Réplique culte

Une réplique culte est une réplique (phrase, souvent une réponse, mais aussi une tirade) provenant d'une œuvre de fiction. La réplique, notamment si elle est souvent citée, peut devenir « culte » (célèbre, populaire).

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Quand la réplique est employée plus d'une fois par sa source, elle peut devenir une phrase fétiche (ou gimmick). Par ailleurs, un film culte donne souvent lieu à plusieurs répliques cultes.

Impact sociologique

Les répliques cultes sont à l'origine d'un phénomène sociologique de mode, de nombreuses personnes reprenant les répliques, parfois en les détournant, principalement dans le domaine humoristique et publicitaire[réf. nécessaire].

D'après Richard Harris, professeur de psychologie à l'université d'État du Kansas, qui a étudié pourquoi les gens adorent reprendre des citations en provenance de films dans des situations sociales, l'utilisation de telles citations dans les conversations quotidiennes a une fonction similaire à celle des blagues en ce qu'elles créent un lien de connivence avec les autres[1]. Il explique : « Les gens le font ça pour se sentir bien, pour rire et pour faire rire les autres. » Il a constaté que tous les participants de son étude avaient utilisé ces citations dans leur conversation à un moment ou un autre. Pour ce qui est du genre, les comédies sont de loin les plus couramment citées, viennent ensuite les drames et les films d'aventures, tandis que les films d'horreur ou pour enfants sont très rarement cités[1].

Répliques cultes au théâtre et dans le spectacle vivant

Théâtre classique

« Mais que diable allait-il faire dans cette galère ? »

 citation de Molière dans Les Fourberies de Scapin.

« Le petit chat est mort. »

 citation de Molière, Agnès dans L’École des femmes (acte II, scène 5).

« Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. »

 citation de Molière dans L'Avare, repris de Socrate.

« Va, je ne te hais point. »

 citation de Corneille dans Le Cid.

« Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. »

 citation de Racine dans Phèdre.

Par ailleurs, certaines tirades comme la « tirade du nez » de Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand (acte I, scène 4) sont devenues cultes :

« Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, — par exemple, tenez
Agressif : "Moi, Monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse !" (…)
 »

Spectacles comiques

Chevalier et Laspalès

« Vous me cherchez !
C'est vous qui voyez !
Il y en a qui ont essayé[2]. Ils ont eu des problèmes. Cela dit, il est très rapide. »

 trois répliques du préposé à la SNCF (Régis Laspalès) à l'usager du train (Philippe Chevallier) dans le sketch Le train pour Pau de Chevallier et Laspalès (1992)

Répliques cultes en bande dessinée parmi les plus célèbres

Les aventures de Tintin

« Quand lama fâché, señor, lui toujours faire ainsi[3]... »

 réplique d'un péruvien au capitaine Haddock dans l'album « Le Temple du Soleil » (1949) de la série Les Aventures de Tintin d'Hergé

« Bachi Bouzouk ! Moule à gaufres ! Anacoluthe ! Pitécanthrope de Java ! »

 injures pittoresques du capitaine Haddock – parmi beaucoup d'autres – déclinées tout au long des Aventures de Tintin

Gaston Lagaffe

« M'enfin ![4] »

 réplique récurrente du personnage de Gaston Lagaffe dans la série Gaston de Franquin.

Répliques cultes au cinéma parmi les plus célèbres

Note : les répliques en français sont celles de la traduction officielle en VF ; les répliques en anglais sont les citations originales.

Cinéma anglophone

300

« Nous sommes spartiates ! (This is Sparta!)[réf. souhaitée] »

 réplique du roi Léonidas (Gerard Butler) dans 300 (2007).

2001, l'odyssée de l'espace

« Bonsoir, Dave (Good evening, Dave).
Je regrette, Dave. C'est impossible (I'm sorry, Dave. I'm afraid I can't do that).[réf. souhaitée] »

 deux répliques du supercalculateur HAL 9000 (doublé par Douglas Rain) à Dave Bowman (Keir Dullea) dans 2001 : L'odyssée de l'espace[alpha 1] (1968).

Apocalypse now

« J'aime l'odeur du napalm au petit matin ! (I love the smell of napalm in the morning!)[5] »

 réplique du lieutenant colonel Bill Kilgore (Robert Duvall) dans Apocalypse now (1979).

Apollo 13

« Houston, on a un problème (Houston, we have a problem)[6],[7]. »

 réplique[alpha 2] de l’astronaute James « Jim » Lovell (Tom Hanks) dans Apollo 13 (1995).

Autant en emporte le vent

« Franchement, ma chère, c'est le cadet de mes soucis (Frankly, my dear, I don't give a damn). »

 réplique de Rhett Butler (Clark Gable) à Scarlett O'Hara (Vivien Leigh) (dans Autant en emporte le vent (1939).

Blade Runner

« J’ai vu tant de choses que vous, humains, ne pourriez pas croire. De grands navires en feu surgissant de l’épaule d’Orion. J’ai vu des rayons fabuleux, des rayons C, briller dans l’ombre de la porte de Tannhäuser. Tous ces moments se perdront dans l'oubli... comme... les larmes... dans la pluie. Il est temps de mourir
(I've seen things you people wouldn't believe... Attack ships on fire off the shoulder of Orion... I watched C-beams glitter in the dark near the Tannhäuser Gate... All those moments will be lost in time, like... tears in rain. Time to die)[8]. »

 réplique[alpha 3] de Roy Batty (Rutger Hauer) à Deckard (Harrison Ford) dans Blade Runner (1982).

Certains l'aiment chaud

« Eh bien... personne n'est parfait ! (Well... nobody's perfect!) »

 réplique de Osgood Fielding III (Joe E. Brown) à « Daphné » (Jack Lemmon) dans Certains l'aiment chaud (1959).

