu à l'Ordre de la Libération, en à Alger, par le général de Gaulle.

En zone libre, Henri Frenay cherche à prendre le commandement militaire de la Résistance française lors de la fusion des trois plus importants mouvements de la zone libre (Franc-Tireur, Libération, Combat), ce qui aboutit à des discussions avec de Gaulle et son représentant, Jean Moulin. La création des Mouvements unis de la Résistance ou MUR dont il est, quoique réticent, l'un des membres du Comité directeur (présent aussi, Pierre Dumas, secrétaire général du mouvement) ne l'empêche pas de chercher à rendre son mouvement (Combat) le plus autonome possible vis-à-vis de Londres.

Frenay expose précisément ses griefs envers Moulin dans ses mémoires La Nuit finira, publiées Modèle:Année (voir le paragraphe Le réquisitoire de 1973 contre Jean Moulin).

En fait, le général de Gaulle, par l'intermédiaire de Moulin, souhaitait séparer le combat politique de la résistance militaire, considérant que c'était au gouvernement exilé à Londres puis à Alger d'assumer la fonction politique sous son patronage, alors que Frenay, plaidant l'échec du régime des partis de la IIIe République, considérait que la Résistance devait avoir sa place en tant que mouvement politique autonome dans la création de nouvelles institutions après-guerre et ne pas accueillir les anciens partis et leurs réseaux en son sein.

Henri Frenay, accompagné d'Emmanuel d'Astier de La Vigerie, part le pour Londres, en passant par Gibraltar. Il rencontre le général de Gaulle, chef de la France libre, et retrouve finalement en lui, entre militaires, la plupart de ses conceptions de la Résistance. Il prend aussi contact avec les membres du BCRA, dont le colonel Passy.

À partir de , Henri Frenay aide le RNPG de François Mitterrand et Maurice Pinot contre le mouvement de Michel Cailliau, neveu du général de Gaulle[7].

En , il confie la direction du mouvement à son adjoint Claude Bourdet et retourne à Londres. En juillet, il part pour Alger où, le mois suivant, le général de Gaulle lui remet la Croix de la Libération. En 1944, il fait partie des délégués de différents mouvements nationaux de résistance qui se réunissent chez le pasteur Willem Visser 't Hooft à Genève pour rédiger puis adopter la Déclaration des résistances européennes.

Ministre des prisonniers, déportés et réfugiés

Frenay, qui avait joué un grand rôle dans la Résistance Intérieure[8], rêvait d'un rôle d'ampleur au ministère de l'Intérieur du Comité français de la Libération nationale d'Alger. Néanmoins, du fait de ses idées opposées à celles de De Gaulle, il est quelque peu écarté de la reconstruction, obtenant un poste de second plan dès , le Commissariat aux prisonniers, déportés et réfugiés (PDR), poste qu'il conserve dans le Gouvernement provisoire de la République française, en 1944 et jusqu'au . Il s'attelle néanmoins à la tâche ardue d'assurer le retour en France des 1 330 000 prisonniers, réfugiés et déportés de la zone alliée et de les réintégrer dans la vie nationale en quatre mois (entre avril et ). Les déportés français de la zone soviétique sont libérés plus lentement. Henri Frenay et son ministère doivent fournir la liste complète des disparus que les autorités russes recherchent alors dans les camps où elles sont les seules à pouvoir entrer. La charge de ministre de Henri Frenay s'arrête lorsque le Gouvernement provisoire de la République française remet ses pouvoirs à l'Assemblée constituante, en .

Vie politique

À la Libération, la guerre l'ayant fait évoluer vers la gauche et un socialisme non marxiste, il est un des fondateurs de l'Union démocratique et socialiste de la Résistance (UDSR). Il est d'avis que la Résistance ne doit pas s'arrêter « au dernier coup de canon » mais devenir le moteur d'une reconstruction politique et sociale du pays.