Casablanca

« Au plaisir de te regarder, ma petite[9] (Here's looking at you kid)[10]. »

 réplique de Rick Blaine (Humphrey Bogart) à Ilsa Lund (Ingrid Bergman) dans Casablanca (1942).

Citizen Kane

« Bouton de rose ! (Rosebud!)[5] »

 réplique de Charles Foster Kane (Orson Welles) dans Citizen Kane (1941).

Die Hard

« Yippee-ki-yay, pauvre con ! (Yippee-ki-yay motherfucker!)[réf. souhaitée] »

 réplique de John McClane (Bruce Willis) dans la série de films Die Hard[alpha 4].

Drive

« Vous me donnez une heure et un lieu. Je vous donne un créneau de cinq minutes. Pendant ces cinq minutes, je vous lâche pas. Quoi qu’il arrive. J’interviens pas pendant le braquage, je ne porte pas d’arme… Je conduis
(You give me a time and a place, I give you a five minute window. Anything happens in that five minutes and I'm yours. No matter what. I don't sit in while you're running it down. I don't carry a gun. I drive)[11],[12]. »

 réplique du chauffeur (Ryan Gosling) dans Drive (2011).

E.T., l'extra-terrestre

« E.T. téléphone maison[13] (E.T. home phone[alpha 5]) »

 réplique d'E.T (Pat Welsh) à Elliott (Henry Thomas) dans E.T., l'extra-terrestre (1982)

Fight Club

« La première règle du Fight Club est : il est interdit de parler du Fight Club
(The first rule about Fight Club is you don't talk about Fight Club).[réf. souhaitée] »

 réplique de Tyler Durden (Brad Pitt) dans Fight Club (1996).

Forrest Gump

« Maman disait toujours, "la vie, c'est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on va tomber"
(Mama always said life was like a box of chocolates, you never know what you're gonna get)[5]. »

 réplique de Forrest Gump (Tom Hanks) dans Forrest Gump (1994).

Highlander

« À la fin, il ne peut en rester qu'un (In the end there can be only one)[14]. »

 réplique dite par plusieurs personnages, notamment Connor MacLeod (Christophe Lambert) et Ramirez (Sean Connery) dans Highlander (1986).

Invasion USA

« Si tu te pointes encore, tu peux être sûr que tu repars avec la bite dans un tupperware[15]. »

 réplique de Matt Hunter (Chuck Norris) dans Invasion USA (1985).

James Bond

« Bond... James Bond[5]. »

 réplique de James Bond (Sean Connery), citée pour la première fois dans James Bond 007 contre Dr. No (1962).

« Vodka Martini, mélangée au shaker, pas à la cuillère (Vodka Martini, shaken, not stirred (en)). »

 réplique de James Bond (Sean Connery), citée pour la première fois[alpha 6] dans James Bond 007 contre Dr. No (1962).

Jurassic Park

« – Dieu crée les dinosaures. Dieu détruit les dinosaures. Dieu crée l'homme. L'homme détruit Dieu. L'homme crée les dinosaures
(God creates dinosaurs. God destroys dinosaurs. God creates man. Man destroys God. Man creates dinosaurs).
– Les dinosaures mangent l'homme. La femme hérite de la Terre
(Dinosaurs eat man. Woman inherits the Earth)[16]. »

 répliques successives des docteurs Ian Malcolm (Jeff Goldblum) et Ellie Sattler (Laura Dern) dans Jurassic Park (1993).

L'Arme fatale

« Je suis trop vieux pour toutes ces conneries ! (I'm too old for this shit!)
(variante) J'ai passé l'âge de ces conneries... (I'm too old for this...).[réf. souhaitée] »

 répliques de Roger Murtaugh (Danny Glover) dans la saga L'Arme fatale (1987-1998).

Last Action Hero

« Hey, Claudius ? C'est toi qui as tué mon père. Monumentale erreur (Hey Claudius! You killed my father. Big mistake)[17].
Être ou ne pas être ?... Ne pas être (To be or not to be... Not to be)[18]. »

 deux répliques, détournées de Hamlet, citées par Jack Slater (Arnold Schwarzenegger) dans Last Action Hero (1993).

Le bon la brute et le truand

« Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses
(You see, in this world there's two kinds of people, my friend: those with loaded guns, and those who dig. You dig)[19],[20]. »

 réplique de Blondin, alias « le Bon » (Clint Eastwood) dans Le bon la brute et le truand (1966).

Le Parrain

« Je vais lui faire une offre qu'il ne pourra pas refuser (I'm going to make him an offer he can't refuse).[réf. souhaitée] »

 réplique de Vito Corleone (Marlon Brando) dans Le Parrain (1972).

Le Parrain 2

« Mon père m'a appris beaucoup de choses ici. Il me les a apprises dans cette pièce. Il m'a appris ceci : "Garde tes amis près de toi, et tes ennemis encore plus près"
(My father taught me many things here. He taught me in this room. He taught me, "Keep your friends close, but your enemies closer"). »

 réplique de Michael Corleone[alpha 7] (Al Pacino) dans Le Parrain 2 (1975)

Le Parrain 3

« Juste quand je pensais en être sorti... ils me remettent dedans ! (Just when I thought I was out... they pull me back in!) »

 réplique de Michael Corleone[alpha 8] (Al Pacino) dans Le Parrain 3 (1991).

Les Affranchis

« Un jour, un des gamins du quartier a raccompagné ma mère jusqu'à la maison pour lui porter les courses. Vous savez pourquoi ? Par respect
(One day, some of the kids from the neighborhood carried my mother's groceries all the way home. You know why? It was outta respect)[21],[22]. »

 réplique de Henry Hill (Ray Liotta) dans Les Affranchis (1990).

Le silence des agneaux

« Un jour, un employé du recensement a essayé de me tester. J’ai dégusté son foie avec des fèves au beurre et un excellent chianti
(A census taker once tried to test me. I ate his liver with some fava beans and a nice chianti)[11]. »

 réplique d'Hannibal Lecter (Anthony Hopkins) à Clarice Starling (Jodie Foster) dans Le silence des agneaux (1991).

L'Inspecteur Harry

« Je sais ce que tu penses : "Est-ce qu'il a tiré six fois ou seulement cinq ?" En fait, pour te dire la vérité, dans tout ce bordel, j'ai perdu le compte moi aussi. Mais ceci est un 44 Magnum, le plus puissant soufflant jamais créé au monde, un calibre à vous arracher la tête. Tu ne dois te poser qu'une question : "Est-ce que je suis chanceux ?" Alors, ordure, tu l'es ou pas ?
(I know what you're thinking. 'Did he fire six shots or only five?' Well, to tell you the truth, in all this excitement I've kinda lost track myself. But being this is a .44 Magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you've got to ask yourself one question: 'Do I feel lucky?' Well, do ya, punk?)[11],[20] »

 réplique de Harry Callahan (Clint Eastwood) dans L'Inspecteur Harry (1971).

Magnolia

« Respectez la bite... et domptez la chatte ! (Respect the cock... and tame the cunt!).[réf. souhaitée] »

 réplique de Frank T.J. MacKey (Tom Cruise) dans Magnolia (1999).

Network

« Je suis fou de rage et je ne vais plus le tolérer ! (I'm as mad as Hell and I'm not gonna take this anymore!)[5] »

 réplique de Howard Beale (Peter Finch) dans Network (1976).

Portés disparus 3

« Je mets les pieds où je veux, Little John… et c'est souvent dans la gueule[15]. »

 réplique du colonel James Braddock (Chuck Norris) dans Portés disparus 3 (1988).

Predator

« Si ça saigne, on peut le tuer (If it bleeds, we can kill it)[23]. »

 réplique d'Alan « Dutch » Schaefer (Arnold Schwarzenegger) dans Predator (1987).

« Va à l'hélicoptère ! (Get to the choppa!)[24] »

 réplique d'Alan « Dutch » Schaefer (Arnold Schwarzenegger) à Anna (Elpidia Carrillo) dans Predator.

Pulp Fiction

« La marche des vertueux est semée d'obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin surgir l'œuvre du Malin. Béni soit-il, l'homme de bonne volonté qui au nom de la charité se fait le berger des faibles qu'il guide dans la vallée d’ombre, car il est le gardien de son frère et la providence des enfants égarés. J'abattrai alors le bras d’une terrible colère, d'une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu. Et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’Éternel quand, sur toi, s'abattra la vengeance du Tout-Puissant
(The path of the righteous man is beset on all sides by the inequities of the selfish and the tyranny of evil men. Blessed is he, who in the name of charity and good will, shepherds the weak through the valley of darkness, for he is truly his brother's keeper and the finder of lost children. And I will strike down upon thee with great vengeance and furious anger those who would attempt to poison and destroy my brothers. And you will know my name is the Lord when I lay my vengeance upon thee)[25]. »

 réplique, tirée de la Bible, de Jules Winnfield (Samuel L. Jackson) dans Pulp Fiction (1994).

Raging Bull

« T’as baisé ma femme ?[26] (Did you fuck my wife?)[27] »

 réplique de Jake LaMotta (Robert De Niro) dans Raging Bull[alpha 9] (1981).

Rambo (First Blood)

« Fais pas chier... fais pas chier ou je te ferai une guerre comme t'en as jamais vue !
(Don't push it... don't push it, or I'll give you a war you won't believe).[réf. souhaitée] »

 réplique de John Rambo (Sylvester Stallone) dans Rambo (First blood) (1982).

Rambo 3

« — Alors... où est-ce que les missiles sont localisés ?
— Tout près.
— Où ça ?
— Dans ton cul
(– Now... where are the missiles located?CloseHow close?In your ass).[réf. souhaitée] »

 réplique du colonel Trautman (Richard Crenna) dans Rambo 3 (1988).

RoboCop

« J'en prendrais pour un dollar ! (I'd buy that for a dollar!)[28]. »

 réplique récurrente prononcée par différents personnages[alpha 10] dans RoboCop (1987).

Rocky

« Ça n’fait vraiment rien si je perds ce combat. Ça n’fait rien non plus si ce gars me démolit la tête. Tout ce que je veux, c'est tenir la distance
(It really don't matter if I lose this fight. It really don't matter if this guy opens my head either. 'Cause all I wanna do is go the distance).[réf. souhaitée] »

 réplique de Rocky Balboa (Sylvester Stallone) dans Rocky (1976).

Rocky IV

« Si je peux changer... et si vous pouvez changer... tout le monde peut changer !
(If I can change... and you can change... everybody can change!)[réf. souhaitée] »

 réplique de Rocky Balboa (Sylvester Stallone) dans Rocky IV (1985).

Scarface

« Dans ce pays, il faut d'abord faire le fric. Et quand tu as le pognon, tu as le pouvoir. Et quand tu as le pouvoir, tu as toutes les bonnes-femmes
(In this country, you gotta make the money first. Then when you get the money, you get the power. Then when you get the power, then you get the women)[29]. »

 réplique de Tony Montana (Al Pacino) à Manny Ribera (Steve Bauer) dans Scarface (1983).