Il est un farouche adversaire du PCF, dont il subit les violentes et continuelles attaques, notamment par l'intermédiaire de L'Humanité. Henri Frenay finit par traduire ce journal en justice pour diffamation. Ces attaques ont pour but de discréditer Henri Frenay aux yeux de ses proches, de ses collaborateurs et des déportés qu'il rapatrie, ainsi que d'augmenter la popularité du Parti communiste dans les associations de prisonniers. Débouté en première instance, Frenay gagne en appel, le , en faisant condamner le directeur de l'Humanité, Marcel Cachin, à 15 000 francs d'amende et à l'insertion du jugement dans son journal[9].

Son espoir de construire une république forte et solide est déçu lors de la résurgence des partis et de leurs luttes intestines dès la Libération. À l'occasion du rapprochement de son mouvement avec le Parti radical au sein du Rassemblement des gauches républicaines, il démissionne de l'UDSR et se tourne alors vers la construction européenne. Président de l'Union européenne des fédéralistes (UEF), il ne partage pas les conceptions européennes de de Gaulle avec lequel il ne s'entend plus mais il se heurte également aux acteurs de la IVe République. Sa foi dans la construction européenne le conduit à participer au congrès de La Haye en 1948, qui crée le Mouvement européen. Frenay démissionne de la présidence de l'UEF après le rejet de la Communauté européenne de défense (CED) en 1954. C'est à ce moment qu'il rompt définitivement avec le général de Gaulle.

Il est candidat malheureux de la SFIO aux élections législatives de 1958. Le retour de De Gaulle lui parait nécessaire pour donner de nouvelles institutions et pour mettre fin à la guerre d'Algérie. Néanmoins, en 1965, il souhaite l'élection de Defferre à la présidence et appelle à voter contre de Gaulle.

Sa carrière professionnelle ultérieure est consacrée à l'administration de sociétés d'édition.

Le réquisitoire de 1973 contre Jean Moulin

Henri Frenay publie ses mémoires en 1973, La nuit finira. Il taxe Jean Moulin d'incompétence et de mégalomanie et lui reproche d'avoir faussé les relations entre les MUR et la France Libre du général de Gaulle à Londres pour devenir par coup de force le président du CNR. Il l'accuse d'avoir mis à mal les réseaux de résistance Combat et Libération Sud en détournant leur financement au détriment notable d'un réseau plutôt pro-américain basé à proximité de la Suisse et animé par le général Delestraint, ce qui aurait entraîné la chute dudit réseau et l'assassinat de son chef par les Allemands. C'est un reproche d'autant plus étonnant que Frenay lui même avait conduit des négociations secrètes avec les américains de février à avril 1943 via l'ambassade en Suisse pour établir un financement américain de Combat, sans jamais en parler à Londres et au général de Gaulle : « un véritable coup de poignard dans le dos que vous donnez à de Gaulle » dit Moulin à Frenay. Moulin a obtenu un désaveu de Frenay par les comités directeurs des mouvements de résistance[10].

Ces accusations sont ensuite dénoncées par Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin, qui livre dans ses mémoires un témoignage assez cru de la violence des luttes de pouvoir entre les chefs des mouvements de résistance et tout particulièrement de l'attitude abrupte de Frenay vis-à-vis de Moulin (Alias Caracalla, Gallimard, 2009). Daniel Cordier est à son tour critiqué par d'anciens responsables de la Résistance, notamment le général de Bénouville et les époux Aubrac, qui lui reprochent de polémiquer abusivement avec Henri Frenay en le faisant passer à tort pour un homme d'extrême-droite proche de l'Action française.

Mort et hommages

Peu avant de mourir, Henri Frenay choisit de venir en Corse, île natale de Chilina, dans leur maison de Porto-Vecchio. Il décède 6 août 1988. Le président de la République, François Mitterrand, fait son éloge funèbre[11].

Une place Henri-Frenay est inaugurée à Paris en 1995[12] ; une esplanade Henri-Frenay est créée à Limoges. Une rue de Sainte-Maxime lui est également consacrée, ainsi qu'à Strasbourg[13], Grenoble, Porto-Vecchio, Plaisir, Avignon, Bollène ou encore Eckbolsheim.