« Tu veux me baiser ? D'accord. Tu veux jouer au dur ? D'accord. Dis bonjour à mon petit camarade !
(You wanna fuck with me? Okay. You wanna play rough? Okay. Say hello to my little friend!)[29]. »

 réplique (traduction littéralle de la VO[30]) de Tony Montana au commando de boliviens d'Alejandro Sosa dans Scarface.

Sixième Sens

« Je vois des gens qui sont morts (I see dead people)[5]. »

 réplique de Cole Sear (Haley Joel Osment) au docteur Malcolm Crowe (Bruce Willis) dans Sixième Sens (1999).

Spartacus

« Je suis Spartacus ! (I am Spartacus!) »

 réplique des esclaves lorsque les Romains demandent à Spartacus (Kirk Douglas) de se dénoncer, dans Spartacus (1960).

Star Wars

« Que la Force soit avec toi (May the Force be with you).[réf. souhaitée] »

 réplique de plusieurs personnages dans la saga Star Wars, notamment Obi-Wan Kenobi dans Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir (1977).

« Non Luke, je suis ton père (No Luke, I am your father)[alpha 11],[20],[31]. »

 réplique de Dark Vador (Darth Vader, voix de James Earl Jones) à Luke Skywalker (Mark Hamill) dans Star Wars, épisode V : L'Empire contre-attaque (1980).

Taxi Driver

« C'est à moi que tu parles ? (You talkin' to me?) »

 réplique de Travis Bickle (Robert De Niro) dans Taxi Driver[alpha 12] (1976).

Terminator (franchise)

« Je reviendrai (I'll be back). »

 réplique du Terminator (Arnold Schwarzenegger) dans Terminator[alpha 13] (1984).

« Hasta la vista, baby. »

 réplique du Terminator T-800 dans Terminator 2 : Le Jugement dernier (1991).

« Viens avec moi si tu veux vivre ! (Come with me if you want to live!)[réf. souhaitée] »

 réplique récurrente prononcée par plusieurs personnages[alpha 14] dans la série de film Terminator.

« Ton trouble n'est pas rationnel. C'est une femelle en bonne santé et d'âge nubile
(Your confusion is not rational. She's a healthy female of breeding age)[32]. »

 réplique du Terminator T-800 dans Terminator 3 : Le soulèvement des machines (1991).

The Big Lebowski

« Personne ne m'appelle Lebowski. Vous devez vous gourer. On m'appelle le Duc, mec
(Nobody calls me Lebowsky. You got the wrong guy. I'm the Dude, man).[réf. souhaitée] »

 réplique du Duc (The Dude) (Jeff Bridges) dans The Big Lebowski (1998).

The Expendables 2

« — J’ai entendu une autre rumeur… que tu avais été mordu par un cobra royal ?
— Oui, c’est vrai… mais après cinq jours de longue agonie… le cobra est mort
(I heard another rumor that you were bitten by a king cobra.Yeah. But after five days of agonizing pain... the cobra died)[33],[34]. »

 répliques successives de Barney Ross (Sylvester Stallone) et Booker (Chuck Norris)[alpha 15] dans The Expendables 2 (2012).

Titanic

« Je suis le roi du monde ! (I'm the king of the world!)[35] »

 réplique de Jack (Leonardo DiCaprio) dans Titanic (1997).

Y a-t-il un pilote dans l'avion ?

« Encore merci et bonne chance, nous sommes avec vous
(I just want to tell you both good luck. We're all counting on you)[36],[37]. »

 réplique multiple du docteur Rumack (Leslie Nielsen) dans Y a-t-il un pilote dans l'avion ? (1980).

« Joey, aimes-tu les films de gladiateurs ? (Joey, do you like movies about gladiators?)
Tu as déjà vu un monsieur tout nu ? (Ever seen a grown man naked?)[36],[37] »

 deux des répliques successives du capitaine Oveur  Havoux » en VF) (Peter Graves) au jeune Joey dans Y a-t-il un pilote dans l'avion ?.

Zardoz

« Le Pistolet est le Bien. Le Pénis est le Mal. Le Pénis répand des graines et crée une nouvelle vie qui empoisonne la Terre avec le fléau des hommes, comme il advint jadis. Mais le Pistolet répand la mort et purifie la Terre de la souillure des Brutaux. Allez et tuez. Zardoz a parlé
(The Gun is Good. The Penis is Evil. The Penis shoots seeds and makes new life to poison the Earth with a plague of men, as once it was. But the Gun shoots death and purifies the Earth of the filth of Brutals. Go forth and kill. Zardoz has spoken)[38]. »

 réplique du « dieu » Zardoz dans le film Zardoz (1974).

Cinéma francophone

Note : des « films cultes » comme Les Tontons flingueurs (1963), Les Bronzés (1978), Le père Noël est une ordure (1982) ou encore La cité de la peur (1994) sont parsemés de répliques cultes ; pour chacun de ceux-là, seules quelques répliques ont été retenues ci-après, à titre d'exemple.

Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ

« Un gosse qu’est né dans une étable à Bethléem, franchement, tu crois que ça va changer la face du monde toi ?[39] »

 réplique de Ben-Hur Marcel (Coluche) regardant la naissance de Jésus à la télévision dans Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ (1982).

Drôle de drame

« Moi, j’ai dit bizarre… bizarre ? Comme c’est étrange… Pourquoi aurais-je dit bizarre… bizarre…[40] »

 réplique de Monseigneur Archibald Soper (Louis Jouvet) à Irwin Molyneux (Michel Simon) dans Drôle de drame (1937).

Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages

« J’ai bon caractère, mais j’ai le glaive vengeur et le bras séculier. L’aigle va fondre sur la vieille buse[41]. »

 réplique de Charles Le Téméraire (Bernard Blier) dans Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages (1968).

Hôtel du Nord

« Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? »

 réplique de Mme Raymonde (Arletty) à M. Edmond (Louis Jouvet) dans Hôtel du Nord (1938).

La cité de la peur

« On ne peut pas tromper une personne mille fois. Enfin, si on peut tromper mille personnes… mille fois. Non ! On peut tromper une fois mille personnes mais on ne peut pas tromper une fois mille personnes... [...] On peut tromper une fois mille personnes, mais on ne peut pas tromper mille fois une personne[42]. »

 réplique d'Émile Gravier (Sam Karmann) prononcée à plusieurs reprises, sous forme de running gag dans La Cité de la peur (1994).

La Classe américaine

« Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence[43]. »

 réplique de George Abitbol (John Wayne) à José (Burt Lancaster) dans La Classe américaine (1993).

La Grande Vadrouille

« Merci messieurs, c'était très bien. C'était très bien ! [...] Vous, vous, vous c'était bien là-bas. Vous c'était bien... heu... enfin c'est euh... comme ci, comme ça. Dites-moi, vous, on ne vous a pas entendus, on ne vous entend jamais, hein ?! Vous n'arrêtez pas de bavarder ! Faites attention, faites très attention, hein ! Écoutez, j'ai une conception personnelle de l'ouvrage. Ce n'est pas assez triomphal, ce n'est pas assez orgueilleux ! De l'orgueil, bon sang ! [...] C'est de la bouillie tout ça ! C'était pas mauvais, c'était très mauvais ! Voilà, exactement ! Alors reprenons ! Au 17[44] ! Hop ! »

 réplique de Stanislas Lefort (Louis de Funès) à son orchestre symphonique dans La Grande Vadrouille (1966).

La Guerre des boutons

« Si j'aurais su, j'aurais pas v’nu ![45] »

 réplique de « Petit Gibus » (Martin Lartigue) dans La Guerre des boutons[alpha 16] (1962).

La Guerre des tuques

« La guerre, la guerre, c’est pas une raison pour se faire mal ![réf. souhaitée] »

 réplique de « Ti-Guy La Lune » (Mathieu Savard) dans La Guerre des tuques (1984).

La Traversée de Paris

« Salauds de pauvres ![46],[47],[alpha 17] »

 réplique de Grandgil (Jean Gabin) à des clients d'un café qui voulaient lui dérober sa valise, dans La Traversée de Paris (1956).

Le Corniaud

« Ah ! bah maintenant, elle va marcher beaucoup moins bien, forcément ![réf. souhaitée] »

 réplique d'Antoine Maréchal (Bourvil) à Léopold Saroyan (Louis de Funès) dans Le Corniaud (1965).

Le Grand Pardon

« Aujourd'hui [Yom Kippour, le Jour du Grand Pardon] dans le monde entier, tous les Juifs pardonnent à ceux qui leur ont fait du mal. Tous les Juifs. Sauf un, moi ! Moi, je pardonne pas[48]. »

 réplique de Raymond Bettoun (Roger Hanin) à Pascal Villars (Bernard Giraudeau) dans Le Grand Pardon (1982).

Le Magnifique

« Lorsque je vois une abeille porter le pollen de fleurs en fleurs et perpétuer ainsi la vie, j'ai presque les larmes aux yeux.[réf. souhaitée] »

 réplique de Bob Sain-Clar[alpha 18](Jean-Paul Belmondo) à Tatiana (Jacqueline Bisset) dans Le Magnifique (1973).

Le Pacha

« Je pense que quand on mettra les cons sur orbite, t'as pas fini de tourner[49]. »

 réplique du commissaire Louis Joss (Jean Gabin) à l'inspecteur Albert Gouvion (Robert Dalban) dans Le Pacha (1968).

Le père Noël est une ordure

« Allô, Détresse Amitié, Joyeux Noël ![50] »

 réplique de Pierre Mortez (Thierry Lhermitte) dans Le père Noël est une ordure (1982).

Le Quai des brumes

« T'as d'beaux yeux, tu sais. »

 réplique de Jean (Jean Gabin) à Nelly (Michèle Morgan) dans Le Quai des brumes (1938).

Les Barbouzes

« Un barbu, c'est un barbu. Trois barbus, c'est des barbouzes[39]. »

 réplique de Francis Lagneau (Lino Ventura) à Amaranthe Benard Shah (Mireille Darc) dans Les Barbouzes (1964).

Les Bronzés

« J’ai vécu avec une femme, et puis, au bout de quarante-huit heures, elle a décidé qu’on se séparerait d’un commun accord. Alors j’ai pas bien supporté. J’ai même essayé de me suicider. [...] J’ai mis l’adagio d’Albinoni, j’ai avalé deux tubes de laxatifs et puis hop ! j’ai perdu 16 kilos et ma moquette[11]. »

 réplique de Jean-Claude Dusse (Michel Blanc) dans Les Bronzés (1978).

Les Bronzés font du ski

« Écoute Bernard, j'crois que toi et moi, on a un peu le même problème. C'est-à-dire qu'on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c'est : oublie que t'as aucune chance, vas-y fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher[51]. »

 réplique de Jean-Claude Dusse (Michel Blanc) à Bernard Morin (Gérard Jugnot) dans Les Bronzés font du ski (1979).

Les galettes de Pont-Aven

« Ah, nom de Dieu d'bordel de merde ![52]
Tu sens la pisse toi, pas l'eau bénite…[52] »

 deux répliques de Henri Serin (Jean-Pierre Marielle) dans Les Galettes de Pont-Aven (1975).

Les Ripoux

« – La magouille j'peux plus, j'veux faire honnêtement un métier honnête...
– Tu veux quitter la police ?[39] »

 répliques successives de l'inspecteur François Lesbuche (Thierry Lhermitte) et René Boisrond (Philippe Noiret) dans Les Ripoux (1984).