Vie privée

Entre 1934 et 1942, il entretient une liaison passionnée avec Berty Albrecht, une femme protestante, féministe et antifasciste, de douze ans son aînée, séparée. Il rencontre en 1942 Chilina Ciosi (1909-1997), ancienne externe des hôpitaux de Paris[14], médecin-cheffe d'une clinique à Font-Romeu et responsable d'une filière de passage vers l'Espagne. Elle donne naissance à un enfant le 6 octobre 1943[15],[16]. Pour éviter de mettre en danger la mère et l'enfant, leur fils est déclaré « de père et de mère inconnus » et placé en pouponnière jusqu’à la fin du conflit[17]. Il l'épouse après guerre.

Décorations

Publications

  • Combat, Paris, Denoël, 1946
  • La nuit finira, Paris, Robert Laffont, 1973 ; rééd. 2006, Paris, Michalon, coll. « Fonds perdus »
  • Volontaires de la nuit, Paris, Robert Laffont, 1975
  • L'Énigme Jean Moulin, Paris, Robert Laffont, 1977

Notes et références

  1. Henri Noguères, Histoire de la Résistance en France, Laffont, 1967 ; Henri Michel, Combat, Histoire d'un mouvement de Résistance, PUF, 1957 ; Henri Frenay, La nuit finira, Laffont, 1973 ; Claude Bourdet, L'Aventure incertaine - De la Résistance à la Restauration, Stock, 1975 ; Guillain de Bénouville, Le Sacrifice du matin, La Palatine, 1946.
  2. Giolitto 2005, p. 109.
  3. Belot 2003.
  4. Henri Frenay, La nuit finira, Robert Laffont, p. 42
  5. Belot 2003, p. 66.
  6. Laurent Douzou et Dominique Veillon, article « Combat », dans Dictionnaire historique de la résistance, Robert Laffont, 2006, p. 117.
  7. Pierre Péan, Une jeunesse française. François Mitterrand, 1934-1947,  éd. Fayard, 1994, p. 309-311 et p. 360-366.
  8. « Moi qui ai tant fait de sacrifices », écrit-il à de Gaulle dans une lettre, faisant allusion à son amie proche Berty Albrecht morte sous la torture quelques jours auparavant.
  9. Giolitto 2005, p. 459.
  10. Daniel Cordier, Jean Moulin la République des catacombes, Paris, Gallimard, , 999 p. (ISBN 2-07-074312-8), page 350 à 356
  11. François Mitterrand, « Allocution de M. François Mitterrand, Président de la République, en hommage au résistant Henri Frenay, Paris, Les Invalides, mardi 20 septembre 1988 », sur Elysee.fr,
  12. « La Place Henri Frenay », sur www.paristoric.com (consulté le )
  13. « Rue Henri-Frenay (Strasbourg) », sur www.archi-wiki.org,
  14. Thèse, p.27, « Box 17:15:428 Paris, France (H I) », sur docplayer.fr,
  15. Jeanne Teisson, Elles ont aimé un homme plus jeune: Récits de vies, Glyphe, (ISBN 978-2-36934-121-5, lire en ligne)
  16. Autrice d'une thèse de médecine intitulée Étude des lésions périfocales du mal de Pott dorsal (Paris: Éditions Louis Arnette, 1936, 151 pages, cf. http://archives.hsl.unc.edu/nyamtheses/nyamcovers/H00514530I.pdf) et d'un Témoignages pour Henri Frenay (Nice: Librairie Axel Benadi, 1991, 31 pages)
  17. Henri Frenay, La nuit finira, Paris, Robert Laffont, , 607 p., p. 286-287
  18. « Ordre national de la Légion d'honneur – Décret du 31 décembre 1987 portant élévation à la dignité de grand'croix et de grand officier », sur legifrance.gouv.fr, Journal officiel de la République française, (consulté le ), p. 14.

Voir aussi

Bibliographie

Filmographie

Articles connexes

Liens externes

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