Les Tontons flingueurs

« Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît[53]. »

 réplique de Fernand Naudin (Lino Ventura) à maître Folace (Francis Blanche) dans Les Tontons flingueurs (1963).

« Patricia, mon petit, je ne voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier — l'homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois, mais la vérité m'oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu ![54] »

 réplique de Fernand Naudin (Lino Ventura) à Patricia (Sabine Sinjen) dans Les Tontons flingueurs.

Les Valseuses

« On est pas bien là ? [...] Paisible ? À la fraîche ? Décontracté du gland ? Et on bandera quand on aura envie de bander ![55] »

 réplique de Jean-Claude (Gérard Depardieu) à Pierrot (Patrick Dewaere) dans Les Valseuses (1974).

Les Visiteurs

« Mais qu'est-ce que c'est que ce binz ?[56] »

 réplique de Jacques-Henri Jacquart (Christian Clavier) dans Les Visiteurs (1993).

Marius

« Tu me fends le cœur ![57] »

 réplique de César (Raimu) dans la scène de la partie de cartes de Marius (1931).

Nikita

« Victor, nettoyeur.[réf. souhaitée]
Et on va la finir cette mission, sinon j'te dissous la gueule, c'est clair ?[réf. souhaitée] »

 deux répliques de Victor (Jean Réno) à Nikita (Anne Parillaud) dans Nikita (1990).

Nous ne vieillirons pas ensemble

« T’as jamais rien réussi et tu ne réussiras jamais rien. C’est tout. Et tu sais pourquoi ? Parce que t’es vulgaire. Irrémédiablement vulgaire. Et non seulement t’es vulgaire, mais t’es ordinaire en plus. […] Ton seul orgueil c’est ta médiocrité[41]. »

 réplique de Jean (Jean Yanne) à Catherine (Marlène Jobert) dans Nous ne vieillirons pas ensemble (1972).

P.R.O.F.S

« Vous, on vous fait un plan de trois minutes sur un œuf, aussitôt vous imaginez les mouillettes, la poule, Christophe Colomb, Yul Brynner. Avec les cons comme moi c'est plus difficile. [...] Crois-moi, parvenir à intéresser même les cons, c'est ce qui demande le plus d'intelligence[33]. »

 réplique de Frédéric Game (Patrick Bruel) à Josiane (Charlotte Julian) dans P.R.O.F.S. (1985).

Souvenirs perdus

« Il scie du fer...[réf. souhaitée] »

 réplique de l'agent de police Raoul (Bernard Blier) pour décrire le jeu inaudible d'un jeune violoniste à Raoul, le chanteur des rues (Yves Montand) dans Souvenirs perdus (1950).

Subway

« Police, menottes, prison ![58] »

 réplique du commissaire Gesberg (Michel Galabru) lorsqu’il arrête le Roller (Jean-Hugues Anglade) dans Subway (1985).

Cinéma international

La chute

« C'était un ordre ! (Das war ein Befehl!) »

 réplique d'Adolf Hitler (Bruno Ganz), et toute la tirade qui suit[alpha 19], dans La chute (2004).

Une journée particulière

« Ce n'est pas le locataire du sixième étage qui est anti-fasciste. C'est plutôt le fascisme qui est anti-locataire du sixième étage[59]. »

 réplique de Gabriele (Marcello Mastroianni) aux hommes venus l'arrêter dans Une journée particulière[alpha 20] (1977).

Répliques cultes à la télévision parmi les plus célèbres

Note : les répliques en français sont celles de la traduction officielle en VF ; les répliques en anglais sont les citations originales.

Séries télévisées

Breaking Bad

« Je suis le danger ! (I am the danger!)[réf. souhaitée] »

 réplique[alpha 21] de Walter White (Bryan Cranston) dans la série Breaking Bad.

Columbo

« Vous avez voulu créer le parfait alibi, et c'est votre parfait alibi qui vous a trahi.
(You tried to contrive the perfect alibi, sir, and it's your perfect alibi that's gonna hang you)[réf. souhaitée] »

 réplique de l'inspecteur Frank Columbo (Peter Falk) dans l'épisode « Exercice fatal » (« An exercise in fatality ») de la série Columbo (1975).

« Quand je vais dire ça à ma femme...[réf. souhaitée]
Il faut que j'en parle à ma femme.[réf. souhaitée]
Ah, une dernière chose, [M./Mme]... (Just one more thing...)[60] »

 répliques récurrentes (avec de multiples variations) de l'inspecteur Columbo dans pratiquement tous les épisodes de la série.

Dexter

« Surprise, enfoiré ! (Surprise, motherfucker!)[réf. souhaitée] »

 réplique[alpha 22] de James Doakes (Erik King) à Dexter Morgan (Michael C. Hall) dans la série Dexter.

Highlander

« À la fin, il ne peut en rester qu'un (In the end there can be only one)[14]. »

 réplique récurrente dans la série Highlander (reprise du film Highlander).

Kaamelott

« C'est pas faux ![61]
On en a gros...[61] »

 deux répliques parmi les plus connues de Perceval de Galles (Franck Pitiot) dans la série Kaamelott (2005-2009).

La Petite Vie

« Steak, blé d'Inde, patates. »

 réplique récurrente de Thérèse Paré (Diane Lavallée) dans la série La Petite Vie.

L'Agence tous risques

« J'adore quand un plan se déroule sans accroc ! (« I love it when a plan comes together. »)[60] »

 réplique récurrente du colonel John « Hannibal » Smith (George Peppard) dans la série L'Agence tous risques.

Le prisonnier

« Bonjour chez vous ![réf. souhaitée]
Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre ! (I am not a number, I am a free man!)[réf. souhaitée] »

 deux répliques de Numéro six (Patrick McGoohan) dans la série Le Prisonnier.

Les cinq dernières minutes

« Bon Dieu, mais c'est bien sûr ! (variante ultérieure : « Bon sang, mais c'est bien sûr ! »)[62] »

 réplique multiple du commissaire Bourrel (Raymond Souplex) dans la série Les Cinq Dernières Minutes (dans sa première série) (1958-1973).

Lost

« Les gars, où sommes-nous ? (Guys, where are we?)[réf. souhaitée] »

 réplique de Charlie Pace (Dominic Monaghan) dans l'épisode pilote de la série Lost.

« Si nous ne vivons pas tous ensemble, nous allons mourir seuls (If we don't live together, we're gonna die alone).[réf. souhaitée] »

 réplique de Jack Shepherd (Matthew Fox) dans la série Lost.

Malcolm

« Vous savez ce qu'il y a de mieux dans l'enfance ? C'est qu'à un moment donné, ça se termine
(You want to know what the best thing about childhood is ? At some point, it's stops)[63]. »

 Aparté aux téléspectateurs de Malcolm (Frankie Muniz) dans l'épisode 1 de la saison 1 de la série Macolm.

Monk

« Voilà ce qu'il s'est passé (Here's what happened). »

 réplique récurrente de Adrien Monk (Tony Shalhoub) dans presque tous les épisodes de la série Monk.

Parker Lewis ne perd jamais

« Aucun problème ! (Not a problem!)
Synchronisation des montres ! (Gentlemen, synchronize swatches!)
Note pour plus tard... (Note to self...)[réf. souhaitée] »

 répliques récurrentes de Parker Lewis (Corin Nemec) dans la série Parker Lewis ne perd jamais.

Six Feet Under

« — Ne prends pas cette photo
— C'est déjà parti
(Don't take this picture — it's already gone)[64]. »

 réplique de Nathaniel Fisher (Peter Krause), telle qu'imaginée par sa sœur Claire (Lauren Ambrose) dans le dernier épisode de la série Six Feet Under.

Star Trek : La nouvelle génération

« Make it so.
Engage![réf. souhaitée] »

 répliques récurrentes du capitaine Jean-Luc Picard (Patrick Stewart) dans la série Star Trek : La nouvelle génération.

X-Files

« La vérité est ailleurs (The truth is out there)[60]. »

 réplique de l'agent Fox Mulder (David Duchovny) dans la série X-Files.

Séries d'animation

Dragon ball Z

« It's over nine thousand![65] »

 réplique en version anglaise[alpha 23] de Vegeta dans la série Dragon Ball Z.

« The balls are inert.[66] »

 réplique en version anglaise[alpha 24] de Piccolo dans Dragon Ball Z.

Hokuto no Ken (Ken le Survivant)

« Tu ne le sais pas encore, mais tu es déjà mort (Omae wa mou shindeiru)[67]. »

 réplique récurrente de Kenshirô dans la série Hokuto no Ken (Ken le Survivant[alpha 25] en VF).

Les Simpson

« D'oh! »

 interjection[alpha 26] récurrente d'Homer Simpson dans la série Les Simpson.

South Park

« Oh mon Dieu ! Ils ont tué Kenny ! (Oh my God! They killed Kenny!)[réf. souhaitée] »

 réplique récurrente de plusieurs personnages de la série South Park.

Émissions humoristiques

Les Guignols de l'Info

« Putain, deux ans ![68] »

 réplique récurrente de la marionnette de Jacques Chirac dans l'émission satirique Les Guignols de l'Info[alpha 27] (parmi beaucoup d'autres restées dans les mémoires).

Les Inconnus

« Cela ne nous regarde pas ![69] »

 réplique multiple des Inconnus dans le sketch parodiant l'émission Stade 2, diffusé dans l'émission La Télé des Inconnus sur France 2 (1990)

Les Nuls

« – Mais je manque à tous mes devoirs... Tu veux un whisky ?
– Oh, juste un doigt.
– Mais tu ne veux pas un whisky avant ? »

 réplique finale de Gérard Darmon à Chantal Lauby dans le sketch du roman photo « Nous Quatre » lors de l'émission Les Nuls L'émission sur Canal+ (1992)
Le dialogue a ensuite été repris par les mêmes interprètes (avec quelques changements) dans le film La Cité de la peur[70] (1994).

Notes et références

Notes

  1. Il est notamment fait référence à cette réplique dans le deuxième épisode de la série Six Feet Under, lorsque Nathaniel Fisher Jr. s'adresse à son frère David en parodiant la voix, lugubrement obséquieuse, de HAL 9000 lorsqu'elle évoque un supposé manque d'honnêteté, ponctuant chaque phrase par un insistant « Dave » :
    « Morning, Dave. Aren't those the same clothes you had on yesterday?
    Everything I own looks alike.
    I sense you're not being completely honest with me, Dave. Have you changed any since you were 14? »
  2. Citation dans le film. Dans la réalité, Jim Lovell avait dit précisément : « Houston, we've had a problem » soit « Houston, on a eu un problème » ; voir l’article du Parisien du 27 octobre 2014 et celui de Télé Star du 6 janvier 2019.
  3. Cette réplique, partiellement improvisée par l'acteur, est connue sous le nom du « Monologue des larmes dans la pluie ».
  4. Cette réplique est répétée dans presque tous les volets de la saga, depuis le film original de 1988.
  5. En VO, le personnage d'E.T dit bien « E.T. home phone » et pas « E.T. phone home ». Source : (en) Steve Myall, « E.T. never said "phone home" and that Forrest Gump quote's wrong too - how your memory plays tricks on you », sur mirror.co.uk, 21 juin 2017.
  6. La citation, dans cette version précise, apparaît pour la première fois dans le roman Les diamants sont éternels (1956) de Ian Fleming. Dans le film James Bond 007 contre Dr. No, James Bond dit précisément (en VO) : « shaken and not stirred. »
  7. Citation de Sun Tzu à l'origine.
  8. Plusieurs fois citée par le personnage de Silvio Dante (Steven van Zandt) dans la série The Sopranos, prenant plaisir à imiter Al Pacino pour amuser la galerie.
  9. Citée notamment par José Garcia lors de ses saynettes humoristiques dans l'émission Nulle Part Ailleurs.
  10. La réplique, répétée plusieurs fois dans le film, provient de la nouvelle de Cyril M. Kornbluth intitulée La Longue Marche des cornichons (The Marching Morons), qui présente également une vision cynique d'un avenir sur-commercialisé et désensibilisé à la violence. Dans cette histoire courte, un jeu à la radio utilise la phrase « I'd buy that for a quarter » comme phrase de signature. Il est en outre fait allusion à cette réplique dans le remake de 2014 avec « I wouldn't buy that for a dollar. »
  11. Dans la version originale, le « I » est accentué, ce qui aurait dû être traduit plus précisément par : « c'est moi ton père ».
  12. La fameuse tirade — improvisée à l'origine — a été notamment reprise en français par Vincent Cassel dans le film La Haine.
  13. Il y est fait allusion à plusieurs reprises dans d'autres films de la franchise : « He'll be back » dans Terminator 2, « I'm back » dans Terminator 3, et à nouveau « I'll be back dans Terminator: Dark Fate, cette fois prononcée par Sarah Connor.
  14. Prononcée par Kyle Reese dans The Terminator (la phrase est alors traduite dans le doublage français par « Suis-moi si tu ne veux pas mourir »), par le Terminator T-800 dans Terminator 2 : Le Jugement dernier et par Sarah Connor dans Terminator Genisys.
  15. Un hommage aux Chuck Norris Facts.
  16. Cette réplique ne figure pas dans le roman de Louis Pergaud dont le film est l'adaptation. Il s'agit en fait de la reprise d'une réplique figurant dans la rubrique « Une heure dix avec... » du magazine satirique L'Os à moelle no 61, paru en 1939 et créé par l'humoriste Pierre Dac avant la Seconde Guerre mondiale ; Pierre Dac reprenait alors une phrase inventée des décennies plus tôt par le sculpteur Jean-Baptiste Carpeaux. — Source : Article de Téléstar.fr, 29 août 2016.
  17. Cette réplique sera reprise par l'humoriste Coluche dans les années 1980 dans un de ses sketches.
  18. Quand il dit sa réplique, Bob Sain-Clar fait la liaison entre les mots « larmes », « aux » et « yeux », ce qui donne phonétiquement « j'ai presque les larmes zozyeux », renforçant le côté comique de sa tirade.
  19. Cette séquence du film, à la fois outrancièrement rageuse et désespérée, a fait l'objet par les fans de multiples détournements vidéo à base de faux sous-titres de la tirade originale en allemand.
  20. Réplique citée notamment par Pierre Desproges dans son Réquisitoire contre Jean-Marie Le Pen.
  21. De même que pour « I am your father », le I étant accentué, il conviendrait plutôt de traduire par « C'est moi le danger ! ».
  22. Cette réplique, prononcée à la fin de la première saison, a acquis une telle popularité qu'un épisode de la septième saison la reprend pour titre, et la fait prononcer à nouveau par le même personnage – mort dans la deuxième saison – à l'occasion d'un flashback, ce qui modifie rétrospectivement la tonalité de la première occurrence, donnant l'impression qu'il s'agissait pour Doakes d'une formule rituelle adressée à son collègue, avant même qu'ils deviennent clairement ennemis.
  23. Uniquement dans la version doublée en anglais de la série, du fait de la prononciation « paroxystiquement » rageuse du comédien.
  24. La réplique est notable uniquement dans la version doublée en anglais, du fait de la polysémie du mot « ball » (boule) pouvant aussi désigner les testicules.
  25. Le doublage français de la série comporte en outre de nombreuses répliques décalées, voire franchement saugrenues, improvisées à l'époque par l'équipe de doubleurs menée par le comédien Philippe Ogouz, dans un but de dérision et d'édulcoration de la violence, omniprésente dans cette série.
  26. La prononciation en version française se rapproche plus de « T'oooh ».
  27. Formule exprimant sa frustration à l'idée de devoir attendre deux ans avant le début de l’élection présidentielle de 1995.

Références

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Voir aussi

Bibliographie

  • Philippe Durand, Encyclopédie des répliques de films, éd. LettMotif, 2018 - 340 pages, 4000 répliques. (ISBN 978-2367162577)
  • Bernard Chardère, Les Dialogues cultes du cinéma français, Paris, éditions Larousse, , 239 p. (ISBN 2-03-505462-1)
  • Christophe Geudin et Jérémie Imbert, Les Comédies à la Française : 250 incontournables du cinéma comique français, Paris, Fetjaine, , 240 p. (ISBN 978-2-35425-439-1)
  • Philippe Lombard, Répliques de films à l'usage du quotidien, Paris, éditions L'Express, , 145 p. (ISBN 978-2-8244-0004-4, lire en ligne)
  • Eric Partridge (1894-1979), A Dictionary of Catch Phrases, American and British, from the sixteenth century to the present day, ed. Beale, Lanham, Maryland, Scarborough House, 1992. (ISBN 0-8128-8536-8). [présentation en ligne]

Articles connexes

Lien externe

[vidéo] (en) « The 100 Most Iconic Movie Lines of All Time » sur YouTube, sur la chaîne officielle de CineFix (en) (consulté le ).

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